Dans ce deuxième opus des Gardiens de la Galaxie, on retrouve notre joyeuse bande de bras cassés du cosmos, toujours aussi bavarde et déchaînée. James Gunn reprend les commandes, mais si la bande-son et les répliques fusent encore à la vitesse de la lumière, la surprise, elle, s'est un peu volatilisée. C'est beau, coloré, mais on a l’impression d’être repassé sur le même terrain de jeu. En termes de nouveauté, on repassera.
On aime Rocket, c’est sûr. Mais là, notre raton-laveur préféré est en mode mitraillette à vannes, et ça fatigue un peu. Il a tendance à en faire des tonnes, genre le mec au bar qui pense être le plus drôle de la soirée, mais qui finit par se faire regarder de travers. Les autres personnages ? Pas beaucoup plus inventifs. Ils restent dans leur rôle de dingo cosmiques, mais sans trop de surprises.
Si la bande-son fait toujours plaisir à entendre (merci Star-Lord pour les mixtapes d’enfer), le film semble miser plus sur son style visuel que sur son intrigue. On est dans du grand spectacle, des décors qui éclatent à l’écran, mais l’histoire elle, est un peu comme un plat qui manque de sel. Pas vraiment d'enjeux mémorables, et on devine les rebondissements avant même qu’ils n'arrivent.
Le début du film promettait pourtant du lourd, avec une scène d’ouverture qui claque bien comme il faut. Mais rapidement, ça retombe. L’intrigue fait du surplace, un peu comme si les personnages eux-mêmes n’étaient plus tout à fait sûrs de ce qu’ils faisaient là. Pas de montée en puissance, pas de suspense réel. Ça reste sympa, mais sans frissons.
Bien sûr, les fans inconditionnels de Marvel et des Gardiens vont adorer. Parce que c’est joli, que ça fait rire, et que l’univers est tellement barré qu’on ne peut s’empêcher de sourire. Mais ce second volet manque d’une touche de folie, de cette surprise qu’on avait dans le premier. Bref, ça divertit, mais ça n’emmène pas dans les étoiles.
Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 a de quoi divertir et amuser, mais il n’a pas le souffle épique ni l’originalité de son prédécesseur. Une bonne sortie pour ceux qui veulent juste passer un moment sympa sans trop se creuser la tête, mais pas de quoi marquer l’histoire de la science-fiction, ni même celle du MCU.
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« spoiler: C'était peut-être ton père, mon garçon, mais ce n'était pas ton papa. Je suis désolé de n'avoir rien fait correctement. J'ai vraiment de la chance que tu aies été mon garçon. »
James Gunn est une nouvelle fois un auteur complet, tant en qualité de scénariste que de réalisateur, qui excelle dans le développement des personnages, aussi bien dans les scènes intimistes que dans les scènes d'action intenses, pour ce troisième épisode de la troisième phase de la Saga Infinity et quinzième film du MCU.
Aussi spoiler: profond émotionnellement que visuellement dense et flamboyant, "Vol. 2" explore les origines et traumatismes de l’enfance des Gardiens de la Galaxie, qui cherchent un sens à la vie, et ce qui en fait sa beauté face à la mortalité .
Chris Pratt, Zoe Saldaña, Dave Bautista, Vin Diesel, Bradley Cooper, Michael Rooker, Karen Gillan, Pom Klementieff, Sylvester Stallone et Kurt Russell incarnent tous parfaitement leurs personnages respectifs.
En explorant ce qui fait d'une spoiler: personne un(e) « Gardien(ne) de la Galaxie », avec ses pouvoirs, mais surtout avec ses traumatismes et ses faiblesses, qu'il ou elle doit surmonter afin de devenir des "Avengers" pour sauver la galaxie de la tyrannie .
Honnêtement, je les trouve mieux aujourd'hui que lors de mon premier visionnage. Déjà, toujours aussi beau en termes d'hestetique, de couleur, de musique, genre, visuellement, c'est WOW. Je pense que ce qui m'avait chagriné, c'est le père de Peter, qui, à mon goût, n'a pas été assez exploité dans le personnage. Mais le combat final est super cool, la petite aventure avec Rocket et Yondu est super. Bien la bagarre Gamora nebula… voilà, mais franchement, la fin est magnifique, donc globalement, j'ai plus aimé le vol 2 aujourd'hui qu'à mon premier visionnage.
Gardiens de la Galaxie Vol. 2 poursuit l'aventure avec une belle dose d'humour et d'émotion. L'accent mis sur les relations familiales, notamment entre Peter Quill et son père, ajoute une profondeur inattendue au récit. Les personnages restent fidèles à eux-mêmes tout en évoluant, et les scènes d'action sont à la fois divertissantes et spectaculaires. La bande-son est toujours aussi entraînante, renforçant le charme du film. En somme, une suite qui parvient à capturer l'esprit du premier tout en apportant de nouvelles nuances.
Les films des Gardiens de la Galaxie sont pour moi les meilleurs films du MCU. Ce second volet est un chef d'oeuvre...encore mieux que le premier. Les animations sont oufs et les personnages super attachants. À voir absolument
"Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2" offre une odyssée spatiale pétillante où l'humour côtoie l'émotion, et l'action épique, la quête intime d'identité. James Gunn orchestre un ballet cosmique où chaque Gardien, de Star-Lord à Baby Groot, trouve sa place et son moment de gloire, enrichissant l'ensemble de nuances caractérielles et de dynamiques relationnelles fascinantes. La bande-son, savant mélange de classiques rock, s'entremêle parfaitement aux séquences, renforçant l'atmosphère rétro-futuriste du film.
Cependant, l'ambition de tisser des liens émotionnels profonds entre les personnages se heurte parfois à une exécution qui frôle l'excès, où les moments de sincérité risquent de se perdre dans un tourbillon de blagues et d'effets spéciaux. L'intrigue centrale, bien que portée par des révélations impactantes, souffre par moments d'une certaine prévisibilité et d'un manque de finesse dans l'exploration de ses thèmes les plus sombres. De plus, l'antagoniste, malgré un concept intriguant, manque parfois de la profondeur nécessaire pour s'imposer comme une menace mémorable dans l'univers étendu Marvel.
Le film brille par sa capacité à mélanger les genres, naviguant habilement entre la comédie, l'action et le drame familial, mais cette alchimie ne trouve pas toujours l'équilibre parfait, laissant parfois le spectateur dans une incertitude tonale. Malgré ces quelques accrocs dans sa toile cosmique, "Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2" demeure une aventure interstellaire captivante, empreinte d'une sincérité émouvante et d'une esthétique visuelle éblouissante, qui continue d'explorer les confins de l'univers Marvel avec audace et panache.
Après un premier volet explosif, les Gardiens reviennent pour une aventure encore plus fune et déjantée qu'avant. Comme d'habitude, l'ambiance est géniale : entre les vieilles chansons redevenues cultes, un côté plus coloré et des personnages toujours si charismatiques, James Gunn a réussi l'exploit de retranscrire un "univers" cohérent et divertissant. Cela dit, ces personnages sont plus développés et j'ai éprouvé plus d'empathie pour eux dans ce film-ci qu'avant ; c'est grâce à ça que Mantis est quelqu'un de mémorable et qu'Ego est un antagoniste surprenant et à la limite original. spoiler: Mais la mort de Yondu est une des morts les plus tristes que je connais.
La musique est géniale et agréable à écouter, entre les chansons et la musqiue de Tyler Bates. Les décors et maquillages montrent aussi la folie créative du réalisateur, avec en prime un Bébé Groot adorable. Les effets spéciaux sont crédibles et bien faits : les vaisseaux, les paysages, le rajeunissament de Kurt Russell et les scènes d'action en général. Sauf pour les incrustations, là ça pique légèrement les yeux.
Ce second volume de "Gardiens de la Galaxie" est meilleur que le premier grâce à son ambiance, ses personnages développés et son humour. Le film prend également soin de répondre à de nombreuses questions qu'on se posait dans le premier volet, respectant ainsi une parfaite continuité.
Après avoir (re)visionné le chapitre 1 des « Gardiens de la Galaxie », j'ai pris un immense plaisir à revoir le chapitre 2. Tout d'abord, le générique/scène d'ouverture, où Groot danse sur le tube interplanétaire de « Mr Blue Sky » d'Electric Light Orchestra, est tout simplement exceptionnel, voir sidéral. On retrouve ensuite l'inventivité, les répliques cinglantes et les scènes d'action qui ont fait le succès du premier film. L'introduction ou confirmation des personnages Nebula, Kraglin et Mantis, permet d'élargir cette famille qui est le socle de la réussite de la saga où ils n’arrêtent pas de se chamailler. La surprise est peut-être moins présente que dans le volet précédent, mais « Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 » surpasse largement la plupart des films Marvel. Le scénario, bien plus complexe, peut parfois dérouter. J'apprécie particulièrement l'ancrage dans la culture pop des années 70/80, car cela correspond à mon adolescence (références musicales géniales). En un mot, « Je s’appelle Groot ». WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Après avoir vu Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2, je peux affirmer que c'est un excellent film, surpassant même le premier. C'est un chef-d'œuvre qui excelle tant dans l'humour que dans l'action, avec des personnages développés de manière touchante. Les musiques ajoutent une touche spéciale à l'expérience.De plus, j'attends avec impatience de voir Adam Warlock, un vilain emblématique des comics Marvel, dans les futurs films du MCU. C'est incontestablement l'un des meilleurs du MCU et une incontournable réussite cinématographique.
Nos joyeux héros blessés pleins de défauts devenus de vrais supers héros grâce à leur découverte de l'amitié et tendresse vraies poursuivent leur mission de sauvetage de la galaxie du mieux qu'ils peuvent !
Le scénario est top de simplicité les personnages attachants la réalisation excellente les dialogues trop intelligents tout en finesse et humour...
Tout y est un super moment comme le premier opus !
Peter Quill n’a jamais connu son père mais il fini par le rencontrer dans cet opus et il n’est pas au bout de ces surprises. Ego est dangereux et encore le mot est faible. Il est complètement siphonné et il a sacrifié plusieurs de ses enfants lorsque ces derniers n’étaient pas des Célestes comme lui et donc ne lui servaient à rien dans sa quête pour conquérir l’univers. Il s’avère que Peter en est un et ce dernier se met très en colère lorsqu’il apprend qu’Ego a implanté une tumeur dans le cerveau de sa mère.. Comme d’habitude, sa vraie famille est là pour l’aider et le soutenir. D’ailleurs Gamora et lui se rapprochent de plus en plus. Ils dansent même ensembles le temps d’un instant. Puis nous avons Rocket qui adore vanner et jouer les durs à cuire, Drax qui est très franc et bébé Groot qui est beaucoup trop mignon. Nebula est également de la partie. Elle et Gamora s’affrontent, se sauvent mutuellement et se réconcilient. C’est leur père Thanos qui entretenait leur rivalité. Il les forçait à se battre l’une contre l’autre pour les endurcir lorsqu’elles étaient enfants. Mantis rejoint leur équipage et elle a la faculté d’empathie. Elle et Drax se lient d’amitié. Sans oublier Yondu qui a été banni des Ravageurs parce qu’il a violé le code des siens pour Peter. Il a toujours pris soin de ce dernier et il l’aime comme s’il était son fils. Quant à Kraglin, il est resté fidèle à Yondu jusqu’au bout. Cet opus est drôle, prenant et émouvant. La scène quand Groot doit ramener la crête de Yondu et qu’il ramène tout sauf ça est hilarante. La référence à Pac-Man m’a également fait sourire. Dans la scène post générique, la grande prêtresse a crée Adam afin de se venger des Gardiens de la Galaxie et on assiste à un Groot adolescent qui semble être accro aux jeux vidéos. Pom Klementieff rejoint le casting.
Film numéro 12 de mon marathon Marvel : Suite qui ne fait pas fi de du premier opus. La réalisation est toujours aussi dynamique, comme si les pages d'un comics défilaient rapidement devant nos yeux. L'humour est au rendez-vous, encore plus dans celui-ci. J'ai la sensation qu'après le succès du premier, James Gunn a eu carte blanche, il a confiance en sa recette et n'hésite pas à aller un peu plus loin pour notre bonheur.
Bon, on est quand même face à une baisse de qualité par rapport au premier. Faut croire les cases à cocher des marvel ont finalement touché le film. Déjà sur l'humour, soit sympa comme dans le premier, mais trop rare, soit d'un nul pas possible, à base de "cringe" (le Mec qui arrive pas à dérouler le tapis...) C'est nul, hors sujet et ça brise l'immersion. Je suis pas contre l'humour, mais quand ça fait partit de la diegese, pas comme si ça fesait un gros sticker "humour" sur le film. Bon ensuite le scénario, et j'ai remarqué un problème en fait assez commun au marvel. Il est expédié sur la première heure comme une flèche, pour avoir toute la deuxième heure dédiée à un combat "final" divisé en plusieurs phases. Et c'est dommage, parce que ducoup on se retrouve un peu à s'endormir dans le combat, au regret d'un scénario qui aurait plus être développé, même si ici c'est pas intéressant. "Je suis ton père" , ah, OK. D'un coup il le retrouve comme ça, pareil pour la mutinerie de yondu, fait en 5 secondes. Ça fait que certains persos sont juste sous exploité, genre taserface ? à quoi il sert ? c'est pareil pour ronan dans le premier, et pour Adam dans le 3ème. Puis bon, c'est bancale, nebula (qui est aussi inutile au passage) qui change d'opinion, tuer un soit disant être céleste aussi puissant si facilement, la redemption de yondu expédiée... On regrette encore plus que le début soit expédié quand on voit la longueur de la fin , l'hommage des ravageurs", juste interminable. C'est pour ça qu'on a speedrun le début ? pour avoir une fin interminable, même si ça veut provoquer l'emotion, c'est tellement long que c'est juste ennuyant. Bon après je vais pas mentir, c'est pas aussi nul que j'ai pu m'en souvenir, mais c'est trop bancal, l'idée d'un être céleste c'est cool, mais voilà. Marvel rattrape les Gardiens pour le rendre plus fidèle aux codes d'un genre saturé, dommage.