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Votre avis sur La Plage ?
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The Beach est un film assez spécial, et c’est justement cette particularité qui constitue l'une de ses grandes forces. Son originalité et son approche unique de l'aventure et du voyage offrent une expérience cinématographique particulière.
Le casting est bien choisi et apporte de la crédibilité aux personnages, mais certaines scènes peuvent sembler très bizarres et déroutantes. Malgré ces moments étranges, le film réussit à captiver par son ambiance distincte et son exploration intrigante des thèmes de paradis et de désillusion.
Le casting est bien choisi et apporte de la crédibilité aux personnages, mais certaines scènes peuvent sembler très bizarres et déroutantes. Malgré ces moments étranges, le film réussit à captiver par son ambiance distincte et son exploration intrigante des thèmes de paradis et de désillusion.
La plage est un film conceptuel et permet au spectateur de se projeter dans une vision particulière de la société ! C'est intriguant.
Danny Boyle nous invite à une aventure unique, troublante, et dramatique ! Dans des paysages magnifiques, avec des personnages atypiques et prenants ! Assurément un grand film !
Il manque quelque chose pour en faire un bon film ! Quelle dommage ! Ça commence super bien, on accroche à l'histoire et puis ça devient une histoire de hippies !! Ça se suit toujours mais ça perd totalement en intensité !
En revanche, Canet était bien mignon face à Di Caprio ! Surprenant !
3,1/5
En revanche, Canet était bien mignon face à Di Caprio ! Surprenant !
3,1/5
Danny Boyle derrière la caméra, je me suis dit que c’était à voir. Une nature superbe, de la bonne musique et DiCaprio ne suffisent cependant pas à donner du corps à cette histoire difficile à identifier tant le mélange d’aventure, de thriller, de philosophie et de romance est peu accrocheur. Orchestré par sa voix off qui submerge les scènes pour noyer leur manque d’entrain, le scénario s’embourbe dans le voyage mental du héros.
Jusqu'où sommes nous prêt pour découvrir un paradis? C'est ce que Leonardo Di Caprio nous montre à travers son personnage de routard à la recherche d'aventure. Il embarqué avec lui Étienne et Françoise respectivement interprété par Guillaume Canet et Virginie Ledoyen. Le film démarre bien où on découvre une civilisation qui vit secrètement sur l'île en autosuffisance. La condition est que cela doit rester secret, une sorte de reproduction du jardin d'éden mais avec des règles strictes. Ensuite le personnage de Richard sombre un peu dans la folie, on notera une séquence où il se prend pour un personnage de jeux vidéo. Au final le film suit son schéma, et révèle Di Caprio. A voir au moins une fois avec la magnifique BO de Moby.
Le film se met en place petit a petit. C'est après quelques longueurs, que l'on pense que c;est parti, et que la seconde partie va etre plus attrayante. Et finalement le final n'est pas très crédible. C'est un peu dommage car l'idée de départ est assez sympa.
Du bon et du moins bon dans "la plage": dépaysant, dynamiquement filmé, très bien photographié, bien mis en musique, correctement interprété voilà pour le bon. Malheureusement le scénario se disperse un peu et a quelques moments de mou et le tout manque de profondeur et d'enjeu.
La 1ère fois, je redécouvrais Léonardo de Caprio après mon « choc » de « Roméo + Juliette » - seul souvenir
20 ans après, surprise, la belle Virginie Ledoyen , Guillaume Cannet spoiler: (Cocorico)
et un film mauvais qui ne doit son salut, qu’à… Léonardo Di caprio 😉
Un bon livre peut donner un film décevant et le rajout des « histoires d’amour » spoiler: (et de fesses)
est ridicule et ce n'est pas tout. On nous « vend » une espèce de folie douce, un exotisme plat, des Robinson bien policés mais aussi du dépaysement, de l’humour sympa, des paysages magnifiques superbement photographiés. Le tout sans saveur et sans profondeur
Le réalisateur n’est pas au niveau de sa « star ». Forcément, il n’en voulait pas et celui ci fut l’objet d’un chantage de la distribution contre une hausse de budget.
Que nenni, c’est l’explosion d’un grand acteur qui, à 25 ans, crève l’écran, déjà : 1 étoile de + pour lui : 2.5 +1 = 3.5 étoiles
20 ans après, surprise, la belle Virginie Ledoyen , Guillaume Cannet spoiler: (Cocorico)
et un film mauvais qui ne doit son salut, qu’à… Léonardo Di caprio 😉
Un bon livre peut donner un film décevant et le rajout des « histoires d’amour » spoiler: (et de fesses)
est ridicule et ce n'est pas tout. On nous « vend » une espèce de folie douce, un exotisme plat, des Robinson bien policés mais aussi du dépaysement, de l’humour sympa, des paysages magnifiques superbement photographiés. Le tout sans saveur et sans profondeur
Le réalisateur n’est pas au niveau de sa « star ». Forcément, il n’en voulait pas et celui ci fut l’objet d’un chantage de la distribution contre une hausse de budget.
Que nenni, c’est l’explosion d’un grand acteur qui, à 25 ans, crève l’écran, déjà : 1 étoile de + pour lui : 2.5 +1 = 3.5 étoiles
"La Plage", réalisé par Danny Boyle et sorti en 2000, s'immerge dans les eaux turquoises et tumultueuses de l'idéalisme naïf et des réalités brutales. L'intrigue se déroule autour de Richard, un voyageur américain incarné par Leonardo DiCaprio, qui, entraîné par le récit d'un homme déséquilibré, se lance à la découverte d'une île paradisiaque isolée en Thaïlande. Accompagné de deux Français, il découvre une communauté qui vit en apparence en harmonie avec la nature, mais qui, sous cette façade idyllique, cache des dynamiques beaucoup plus sombres.
La réalisation de Boyle est vibrante et immersive, capturant efficacement l'intensité et la beauté sauvage de la baie de Maya, tout en dépeignant de manière poignante l'isolement croissant de Richard. La photographie de Darius Khondji ajoute une qualité presque hypnotique à l'île, rendant ses paysages à la fois invitants et menaçants. La bande sonore, mêlant des artistes tels que Moby et New Order, complète bien l'ambiance, équilibrant les moments de tension et de tranquillité.
Cependant, le film pâtit de certaines longueurs et d'un développement inégal des personnages secondaires, qui restent trop souvent à l'arrière-plan, ne servant que de pions pour avancer l'intrigue principale. Les performances sont inégales ; DiCaprio livre un jeu convaincant, mais certains de ses partenaires à l'écran semblent moins impliqués ou mal dirigés.
De plus, "La Plage" tente de critiquer la quête occidentale d'exotisme et d'authenticité, mais par moments, cette critique semble superficielle, voire contre-productive, surtout lorsqu'elle tombe dans les pièges du cliché ou de la glorification du même exotisme qu'elle prétend remettre en question.
Malgré ses défauts, le film demeure une réflexion intrigante sur l'utopie, l'isolement et les conséquences de l'évasion de la société. C'est une exploration de la façon dont les paradis recherchés peuvent se transformer en prisons, et comment l'isolement peut mener à la destruction, pas seulement de l'environnement, mais aussi de l'âme.
En somme, "La Plage" est un film visuellement captivant et thématiquement ambitieux, mais qui ne parvient pas toujours à atteindre la profondeur ou la cohérence nécessaires pour faire de ses ambitions une réalité pleinement réalisée. Il s'agit d'une œuvre à la croisée des chemins, tiraillée entre son potentiel de critique sociale poignante et sa réalisation parfois bancale. Une expédition cinématographique qui, malgré ses défauts, mérite d'être vue pour ses qualités esthétiques et pour la réflexion qu'elle suscite sur nos propres quêtes de paradis.
La réalisation de Boyle est vibrante et immersive, capturant efficacement l'intensité et la beauté sauvage de la baie de Maya, tout en dépeignant de manière poignante l'isolement croissant de Richard. La photographie de Darius Khondji ajoute une qualité presque hypnotique à l'île, rendant ses paysages à la fois invitants et menaçants. La bande sonore, mêlant des artistes tels que Moby et New Order, complète bien l'ambiance, équilibrant les moments de tension et de tranquillité.
Cependant, le film pâtit de certaines longueurs et d'un développement inégal des personnages secondaires, qui restent trop souvent à l'arrière-plan, ne servant que de pions pour avancer l'intrigue principale. Les performances sont inégales ; DiCaprio livre un jeu convaincant, mais certains de ses partenaires à l'écran semblent moins impliqués ou mal dirigés.
De plus, "La Plage" tente de critiquer la quête occidentale d'exotisme et d'authenticité, mais par moments, cette critique semble superficielle, voire contre-productive, surtout lorsqu'elle tombe dans les pièges du cliché ou de la glorification du même exotisme qu'elle prétend remettre en question.
Malgré ses défauts, le film demeure une réflexion intrigante sur l'utopie, l'isolement et les conséquences de l'évasion de la société. C'est une exploration de la façon dont les paradis recherchés peuvent se transformer en prisons, et comment l'isolement peut mener à la destruction, pas seulement de l'environnement, mais aussi de l'âme.
En somme, "La Plage" est un film visuellement captivant et thématiquement ambitieux, mais qui ne parvient pas toujours à atteindre la profondeur ou la cohérence nécessaires pour faire de ses ambitions une réalité pleinement réalisée. Il s'agit d'une œuvre à la croisée des chemins, tiraillée entre son potentiel de critique sociale poignante et sa réalisation parfois bancale. Une expédition cinématographique qui, malgré ses défauts, mérite d'être vue pour ses qualités esthétiques et pour la réflexion qu'elle suscite sur nos propres quêtes de paradis.
J’ai adoré ce film. L’ambiance, les acteurs, les paysages. Une nouvelle aventure pour les protagonistes en quête d’aventures auxquels on peut s’identifier. Le début peut nous laisser présager des indices sur la tournure que vont prendre les événements, avec l’atmosphère sombre en présence de Daffy. En effet, l’idylle va se transformer en chaos jusqu’à plonger le protagoniste principal dans la folie (moment moins apprécié par les téléspectateurs) mais qui est justement là pour que l’on comprenne à quel point le film mais aussi le personnage bascule. Que le revers de la médaille envers leur malhonnêteté finit par les rattraper.
Et la bande son. J’ai aimé.
Et la bande son. J’ai aimé.
Yannickcinéphile
Ca faisait longtemps que je devais voir ce film, et j’ai toujours repoussé le moment, craignant d’assister à un lancinant métrage contemplatif. En vrai, c’est un peu ça, faut le dire. Le film dure 2 heures, et en 2 heures, il ne se passe pas forcément beaucoup de choses. On suit la vie de cette communauté robinsonne un peu hippie sur les bords, et ce n’est pas toujours palpitant, même si la deuxième partie du métrage offre davantage de rebondissements. Le film est joli. Les décors et paysages sont esthétiques, la photographie plutôt élégante, Boyle toutefois se risque parfois à de très hasardeux effets de style sortis de nulle part exigeant notamment le recours à des effets visuels numériques qui ont vieilli et à des idées plutôt douteuses (la séquence jeu vidéo). Boyle n’arrive pas à choisir entre le côté carte postale du film et son naturel beaucoup plus borderline, si bien que le film ne sait pas trop sur quel pied danser et cela se sent. C’est aussi le cas de la bande son, vraiment aléatoire et pas toujours très compréhensible. Si l’on est peu sensible à ce côté schizophrénique du film, on appréciera quand même la prestation convaincante de Leonardo di Caprio dans sa grande période post-Titanic, la présence solide de Tilda Swinton et le duo français composé de Virginie Ledoyen et Guillaume Canet. La première est vraiment sublime dans le film, et Canet est plutôt juste même s’il disparaît pas mal dans la seconde moitié du film.
Le scénario pour sa part se traîne un peu et n’est pas toujours très cohérent. On peine parfois à croire les rebondissements, la fin est un peu facile, il y a un gros manque d’enjeu dans la première partie et le film essaye d’entretenir d’ailleurs un peu la verve avec une histoire d’adultère des plus timorée.
Pour ma part, je ne peux pas dire que j’ai passé un moment déplaisant devant ce film, car globalement il est quand même proprement fait, les acteurs sont convaincants, l’idée est dépaysante à défaut d’être excellente. Maintenant ça reste un peu longuet, parfois douteux dans ses choix esthétiques, et on en ressort avec l’impression d’un sympathique voyage, mais sans grandes émotions, alors même que Boyle s’essaye quand même à quelques scènes chocs pour nous brusquer. 3
Le scénario pour sa part se traîne un peu et n’est pas toujours très cohérent. On peine parfois à croire les rebondissements, la fin est un peu facile, il y a un gros manque d’enjeu dans la première partie et le film essaye d’entretenir d’ailleurs un peu la verve avec une histoire d’adultère des plus timorée.
Pour ma part, je ne peux pas dire que j’ai passé un moment déplaisant devant ce film, car globalement il est quand même proprement fait, les acteurs sont convaincants, l’idée est dépaysante à défaut d’être excellente. Maintenant ça reste un peu longuet, parfois douteux dans ses choix esthétiques, et on en ressort avec l’impression d’un sympathique voyage, mais sans grandes émotions, alors même que Boyle s’essaye quand même à quelques scènes chocs pour nous brusquer. 3
J'ai bien aimé ce film. L'histoire est prenante, on ne s'ennuie pas durant le visionnage. Légerement décu par la fin, je garde quand meme un très bon souvenir de ce film.
Le quatrième long-métrage de Danny Boyle, sorti en 2000, aborde l’utopie sociale avec une vision très pessimiste. En vacances en Thaïlande, des touristes découvrent une plage isolée totalement paradisiaque. Le lieu s’avère être occupé par une communauté cosmopolite désireuse de vivre en marge de la société. La quête de liberté et d’indépendance devient progressivement une illusion tant le comportement des uns et des autres conservent sa part d’égoïsme. Sans complétement briser son statut d’icône, Leonardo DiCaprio endosse le rôle d’un personnage torturé et moins glamour qu’à ses débuts. Il est néanmoins accompagné par une belle distribution internationale (Tilda Swinton, Virginie Ledoyen, Guillaume Canet, etc.). Le message porté par le film s’est vu paradoxalement bafoué. En effet, les îles de Ko Phi Phi, où a eu lieu le tournage, ont connu par la suite une surfréquentation touristique entrainant d’importants dommages environnementaux. Bref, une lecture fantaisiste mais cruelle de notre époque.
Très décevant ce film qui, à part nous montrer une île paradisiaque, ne nous montre pas grand chose de plus, un scénario minimaliste et assez convenu et puis la présence de Di Caprio ne doit pas être étranger à ce ratage, ce type n'est vraiment pas crédible dans le genre aventurier, son image de jeune minet du Titanic lui colle trop à la peau. Il paraît qu'Ewan Mac Gregor avait d'abord été pressenti : dommage le film aurait sans doute été plus étoffé ! Et quand on pense que la véritable île a été quasi ravagée par le tourisme après le tournage on se dit que le film aurait gagné à... ne pas se faire !
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