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Un magnifique coup de foudre entre deux femmes sur fond de lutte féministe ! Excellente interprétation. Un beau plongeon dans les années 70 et bien que les choses aient un peu changé, il reste encore beaucoup à faire .... Vraiment très agréable à suivre.
De belles émotions. Une époque où tout semblait possible pour les femmes, une histoire où tout semble possible entre deux femmes. Mais pour des raisons parfois bien ordinaires, tout n'est pas si simple. De très belles comédiennes qui n'en font pas trop et qui sont très bien filmées
un joli film, les comédiennes sont lumineuses et on suit leur parcours avec plaisir... dommage que la fin du film soit un peu trop explicative. le militantisme parisien par contre est bien rendu, j'avais vu un bon documentaire "révolution du désir" sur ce sujet, et la cinéaste a su le transmettre dans une fiction avec humour (même si la musique de janis joplin est un peu trop prévisible).
J'ai beaucoup aimer ce film qui parle de la vision du monde rurale face à l'homosexualité, de la difficulté des homosexuels à vivre leur amour au grand jour.
Film magnifique! L'écriture et le jeu des deux actrices principales laissent sans voix. On passe du rire aux larmes en un instant et l'alchimie entre Izïa Higelin et Cécile de France est réellement palpable. Bref, ce long métrage déborde de réalisme. Le sujet de la condition de la femme est traité avec brio et nous rappelle que, malgré les évolutions de ces dernières années, il reste encore du chemin avant de pouvoir crier "victoire"...
Beau film , plus profond encore que le féminisme.
Au delà de tout ça il démontre la difficulté d'acceptation de la part de la famille mais aussi la difficulté d'acceptation de soi lors que l'on est homosexuel.
La pénibilité du travail d'agriculteur est mis en avant également.. un beau clin d'œil !
Les deux actrices tiennent parfaitement leur rôle ! Cécile de France m'a une fois de plus bluffée.
Je regrette simplement les scènes sexuelles encore qui n'ont rien de vulgaire mais selon moi trop mise en avant... Genre de scène que l'on ne verra jamais dans un film avec des hétérosexuels...
Chapeau bas à la réalisatrice ! je recommande fortement !
Au delà de tout ça il démontre la difficulté d'acceptation de la part de la famille mais aussi la difficulté d'acceptation de soi lors que l'on est homosexuel.
La pénibilité du travail d'agriculteur est mis en avant également.. un beau clin d'œil !
Les deux actrices tiennent parfaitement leur rôle ! Cécile de France m'a une fois de plus bluffée.
Je regrette simplement les scènes sexuelles encore qui n'ont rien de vulgaire mais selon moi trop mise en avant... Genre de scène que l'on ne verra jamais dans un film avec des hétérosexuels...
Chapeau bas à la réalisatrice ! je recommande fortement !
Un beau film d'amour. Cécile de France joue merveilleusement bien comme à son habitude... À voir !
Bel hommage au combat de la femme pour ses droits et ses libertés sexuelles entre autre......que ce beau beau film qui nous raconte en plus une si belle histoire d'amour.
Jonathan M
Cousin, très lointain, du dernier sublime Kechiche. La comparaison s'arrêtera là. Il me faut cinq minutes pour douter des capacités du film. L'époque choisi, est un cliché en soit, le propos donc, ne peut que l'être. Et là, Corsini à raté son truc. Parce qu'elle avait une opportunité de faire un grand film social. Je trouve çà rustre, technique de cadre avec les paysans qui font les fouines, c'est du périmé de l'an 6. Pour moi le duo n'est pas convaincant. En revanche, Azaïs est un futur grand.
Un film qui n'a en commun avec La Vie d'Adele que sa trame de fond: une histoire d'amour passionnée entre deux femmes. Pour le reste, rien à voir. Cecile de France est lumineuse et désarmante de justesse, elle irradie et abirdece rôle avec passion, comme dans chacun de ses films, enfin un personnage à sa VRAIE mesure (de la trempe de "En équilibre"). Izïa Higelin est une vraie découverte, une claque d'actrice. On la connaissait musicienne, on la suivra comédienne. Le film est juste, tendre, drôle, dramatique. On aborde des sujets très complexes en leur temps et toujours difficiles aujourd'hui, sans tomber dans le pathos ou le voyeurisme. Un film à voir !!!
Excellent film décrivant les années 70 mais toujours actuel en ce qui concerne la difficulté à vivre son homosexualité en France . Et à s'accepter tel que l'on est
Une très belle histoire sur fond de lutte des femmes dans les années 70 pour leurs droits élémentaires.
Prestation magnifique d'Izia Higelin, très prometteuse et Cécile de France toujours aussi convaincante.
Prestation magnifique d'Izia Higelin, très prometteuse et Cécile de France toujours aussi convaincante.
Le jeu des 3 actrices principales est magnifique.
On replonge aisément dans l'atmosphère des années 70, du combat que les femmes ont mené pour obtenir la plupart de leurs droits actuels.
On replonge aisément dans l'atmosphère des années 70, du combat que les femmes ont mené pour obtenir la plupart de leurs droits actuels.
Une belle leçon d'histoire en (de) France sur l'amour avec un grand A, le tabou de l homosexualité dans le monde rural...
Fritz L
Difficile de retranscrire l’époque bouillonnante que fut le début des années 70 entre liberté sexuelle post soixante-huitarde et militantisme de tous bords, surtout en se focalisant sur deux thématiques telles que le féminisme et l’homosexualité.
Factuellement, le film tient la route. La reconstitution ne se fait pas rétrospective, l’illustration musicale est bien amenée, « La belle saison » est le reflet d’une époque à la ville comme aux champs….
Toutefois, il y manque de ferveur et de fièvre. Catherine Corsini s’attache plus à raconter le drame sentimental de ces deux jeunes femmes placé dans ce contexte compliqué. Et c’est là-dessus que le film pêche un peu. En grande partie à cause d’une Cécile de France très en retrait face à la force de frappe d’Izia Higelin. Du coup on peine toujours un peu à croire aux sentiments, situations et personnages à l’écran. Le scénario un peu trop dans l’affect n’est pas valorisé par la mise en scène assez morne dont la seule audace (mais franchement en est-ce une ?) est libérer à l’image les corps plus que les esprits.
L’intention de Corisini n’était pas de réaliser un docu-fiction bien évidemment, mais la position de ces deux femmes, malgré les affres vécus, semble un peu édulcorée au regard de la réalité d’alors. Quelques scènes sont par contre brillantes, le duel De France/ Lvovsky (grandiose dans le rôle de la mère), le rassemblement à l’amphi, la position des hommes (notamment celle de l’excellent Kevin Azaïs).
Globalement, le film n’est pas mauvais, même si l’on s’ennuie un peu. Il ne se rangera toutefois pas à côté des films puissants traitant de la même période, notamment le « Après mai » d’Olivier Assayas.
Factuellement, le film tient la route. La reconstitution ne se fait pas rétrospective, l’illustration musicale est bien amenée, « La belle saison » est le reflet d’une époque à la ville comme aux champs….
Toutefois, il y manque de ferveur et de fièvre. Catherine Corsini s’attache plus à raconter le drame sentimental de ces deux jeunes femmes placé dans ce contexte compliqué. Et c’est là-dessus que le film pêche un peu. En grande partie à cause d’une Cécile de France très en retrait face à la force de frappe d’Izia Higelin. Du coup on peine toujours un peu à croire aux sentiments, situations et personnages à l’écran. Le scénario un peu trop dans l’affect n’est pas valorisé par la mise en scène assez morne dont la seule audace (mais franchement en est-ce une ?) est libérer à l’image les corps plus que les esprits.
L’intention de Corisini n’était pas de réaliser un docu-fiction bien évidemment, mais la position de ces deux femmes, malgré les affres vécus, semble un peu édulcorée au regard de la réalité d’alors. Quelques scènes sont par contre brillantes, le duel De France/ Lvovsky (grandiose dans le rôle de la mère), le rassemblement à l’amphi, la position des hommes (notamment celle de l’excellent Kevin Azaïs).
Globalement, le film n’est pas mauvais, même si l’on s’ennuie un peu. Il ne se rangera toutefois pas à côté des films puissants traitant de la même période, notamment le « Après mai » d’Olivier Assayas.
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