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Nikô M
9 abonnés
121 critiques
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4,0
Publiée le 28 avril 2017
Si ma culture "Fast and Furious" s'est arrêtée au numéro 2 , les notes et critiques de ce 8e opus ont eut raison de moi...2h15 plus tard je dois avouer en avoir eus pour mon argent comme on dit...certes, on peut débrancher son cerveau en rentrant dans la salle de ciné, mais fort d'un scénario assez efficace et d'acteurs convenables, la mayonnaise monte bien et tient la route tout du long.. Alors oui, on y trouvera pleins de défauts de crédibilité, scénaristique ou visuel mais les enchaînements d'actions et de cascades XXL sur fond de basses bien graves en font un moment franchement spectaculaire !!!! 4 sur 5
Minable !!! Quand on pense à la mort de Paul Walker, la scène de la voiture en flammes est tout simplement nauséabonde ! Le reste du Film ne tient pas la route ! Ennui total, de plus en plus lourdingue !! Dialogue à deux balles... Il est grand temps que la saga se termine !!
j'ai découvert Fast au 6eme numéro car je ne connaissais pas (enfin que de nom) et j'avais bien aimé le 6. le 7eme : pas mal mais prévisible le 8 : il peut en sortir des dizaines d'autres : je jette l'éponge.... je me suis ennuyé. film long et franchement peu d'actions mais beaucoup de blabla
Fast and Furious 36 ...forcement quand tu commences à tirer sur la ficelle cela comment à se se voir. Plutot fan des premiers opus, je n'ai absolument pas retrouvé ce que j'aime dans ces films. Cela manque de courses, de voitures funs et de filles sexy...Le scenario est limite drole voir ridicule et certaines associations des plus surprenantes. On pousse par contre dans l'excés questions actions et effets speciaux , là je pense qu'on peut egaglement difficilement faire plus dans le comique ! Certaines scenes sont limites too much. Le tout est assez long ... Franchement j'ai envie de dire STOP!
Divertissant mais depuis le deuxième opus je ne retrouve pas l'alchimie entre l'intrigue et l'action avec des voitures et des belles femmes , une multitudes de cascades parfois tres invraisemblables
Un croisement entre Rambo, Drive et la Pat' partouille. De très bon effets spéciaux, une bonne bande son mais le scénario laisse vraiment à désirer ; une méchante qui a pour objectif unique d'avoir "le respect" en voulant tout faire péter, c'est un peut limite. Des "super" héros invincibles qui massacrent les hommes de main à la pelle sont parfois plus proche du gag que d'une scène d'action. Heureusement des belles voitures et courses poursuite remonte le niveau.
"Fast and Furious" est la saga qu'on n'arrête jamais ! Même la mort de Paul Walker n'a pas freiné les producteurs et les scénaristes. Ce qui est d'autant plus dommage que le septième film apportait une belle conclusion à la saga avec, en prime, une réalisation très soignée de James Wan, inventive et spectaculaire. Alors forcément ce huitième opus régresse un peu. Désormais loin du tuning et des courses de rues qui faisaient le "charme" des premiers films, "Fast & Furious 8" confirme que la saga se tourne de plus en plus vers le thriller technologique avec ses hackers, son organisation secrète et ses gadgets. Écrit avec un manque de subtilité total laissant le beau rôle à Vin Diesel et à son charisme de castor enrhumé, le film se perd dans des raccourcis ahurissants et se montre souvent en roue libre, en témoigne le cabotinage assez savoureux de Charlize Theron en méchante. Alors que l'intrigue prend un tournant intéressant en confrontant Dom à toute son équipe, on regrettera que le film ne soit pas plus audacieux et qu'il se permette sans cesse des pirouettes scénaristiques faciles, faisant revenir des personnages quand ça les arrange, palliant ainsi à l'absence du personnage de Brian qui faisait tout de même l'essence de la saga. C'est certes sympathique dans la mesure où l'on n'attend rien d'autre d'un "Fast and Furious" mais l'on aurait aimé une plus grande prise de risque. Or, F. Gary Gray joue ici la carte de la tranquillité en offrant, certes, quelques moments de bravoure, mais sans jamais éclats de génie à la mise en scène tandis que la plupart du casting (Dwayne Johnson, Tyrese Gibson) s'amuse sans jamais franchement sortir de sa zone de confort. Clairement pas désagréable mais franchement balourd...
bien mais pas autant que le précédent. beaucoup moins d'humour et un trop de scènes d'actions trop invraisemblables qui devient lassant à force puis les acteurs moins convaincants. à voir au ciné pour les scènes de combats et d'actions.
très bon j'ai beaucoup aimé Statham=la classe international je rapprocherait juste le fait que fast and furious n'est plus vraiment fast an furious avant c'c'était des course de voiture a gogo et quelques bagarres maintenant c plus un mission impossible en équipe je dirai .
À l'instar de ses sept précédents volets, ce huitième opus de la saga "Fast & Furious" doit être considéré comme du cinéma d'action populaire. Le film remplit efficacement son cahier des charges avec une mise en scène rythmée et des retournements de situation spectaculaires. Les acteurs principaux donnent toujours une bonne dynamique à la franchise. C'est grâce à eux qu'elle ne s'essouffle pas et qu'on ne boudera pas notre plaisir devant ce divertissement.
8 eme volet et on s en lasse pas, ca demenage toujours autant . des surprises comme la belle Charlize Theron dans un role que l on lui connaisait pas.. vu en 4dx a la vilette et o s y croirait vraiment.
Le film dure plus de 2h mais les scènes s’enchaînent tellement vite sans temps morts que je ne me suis pas ennuyé du tout. Là ou j'ai été très étonné c'est que le film vire souvent vers la comédie, en effet plusieurs fois je me suis bien marré, et même parfois plus que dans des films qui se disent "comédie" au départ. On sent vraiment la bonne ambiance dans cette team et ça fait plaisir à voir.
Bien évidement ce que je retiens dans le film ce sont les scènes d'action et encore une fois on est servis !!! Cette fois ci c'est F.Gary Gray qui reprends le flambeau (réalisateur de clips d'abord puis de films comme Braquage à l'Italienne) et ça pète de partout, la surenchère étant de mise. spoiler: Le moment avec toutes les voitures en poursuite dans New York est juste énorme !!!! Ou encore la scène de baston dans la prison . Contrairement à certains films du genre dont les scènes sont réalistes, celui ci explore le côté n'importe nawak avec brio ! La meilleure scène du film qui mélange parfaitement action et humour est celle spoiler: dans l'avion avec Jason Statham et....quelqu'un d'autre, vous verrez bien :)
Au niveau du scénario c'est un peu plus recherché que les précédents, avec Dom, le chef de la bande, qui va se retourner contre toute son équipe. Évidement il y a une raison à cela, mais je vous laisserai le soin de la découvrir.
Au final j'ai beaucoup aimé, clairement le meilleur de la saga, même sans Paul Walker le film a su innover un peu et continuer sur sa recette de film d'action dopé à la testostérone. Un reproche que je lui ferai cependant et de s'éloigner de son concept de départ : les courses dans les rues. Oui on voit de superbes voitures mais y'en a trop clairement, comme tout en fait c'est la fête de la surenchère.
Soap multiculturel autour du pouvoir et des grosses bagnoles, avec pour trame l'esprit de famille et pour atout majeur de pures cascades qui repoussent sans cesse les limites de l'extraordinaire, FF8 est sans aucun doute l'épisode de plus tonitruant. Aussi jouissif qu'un épisode trois de Die Hard en plein été 93, cette story internationale débute sur une course déjantée sous le soleil brulant de Cuba pour d'achever par une course destructrice sur une plaque de glace en Islande. Jason Statham rend au passage hommage à Chow yun-fat dans une séquence aérienne À toute épreuve (Hard Boiled, 92). Les répliques fusent du début à la fin, Dwayne Johnson et Statham, s'échapperont d'une prison au point d'en rendre jaloux Schwarzy et Stallone. La surenchère passe par l'humour et les explosions avec classe lorsque nous apparaît Charlize Theron. De plus en plus fou et de moins en moins sérieux, FF8 colle parfaitement aux précédents épisodes et ne recule devant rien pour nous rendre de plus en plus addictif. F Gary Gray a tapé fort et vite.