Avis sur Sinister 2

Autant la premier volet avait su installer une atmosphère glauque et dérangeante, avec son lot de scènes "choc", sa musique, et son scénario sorti des sentiers battus, autant le deuxième volet reprend les ingrédients de son prédécesseur sans rien ajouter de nouveau et sans la moiteur qui faisait la force de Sinister.
La musique joue un rôle toujours aussi important et c'est ici le gros point positif, mais ça ne suffit hélas pas, la mayonnaise ne prend plus, même les films en Super 8 sont limites banals pour qui a vu le premier Sinister, spoiler: excepté le dernier avec les rats
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Et puis deux facilités de scénario m'ont vraiment fâché avec cette suite : spoiler: le héros arrive dans sa grosse auto et percute le gamin (qui se relève aussitôt) pile-poil avant qu'il ne crame son frère
. Quelle originalité ! Et la fin, on en parle ? Quel manque cruel d'inventivité !
Bref, ce Sinister 2 est loin d'égaler son prédécesseur et j'espère que la franchise va s'arrêter là et ne pas se terminer comme celle de Saw...

Depuis quelques mois, l’horreur ne fait plus frissonner au cinéma et nous offre un spectacle des plus décevants. Poltergeist 3D a été un échec, Unfriended a déçu malgré un thème original, et Ouija a été l’un des plus mauvais films d’horreur que j’ai eu l’occasion de voir. Le distributeur français Wild Bunch espérait donc changer la donne avec cette suite de Sinister attendue par les fans du genre. Pour rappel, le film original de Scott Derrickson sorti en 2012 était parvenu à nous faire peur grâce à des bandes vidéos maudites trouvées par Ehtan Hawke dans sa nouvelle demeure. Le lieu était hanté par le Bughuul et celui-ci est donc de retour en 2015 pour envahir nos pires cauchemars.

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La famille essaie tant bien que mal de fuir un père malveillant et violent qui les a traumatisés. Le film est plein de scènes dérangeantes et malveillantes qui n’ont comme unique but que de pervertir les jumeaux. Ils vont ainsi être confrontés à de nombreuses apparitions de fantômes d’enfants qui hantent leurs nuits afin de leur montrer la pellicule du massacre familial qu’ils ont mené tambours battants. Le but de cette mascarade est de mener les jumeaux jusqu’à un rite criminel final pour le compte du Bughuul. Le film parvient ainsi à se différencier des autres films du genre en jouant la carte du macabre à fond. Les scènes d’exécution familiales sont plus dérangeantes les unes que les autres. Tout y est glauque y compris les enfants qui développent un goût sinistre pour la mort. Le regard du cinéaste sur ses enfants est perturbant à souhait et donne à ce film une saveur particulière.

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Pas toujours très bien rythmé et loin d'être parfait, Sinister 2 parvient néanmoins à se distinguer dans un genre horrifique devenu bien trop poli au cinéma. L'ambiance est macabre au possible et le film réussit sa mission principale : déranger. Pas un hit du cinéma d'horreur donc, mais un bel effort de Ciaran Foy dans le contexte actuel ...

Eh bien si les suites de films d'horreur sont assez souvent mauvaises, on peut dire que "Sinister 2" échappe à cette règle. Grand fan du premier volet, je trouve ce second presque au même niveau. Il lui manque quelque chose pour l'égaler ou le dépasser. Il est vrai que, dans l'ensemble, il reste moins angoissant.. Surtout pendant les "films" des enfants ! C'était justement l'une des forces du premier épisode, ces petits films étaient vraiment bien filmés, de sorte à ce qu'on soit vraiment saisis par l'impression d'être sur place, et on sentait plus l'horreur de chaque scène, Scott Derrickson l'avait mieux géré que Ciarán Foy ces passages. Ici, certes on se rend compte de l'horreur du truc, mais c'est moins choquant, on est plus passifs qu'autre chose. Cepandant, l'ambiance est très soignée, le choix des couleurs, le jeu de lumières (très bon), le choix des costumes et des acteurs (pour les enfants, notamment Milo, c'est très bien choisi.. L'acteur a un jeu très froid, a bien une tête de sadique pour son âge, et ses vêtements "anciens" ajoutent un côté angoissant à l'ambiance sombre et oppressante quand il est présent), etc.. Tout ça est très réussi. Cette ambiance reste moins angoissante que celle du premier "Sinister", mais elle reste très soignée. La faute peut-être au côté humoristique, absent du premier opus.. Il n'y a pas 30 000 vannes/gags, mais il y en a quelques un(e)s.. Et le problème, c'est justement que c'est plutôt drôle. C'est bien quand l'humour est efficace, mais là ça nous fait sortir un peu de l'ambiance angoissante de certaines scènes et donc ça ne met pas forcément en valeur un film d'horreur. Les jumpscares sont plutôt réussis, quoique parfois prévisibles et trop classiques, et un peu spoilés par la bande-annonce.. Mais ça reste plutôt efficace. Le scénario est maîtrisé, et ça fait très plaisir. C'est justement le point faible de beaucoup de suites de film d'horreur : souvent le scénario emmène la saga un peu n'importe où.. Alors que le scénario de "Sinister 2" respecte très bien le premier film, et est une suite très cohérente et bien écrite.. Je m'attendais à être déçu sur ce point car je suis très fan du premier, mais j'ai été agréablement surpris. Et puis j'ai bien aimé retrouver en personnage principal l'un des personnages secondaires du premier opus, car même si il n'a pas un charisme fou je le trouve très sympathique, sa maladresse fait plaisir à voir, c'est très bizarre. En tous cas, c'est vraiment bon.. Mais même si je trouve cette suite réussie, je pense qu'il faut s'arrêter là. Cette suite est bonne, alors mieux vaut ne pas prendre le risque de massacrer l'une des rares franchises du cinéma d'horreur qui compte deux très bon films !

C’est de l’épouvante de même niveau que les dix derniers « semblables » qui sont sortis cette année, à la sauce « Polteirgest » et « Ouija », accompagnée par ses interprètes de comptoir, ses situations suintant le ridicule à plein nez ou ses screamers pré-fabriqués, pensés deux minutes avant chaque journée de tournage. Deux scénaristes (Derrickson et Cargill, qui avaient déjà travaillés sur des projets tels que « Délivre-nous du mal » ou même le premier « Sinister ») se sont alliés pour ressortir du placard les vieux gadgets de grand-père Hooper qui faisaient peur il y’a trente ans et dont les plus fervents passionnés, plongés jusqu’à l’os dans la mare de l’optimisme, pensent que l’épouvante se fera ressentir une fois de plus, tout cela grâce à leur savoir-faire. Sauf que les apparitions, les objets qui sursautent au même moment que les corps, est un concept déjà-vu, dépassé, presque anéanti par les années qui se sont écoulées et qui s’écoulent encore. Ou sinon il faudrait un réalisateur qui soit réellement aux commandes, un vrai illuminé, avide du domaine de l’horreur au cinéma, et qui idolâtrait Friedkin, Hayers, voire même un peu Roth pour le côté gore, passage obligé dans la plupart des oeuvres d’épouvante. Et il y’a des idées, c’est certain, dans ce second « Sinister », sauf qu’elles arrivent toutes dans la dernière quinzaine de minutes. Ciarán Foy possède alors une véritable détermination dans le choix des angles et un avis bien tranché dans sa mise en scène. Le scénario prend une tournure intéressante (même si un peu forcée) : le changement comportemental d’un proche face à l’isolement et face à la violence. Pourquoi forcée? Car malheureusement le jeu d’acteur reste sur la même ligne directive, alors les acteurs jouent faux et sont bien trop souvent de vulgaires caricatures. Le problème du film est aussi dans son rythme, très inégal, qui commence sans perdre de temps avec le cauchemar d’un gosse transporté dans un romanesque cruel et dément. La phase cruauté est l’une des plus réussies : le spectateur peut observer sur des images qui pourraient aussi bien être contenues dans des archives vu leur ancienneté des scènes de torture et de tension trop rapides mais au départ bien réfléchies. L’ennui est que celles-ci, qui seraient censées mettre mal à l’aise le spectateur, passent en un éclair. Pour la réalisation, on dirait que Foy a pu se libérer de la pression des studios dans la dernière partie de son oeuvre : il peut alors rajouter de la musique électro entraînante dans une course-poursuite à travers des plantations étendues, même si il ne se sert pas assez de plans fixes pour placarder une pure tension dans nos esprits à la place de nous laisser languir dans l’attente d’autres évènements plus coriaces, ce qui se produit lors des premières une heure et vingt minutes. Dommage, aussi, que le traitement du mystère est assez maladroit, ce qui empoisonne le déroulement des actes. Encore un projet qui avait du potentiel grâce à une équipe technique compétente dans (presque) son ensemble, mais qui se fait recaler d’office par les envies déplaisantes du studio et d’un public d’attardés qui souhaitent toujours une pareil nourriture. Alors ça donne ce qu’on a pu observer à l’écran : du cinéma sans ambition.

Le sheriff adjoint du premier opus devenu détective enquête toujours sur les maisons où des familles sont mystérieusement assassinées. En parallèle, un jeune garçon ayant emménagé dans une inquiétante maison avec sa mère et son petit frère commence à voir des apparitions.
Ce film suit globalement le même schéma que le premier épisode, mais essaye de le renouveler spoiler: en adoptant le point de vue de l’un des enfants visé par Bughuul pour assassiner sa famille
. L’ex-sheriff adjoint incarné par James Ransone permet de faire efficacement le lien entre les 2 films. Cependant, je trouve que Sinister 2 est moins effrayant que son aîné, peut-être parce qu’il y a moins de mystère et que les interactions avec les fantômes humanisent ces derniers… Ainsi, il m’est arrivé de sursauter mais l’ambiance générale est moins angoissante. En ce qui concerne la fin, spoiler: là où j’avais trouvé celle du premier cruelle et ironique, celle-ci se montre trop politiquement correcte. D’ailleurs, je trouve un petit peu facile que seul le père violent finisse brûlé
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Sinister 2 : Je n’avais pas vu le premier donc je vais vous jugez ce film en tant que film d’horreur et pas comme une suite donc mon regard sera neutre. Et bien, il faut dire que j’ai était agréablement surprit car il y a de l’ambiance, une histoire a la clé et des scènes de violence assez morbide donc c’est le film idéale pour ce mettre dans l’ambiance. Déjà, étonnement comme je vous disais sur les scènes d’horreurs et de tortures, elles sont vraiment bien sanglantes et dégelasses a voir, donc le moins de 12 ans est a respecté, quoique de nos jours, les gens sent fiche. Et elles sont accentués par une très bonne mise en scène qui fait très ancien, avec les anciens films qui nous montre tourné avec une veille caméra, tous ses scènes de tortures… non, c’est bien réalisé avec un bon montage et coté ambiance, c’est assure même si l’ensemble reste classique et sans surprise. Comme le scénario d’ailleurs, classique mais efficace et il a un avantage c’est que elle explore plusieurs thème pour les personnages et surtout les séquelles d’être battue pas un mari violent et d’avoir ses enfants qu’ils le sont aussi… Et après bien sur, il y a la partie horreur avec les espaces de sacrifices filmés ou les enfants qui vivais dans la maison sont les assassins… ça fait froids dans le dos et l’histoire est très bien foutus. Et les personnages sont intéressants a suive même si ils n’évitent pas les mauvaises décisions… comme dans tout films d’épouvantes, et bien sur la fin cliché... Donc voila, pas surprenant dans son schéma mais efficace, très bon film.

En 2012 débarquait "Sinister" de Scott Derrickson, film on ne peut plus sympathique grâce à son ambiance pesante notamment dûe à ses films en 8mm mettant en scène de bien jolis meurtres familiaux sur lequels enquêtait un écrivain (Ethan Hawke) ayant la capacité d'imbiber des hectolitres de whisky et une fâcheuse propension à se balader tout seul chez lui la nuit sans jamais allumer une seule lumière (c'est toujours mieux pour flipper).

Fort d'un joli succès qui allait inciter Blumhouse à produire n'importe quoi par la suite, un nouvel opus fut naturellement annoncé et c'est donc trois ans après que "Sinister 2" (dont le scénario est toujours co-écrit par Derrickson mais avec cette fois Ciarán "Citadel" Foy à la réalisation) débarque enfin. Initialement prévu pour une sortie uniquement en VOD en France, le film est finalement distribué in extremis sur grand écran ce 19 août (sans doute au vu d'une certaine attente qu'a occasionné la bande-annonce). Autant dire que cette affaire sentait aussi bon que sous une aisselle du démon Bagul.

Pourtant, alors que le film aurait pu choisir la voie de la facilité en répétant le schéma du premier long-métrage, "Sinister 2" va tenter de varier un peu les enjeux en choisissant des options différentes. Problème, si c'est sa principale force, c'est aussi sa principale faiblesse.

Tout d'abord, le film propose de nous narrer le fameux cheminement qui amène au fameux massacre familial par un point de vue antagoniste au premier film (dur d'en dire plus sans spoiler), une première fausse bonne idée qui a pour effet de désamorcer toute la tension et le mystère qui faisait le charme de l'original. De plus, par ce fait, le visionnage des fameux films en 8mm (de qualité bien moindre que le premier volet hormis le très amusant "L'office du dimanche") sera sans cesse parasité par des éléments extérieurs.
Deuxième fausse bonne idée, le fait que ce second volet soit une suite directe au premier (une petite révision de celui-ci est d'ailleurs recommandée) poursuivant ainsi l'enquête menée par l'écrivain. Là aussi, ça ne débouchera pas sur grand chose de neuf, les quelques nouveaux éléments apportés paraissant assez vite superficiels.
Enfin, un autre souci est d'avoir choisi une famille dysfonctionnelle a contrario de celle du premier volet. Si on n'en comprend la finalité d'amener quelques rebondissements intéressants qu'en bout de course, cela a aussi pour conséquence de faire patiner le film à mi-parcours comme pas possible par obligation d'expliciter la teneur du conflit familial au détour d'une amourette aussi transcendante qu'une chèvre agonisante.

Heureusement, "Sinister 2" assure le show au détour de quelques jumpscares bien sentis et ne tombe jamais trop dans la surenchère - au contraire de ce que pouvait laisser penser la bande-annonce, Bagul n'est finalement que très peu présent (excepté quand il y a une caméra ou un écran, une vraie starlette de télé-réalité, celui-là) laissant le soin à ses petits sbires de faire son sale boulot. Le film possède aussi son lot de bons moments comme cette très bonne séquence finale auquel ce parcours bourré de défauts était destiné et qui laisse tout de même l'impression au spectateur de ne pas avoir trop perdu son temps.

Pour conclure, "Sinister 2" est donc clairement une suite inutile, bien en-dessous du premier film, mais pas inintéressante. On regrette juste que Ciarán Foy se soit un peu pris les pieds dans le tapis en voulant se différencier. Mais les intentions honorables sont là et nous permettent de croire qu'on n'a pas été trop pris pour des buses cette fois au contraire de tous ses confrères horrifiques sortis cet été.
On s'en contentera.

On passe un bon moment mais l angoisse et le suspense du premier n y est plus .

Sinister II, une suite tout à fais correcte du chef d'œuvre de Scott Derickson paru trois années au paravent. L'ex shérif adjoint occupe cette fois ci le rôle du personnage principal, son charisme et son jeu d'acteur en font un protagoniste extrêmement attachant. Malgré que le film n'ai rien de terrifiant on a quand même une bonne suite qui est novatrice par ses nouveaux meurtres vraiment effroyable. Ethan Hawke pourtant présent dans la fiche du film est absent de l'écran, même pas une apparition. Des scènes intéressantes même si le but s'approche de très près de son successeur. Sinister II est une très bonne suite, je ne suis pas deçus, peut être un peu plus de "jump scare" auraient été les bienvenue... Enfin bref après son final surprenant on pourrais être persuadé qu'un Sinister III verra le jour...

Avec SINISTER 2, Ciarán Foy livre une suite rusée et efficace au film de Scott Derrickson (toujours scénariste), tant sur sa forme que sur le fond. Il donne au passage matière à réfléchir sur le pouvoir de l'image et sa réelle influence sur le jeune public. Notre critique complète est en ligne sur le site Terreurvision.

Toujours aussi efficace, cette suite démarre pieds au plancher ! Dans ce volet on en apprend plus sur les enfants disparus avec le Baghul... aux scenetes des crimes atroces les entités y ont ajouté une bande son angoissante. Pour moi Sinister 1 était le meilleur film du genre et le deux tient toutes ses promesses également...

Après un premier opus effrayant et gore, Sinister 2 revient avec ce concept terrifiant des passages filmés en 8mm. L'occasion aussi de retrouver Shannyn Sossamon, l'héroïne des Lois de l'attraction.
Dans la droite lignée des Paranormal, Insidious et American Nightmare, Sinister 2 s'installe comme une franchise majeure du genre.

Une suite fidèle au précédent qui ne se sépare pas de son ambiance angoissante et de ses petits meurtres
sadiques. Baagul (dsl pour l'orthographe) est plus présent et ça fait plaisir.
En bref sinister 2 répond aux attentes et ne vous décevra pas😉

Un chef-d'œuvre !! Super histoire scene bien faites! Allez le voir frissons garanties!!!

Un 2ème volet qui se doit de faire se que j’appellerais une "vrai suite" contrairement à beaucoup de saga comme "scream" ou "destination finale" qui font généralement un pure copié collé d'un 1er film ayant bien marché, sauf que ça en fait des suites de plus en plus ridicules a la longue.
Sinister 2 ne se contente pas de faire ainsi, on retrouve notre shérif adjoint du 1er volet qui a compris comment fonctionné les meurtres, et qui va donc tenté d’empêcher la menace d'empirer. Ce n'est que mon avis, mais dans cette suite on ne ressens pas un copié collé, pas au niveau scénaristique du moins. Après côté ambiance, donc glauque, sombre, glaciale, bref l'ambiance rencontré dans le 1er, on l'a retrouve bien dans cette suite (de se côté là je vais pas reprocher un copié collé mais plutôt dire : heureusement. C'est vrai, quoi de pire que de pas ravoir la même ambiance rencontré dans le 1er volet. Je site les "saw" où ça n'a pas était le cas par exemple). Mais pour ce qui est des frissons, les éventuelles "sursaut" (pour les personnage sensible ;) ) je trouve malheureusement que c'est pas aussi bon que le 1er (peut être parce que c'est du déjà vu, et que ça nous surprends moins). Mais faut dire quand même que les "mini films des meurtres" sont plus sympas.
Côté casting, je trouve les gosses plutôt convaincants dans leur rôle, en revanche je ne trouve pas James Ransone aussi attachant qu'Ethan Hawke, au final on s'y fait, mais bon voilà.

Pour résumer : une bonne suite, la même ambiance (bien qu'elle soit moins "frissonnante" que le précédent), casting plutôt bon.
3.5/5 pour ce second volet face à 5/5 au premier.