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Votre avis sur Sinister 2 ?
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Sinister 2 est un film qui se démarque des films d'épouvantes récents grâce à son ambiance original et à sa réalisation soigner ( même si beaucoup de personne n'ont pas aimé). L'ambiance se différencie des autres films d'épouvante car elle n'est pas faite pour être angoissante mais dérangeante et pour moi toute la puissance de ce film viens de ça. Elle est à la fois poisseuse, poussièreuse, très sombre, ce qui offre un rendu sale et glauque à shouait. Les films faits par les différents enfants sont tous aussi gênants les un des autres. Maintenan la réalisation, si je l'ai adorer c'est car aujourd'hui la plus part des films sont réaliser de manière fonctionelle alors que là ce n'est pas le cas. La réalisation est original et ne cherche pas seulement a raconter l'histoire de son point A à son point B mais cherche à la rendre encore plus glauque et à mettre le spectateur mal à l'aise, et c'est réussi ! Le film contien très peu de plan d'ensemble pour laisser la place aux plan moyen, aux plan de demis ensemble, aux gros plan et surtout aux plan americain. Et le faite que les plans soit très sérré rendent le film très étoufants. Les cauchemars de Dylan sont très bien réaliser le faite qu'ils soit constituer de plan très rapide qui s'enchainent donne une impression de malaise très efficace. Pour moi la meilleur scène du film est : ⚠ SPOILERS, la scène où Dylan se rèveille d'un cauchemar et vas dans la cuisine et passe juste devant Bagul est juste sublime. Le traveling en plan americain tout tordu, à l'envers, pencher offre un rendu exeptionnelle. le réalisateur aurait pus fait le choix de fair un plan large pour montrer la totalité de Bagul mais au lieu de sa il reste en plan americain ce qui donne une impression de mal être et d'angoisse exelente. Et pour finir, la scène d'introduction qui est peut-être la meilleur que j'ai vu dans un film tant elle est bien mise en scène, elle pose le rytme du film qui ne sesse d'augmenter au fil des minutes jusqu'au dernier quart d'heure qui met le spectateur sous pression jusqu'au génerique de fin. En bref Sinister 2 est un très bon film d'épouvante comme on en fait peu ces dernières années, je vous le conseille vraiment.
Vous avez aimé Sinister 1 ? vous aimerez le 2... on prend à peu près la même histoire et on recommence... Comme "SAW" et "Destination finale" les scénarios peuvent êtres illimités et on peut donc faire pleins de suites... Cependant j'ai quand même trouvé meilleur le 1er...Comme j'ai pu le lire sur d'autres critiques, ce que l'on aime dans les films épouvantes c'est que les gentils meurent aussi et oui d'ou le choc, la dans le 2,
spoiler:
le père atroce avec sa famille et le fils que l'on aimerait pas avoir qui tient du père et que l'on aimerait bien tuer ou savater a longueurs de journées meurent tout les 2 (Génial justice est faite) mais par contre les gentils s'en sortent , et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... Berk par pitié la prochaine fois tués les tous !!!
Enfin moi je dis ça je dis rien je suis pas producteur ^^ spoiler:
Enfin moi je dis ça je dis rien je suis pas producteur ^^ spoiler:
FaRem
"Les films se suivent, mais ne se ressemblent pas". Une phrase qui résume bien le problème de cette suite. J'avais beaucoup aimé le premier qui rassemblait tout ce que j'attends d'un film d'horreur à savoir une tension omniprésente et une très bonne ambiance en plus bien sûr d'une histoire solide seulement, ce sont deux points que l'on ne retrouve pas dans cette suite ce qui fait cruellement défaut. Ciaran Foy m'avait pourtant convaincu avec son précédent film "Citadel", mais ici, il se loupe totalement en faisant un film vide, plat, limite sans intérêt, qui ne délivre aucun frisson et qui se contente de jumpscares banals pour mettre un peu de piment ce qui est pour moi un aveu d'échec, car c'est un procédé que je n'aime pas puisqu'un bon réalisateur n'a pas besoin de "surprendre" pour instaurer la peur, ça doit passer par ce que j'ai dit plus haut. Bref, une suite décevante avec une histoire qui ne m'a pas emballé puisqu'elle ne fait que reprendre l'idée des films, on passe 1h30 à regarder les scènes de meurtres sans que l'histoire n'avance réellement, en même temps, le scénario est tellement limité qu'on comprend pourquoi ça tourne autant en rond. En tant que film, ça peut se laisser regarder, mais comme film d'horreur, c'est raté.
"Sinister 2" illustre l'exemple même d'un genre qui a du mal à se renouveler. Tout y est : la maison hantée, les effets musicaux pour faire sursauter les spectateurs, les enfants que le Démon instrumentalise pour exécuter ses sombres desseins, le policier paumé qui poursuit les possédés, le prêtre etc. La grande originalité du film se situe dans le fait que le propos est résolument laïc. Le réalisateur refuse l'interventionnisme religieux pour chasser le démon. La loi, la science apparaissent comme les seuls médias efficaces pour combattre un monstre qui s'empare de l'âme d'enfants pour commettre des tueries familiales qu'il filme. Les résultats filmiques de ces tueries constituent d'ailleurs les plus grandes réussites du film. L'auteur reproduit en effet des massacres de famille, tous aussi pervers et inventifs les uns que les autres. Pour autant, ce n'est pas suffisant. On s'ennuie beaucoup dans ce film où tout semble tracé d'avance et le propos est si peu effrayant qu'il en devient agaçant.
Freakin Geek
Désormais parti chez Marvel Studios pour réaliser Dr Strange, Scott Derrickson n'a pas pu mettre en scène lui-même la suite du l'histoire qu'il avait inventé avec C. Robert Cargill. Il n'a cependant pas tout à fait abandonné la franchise puisque c'est tout de même lui qui a écrit le scénario du film et qu'il reste à la production. Le nouveau réalisateur Ciaran Foy est un peu moins connu que lui puisque son premier long métrage Citadel est sorti en France directement en DVD.
Plutôt que de choisir la facilité en nous racontant quasiment la même histoire avec une famille différente, Scott Derrickson et C. Robert Cargill ont imaginé une véritable suite au long métrage. Afin d'apporter plus d'explications à l'histoire découverte dans le premier film, Sinister 2 change de point de vue en nous permettant de découvrir ce que c'est d'être un enfant convoité par le croque-mitaine Bughul. Autant dire qu'il sera vraiment préférable d'avoir vu le premier film pour comprendre vraiment ce qui se déroule dans ce second long métrage.
Il y a en fait deux histoires différentes qui finissent par se regrouper dans ce Sinister 2. Tout d'abord celle du Député So & So du premier film qui après avoir passé une période difficile à la mort de Elisson Oswalt, a décidé de devenir détective privé pour poursuivre cette enquête. De l'autre coté, il y a une jeune femme et ses deux enfants frères jumeaux qui se cachent dans une maison près d'une église où une terrible tuerie s'est déroulée. Sans que les adultes ne le sachent, ils se disputent tous deux les faveurs de Bughul.
On retrouve tout de même dans ce nouveau film les fameux petits films super 8 si terrifiants qui ont fait la force du premier Sinister. Pas de rediffusions ici mais de tout nouveaux films tout aussi dérangeants d'autant plus que le nouveau projecteur permet désormais d'accompagner d'une musique qui rajoute au malaise. Malheureusement maintenant que l'on connait l'origine de ses mystérieuses bobines, cette suite est forcement bien moins tendue et si Ciaran Foy nous a réservé quelques sursauts, il est bien moins doué dans le genre que Scott Derrickson.
Seul survivant du premier Sinister, James Ransone reprend donc son rôle d'adjoint du shérif et passe de second couteau ridiculisé à acteur principal de ce nouveau film. Pas facile du coup de le prendre au sérieux mais à vrai dire ce qui compte vraiment dans le film est l'histoire des deux jumeaux joué par Dylan et Zach Collins et de leur mère jouée par la trop rare Shannyn Sossamon toujours aussi belle qu'on n'avait pas eu l'occasion de revoir au cinéma dans un grand rôle depuis un moment.
Beaucoup moins intrigant, ce second volet de Sinister se montre rapidement assez inutile. Même en nous montrant l'envers du décor en donnant plus de place aux enfants, cette histoire n'a plus rien pour nous surprendre. De plus Ciaran Foy semble beaucoup moins doué que son prédécesseur Scott Derrickson pour distiller ça et là des Jump Scares aussi efficaces que dans le premier film. Sans être mauvais, Sinister 2 se rajoute donc aux déceptions horrifiques de cette année pourtant riche en film du genre. Preuve que le producteur Jason Blum commence un peu trop à tirer sur le filon et pourrait bien finir par le regretter.
Plutôt que de choisir la facilité en nous racontant quasiment la même histoire avec une famille différente, Scott Derrickson et C. Robert Cargill ont imaginé une véritable suite au long métrage. Afin d'apporter plus d'explications à l'histoire découverte dans le premier film, Sinister 2 change de point de vue en nous permettant de découvrir ce que c'est d'être un enfant convoité par le croque-mitaine Bughul. Autant dire qu'il sera vraiment préférable d'avoir vu le premier film pour comprendre vraiment ce qui se déroule dans ce second long métrage.
Il y a en fait deux histoires différentes qui finissent par se regrouper dans ce Sinister 2. Tout d'abord celle du Député So & So du premier film qui après avoir passé une période difficile à la mort de Elisson Oswalt, a décidé de devenir détective privé pour poursuivre cette enquête. De l'autre coté, il y a une jeune femme et ses deux enfants frères jumeaux qui se cachent dans une maison près d'une église où une terrible tuerie s'est déroulée. Sans que les adultes ne le sachent, ils se disputent tous deux les faveurs de Bughul.
On retrouve tout de même dans ce nouveau film les fameux petits films super 8 si terrifiants qui ont fait la force du premier Sinister. Pas de rediffusions ici mais de tout nouveaux films tout aussi dérangeants d'autant plus que le nouveau projecteur permet désormais d'accompagner d'une musique qui rajoute au malaise. Malheureusement maintenant que l'on connait l'origine de ses mystérieuses bobines, cette suite est forcement bien moins tendue et si Ciaran Foy nous a réservé quelques sursauts, il est bien moins doué dans le genre que Scott Derrickson.
Seul survivant du premier Sinister, James Ransone reprend donc son rôle d'adjoint du shérif et passe de second couteau ridiculisé à acteur principal de ce nouveau film. Pas facile du coup de le prendre au sérieux mais à vrai dire ce qui compte vraiment dans le film est l'histoire des deux jumeaux joué par Dylan et Zach Collins et de leur mère jouée par la trop rare Shannyn Sossamon toujours aussi belle qu'on n'avait pas eu l'occasion de revoir au cinéma dans un grand rôle depuis un moment.
Beaucoup moins intrigant, ce second volet de Sinister se montre rapidement assez inutile. Même en nous montrant l'envers du décor en donnant plus de place aux enfants, cette histoire n'a plus rien pour nous surprendre. De plus Ciaran Foy semble beaucoup moins doué que son prédécesseur Scott Derrickson pour distiller ça et là des Jump Scares aussi efficaces que dans le premier film. Sans être mauvais, Sinister 2 se rajoute donc aux déceptions horrifiques de cette année pourtant riche en film du genre. Preuve que le producteur Jason Blum commence un peu trop à tirer sur le filon et pourrait bien finir par le regretter.
AU REVOIR LES ENFANTS. Les absents ont eu raison. Rien ne marche dans cette suite, ou seul le shérif est de la partie. Partie perdue contre Bughuul. On sacrifie des enfants, c'est l'observance esthétique de la violence. Ah les mauvaises fréquentations.
On était en droit de s'attendre au pire avec la flopée de nanars pseudos-horrifiques qui envahissent nos écrans chaque semaine. Faire une suite au plutôt sympathique sinister n'était peut-être pas une très bonne idée or, contre toute attente, si le film est loin d'être une grande réussite, il vaut mieux que la majorité des productions horrifiques contemporaines. Pourtant l'équilibre que trouve le film est assez fragile, on pourrait à chaque instant tombé dans le navet et pourtant grâce à des effets visuels toujours assez réussis (imagerie snuff fonctionne à merveille) et une dimension métacinématographique omniprésente (
spoiler:
les enfants visionnent des films de leurs massacres tout au long du film)
, l'ensemble surnage et nous fait oublier les défauts inhérents à ce genre de production (longue mise en place des enjeux,introduction inutile, romance niaise, sons juste là pour faire sursauter) . Bref, sinister 2, s'il n'est pas d'une grand originalité et souffre d'un scénario assez peu élaboré, est une assez bonne surprise. Pas révolutionnaire, c'est sûr mais assez fun pour que l'on ne s'endorme pas.
, l'ensemble surnage et nous fait oublier les défauts inhérents à ce genre de production (longue mise en place des enjeux,introduction inutile, romance niaise, sons juste là pour faire sursauter) . Bref, sinister 2, s'il n'est pas d'une grand originalité et souffre d'un scénario assez peu élaboré, est une assez bonne surprise. Pas révolutionnaire, c'est sûr mais assez fun pour que l'on ne s'endorme pas.
Sinister 2, même s'il s'inscrit dans une suite logique du premier épisode, n'apporte rien de nouveau au genre. Tous les clichés des films d'horreur sont réunis sans réellement parvenir à nous faire frissonner. ça manque d'ambition et d'authenticité. Vite regardé et vite oublié...
Roub E.
Quelle déception, autant j'avais adoré le premier Sinister, cette suite m'a laissé vraiment perplexe. Manquant de maîtrise de la terreur (soyons honnête on ne peut même pas parler de frisson). La seule chose qui vaille le coup ce sont les fameux "films" (moins réussis que dans le premier), mais qui renvoient le spectateur à son statut de voyeur et d'amateur d'images trash. Mais franchement ça fait très peu comparé à la réussite du premier épisode.
Nicothrash
Le premier "Sinister" ayant été une belle déception pour moi, je n'attendais rien en particulier de cette suite si ce n'est au moins qu'elle me surprenne. Ce fut encore trop d'attente de ma part apparemment ... Toutes ces histoires de possessions, de fantômes, de croque-mitaines et autres âmes errantes malfaisantes deviennent d'une banalité affligeante. Tout devient prévisible, des jump scares aux révélations, heureusement on tombe parfois sur un "Conjuring" ou un "It follows" qui sort des sentiers battus et gagne en efficacité. Pour en revenir à notre "Sinister" deuxième du nom, on reprend les mêmes éléments et on les transposent dans un autre lieu, ça reste glauque mais c'est du déjà-vu. D'autant que les personnages ne sont pas spécialement intéressant et notamment le détective, vestige du permier opus, qui n'est pas plus crédible que passionnant. Bref, mis à part 2 ou 3 frissons de ci de là, je me suis une nouvelle fois ennuyé devant un film d'épouvante et n'ai pas encore eu ma dose d'adrénaline, fondamentale pour moi à ce niveau.
Sinister 2 est une insulte au 1er du nom. Le scénario, l'ambiance et la réalisation ont été bâclés pour que le film soit fait rapidement et surfe sur le succès critique et public du 1er. C'est moche. Il n'apporte rien, part dans une direction tout à fait différente qui aurait pu être vraiment intéressante mais qui est en plus de ça téléphoné de chez téléphoné. Les 2 petits jouent assez mal. L'ambiance n'est plus là et on se contente des ficelles classiques. C'est dommage.
Une fois l'originalité du premier volet passée, forcé de constater que cette suite n'était pas une bonne idée, l'enchaînement des clichés, des acteurs peu convaincants, aucune frayeur n'émane de ce film, on flirt souvent avec le ridicule, même la réalisation n'est pas aux petits oignons comme son prédécesseur. Les scènes de complicité entre James Ransone et Shannyn Sossamon sont à la limite du gênant, trop de raccourcis sont faits, au final, rien n'est vraiment à retenir de cette oeuvre, se contenter du 1 est la meilleure chose à faire malheureusement..
Shawn777
Cette suite de "Sinister" réalisée cette fois par Ciaran Foy et sorti en 2015 n'est vraiment pas terrible. Le scénario manque cruellement d'originalité, il reprend les mêmes bases que le premier et repart sur une famille maudite par les vidéos. Les vidéos ne sont d'ailleurs également même plus originales ni sinistres. La force du premier résidait dans le fait qu'il avait un scénario inventif et qu'il était glauque, dans ce film, il n'y a rien de tout ça, il y a juste quelques bons jump scares. De plus, malgré que le film dure environ une heure et demie, il paraît très long car il y a de nombreuses scènes pas intéressantes et surtout ennuyeuses. Heureusement qu'il y a toujours la bonne B.O du premier car elle colle vraiment bien à cet univers. Du côté des acteurs, nous retrouvons James Ransone qui est cette fois plus énergique et nous avons également Shannyn Sossamon qui joue plutôt bien, de même que pour les jumeaux. "Sinister 2" est donc un suite inutile qui ne restera pas dans les mémoires.
On pourrait se dire " Oh voilà une suite, ça va être fin nul !", enfaite c'est tout autre chose, ce qui a fait la réussite du premier ( la musique, l'ambiance, les effets de surprise) est bien présent dans ce deuxième opus. Cela en fait un bon film!
Suite directe du premier volet (avec comme héros le shérif adjoint du premier, pas forcément une bonne idée), Sinister 2 a été tourné par Ciaran Foy qui a fait sensation dans les festivals du monde entier grâce à son très bon Citadel. Le cinéaste parvient à respecter les codes établis dans le premier film, ainsi que son atmosphère macabre, sans faire du pied au spectateur (pas une once d’humour ici). Il parvient même à utiliser le concept de manière intéressante en évoquant par la métaphore horrifique la maltraitance des enfants. Toujours à hauteur des gamins, le long-métrage prend donc son temps pour distiller une ambiance glauque, parfois même un certain malaise. Malheureusement, le réalisateur n’est pas aussi inspiré lorsqu’il s’agit de faire peur à proprement parler. Les jump scares sont inégales et surtout, le film manque d’un final vraiment digne de ce nom. Ainsi lorsque le générique apparaît, on s’attendait à une dizaine de minutes de projection en plus, signe qu’il manque quelque chose à cette suite plutôt bien foutue. A noter qu’il manque à cette série B de bons interprètes, notamment chez les adultes. Tous les gamins, par contre, sont excellents.
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