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Votre avis sur Broadway Therapy ?
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Piètre vaudeville manquant singulièrement d'ambition que seule la musique finale sauve du naufrage. Avec Imagen Poots.
Quelle perte de temps. Un pseudo vaudeville prétentieux à la sauce Woody Allen, un scénario sans queue ni tête, décousu, sans intérêt. C'est beaucoup trop bavard, bruyant, surjoué, bref, je n'ai pas accroché !
Regarder ce film c'était comme regarder un accident de train. Je n'arrive pas à croire que la décision a été prise d'attacher le succès de ce film à quelqu'un qui était si peu convaincant dans son rôle et de rendre le temps qu'ils passent à l'écran désagréable à regarder. C'était vraiment une grosse erreur. Owen Wilson et Jennifer Aniston étaient à la fois remarquablement peu charismatiques et désagréables à regarder. J'avais l'impression que l'histoire avait une jambe dans la comédie hollywoodienne typique et une jambe dans les films de type Woody Allen plus axés sur le dialogue et qu'elle ne pouvait pas décider de ce qu'elle voulait être. Les scènes auraient pu être mieux travaillées à mon avis. Je suppose que la raison pour laquelle je ne peux pas mettre le doigt sur ce que je n'ai pas aimé est parce qu'il n'y a pas une chose majeure qui ne va pas mais plutôt plusieurs petites choses qui s'ajoutent à mon sentiment. Alors que l'histoire du film devrait être mûre pour la comédie même si elle n’était pas originale, elle ne dépasse jamais sa propre fascination pour les coïncidences. Les blagues qui se jouent sont soit des coïncidences ou des personnages appréciant le fait qu'ils connaissent des coïncidences que d'autres ne connaissent pas. Vers la fin du film le réalisateur essaie de lier et de connecter tous les personnages du film mais contrairement à d'autres comédies romantiques qui réussissent cela devient une farce et j'utilise ce mot d'une manière négative. Faites-vous plaisir et choisissez autre chose ce soir...
Un vaudeville qui accumule les quiproquos et les situations cocasses voire invraisemblables. C'est un peu foutraque mais porté par un casting énergique.
Audrey L
Une sympathique comédie à l'humour grinçant qui fait bien rire par moments (le chauffeur de taxi excédé par le couple qu'il conduit qui se met lui-même à prendre un autre taxi, les quiproquos en tous genres, les "filles dans la salle de bain", les "bon, qui a couché avec ma fille ?!!" et autres répliques qui deviennent vite mémorables). Malheureusement, à l'inverse du talent des comédiens qui va en grandissant dans le film, l'intérêt baisse en chute libre au fur et à mesure que le rythme ralentit pour s'en tenir à un rythme de croisière des plus mous, passé la première demi-heure (qui avait tout de la promesse engageante !). Le final ne passionne pas, et l'on préfère de loin le démarrage en fanfare de rires et situations vraiment cocasses. Si vous le souhaitez, la VO comme la VF sont toutes deux très bonnes (testées les deux, les doublages en français sont impeccables avec les doubleurs les plus habitués à leurs acteurs respectifs). La musique envoutante rappelle de loin, avec ce même Owen Wilson, un certain thème de "Minuit à Paris", et quelques gags amoureux et cyniques rappellent de même le style de Woody Allen... Produit par Wes Anderson, on n'en comprend que mieux l'humour somptueusement satyrique. Manquant cruellement d'éclat et de rythme sur la deuxième partie, les acteurs sont tout de même très bons, et les gags fonctionnent bien.
j adore ce genre de film frais à la woody allen !! la comédie new yorkaise qui me fait passer un bon moment et me fait réviser mon anglais en prime
Une comédie sympathique avec ses acteurs aux bons rôles humoristiques, la mise en scène de situation comique au style vaudeville, c’est cool comme film.
Une comédie vaudevillesque fort bien rythmée, l'interprétation n'est pas toujours à la hauteur de la folie ambiante.
Broadway Therapy est une petite douceur, le genre de sucrerie que l’on aime savourer en toutes circonstances. Il s’agit d’une comédie légère, décomplexée, qui traite de l’adultère et de l’avalanche de quiproquos qui y sont souvent associés avec détachement et insouciance. On pourrait soupçonner Woody Allen d’être derrière tout ça mais c’est bien Peter Bogdanovich qui nous offre cette adorable pépite au casting 5 étoiles. Une comédie hollywoodienne comme on en voit trop rarement.
gabdias
Un vrai vaudeville américain, jubilatoire avec un humour très New-Yorkais très proche du style de Woody Allen, les situations absurdes valent par des dialogues précis et enlevés et une belle interprétation. Une belle leçon de cinéma américain qui sait aussi être subtil et fin.
Hier soir j'ai vu un film avec un casting royal : Owen Wilson, Jennifer Aniston, Imogen Poots, Rhys Ifans, bourré de quiproquo, de péripéties amoureuses, avec un psychiatre et des personnages névrosés du monde du théâtre de Broadway. Ah, bon, tu as regardé un film de Woody Allen ? Non, mais cela y ressemblait beaucoup. Voilà comment on pourrait qualifier le film, comme un lointain cousin du cinéma du plus célèbre des réalisateurs new-yorkais. C'est très divertissant et les quiproquos qui parsèment le film apportent beaucoup de piquant à une comédie plutôt vieille école, où les acteurs de théâtre sont des stars et les call-girls des actrices aspirantes. Les démêlés sentimentaux de tout ce petit monde fournissent une distraction gentillette, mais peinent quand même à dépasser cet aspect récréatif et à donner au spectateur plus qu'une comédie sympathique, mais peu enthousiasmante au final. On se laisse prendre par les imbroglios professionnels et sentimentaux de cette troupe de théâtre, mais on ne peut s'empêcher parfois d'être parfois distrait de ce qui se passe devant nous. Les acteurs font le boulot, mais ils n'ont pas à forcer, astreints qu'ils sont, à des partitions qui leur sont habituelles, hormis et c'est notable, pour Jennifer Aniston en psy aussi inefficace et indiscrète que tyrannique. Elle est vraiment désopilante. Mais l'ensemble ne demeure qu'une comédie new-yorkaise de plus qui, pour agréable qu'elle soit, ne restera pas mémorable. Gentillet, assez comique, mais pas indispensable.
une comédie dans le style vaudeville moderne (quiproquos, chassés croisés...) assez prévisible et sans grande inventivité. quelques rares sourires, pas grand chose à se mettre sous la dent, il faut juste laisser le temps passer... O. Wilson comme toujours insipide, seules J. Aniston en hystérique et I. Poots au charme discret tirent leur épingle du jeu.
RedArrow
Quand le réalisateur de "La Dernière Séance" décide de faire une comédie burlesque qui fleure bon les 50's (et plus) par ses multiples références, il n'y va pas avec le dos de la cuillère.
Véritable déferlement de situations vaudevillesques avec son lot de quiproquos, "Broadway Therapy" prend très vite des airs de pièce de boulevard quelques fois un brin répétitive.
Les premières scènes nous mettent des étoiles plein les yeux, on rit ensuite énormément lors de la séquence du restaurant, on s'amuse avec celle de l'hôtel et on finit par juste lâcher quelques sourires devant le final tant on a vite cerné les contours de chaque personnage à un point que leurs réactions deviennent prévisibles devant l'énormité des situations.
Heureusement très maîtrisé au niveau des dialogues (l'ombre de Woody Allen ne plane pas pour rien), "Broadway Therapy" peut aussi compter sur une troupe d'excellents comédiens (dominée par une Jennifer Aniston véritablement impressionnante en psy hystérique) pour assurer le spectacle.
Et puis, au fond, même si "Broadway Therapy" empile les situations farfelues, quelque chose d'indéniablement mélancolique et de plus profond s'en dégage à travers la narratrice interprétée par Imogen Poots, une jeune fille touchante emprunte à rêver sa vie à travers son amour du cinéma d'une autre époque...
Un sentiment qui ne cesse d'imprégner le long-métrage et auquel l'apparition d'une guest-star incroyable (mais vraiment !!!) lors de l'ultime scène donne une dimension encore plus importante.
Au final, on ne s'étonnera donc pas plus que ça de voir les noms de Wes Anderson et de Noah Baumbach à la production de ce nouveau film de Peter Bogdanovich.
Véritable déferlement de situations vaudevillesques avec son lot de quiproquos, "Broadway Therapy" prend très vite des airs de pièce de boulevard quelques fois un brin répétitive.
Les premières scènes nous mettent des étoiles plein les yeux, on rit ensuite énormément lors de la séquence du restaurant, on s'amuse avec celle de l'hôtel et on finit par juste lâcher quelques sourires devant le final tant on a vite cerné les contours de chaque personnage à un point que leurs réactions deviennent prévisibles devant l'énormité des situations.
Heureusement très maîtrisé au niveau des dialogues (l'ombre de Woody Allen ne plane pas pour rien), "Broadway Therapy" peut aussi compter sur une troupe d'excellents comédiens (dominée par une Jennifer Aniston véritablement impressionnante en psy hystérique) pour assurer le spectacle.
Et puis, au fond, même si "Broadway Therapy" empile les situations farfelues, quelque chose d'indéniablement mélancolique et de plus profond s'en dégage à travers la narratrice interprétée par Imogen Poots, une jeune fille touchante emprunte à rêver sa vie à travers son amour du cinéma d'une autre époque...
Un sentiment qui ne cesse d'imprégner le long-métrage et auquel l'apparition d'une guest-star incroyable (mais vraiment !!!) lors de l'ultime scène donne une dimension encore plus importante.
Au final, on ne s'étonnera donc pas plus que ça de voir les noms de Wes Anderson et de Noah Baumbach à la production de ce nouveau film de Peter Bogdanovich.
Cinéphiles 44
Peter Bogdanovich est un peu le confère de Woody Allen. Ses comédies sont textuelles plutôt que gestuelles. Ces mots, il faut qu’ils soient interprétés avec force et charisme et c’est pour ça qu’il faut s’entourer de bons acteurs. Le réalisateur a fait le choix de laisser leur chance à des acteurs bons dans leur domaine mais qui n’ont jamais vraiment pu s’exprimer pleinement. Souvent drôlet, le film multiplie les références aux comédies des années 50. Le burlesque s’enchaîne lui aussi, à mesure que les intrigues s’ouvrent et se referment. Broadway Therapy est un séminaire de saynètes appréciables et disons-le, brillamment interprété. Mais ce dernier Bogdanovich manque cependant de profondeur pour être mémorable.
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Les personnages sont très attachants. On arriverait presque à en excuser leurs frasques.
Fantaisie et légèreté se mêlent habilement dans ce film qui avance sur la brèche selon un équilibre bien maîtrisé par Peter Bogdanovich. Imogen Poots est magnifiée.
PEQ
Fantaisie et légèreté se mêlent habilement dans ce film qui avance sur la brèche selon un équilibre bien maîtrisé par Peter Bogdanovich. Imogen Poots est magnifiée.
PEQ
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