Votre avis sur Yves Saint-Laurent ?
1,0
Publiée le 23 novembre 2014
Jalil Lespert a voulu à la fois raconter le personnage d' Yves Saint-Laurent (créateur génial, homme dépressif) et sa relation avec Pierre Bergé. Dans les deux cas, l'échec est total. Aucun véritable point de vue, aucune idée de mise en scène, Saint-Laurent (interprété par un Pierre Niney en surjeu permanent) est réduit aux informations facilement trouvables sur Internet (cf. Wikipedia). Quant à Pierre Bergé, il a le bon rôle, en atteste sa voix-off (par ailleurs didactique et asphyxiante). Il est celui sans qui son compagnon ne serait rien, se débarrasse vite fait bien fait de Jacques de Bascher et s'exprime dans un anglais quasi parfait (c'est mieux que de se faire traduire). Ajoutons à cela un rythme de tortue et une utilisation de la musique insignifiante, le film ne pèse pas grand chose. Il est tout simplement d'un académisme navrant.
1,0
Publiée le 15 mars 2015
Expérience personnelle intéressante face à cet « Yves Saint-Laurent » : au bout de vingt minutes, n’étant absolument pas rentré dans le film, je me suis mis à accomplir une autre tâche pendant le visionnage, puis une autre, puis encore une autre, pour constater que – ô stupeur ! – l’image ne changeait finalement pas grand-chose à ma compréhension du film. Alors certes, un regard de temps à autre permettait de connaitre les lieux et les trombines, mais au-delà de ça, ce film ce n'était juste que du bla-bla. Ça parle tout le temps, et surtout ça parle pour énoncer textuellement et sans second degré les préoccupations de chacun des personnages. En gros, ça donne un peu ça. Yves : « Ah moi Yves Saint-Laurent, je suis tellement détruit de l’intérieur par l’idée de ne pas pouvoir exprimer mon génie créatif. Créer pour moi est une nécessité, et sans toi Pierre, je n’y parviendrai pas. » Pierre : « Oh mais voyons Yves Saint-Laurent ! Moi, Pierre Bergé je ne fais qu’apporter une structure et une rigueur pour que puisse s’exprimer ton génie créatif. Le génie c’est toi. La création c’est toi ! » Yves : « Oui, tu as sûrement raison, mais assez parlé de ça. Evoquons la prochaine collection en présence de ce monsieur là-bas qui s’appelle Karl Lagarfeld et que j’ai rencontré à Paris un beau matin de juillet alors que je me rendais… » etc, etc… Oui, et désolé pour ceux qui ont apprécié les efforts de maquillage, de mimétisme, de reconstitution d’époque entrepris par ce film. Moi, je ne vois que des plans rigides, sans aucune imagination, qui se contentent juste de coller une illustration sur un texte qui n’en termine jamais. Et quand ce ne sont pas les dialogues, c’est la voix-off de Guillaume Galliène et quand ce n’est pas cette voix-off, c’est cette musique abominablement commune et stéréotypée à ce genre de film et à ce genre d’époque (je comprends mieux maintenant pourquoi il n’y a pas de récompense de la meilleure bande originale aux César, qui fait vraiment cet effort en France ?) Donc au final, quand le film se finit, moi je me suis juste poser deux questions. La première : mais pourquoi avoir tourné de l’image ? Pourquoi pas plutôt un livre audio avec quelques photos des robes et des acteurs grimés ? La seconde, plus simple : mais pourquoi un biopic sur Yves Saint-Laurent ? Enfin… Qu’est-ce qu’elle a de si intéressante que cela cette histoire ? Mis-à-part le fait que le mec ckecke absolument tout ce que kiffe le petit monde bobo (il est gay, il est Parisien, il fait de la mode …), qu’est-ce qu’il a de si intéressant que ça ce gars ? Il a révolutionné le prêt-à-porter… Ouais, et alors ? Faisons un film sur les fondateurs de « La Redoute » et les « 3 Suisses » dans ce cas-là… Ce sera « so glam »… Bref, dommage… J’ai beau trouver Jalil Lespert, Pierre Niney, Guillaume Gallienne et autres Charlotte Le Bon fort sympathiques, je dois bien avouer que dans cette coquille vide, ils se sont bien révélés transparents…
2,0
Publiée le 17 septembre 2017
Je vais être honnête : la haute couture ne m'intéresse absolument pas, je n'étais donc nullement le cœur de cible du film. Du coup, j'ai envie d'être un peu plus indulgent... mais pas trop quand même. Ba oui, je ne peux m'empêcher de penser que si l'on traite vraiment bien un sujet, on réussit un minimum à intéresser le spectateur a priori indifférent : « Rush » sur la Formule 1 ou « Foxcatcher » sur la lutte en sont de bons exemples. Ici, rien, ou presque. Il est évident que Jalil Lespert a pris grand soin de l'image, de la lumière et bien sûr des costumes, donnant à son œuvre l'élégance nécessaire au biopic. Mais bon... Quid des enjeux, des personnages, de l'époque ? Certes la Guerre d'Algérie est évoquée, et puis ? Beaucoup de seconds rôles importants dans le milieu de la culture à peine effleurés, quand bien même n'était-il pas encore ce qu'ils sont devenus, on aurait aimé en savoir plus. Le film est froid, souvent ennuyeux, écrasé par un académisme ne laissant rien dépasser. Au moins la relation Saint Laurent - Bergé n'est-elle pas trop édulcorée, décrivant bien le rôle et les aspirations de chacun dans le processus créatif, avec ce qui en découle de conflits et de souffrance dans le quotidien du couple, à l'image spoiler: des nombreuses infidélités du premier, dont on n'aurait pas imaginé le goût pour la dépravation
... Autre point positif : le personnage et la performance de Charlotte Le Bon, de loin la protagoniste la plus attachante et intéressante de l'œuvre, dont spoiler: la disparition en milieu de récit, aussi logique soit-elle
, marque d'ailleurs une nette baisse d'intérêt quant à la suite. Bref, si « Yves Saint Laurent » peut s'appuyer sur quelques qualités, il échoue toutefois à rendre fascinant son héros et le milieu qu'il a révolutionné, me laissant quasiment de marbre 105 minutes durant, l'impeccable interprétation (notamment de Pierre Niney, même s'il faut prendre le temps de s'habituer au phrasé si particulier d'YSL) n'enlevant rien à l'impression de platitude, voire de vacuité pour une personne étrangère à la question. Vous voilà prévenus.
3,5
Publiée le 23 février 2015
Un film réussi, moderne, bien filmé et très bien interprété. Jelil Lespert s'attaque à une histoire unique, celle d'un artiste intemporel pour lequel on voit tout de suite qu'il a une admiration sans borne. Il filme le couturier avec beaucoup de respect, avec beaucoup d'amour et rend un hommage vibrant à Pierre Bergé. Le tout est très bien fait, sans chichi, sans en faire trop sur la photo qui reste sobre et très belle. Mais on aurait aimé un peu plus d'audace, plus d'idées, un point de vue peut-être autre que la seule admiration qui transpire. L'interprétation, quant à elle, est sans faille et totalement crédible, souvent très émouvante et assez admirable.
3,5
Publiée le 12 novembre 2014
S’il est emblématique du génie de la haute couture française, Yves Saint Laurent personnalité taciturne et complexe demeure assez méconnu du grand public n’ayant pas envahi loin de là les médias notamment la télévision comme ont pu le faire Paco Rabanne, Gianni Versace ou Karl Lagerfeld d’autres couturiers de sa génération. Huit ans après sa mort en 2008 et en pleine frénésie du biopic, maladie cinématographique importée d’Hollywood, il n’est pas très étonnant de voir la destinée de ce génie créatif torturé portée à l’écran. Mais quand on dit Yves Saint Laurent immanquablement apparait l’ombre tutélaire de Pierre Bergé le compagnon du couturier garant à travers sa fondation de l’intégrité de son œuvre et de sa mémoire. Deux projets s’étant fait jour simultanément, le businessman devenu mécène a choisi d’accorder son imprimatur à celui le plus apte à lui permettre d’orienter le récit selon l’image que lui-même entend donner de son compagnon défunt et de leur relation amoureuse. Bertrand Bonello cinéaste à l’autorité artistique affirmée et reconnue était sans doute moins enclin à subir une quelconque influence au contraire de Jalil Lespert acteur tentant timidement une reconversion dans la réalisation. Cette concession a sans aucun doute donné des moyens inespérés à l’entreprise de Lespert notamment dans l'exposition magnifiée du travail de Saint Laurent qui éclate ici au grand jour. Certains y verront un effacement du réalisateur qui ne servirait que de prête-nom à un Pierre Bergé en quête de reconnaissance. D’un autre côté personne mieux que ce dernier ne connaissait tous les pans de la personnalité contradictoire de Saint Laurent. Reconnaissons à Jalil Lespert d’avoir su tirer de cette mine d’informations une biographie filmée très informative qui certes donne la part belle à Pierre Bergé mais de manière assez objective et sans jamais omettre de rappeler que la part du génie se situait du côté du natif d’Oran débarqué comme un ouragan dans le monde assez conformiste de la mode des années 1950 pour devenir l’assistant de Christian Dior. Le film montre très bien l'univers compassé qu’était alors ce milieu très fermé où les défilés se déroulaient sous les lourdes tentures des salons haussmanniens des grands bourgeois parisiens. Evincé de chez Dior après la disparition brutale de ce dernier, Saint Laurent à la timidité maladive formera une association très productive avec son nouvel amant Pierre Bergé qui lui apportera son intuition et son entregent affairistes. L’homosexualité jamais pleinement assumée par Saint Laurent est sans doute à la base de sa cyclothymie qui l’amènera à alterner à partir des années 60 les phases de réclusion avec celles de débauche. Cette propension à l’auto destruction deviendra rapidement la préoccupation essentielle de Bergé qui s’active en coulisses pour développer tout d’abord puis sauvegarder l’entreprise montée en 1962. L’omniprésence de Pierre Bergé qui est un parti pris compréhensible vu la structure du projet met sans doute en sourdine des aspects de la vie de Saint Laurent hors la présence de son amant mentor. Il aurait sans doute était préférable d’assumer pleinement ce choix de la narration exclusive de la relation passionnée entre les deux hommes en donnant un autre titre au film. Il faudra attendre le film de Bertrand Bonello pour savoir s’il était possible d’éclairer autrement la personnalité de Saint Laurent. Si la visée artistique de Lespert se perd un peu entre les mains de Pierre Bergé, sa direction d’acteurs se révèle particulièrement efficace notamment dans la mise en avant du talent de Pierre Ninet particulièrement troublant dans sa composition du personnage de Saint Laurent qu’il amène complètement à lui. Guillaume Gallienne de son côté se montre parfait malgré une dissonance physique assez marquée avec Pierre Bergé. A regarder ce « Yves Saint Laurent » de bonne facture mais sans grand génie on se dit que le cinéma français a désormais parfaitement intégré les recettes des bons faiseurs hollywoodiens toujours prompts à extraire par le menu les aspérités et faiblesses des célébrités pour les monter en mayonnaise à l’écran. Nous n’en sommes certainement qu’au début d'une longue série.
3,5
Publiée le 21 février 2020
Un biopic sans tabou magnifiquement mis en images par Jalil Lespert. Il nous propose avec " Yves Saint-Laurent" une réalisation délicate soutenue par une BO très classe et la trompette magique d'Ibrahim Maalouf.
Le film nous conte l'évolution de carrière du grand créateur de mode et nous fait découvrir le milieu de la Haute Couture. Un milieu difficile en perpétuel renouvellement, un environnement très concurrentiel ou la critique ne fait pas de cadeaux.
Outre les belles images de Marrakech, le succès de cette réalisation tient probablement pour beaucoup aux fabuleuses performances d'acteurs qu'accomplissent Guillaume Gallienne et Pierre Niney
3,0
Publiée le 21 mars 2021
Prestation absolument remarquable de Pierre Niney! Le film est d'une rare émotion, une histoire d'amour très poignante, une souffrance qu'on ressent à chaque moment. Le seul bémol est qu'on reste un peu sur notre faim. Il manque un petit "je ne sais quoi", comme si le réalisateur n'était pas assez allé au fond des choses, en survolant certains aspects (notamment la relation entre Pierre Bergé et YSL, ou encore la chute de YSL dans la déchéance). Un très beau et bon film tout de même!
3,5
Publiée le 9 janvier 2014
Pierre Niney et Guillaume Galienne incarnent remarquablement ce couple célèbre et portent littéralement ce film un peu trop sage qui même s'il n'hésite pas à lever le voile sur les côtés plus sombres des deux hommes, effleure souvent le sujet sans vraiment nous bouleverser comme cela aurait pu être le cas.
3,0
Publiée le 14 mai 2015
Respectant la hiérarchie décrétée par la critique, je me suis collé au Saint-Laurent de Jalil Lespert après celui de Bertrand Bonello, un choix très commun mais qui s'est avéré complètement légitime tant le premier surclasse le second. La faute en grande partie à un Pierre Niney et un Guillaume Galienne énormes dans leur jeu d'acteur respectif. Si Gaspard Ulliel était à créditer d'une excellente prestation, Pierre Niney est Saint-Laurent. Le choix narratif plus linéaire de Lespert m'a également plus convenu. Bonello avait certes eu le mérite de vouloir casser la trame académique du biopic mais au risque de perdre le spectateur dans la chronologie. Les épisodes explorés par Lespert présentent enfin plus d'intérêt, tandis que le "Sait-Laurent" pouvait provoquer des étirements de mandibules.
2,5
Publiée le 30 septembre 2014
Alors que le film de Jalil Lespert apporte un regard consensuel, dans sa forme et son fond, du personnage d’Yves Saint-Laurent, le film de Bonello apporte une véritable réflexion analytique sur l’artiste. Sans doute très personnelle, elle reste sans compromission, sans complaisance. Avec en prime, une tentative inédite de montrer le processus de création du génie dans son travail. Le point culminant de cet effort se résumant à la scène où YSL transfigure, sous nos yeux, en quelques secondes, une ancienne ouvrière défraîchie et craintive, en une bombe sexuelle assumée.
3,0
Publiée le 9 mars 2020
Bon film divertissant mais trop people, où le créateur est complètement effacé par l’éphèbe amoureux. Un film assez assez plat, qui ne suscite guère l’émotion. Un film dont la seule valeur est une photographie très réussie et bien sûr les magnifiques prestations de Pierre Niney et Guillaume Gallienne. Beaucoup de talent… un peu gaspillé ! Très inférieur au biopic de Bertrand Bonello Saint-Laurent.
2,5
Publiée le 26 juillet 2017
J'adore Yves Saint Laurent mais j'ai ete surprise d'aimer autant ce film qui retrace une histoire d'amour entre deux hommes...La realisation est apparement bien faite mais je ne me suis pas laissee prendre au jeu de « l’amour entre deux masculins ». Depuis quelques annees maintenant l'homosexualite est a la mode et c'est bancable apparemment autant pour les acteurs que les metteurs en scene . Tout ce petit monde du cinema qui ne fait que s'approprier la tendance pour se faire de l'argent… Ce film n'est abolument pas un Biopic sur Mr Saint Laurent qui est un grand couturier et qui etais surement torture par son attirance entre les femmes qu'ils habillent et les hommes par qui il se fait "baiser". Je pense que si Mr St Laurent assumait entierement son attirance pour les hommes il aurait dessine des hommes et pas des femmes. Parce que dessiner c'est caresser; je dessine moi meme et quand on se met dans la peau d’un homme, il n'y a rien de plus sensuel que de dessiner les courbes d'une femme qui pose pour vous, c'est encore mieux que de la toucher, elle devient votre objet, votre amante, votre enfant , vous pouvez tout lui faire devant son corps consentant qui s'expose pudiquement. Qu'on n'aille pas me dire qu'il y a une femme dans un homme....ca s'appelle du délire ou un des plus grands foutage de gueule du 20e siecle! IL a une paire de couilles en dessous du nombril???? il a peur qu'elle tombe toutes les 5 minutes? c'est un homme! et rien d'autre!!! HOMME qui n'est pas a l'aise avec , si on prend l'exepemle du film, sa libido qui lui rappelle l'amour destabilisant d'une mere pour son fils parce qu'elle s'autorise a se disputer avec lui du matin au soir, elle est est en plein kiff, elle lui fait la gueule !Cette drole de gonzesse qui reporte sur son fils sa libido delaissee par un mari absent ou q'elle fait fuir de son lit. Si y avait pas de fils ca aurait ptetre ete un chien ! allez savoir! pour que ca accouche d'une souffrance si consentante . D’ailleurs Mr Saint Laurent souffrait de depression a repetition,et si il se sentait si bien que ca il n’aurai jamais eu envie de mourir ! Ses Robes sont surement l’ultime facon qu’il a eu d’ejaculer dans une femme pour y voir pousser un heritier. L’amour masculin qui ensemence l'uterus subtilment, soudainement, rapidement et sans durer, ni s’attacher pour laisser une trace qui ne le fera pas oublier . Cet elan d’amour, qui le prend soudainement, declenche par la peur de la mort que la femme ne connait pas. Son sang qui represente la mort, elle l'experimente chaque mois pendant ses regles, Elle ressent la presence de D… avec qui elle est bien plus familiere que l’homme dans sa manière d’aime. Cet amour infini qui fait trembler l’homme. Si je continue, cette poussee d’homosexualite en parrallelle avec la montee du feminisme est peut etre un desir de vagin de l’homme qui ressent que ce n’est pas lui le sexe fort. « Desolee » Dr Freud vous etiez vraiment a cote de la plaque et j’espere que vos erreurs seront vite reparees ! peut etre qu’on pourra alors soigner la soufrance psychique….. ………………………………Je me pose beaucoup de questions sur Mr Niney qui s'est servi de ce role pour entrer dans le monde du cinema alors qu'il a fait ses armes au theatre. Il parait dans ce film beaucoup plus pervers que Mr Saint Laurent ne l'a jamais ete et je me demande si finalement c'est pas ce qu'il pensait de lui en interpretant ce film tant on le ressent quand on regarde le film. C'est peut etre lui qui ne joue pas la comedie apres tout, parce que vu les films étonnants qu'il choisi depuis, je me dis qu'il est possédé lol ! De toute facon je ne veux plus le regarder depuis que j'ai commence le film Five... C'etait d'une vulgarite inutile et repugnante. Bref, c'est un film sympathique mais qui aurait pu etre beaucoup mieux...Il semble que les scenaristes ne comprennent pas les passions qui animent un homme ou une femme et ce n'est pas aide par l'autorisation du mariage gay qui sous-entend que ce n'est pas le fruit d'une souffrance, voir un viol par manipulation psy que d'etre attire par les personnes de meme sexe que soi....Alors si une personne me disait:"mais je suis heureuse comme ca!" je lui repondrai que c'est la fin des haricots parce que si elle s'est tellement deconnectee de son genre pour je ne sais quelle raison et qu'elle ne le sent meme plus , c'est la caca, la cata, la catastrophe lol. J'en profite pour dire que Francois Hollande restera dans l'histoire comme le pire president de l'histoire de la 5e republique , non seulement par ses chiffres affolants, ses mensonge ehontes et insolents devant toutes les cameras de France, mais surtout par la seule action qu'il a fait durant son quinquenat: faire passer le mariage gay malgre des manifestations incessantes pendantt pres d'un an...Je suis une grande fan de Mr Saint Laurent et de son incroyable amour pour les femmes et je reste persuadee qu'il aurait ete encore plus genial sans son "histoire d'amour" avec Pierre Berger. Le fond de ma pensee c'est que c'etait un viol sinon il aurait pas pu produire. Les personnes qui souffrent ne produisent rien autrement c’est de pleurnicheries ! Faites le test par vous-même !
1,5
Publiée le 26 août 2014
Le film est tellement axé sur l'histoire d'amour entre berger et Saint Laurent que l'on tourne en rond pendant 1h30. On ne découvre pas grand chose sur l’ascension de cette homme bouleversé. Si bien que cela en devient long et peu palpitant. Dommage car c'est un personnage qui aurait mérité un Biopic plus approprié à son talent.
2,0
Publiée le 11 août 2019
J’ai longtemps réfléchis, mais finalement, je ne pouvais pas mettre une autre note. Je ne blâme aucunement l’équipe technique qui a fait un boulot honorable mais à aucun moment pendant tout le visionnage d’Yves Saint Laurent je n’ai eu l’impression de regarder autre chose qu’un film promotionnel d’une heure quarante dans la ligné du truc de Shalimar qui s’était fait bâché par toute la cinesphere. C’est simple on n’a pas ici affaire à du cinéma. Et l’autre là Pierre Niney qui s’est cru aux Etats Unis et pense que c’est en se lançant dans un numéro de mimétisme qu’il va collectionner les récompenses…Le pire c’est qu’alors qu’Yves Saint Laurent est censé être un hommage au génie du couturier, jamais Jalil Lespert ne réussit à nous montrer en quoi celui-ci était génial. Pour pallier à cette lacune, il utilise alors des trucs ultra grossiers comme le premier plan iconique de Saint Laurent de dos face à la mer en train de dessiner ou la voix off de Pierre Berger : « Avec la collection libération tu as fait scandale. La nouvelle femme Saint Laurent porte le smocking comme un défi et patati patatras… » Sans oublier l’écran noir à la fin : « L’œuvre de Saint Laurent fait aujourd’hui l’objet d’expositions dans les plus grands musées du monde ! » Sans blagues ? Mais banane ! C’est censé être du cinéma ! Ne le dit pas, ne l’écrit pas ! Illustre-le !!!! Mais reprenons nos esprits peut être que je me trompe et que c’est plutôt la « formidable histoire d’amour » entre Yves et Pierre que l’auteur a voulu nous montrer. Le problème, c’est que là aussi à part une histoire de michtonneur, je ne vois rien de formidable. Pour pallier à ça, le même procédé est utilisé. Voix off de Pierre Berger : « Une collection d’art c’est un moment de la vie. Beaucoup de nos objets ont été acheté par paires parce que nous les avons choisis regardés et aimé à deux. Aujourd’hui que tu n’es plus là je ne parviens plus à les voir ».
Enfin, Point de grand homme sans tragédie, c’est en tout cas ce qui est inscrit dans l’inconscient collectif. Comme raconter l’histoire d’un homme de bonne famille engagé très jeune par la plus grande maison de haute couture du monde puis pris sous l’aile d’un riche homme d’affaire était un peu trop lisse, on en rajoute des tonnes dans les scènes où il prend de la coke ou dans celles où extenué d’avoir trop travaillé, il s’écroule. C’est une artiste torturé vous comprenez ?
Je n’aime pas avoir l’impression d’être pris pour un idiot et je crois à tort ou à raison qu’avec YSL on essaye de me duper sur la marchandise. Reste a attendre ce que la version avec Gaspard Ulliel va donner.
2,0
Publiée le 1 août 2017
Vraiment bof
On apprend très peu du couturier mis à part une jeunesse débridée, fragile, sinon rien
Quel dommage car les acteurs viennent tout de même de la comédie française, mais à quoi bon
Les meilleurs films de tous les temps