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Votre avis sur Following, le suiveur ?
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Wahou, quel film ! Tant de retournements de situation ! Tant de questions qui restent en suspend à la fin... Franchement pour un premier long métrage Christopher NOLAN a réalisé un super film et cela à merveilleusement lancé sa carrière de réalisateur. L'histoire qui se déroule en 3 temps est scénaristiquement très intéressante et cette façon d'être filmé en noir et blanc et de vieille qualité rajoute un côté psychopathe aux personnes psychopathes présent à l'écran. Très intéressant !
L'un des premier film de Christopher Nolan, c'est pour les fan du réalisateur un grand film a voir absolument. Le film de Christopher Nolan qui est le plus sous-estimé selon moi.
Aimant beaucoup le cinéma de Christopher Nolan, j'ai décidé de me lancer dans les projets de ce dernier que je ne connaissais pas. Dans le lot, il y avait "Following, le suiveur", son tout premier long-métrage. Forcément, avec un tout petit budget et comme ce projet était sa première réalisation, je ne savais absolument pas à quoi m'attendre lorsque j'ai lancé mon visionnage. Pourtant, j'ai été agréablement surpris par ce petit projet, car le manque de moyens n'a jamais été aussi à l'opposé du manque d'ambitions. Sur le papier, ce dernier avait déjà amené son style, dans tous les sens du terme, mais surtout en matière de narration. Forcément, on va tourner autour d'un concept et celui-ci était vraiment ce qui m'a intéressé en premier lieu au sein de ce film. Ici, l'objectif est de se concentrer sur un personnage de suiveur, un homme qui suit les gens dans la rue. Dis comme cela, il est vrai que cela peut faire peur, mais le scénario se sert habilement de cette idée. On y découvre un personnage d'écrivains très curieux et très spirituels, qui voit ce moyen pour en apprendre plus sur les gens. Ce côté très aventurier va donc forcément servir au récit pour le faire embarquer dans une intrigue plus tournée autour du thriller. Il est vrai que l'on peut lui reprocher le fait que le concept s'arrête là et qu'il ne va pas plus loin. C'est juste utilisé comme un point de départ, alors qu'il y avait vraiment plus à faire. Mais finalement, c'est assez peu dérangeant quand on regarde le film, car on se laisse emporter par la force de ce montage. Très sèches, avec un écran noir qui s'avère peu subtil, les coupures entre les scènes sont là pour faire sentir que quelque chose ne va pas, que la façon dont avance le tout est particulière. Dès ce premier projet, Christopher Nolan a implanté son style de la narration non-linéaire, et il l'utilise de la meilleure des manières. Il est vrai que l'on commence rapidement à se demander ce qui se passe au niveau de certaines scènes, on comprend qu'il y a quelque chose de bizarre. Mais globalement, en ressortant du film, il est assez difficile de ne pas avoir compris l'ensemble, car tout finit très simplement par se mettre en forme. On comprend comment l'intrigue s'est développée et ce jeu de piste s'avère vraiment très bien ficelé. Certes, le film manquait de budgets à la base, mais grâce à cette bonne idée, on ne le ressent jamais. Le film est simple, mais complexe dans son récit, ce qui créait sa force. Visuellement, le choix du noir et blanc a beau être pratique, cela donne quand même une ambiance très particulière, qui n'est pas sans rappeler celles des films noirs de l'époque. Par conséquent, même si tout n'est pas parfait, on peut saluer cette première proposition. Il y a beaucoup de belles idées, et c'est assez agréable de voir les premiers pas d'un si grand réalisateur. Pour conclure, une première réussite.
Following, un avant goût de génie de Nolan
En 1998, un petit film indépendant anglais faisait le tour des festivals d’initiés (Dinard, Rotterdam…).
On y suit l’histoire de Bill un jeune écrivain qui suit au hasard des personnes dans les rues de Londres. Il va faire la rencontre de Cobb un charismatique cambrioleur et tomber sous son aile. Il persuade Bill de sauter le pas entre suivre et entrer par effraction dans les maisons des personnes qu'il suit.
A la baguette de ce film un jeune réalisateur Christopher Nolan entouré de son frère comme technicien, de son épouse comme productrice et de son beau père au casting.
Le film, sans moyens est tourné au grès des disponibilités de l’équipe d’amateurs mais néanmoins passionnés.
Alors oui le manque de moyens se voit, les décors sont étriqués, les plans serrés, la caméra parfois instable et le noir et blanc ne sert qu’à masquer les défauts.
Et pourtant le film brille par son scénario, nous emmène dans ses rebondissements a mesure que l’intrigue se dévoile et le twist final ne laisse pas indifférent.
Le jeu de ses interprètes nous amène dans l’intrigue
notamment Alex Haw dans le rôle du cambrioleur le tout accompagné par la musique simple mais terriblement efficace, signée David Julyan.
Ce film offre un avant goût de la suite de l’œuvre du réalisateur. De son style d’abord, avec sa construction non linéaire chère à l’auteur (Memento, Le Prestige, Oppenheimer) et son twist final mais aussi de ses thèmes, celui d’un homme sans personnalité abusé par la société, ses proches ou ses patrons (dans Memento,Insomnia ou encore Inception)
Alors si vous êtes un fan de l’œuvre de Nolan et que vous souhaitez découvrir son cheminement, foncez vous retrouvez tout les éléments qui ont fait le succès du réalisateur. Pour les autres tombez sous le charme de ce bijou de cinéma amateur, qui prouve qu’on peut faire un bon film à la force de son scénario et de ses interprètes.
En 1998, un petit film indépendant anglais faisait le tour des festivals d’initiés (Dinard, Rotterdam…).
On y suit l’histoire de Bill un jeune écrivain qui suit au hasard des personnes dans les rues de Londres. Il va faire la rencontre de Cobb un charismatique cambrioleur et tomber sous son aile. Il persuade Bill de sauter le pas entre suivre et entrer par effraction dans les maisons des personnes qu'il suit.
A la baguette de ce film un jeune réalisateur Christopher Nolan entouré de son frère comme technicien, de son épouse comme productrice et de son beau père au casting.
Le film, sans moyens est tourné au grès des disponibilités de l’équipe d’amateurs mais néanmoins passionnés.
Alors oui le manque de moyens se voit, les décors sont étriqués, les plans serrés, la caméra parfois instable et le noir et blanc ne sert qu’à masquer les défauts.
Et pourtant le film brille par son scénario, nous emmène dans ses rebondissements a mesure que l’intrigue se dévoile et le twist final ne laisse pas indifférent.
Le jeu de ses interprètes nous amène dans l’intrigue
notamment Alex Haw dans le rôle du cambrioleur le tout accompagné par la musique simple mais terriblement efficace, signée David Julyan.
Ce film offre un avant goût de la suite de l’œuvre du réalisateur. De son style d’abord, avec sa construction non linéaire chère à l’auteur (Memento, Le Prestige, Oppenheimer) et son twist final mais aussi de ses thèmes, celui d’un homme sans personnalité abusé par la société, ses proches ou ses patrons (dans Memento,Insomnia ou encore Inception)
Alors si vous êtes un fan de l’œuvre de Nolan et que vous souhaitez découvrir son cheminement, foncez vous retrouvez tout les éléments qui ont fait le succès du réalisateur. Pour les autres tombez sous le charme de ce bijou de cinéma amateur, qui prouve qu’on peut faire un bon film à la force de son scénario et de ses interprètes.
Premier long métrage de Christopher Nolan, un des meilleurs réalisateurs de ce XXIè siècle. Ce film retrace la vie d'un homme, s'amusant au départ à suivre de nombreuses personnes au hasard, puis dont c'est devenu l'addiction. Il va alors rencontré un autre homme nommé Cobb, qui lui proposera alors de cambrioler des maisons et appartements avec lui.
Le film est plutôt court (1h10), mais l'histoire a entièrement le temps de se dérouler. Les plans caméras sont très bien, les personnages sont spéciaux, la bande sonore colle parfaitement au film et le scénario n'est pas des plus banals ! On est plongé dans cette histoire à fond, et la chute du film nous créé un choc complet, comme on en a l'habitude avec ce réalisateur.
Le film est plutôt court (1h10), mais l'histoire a entièrement le temps de se dérouler. Les plans caméras sont très bien, les personnages sont spéciaux, la bande sonore colle parfaitement au film et le scénario n'est pas des plus banals ! On est plongé dans cette histoire à fond, et la chute du film nous créé un choc complet, comme on en a l'habitude avec ce réalisateur.
Following est un excellent film. L'histoire est certe courte mais néanmoins très efficace et surtout palpitante à suivre. Les acteurs sont très convaincants également.
Un premier film fait avec trois morceaux de ficelle mais qui montre déjà tout le talent de Christopher Nolan. Un premier film et déjà un chef-d'oeuvre.
Un premier film fait avec trois morceaux de ficelle mais qui montre déjà tout le talent de Christopher Nolan. Un premier film et déjà un chef-d'oeuvre.
Alain D.
Following, Le Suiveur : Un Thriller écrit et mis en scène par Christopher Nolan ; ce film en N&B de 1998 est le premier long métrage du réalisateur Britannique. La mise en scène précise, et une BO bien placée nous offre une fiction voyeuriste sciemment nébuleuse.
La narration des fantasmes et le montage des scènes, donne un aspect sophistiqué à ce scénario non linéaire bien surprenant ; une sorte de ruban de Möbius nous livrant une intrigue plutôt habile.
Un film techniquement parfait mais dont l'ensemble est excessivement impersonnel, avec un rythme un peu languissant pour être pleinement passionnant.
La narration des fantasmes et le montage des scènes, donne un aspect sophistiqué à ce scénario non linéaire bien surprenant ; une sorte de ruban de Möbius nous livrant une intrigue plutôt habile.
Un film techniquement parfait mais dont l'ensemble est excessivement impersonnel, avec un rythme un peu languissant pour être pleinement passionnant.
On sent le manque de moyen et tout ce qui va avec... mais la réalisation et le montage sont bons et on arrive à se prendre à l histoire malgré tout.
Le film "Following" de Christopher Nolan, sorti en 1998, marque son premier long métrage. Le film présente une esthétique visuelle en noir et blanc, donnant une atmosphère particulière à l'histoire. Les prémices de l'utilisation du temps, une thématique récurrente dans les œuvres ultérieures de Nolan, commencent à se manifester dans ce film.
"Following" offre un bon développement des personnages, permettant au spectateur de s'impliquer dans leurs histoires et leurs motivations. L'exploration de la manipulation est également bien traitée, ajoutant une dimension de suspense et de tension au récit.
Dans l'ensemble, le film propose un récit intéressant, qui captive l'attention du spectateur. Bien que ce ne soit pas le film le plus marquant de la filmographie de Nolan, il démontre déjà les qualités et les thèmes qui deviendront emblématiques de son style de réalisation.
En conclusion, "Following" est le premier long métrage de Christopher Nolan, présentant une esthétique en noir et blanc, des prémices de l'utilisation du temps, un bon développement de personnages et un récit intéressant. Bien que ce ne soit pas son œuvre la plus mémorable, le film témoigne du talent et du potentiel du réalisateur.
"Following" offre un bon développement des personnages, permettant au spectateur de s'impliquer dans leurs histoires et leurs motivations. L'exploration de la manipulation est également bien traitée, ajoutant une dimension de suspense et de tension au récit.
Dans l'ensemble, le film propose un récit intéressant, qui captive l'attention du spectateur. Bien que ce ne soit pas le film le plus marquant de la filmographie de Nolan, il démontre déjà les qualités et les thèmes qui deviendront emblématiques de son style de réalisation.
En conclusion, "Following" est le premier long métrage de Christopher Nolan, présentant une esthétique en noir et blanc, des prémices de l'utilisation du temps, un bon développement de personnages et un récit intéressant. Bien que ce ne soit pas son œuvre la plus mémorable, le film témoigne du talent et du potentiel du réalisateur.
« He followed you. »
Dès sa première œuvre, s’inscrivant dans un courant néo-réaliste en noir et blanc, Christopher Nolan nous sert l’une de ses marques de fabrique : la chronologie éclatée. spoiler: Si l’on suit néanmoins la transformation physique du personnage principal, on peut classer les scènes et tenter de retrouver un lien entre celles où il présente le même aspect (cheveux longs et imperméable en cuir, cheveux courts et costard, cheveux courts et visage tuméfié).
Les interprètes, au jeu très juste mais dont aucun n’a fait la moindre carrière notable au cinéma, et les dialogues, ciselés et cyniques, apportent un souffle raffiné à ce puzzle lent qu’on imaginerait mal durer plus longtemps que la grosse heure qui est la sienne même si la fin est paradoxalement un rien trop rapide, trop plate sur un plan scénographique.
The following est un film à voir pour la gestation d’un grand réalisateur à venir.
Dès sa première œuvre, s’inscrivant dans un courant néo-réaliste en noir et blanc, Christopher Nolan nous sert l’une de ses marques de fabrique : la chronologie éclatée. spoiler: Si l’on suit néanmoins la transformation physique du personnage principal, on peut classer les scènes et tenter de retrouver un lien entre celles où il présente le même aspect (cheveux longs et imperméable en cuir, cheveux courts et costard, cheveux courts et visage tuméfié).
Les interprètes, au jeu très juste mais dont aucun n’a fait la moindre carrière notable au cinéma, et les dialogues, ciselés et cyniques, apportent un souffle raffiné à ce puzzle lent qu’on imaginerait mal durer plus longtemps que la grosse heure qui est la sienne même si la fin est paradoxalement un rien trop rapide, trop plate sur un plan scénographique.
The following est un film à voir pour la gestation d’un grand réalisateur à venir.
Le premier film de Nolan est surprenant ! Un style si particulier qui s'installera dans ses futurs films ! Oeuvre réussi
Nolan qui fait du Nolan, rien de surprenant. Pour son premier film avec trois francs six sous, Christopher Nolan expose déjà tout ce qui ponctuera sa filmographie. Un thriller policier avec de multiples retournements de situation, une mise en scène non linéaire et des relations conflictuelles entre les différents personnages.
Following, le suiveur suivi est un très bon film qui prend en haleine du début à la fin. Malgré son manque crucial de moyen, il n'en reste pas moins une grande réussite et une leçon importante : il suffit d'une caméra et des acteurs pour faire un film.
Following, le suiveur suivi est un très bon film qui prend en haleine du début à la fin. Malgré son manque crucial de moyen, il n'en reste pas moins une grande réussite et une leçon importante : il suffit d'une caméra et des acteurs pour faire un film.
"Following, le suiveur" est un film divertissant au scénario admirable, qui soutient clairement l’œuvre. En effet, la musique n'est pas extraordinaire mais reste correcte. Les acteurs sont bons, sans pour autant déborder de talent. Le film est court mais permet tout de même de faire rentrer en entier et correctement le scénario, qui est très intéressant. C'est le gros point fort du film. Néanmoins, nous ne pouvons pas enlever à Nolan son mérite, car c'est en effet son premier film. Le film n'est certainement pas un de ses meilleurs, mais son travail est tout de même admirable pour un budget ridicule de seulement 6 000 $.
En conclusion, le film est divertissant, possède une complexité propre à Nolan et révèle un résultat satisfaisant pour un si mince budget. Belle réussite !
En conclusion, le film est divertissant, possède une complexité propre à Nolan et révèle un résultat satisfaisant pour un si mince budget. Belle réussite !
Si Christopher Nolan ne se cachait pas derrière la réalisation de ce court métrage, nul doute que ce film serait totalement passé inaperçu. Mais avec la carrière qu'on lui connait, les cinéphiles sont curieux de voir ce qui se trame derrière sa première œuvre. On retrouve donc un polar en noir et blanc, un film a très petit budget avec des acteurs de seconde zone devant la caméra. L'idée de départ est étonnante suivre un inconnu suivant lui même des inconnus. Mais cela serait mal connaitre Nolan que de se contenter de ceci, le réalisateur détourne vite son histoire pour en faire un jeu de dupes, de faux semblants, de manipulation et de retournement de situation. Le film se laisse suivre tranquillement et on reconnait les bases de son prochain film Memento, ainsi que son gout prononcé pour les surprises finales.
Redzing
« Following » fait partie de ces films qui seraient certainement tombés dans l’oubli… s’ils n’étaient pas la première œuvre d’un réalisateur devenu célèbre. En l’occurrence, il s’agit du premier long-métrage de Christopher Nolan (certains diront moyen-métrage avec ses 1h10 !). Celui-ci s’intéresse à Bill, un auteur raté, qui commence à suivre des inconnus pour tromper l’ennui. Jusqu’à ce qu’il rencontre Cobb, un cambrioleur pour le moins singulier. Il est amusant de découvrir dans « Following » des thèmes qui seront chers à Nolan dans le reste de sa filmographie. Une narration non chronologique, faisant écho aux manipulations temporelles dont Nolan sera adepte. Des protagonistes assez froids, habillés en costumes. Un personnage qui partage le même nom que le protagoniste dans « Inception ». Et même un logo Batman prémonitoire, sur la porte d’entrée du héros ! Au-delà de ces éléments, le film est un joli tour de force technique. Avec un budget ridicule (6000 dollars), Nolan parvient à nous livrer une œuvre toute à fait convaincante. Malgré l’absence de lumière artificielle, des acteurs totalement inconnus, une scène de bagarre pour le moins sommaire, « Following » est un film très efficace. En grande partie grâce à sa narration, qui commence avec une atmosphère mystérieuse autour du personnage de Cobb, pour enchaîner des rebondissements bien exécutés dans le dernier acte. Tandis que la mise en scène offre quelques passages intéressants. Bref, une vraie première œuvre prometteuse, comme l’a démontrée la suite de la carrière du réalisateur.
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