Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 17 août 2013
Un film Woody Allen-esque, avec une héroïne un peu nonchalante mais attachante qui essaie de trouver sa place dans la société. C’est rafraîchissant de voir un personnage féminin qui n’a pas le but de trouver l’amour de sa vie. Un film touchant et drôle en noir et blanc
J’adore l’heroïne, ou l'anti héroïne dans ce film ! Il est impossible de résister au charme et à l’humeur un peu écartées et maladroites de cette femme. Un film un peu indie, mais complètement unique – C’est une bouffée d’air frais.
J’adore l’heroïne, ou l'anti héroïne dans ce film ! Il est impossible de résister au charme et à l’humeur un peu écartées et maladroites de cette femme. Un film un peu indie, mais complètement unique – C’est une bouffée d’air frais.
Un film touchant, tendre mais aussi très drôle. Greta Gerwig est sublime dans le rôle de Frances Ha – Son énergie et sa personnalité sautent de l’écran. Dans un décor New Yorkais avec des personnages uniques et très attachants, ce film en noir et blanc est très séduisant.
Un film magnifique plein d'émotions et d'humour. Un film rare et d'une esthétique sensible. Emue du début jusqu'à la fin, l'identification est immédiate et c'est une véritable révélation. Juste un mot: merci
Une dizaine de pages consacré à ce film dans 2 numéros des Cahiers, ça mérite qu'on aille jeter un œil. Je ne peux pas cacher une certaine déception, même si incontestablement Greta Gerwig a un charme dingue. Il n'empêche, j'espérais trouver une sorte de prolongement ou de successeur à Manhattan de Woody Allen, que j'adore, mais c'est un peu plus petit, un peu moins amusant, même si l'image noir et blanc est superbe. Au fond, ce qui m'a dérangé, c'est que j'ai perçu le film comme chic et cool et le chic est un ennemi absolu du cinéma...Pour être un peu dégueu, on pourrait presque dire que c'est un "film Télérama", genre Agnès Jaoui, mais ce serait vraiment excessif et salaud de dire ça.
J'ai regardé avec plaisir ce film léger, impertinent, drôle, plein de fraîcheur et de fantaisie avec une touche de poésie. Je ne suis pas du tout fan du " noir et blanc", mais là ça ne m' a pas dérangée du tout : au contraire, je trouve que cela se marie très bien avec la personnalité atypique de l'héroïne que l'on suit tout au long de ce rocambolesque parcours initiatique , et confère à l'ensemble un charme délicat un brin désuet mais jamais ringard. Le petit clin d'oeil de la fin au titre du film est le petit "plus" qui permet de conclure sur une note originale et humoristique, pleine de promesses ( tout est encore à achever et à contruire), à l'image de ce joli film qui sort des sentiers battus.
Film pas vraiment loupé mais mal construit, comme la vie de son héroïne, terriblement verbeux et branché genre « bobo East Coast »… mais n’est pas Woody Allen qui veut. Certains critiques l’ont comparé à « Manhattan » ! Comme on peut comparer un grand scotch pure malt à du Canada dry ! Le noir et blanc est réussi et fait très “tendance” ! Et puis il y a l’extraordinaire Greta Gerwick, pas belle, pas moche, empotée ou aérienne, horripilante ou émouvante, vieille fille ou gamine… bref, un sacré numéro qui sauve le film. Un film d’été, factice, toc, tendance, où l’on ne s’ennuie pas trop !
Difficile d'être séduit par cette histoire où le personnage principal est une ado attardée mythomane sans consistance. L'histoire est morne mais l'actrice est excellente.
La magie opère complètement, et on se prend vite d'affection pour cette sympathique "looseuse" et gaffeuse, qui a un cœur gros comme ça et qui donne plus qu'elle ne reçoit. Son week-end à Paris, où elle ne visite rien, ne rencontre personne, et ne va nulle part sauf dans un café où elle reçoit un appel de sa "best friend" à qui elle fait croire qu'elle est à New York est vraiment tordant. Bref, un bijou à ne pas manquer.
Une magnifique fresque du mal être de la génération trentenaire. Le sujet est traité avec sens et justesse. Le noir et blanc n'était néanmoins pas nécessaire mais se fait oublier au bout de quelques minutes.