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    White Bird
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    tony-76
    tony-76

    1 082 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2014
    J'étais assez surpris que l'oeuvre de Gregg Araki mélangée le drame et le thriller. Avant tout, je suis venu voir White Bird uniquement pour son casting. Celui-ci est impeccable. Shailene Woodley est encore une fois, vraiment convaincante dans sa performance et très séduisante. Eva Green est renversante et excellente. Ensuite, Christopher Meloni est un personnage assez troublant. Shiloh Fernandez, que je ne connaissais pas, se débouille plutôt bien. Il y a un bon jeu d'acteurs. On a une atmosphère sobre et un certain faux rythme qui est présent. L'intrigue me plaisait et rendait le film original. On découvrait des thématiques plutôt passionnantes comme spoiler: Shailene Woodley qui tente de s’imposer face à sa propre mère ou bien qu'elle apprend à devenir une femme.
    Une bande sonore tout simplement magnifique, les décors sont ainsi bien respectés. Les inconvénients, maintenant sont que l'évolution du récit devient prévisible. Notamment, le long-métrage souffre de quelques longueurs. Des dialogues, un peu plat dans son ensemble mais souvent émouvants. On peut dire que White Bird possède quelques jolies moments, pourtant cela est bien trop sage pour ce démarquer des autres productions habituels. Un léger divertissement pour vous évader dans le passé.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    Le film vaut surtout par la prestation de Shailene Woodley, en jeune fille qui découvre l'amour, tandis que sa mère et son père se dispersent en vain.....On va avouer qu'elle est terriblement sensuelle et avec une palette digne d'un peintre, c'est à dire qu'elle n'est jamais coiffée ou habillée ou fardée de la même manière à chaque fois qu'elle apparait à l'écran....L'histoire alterne sérieux et humour et le tout est filmé avec légèreté et rêverie......Le ton est feutré, les dialogues sont plutôt accrocheurs et souvent drôles (à double sens)....on est dans une Amérique de classe moyenne, dans une ville inconnue, mais je crois que le film n'offre aucun panorama ni paysage ? On peut certainement dire que Araki s'est assagi au travers de ce film sans provocation aucune..... Quant au twist final c'est un régal à savourer.......Pas mal.....
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2014
    Génial portrait au vitriol d'une famille dysfonctionnelle au cœur des 80's. Une intrigue maligne, faussement prévisible (quel "twist final", longtemps que je n'avais pas été autant surpris) qu'Araki s'approprie dans un univers bien sûr stylisé, coloré et musical et dans lequel une Shailene Woodley continue d'impressionner au côté d'un Christopher Meloni absolument saisissant dans le rôle du père (et qui se retrouve une fois de plus dans une relation tumultueuse avec Eva Green après "Sin City 2"). Malgré quelques très légers défauts (même si c'est le coeur du film, il est finalement un peu dommage que le personnage de la mère ne soit décrit qu'au travers du regard des autres, il en ressort un petit côté artificiel (à l'image des séquences oniriques) mais que la prestation grandiose d'Eva Green arrive très bien à masquer), "White Bird" s'inscrit clairement dans le haut du panier de la filmographie d'Araki, dans la lignée de "Mysterious Skin", sans toutefois en atteindre l'excellence.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2014
    Il y a encore quelques années, alors que l’on découvrait le radical Mysterious Skin, on aurait eu du mal à croire que la mode de l’adaptation des romans pour midinettes atteigne Gregg Araki, mais ces films suivants, et en particulier Kadoom, nous on fait comprendre que sa volonté d’explorer les troubles de l’adolescence pouvait passer par des choix de mise en scène désastreux. La pente descendante de la filmographie du réalisateur se poursuit donc dans cette histoire tirée par les cheveux dont la description de la vie en zone pavillonnaire a des relents d’American beauty mais, à trop se montrer superficiel, est loin d’en avoir la grâce. Le duo d’actrice réunissant Shailene Woodley et Eva Green dans le rôle de sa mère fonctionne plutôt bien, et l’opposition entre les ambiances de lumières assez sombres et celles, dans les flashbacks, illuminées pourrait également être pertinente si sa redondance et surtout l’aspect trop factice des décors n’étaient pas aussi pesants. Pour ce qui est de l’intrigue, on voit poindre au début un semblant de doute autour de la relation entre cette mère pleine de mystères et le petit-ami de sa fille mais cette piste est vite abandonnée pour se concentrer sur les troubles au sein de ce couple d’adolescents et son parallèle avec celui des parents, une histoire des plus banales en somme qui ne réussit à surprendre que dans son twist final qui, de fait, arrive trop tard. Avec son manque de rythme et son esthétique irréaliste, White bird est un film, certes poétique dans son écriture, mais terriblement mou et dans lequel il est bien difficile de s’immerger.
    Caine78
    Caine78

    6 797 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2015
    Ne connaissant de Gregg Araki que « Kaboom », je suis allé voir ce « White Bird » en imaginant un film un peu dans le même état d'esprit, ce qui fût en définitive loin d'être le cas. Classique sans être convenu, ce portrait d'une adolescente est bien réalisé, peuplé de personnages intrigants et interprétés avec talent (mention spéciale à Christopher Meloni), le tout sans être trop lisse ou innocent. Scènes de rêves envoûtantes contrastant joliment avec la dimension maussade du quotidien, passage à l'âge adulte et relations amicales comme sentimentales sont également abordés avec justesse et une certaine sensibilité, sans qu'Araki ne renonce pour autant à son regard lucide et désenchanté sur l'humain. On aurait quand même espéré quelque chose de plus original, plus détonnant, moins « propre » de la part de l'auteur, faisant preuve de personnalité sans jamais se lâcher réellement. Après, peut-être que le sujet ne s'y prêtait pas totalement non plus, mais j'avoue que si j'ai passé un bon moment, intelligent, intrigant, j'attendais donc encore plus, surtout après une œuvre aussi dingue que « Kaboom ». Très fréquentable quand même.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    J'ai vu deux films d'Araki et j'ai vraiment pas aimé, avec ce troisième, la présence de Woodley ne me rassurait pas... Mais ne dit-on pas que moins par moins fait plus ? Parce que oui, enfin, enfin ! Enfin ils sont là, enfin on peut les voir et ils sont beaux... On a envie de les téter, de les malaxer !!!

    Et c'est le principal. Je me doutais bien que Araki n'allait pas résister à nous les montrer ! Bon après je n'aime toujours pas Woodley, mais, mais, elle a du potentiel si elle continue sur cette voie.

    En fait j'ai apprécié le film, sans doute car c'est moins kitch qu'un kaboom, et moins glauque et racoleur qu'un mysterious skin. En fait c'est un film presque sobre, même si on a tout de même l'impression que les couleurs on été lavées avec Mir Laine machine couleur éclatantes et que je n'aime pas du tout... Les moments où il se lâche c'est dans du rêve et du coup ça passe un peu mieux que cet aspect néon permanent de Kaboom.

    C'est le troisième film en un mois qui traite d'une femme qui disparait entre Horns, Gone girl et maintenant White Bird... Et les trois films le traitent différemment, si ce n'est pas fabuleux ? Ici on va aussi voir les côtés "noirs" du mariage comme chez Fincher, la routine, le mépris, voir sa beauté disparaître... Parce que la mère est jouée par Eva Green, ce n'est pas rien question beauté. Ce film rappelle qu'un jour on sera triste en se regardant dans la glace et à se dire qu'on ne sera jamais aussi beau qu'on ne l'a été car le temps fait pression sur nous. C'est traumatisant limite.

    Le film propose aussi la découverte de la sexualité (enfin découverte)... et dit des choses assez méchantes, mais assez vraies également... Par exemple elle dit que son père et son copain sont transparents, on a la surface et si on creuse on a juste plus de surface... Mal qui contamine plus de personnes qu'on ne le croit.

    C'est un peu longuet par moments, cependant j'ai aimé la résolution de l'histoire, même si j'aurai aimé qu'on nous laisse en plan... En fait le gros défaut du film, c'est que si Araki s'est calmé du coup, ce qui rend le film regardable pour moi, c'est que du coup c'est un peu quelconque. Sympa, mais je vais vite l'oublier, sauf le gros détail mentionné en introduction. Aussi il y a un flash back sur un cadenas dont on aurait pu se passer, on a compris... difficile d'être plus lourdingue que ça... J'aime pas qu'on me prenne pour un abruti, j'ai suivi le film, merci, pas la peine de me rappeler ça...

    Bref, agréable surprise.
    De smet M.
    De smet M.

    12 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2014
    "Alors qu'elle découvre sa sexualité, Kat voit sa mère disparaitre", voilà l'infamie publicitaire par laquelle l'exploitant tente de vendre son film, l'annonçant comme un drame initiatique et sexué, un vendredi comme un autre à un cinéphile qui n'en a plus que le nom tant il a délaissé depuis trop longtemps les salles obscures (mes collègues ne sauront qu'acquiescer). Heureusement pour lui, le onzième film d'Araki, White Bird, ne tient pas dans l'aseptique centaine de mots sensée le résumer, voire même va à son encontre [...]

    Suite de la critique sur le blog de Pours Culture.
    septembergirl
    septembergirl

    607 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 août 2015
    Un film qui dépeint sur fond de thriller le passage à l’âge adulte de son personnage principal. Un drame intimiste à la mise en scène appliquée dont l’intrigue maintient l’intérêt du début à la fin. Cependant, les invraisemblances sont nombreuses et, ambiance feutrée et ton léger ont tendance à nous entretenir dans l'indifférence, excluant toute forme d’émotion. Mais, c’est surtout le twist final, inattendu mais non moins grotesque, qui déçoit, plombant l’ensemble du film. Et, ce qui aurait pu être une judicieuse chronique familiale ne l’est plus vraiment !
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    191 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    Gregg Araki est un véritable cinéaste avec des sujets qu'il affectionne particulièrement et sa manière de réaliser lui est propre. Même si White Bird est l'adaptation d'un livre (encore une fois), passé dans les mains de Araki, on ne sent pas vraiment l'empreinte du livre et ça fait du bien. L'histoire de cette adolescente dont la mère disparait et qui s'en moque est assez surprenante surtout au niveau des émotions. La relation mére-fille et tous ce que cela peut entraîner dans la vie d'une femme est bien abordée. La réalisation est très stylisée et c'est agréable. Les acteurs sont bons, tous bons. Eva Green, jouant une femme 10 ans plus âgée qu'elle, est très convaincante. La coqueluche du moment, Shailene Woodley, montre quelque chose de différent par rapport à ses autres films et c'est agréable. Un beau film qui ne dépasse pas le fabuleux Mysterious Skin du cinéaste, mais dont on se souviendra dans sa filmographie.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2015
    Ah ça ! Pour qui connait Gregg Araki, nulle surprise avec ce « White Bird » ! Adolescence ; découverte de la sexualité ; assumation à explorer l’interdit ; passages oniriques : tout y est… En voyant ce film, j’ai cru revoir « Mysterious Skin », j’ai cru revoir « Kaboom »… et c’est tout aussi bien ce qui m’a plu dans ce « White Bird » que ce qui m’a déplu. Parce que oui, difficile pour moi de ne pas reconnaitre que j’aime l’univers et le ton d’Araki. J’aime ces personnages décomplexés qui doivent lutter dans un monde complexé. J’aime aussi cette espèce d’innocence dans la transgression. J’aime enfin cette manière de ne pas montrer les choses telles quelles sont mais plutôt telles qu’elles sont perçues par le personnage principal. Alors oui, c’est rose bonbon, ça dégouline, mais c’est tellement cohérent avec le regard que porte l’héroïne sur son monde. Puisque c’est une adolescente, le film se vit finalement comme une sorte de teen-movie bien girly, mais avec des ingrédients bien plus crus qu’on a justement pas l’habitude de retrouver dans les productions aseptisées par les grosses productions. En gros, « White Bird », c’est juste en fait un modèle de teen movie non édulcoré. Ça pourra en surprendre quelques uns parce que, justement, ils ne sauront pas sur quel pied danser, mais c’est aussi de cet étrange décalage que naît le plaisir… Enfin, encore faut-il ne pas être rodé à la mécanique formelle. Parce que bon, ça reste quand même ça le problème de ce film : pour qui connait Araki, il n’y a plus de décalage, il n’y a que la routine Araki. Alors certes, ce n’est pas désagréable à regarder, mais je trouve que, du coup, le pouvoir du film est anesthésié. L’intrigue est intéressante, elle sait bien anticiper nos réactions pour nous duper, notre dépendance à la subjectivité de l’héroïne apporte un réel plus dans le cheminement personnel que l’on opère dans le film, et en plus, tout ça est servi par un trio principal de très grande qualité (même si toujours un peu lisse physiquement à mon goût, sauf pour Christopher Meloni, mais bon…) Bref, voilà un film qui m’a fait passé un bon moment, c’est vrai, mais simplement un bon moment. Et, c’est bête, mais ça me ferait presque un peu enrager…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Dans la série "je me regarde filmer" adapté d’un roman " je me regarde écrire ", White Bird in a Blizzard fait très fort.

    J’hésite entre hurler au plagiat de Madame Bovary pour le contexte familial dépeint entre monsieur et madame, ou pleurer devant tant de déjà vu. Donc oui Madame crève de sa vie de femme au foyer, rêve d’archipels, de vagues perpétuelles, sismiques et sensuelles …

    La nouveauté ici est l’ajout du point de vue narratif de la fille jouée par Shailene Woodley pour brouiller les pistes et une bande son années 80 pour faire tendance. Et Araki adore faire tendance et teeeeellement décadent quooooi !

    Intrigue policière qui n’avance pas et qui méritait une nouvelle au mieux, descriptions picturales interminables, voix off fatigante - si au moins c’était celle d’Eva Green, mais penses tu, shot on the money! - (...)
    Benji S.
    Benji S.

    91 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Voila un réalisateur que j’apprécie beaucoup, il a un style qui lui est propre.
    Gregg Araki est un spécialiste des B-movies, un film qui n'est pas destinée spécialement aux grands publics et pourtant cela ne veux pas dire qu'il manque de qualité, il y a une originalité débordante dans ces films. Son film précédent "Kaboom" m'avais bluffé ce qui ma poussé à suivre ses ouvres. J'ai été néanmoins moins emballé pour ma part sur "Mysteriouskin" et "Smiley Faces". Il ne me resteront pas en mémoire, mais on peut voir sa marge d’évolution très bonne avec les années.
    White Bird m'a attiré également pour son casting, Shailene Woodley sort d'une année époustouflante ce White bird conforte son talent de jeune actrice capable de jouer aussi bien dans un blockbuster comme "Divergent", que dans des films indépendants "The spectaculer Now". Les plans du film son magnifique, d'ailleurs il a tendance a les mettre en avant sur la jaquette du film avec "Kaboom" et celui ci. Autre point similaire avec "Kaboom", le titre devient révélateur à la fin du film, car il y a de quoi se poser des questions sur un tel titre mais la réponse fini par venir.
    Le réalisateur maitrise très bien son film et le scénario est original, une première partie synonyme de Teen Movie et l'autre partie de Thriller. Une sorte de puzzle qui prend forme. Pourvue qu'il poursuive sur sa lancé des ses deux derniers films. 17/20
    ffred
    ffred

    1 728 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2014
    Certes, ce n'est pas le meilleur Araki. Le metteur en scène s'est calmé mais son film ne manque pas de qualités. Une certaine ambiance mélancolique, un twist final inattendu. Une belle photo, une B.O. Inspirée. Et un casting en or : Shailene Woodley, très bien, Christopher Meloni, Thomas Jane, Gabourey Sidibe, Shiloh Fernandez, Angela Bassett, Sheryl Lee et surtout Eva Green. Elle est absolument formidable et vaut à elle seule le détour. Si White Bird risque de désarçonner et de décevoir les fans de Greg Araki, il n'en reste pas moins un très beau film. J'ai passé un très bon et beau moment.
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2014
    Un Araki en mode plus calme cette année avec son White Bird. Loin des réussis Kaboom, Nowhere, Araki nous livre ici des personnages stéréotypés et une intrigue qui patine et fini par ennuyer. La disparition d'Eva Green (de loin le personnage le plus intéressant, mais vraiment sous exploité) est le point central du film, à moins que ce soit les aventures sexuelles de Kat (qui ne parle quasiment que de ça). Le seul point fort du film c'est ce personnage de père sous morphine qui rejoins tous les autres personnages décalés dans les films d'Araki). Loin de ses habituels fantaisies, le résultat final est bien trop creux et sans surprises pour intéresser. Le thème de la disparition étant plutôt en vogue, allez voir le fabuleux Gone Girl de Fincher, qui à tellement plus à raconter.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    58 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Pour la bande son on peut ne pas aimer Dépêche Mode, version fin des années 80, époque où se passe le film. Moi j'aime, comme j'aime ce film un peu adolescent.
    Les adultes semblent avoir renoncé à la vie.
    Le point de vue du film est très subjectif. Il semble être filmé de l'intérieur. C'est comme si nous étions dans la tête de l'héroïne, bouleversée et submergée par ses hormones. Aveuglée par une rivalité mal gérée avec sa mère (trop belle), mais encore dans les brumes de l'enfance, incapable d'avoir un jugement personnel sur ses proches. Elle se rend compte de la réalité de la situation vers la fin du film (et nous aussi par le fait) alors que tous les autres personnages semblent être au courant.
    C'est un film à voir.

    Isabelle EC
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