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    White Bird
    Note moyenne
    3,6
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    206 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 mars 2015
    Ce "White Bird" est seulement le deuxième film d'Araki que je voie (après la claque "Mysterious Skin") et déjà je sens la patte du réalisateur: imagerie onirique aux envolées lyriques, un protagoniste adolescent qui explore sa sexualité dans tout ce qu'elle a de plus interdit, dont le point de vue est constamment celui du film et qui a bien sûr un ami gay, etc...Pour autant je trouve que la limite de ce Araki-ci est que contrairement à "Mysterious Skin" il s'éparpille sur pdavantage de sujets intéressants et bien traités, mais pas à fond. Pas une erreur, simplement un parti pris qui du coup m'aura moins marqué. Reste que l'intrigue est intéressante et se laisse suivre avec grand plaisir mêm si je n'irais pas forcément la qualifier de captivante, les personnages très humains d'Araki donnent envie de les suivre. Quant aux acteurs ils sont tous excellents et comble du comble même Eva Green est à sa place. Son jeu est toujours très théâtral mais compte tenu du personnage de sa façon de penser très particulière la pilule passe bien. Et puis tout l'intérêt du film est qu'elle disparaisse illico presto. N'empêche qu'il y a bien une ou deux fois où son jeu fait tâche, notamment la toute dernière scène du film (c'est pas exactement à ça que ressemble un fou rire). Dernière scène qui a d'ailleurs provoqué une sacré réaction chez moi (fait rare donc à souligner), entre stupeur et hilarité, en plus de faire parfaitement sens avec la totalité du film. Une résolution géniale quoi. Mon voyage incroyable vers la filmographie d'Araki reste encore largement inachevé mais il ne m'a pas (encore) déçu.
    PsychoHead
    PsychoHead

    54 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2018
    Étant tombé en amour de KABOOM du même réalisateur, j'avais décidé de m'intéresser fortement à la filmographie de Gregg Araki.
    J'ai donc enchaîné avec the Smiley Face avec Anna Faris que j'avais adoré aussi.
    Aujourd'hui j'ai décidé de m'intéresser à White Bird, et encore une fois je ne suis pas déçu, j'ai carrément adoré. Il faut absolument que je vois toute la filmo d'Araki qui est en passe de devenir mon réalisateur préféré.
    Déjà, concernant le casting de White Bird, c'est un sans faute. Shailene Woodley est superbe dans la peau de cette jeune fille qui découvre la sexualité et pour qui la perte de sa mère lui est un peu égal. Eva Green est géniale en mère dépressive et qui va disparaître sans laisser la moindre trace. Pareil pour Christopher Meloni en père complètement passif et mystérieux.
    J'adore toujours la réalisation et la photographie des films d'Araki, je les trouves magnifiques à chaque fois.
    On est encore plongé dans cette ambiance mystérieuse et décalé propre à Araki, je rentre toujours à fond dans ses films et j'en suis complètement fan. C'est original, décalé et très mystérieux, j'adore voir ce genre de film qui ne ressemble à rien d'autres.
    J'ai aussi adoré la B.O du film, un vrai plaisir auditif encore une fois.
    Évidemment je conseille fortement la vision de White Bird, et plus particulièrement de s'intéresser à la filmo de ce réalisateur que j'apprécie de plus en plus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 octobre 2014
    Kat Connor (Shailene Woodley) est une adolescente dont la mère a disparu, par une journée d'hiver comme les autres. Aucune enquête ne sera menée dans White Bird pour éclairer l'étrange disparition de cette femme : on apprendra seulement que le père de Kat (Christopher Meloni) a passé, avec succès, le test du détecteur de mensonges. Beaucoup plus tard, un inspecteur de police – qui est aussi devenu l'amant de Kat – lui livrera sa version des faits : elle est évidente, elle aurait dû sauter aux yeux de Kat, mais celle-ci s'aveugle tout au long de White Bird. Elle revoit sa mère dans ses rêves, toujours les mêmes: des rêves où Eve Connor (Eva Green) l'appelle dans la neige pour lui indiquer l'endroit où elle est. Ces séquences oniriques sont parmi les plus belles de "White Bird", leur blancheur uniforme et sans relief s'oppose à toute l'esthétique d'un film qui veut faire craquer la surface des banlieues pavillonnaires américaines, pour mettre à jour les névroses tapies dans les cuisines ou au bord des piscines, là où Eve Connor, comme des millions de femmes américaines, tue le temps en sirotant un cocktail. Un tel projet n'est pas nouveau – on pourrait citer un nombre incalculable de films s'en réclamant – et s'il fallait situer "White Bird" par rapport celui-ci, on pourrait dire qu'il est plus proche d'"American Beauty" de Sam Mendes que de "Loin du paradis". Je cite le film de Todd Haynes pour expliquer ce qu'il manque, à mon sens, dans "White Bird" : un grand personnage de femme piégée, enfermée dans sa vie comme un oiseau blanc dans le blizzard. Car il ne faut pas se méprendre sur le sens du titre du roman de Laura Kasischke, dont le film est l'adaptation : l'oiseau blanc dans le blizzard ne désigne pas Kat mais Eve Connor, une femme qui a peu à peu gelé dans son rôle de housewife, sa lente extinction est à peine suggérée dans "White Bird". L'un des enjeux dramatiques du film repose plutôt sur la rivalité qui oppose Eve, dont les désirs se sont engourdis avec le temps et les habitudes, à Kat, dont les seize ans marquent l'éveil sexuel. Ce conflit peut rappeler celui de Madame White et de sa fille dans "Carrie", ou de Mme Lisbon et de ses filles dans "Virgin Suicides", mais "White Bird" ne se situe ni dans l'horreur, ni dans la mélancolie. La partition que joue Eva Green, actrice choisie sans doute pour sa beauté si peu actuelle, se rapproche plutôt du grotesque et range le personnage d'Eve Connor du côté des caricatures, là où se trouvent tous les personnages adultes du film : la psy de Kat (désignée tout de suite comme une imbécile), le père de Kat, terriblement transparent, et l'inspecteur de police qui lui sert d'amant occasionnel. A quel moment du film, ressent-on, comme dans le roman de Laura Kasischke, le passage des saisons après la disparition d'Eve Connor : « Le printemps a commencé en avance par un matin de mars, avec une nuée de cris d'oiseaux inattendus et fragiles, puis les primevères et les violettes ont ouvert leurs frais bijoux au ras du sol. L'été est venu au monde comme un magnifique accident de voiture, ouvrant des milliers d'yeux sur nos corps, sous la lumière vive. L'automne, ensuite – avec l'odeur sale et âcre des entrailles de citrouilles. Et enfin, l'hiver nous est tombé dessus en petits fragments célestes brillants d'oxygène et d'éther, qui viennent frapper le sol comme de minuscules éclats de verre froid. Une année dans un Eden où aucune Eve n'avait jamais vécu ». A lire ces phrases, on se dit qu'il ne manque pas seulement à "White Bird" un grand personnage de femme, mais aussi une sensibilité, car Kat, dont on adopte le point de vue, n'a pas le temps de regarder les saisons passer en songeant à tout ce que sa mère ne verra plus, ne sentira plus jamais, elle pense surtout à baiser. Avec son voisin d'abord, puis avec l'inspecteur de police. C'est, au fond, le principal reproche que l'on peut adresser à "White Bird" : c'est un film parfaitement superficiel, qui adore l'adolescence et la jeunesse – éternelle chair fraîche du cinéma d'Araki – mais rêverait pourtant de trouver en elle une forme d'obscurité et de hantise, comparables à celles qui caractérisaient les personnages de "Mysterious Skin". En ce sens, "White Bird" clôt peut-être une trilogie sur l'adolescence hantée, commencée en 2004 avec "Mysterious Skin" et poursuivie ensuite avec l'étonnant "Kaboom" (2010), où le jeune Smith était poursuivi par l'étrange vision d'une fille rousse traquée par des tueurs masqués. Il s'agissait, dans ces deux films, de laisser un monde derrière soi, mais l'enfance ou l'adolescence étaient aussi montrées comme des cauchemars dont on ne sort jamais. Kat, elle, s'en est sortie. Lorsqu'on la voit, dans la séquence finale, prendre l'avion pour Berkeley, on sait que sa mère ne l'appellera plus jamais dans ses rêves. (Voir davantage sur mon blog)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    91 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2017
    Je m'attendais à mieux de la part de Gregg Arakki, j'ai adoré Kaboom, et White Bird y ressemble mais ne se démarque pas assez, malgré un casting ultra convaincant, le scénario m'a assez peu intéressé, et au final la solution était plutôt simple et ce qui ma plus scotché à mon fauteuil ce n'est même pas le moment où j'ai su ce qui était arrivé à Eve mais ce qui se passe quelques instants plus tard, ensuite les acteurs sont bons, Shailene Woodley est excellente et Eva Green est bonne. 12/20
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    39 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2014
    White bird est un film qui se veut thriller mais qui a du mal. De quoi parle l'intrigue? D'une mère qui disparaît un jour sans laisser de traces. Je pensais qu'on allait parler de ce thème juste un peu dans le film, vu le contexte des années 80 mais aussi parce que la narratrice est une jeune adolescente, mais en fait non, ce thème vous suit jusqu'au bout. Le film essaye de nous montrer qu'il ne parle pas que de cette disparition mais surtout d'une adolescente qui grandit peu à peu. Ca c'était ce que le film essayait de nous montrer, voyons maintenant ce que nous on voit durant le film: Une jeune fille, qui se fiche de la disparition de sa mère, qui veut juste vivre sa vie, donc un peu rebelle est le type de fille qui veut être "indépendante", on voit cette fille grandir, avoir des relations avec des hommes mais en réalité, les sentiments du personnage ne sont pas montré, peut-être parce que comme le protagoniste le dit elle-même durant un entretien avec sa psychologue "je n'ai pas de sentiments" mais au lieu de créer un effet de froideur, de glacial, on en a rien juste rien à faire du personnage puisqu'on arrive pas à s'attacher à lui, et je peux vous dire que c'est comme çà pour tous les personnages, ils ne sont pas attachants.
    L'intrigue est pas assez travaillé et trop banal au fond, pourquoi? car la fin est juste décevante.. En fait, on ne s'attend pas à ce qu'on va découvrir à la fin, mais c'est justement parce que ce qu'on avait imaginé était trop simple, donc on peut dire de la fin qu'elle est trop prévisible, trop facile a créer donc décevante.
    Alors vous allez me dire pourquoi as-tu regarder ce film jusqu'au bout? et pourquoi lui accordes-tu la note de 3,5? D'une pour le décor qui est plutôt sympatique, de deux pour les acteurs charismatiques, d'ailleurs j'étais super contente de retrouver l'actrice principal de "Precious", ça fait longtemps que je l'avais pas vu jouer dans un film. Aussi, parce que une scène m'a fait trop rire, car c'est exactement ce qui se produit dans les couples (le copain de Kat de la Fac essaye de l'empêcher de fumer pour son bien, mais elle le prend très mal et s'en va, le copain dit alors "mais qu'est-ce que j'ai fais? Je veux ton bien, je veux pas qu'on s'embrouille."). Autre raison, le film est court, se laisse regarder facilement, on passe un bon moment, mais seul je ne suis pas sûr car il y a beaucoup de scènes d'amour, scènes de couples "affectifs". Allez aussi voir ce film pour admirer les beaux seins de Shailene Woodley.
    Donc au final, c'est un bon film, pas assez travaillé, recherché, le scénario est assez faible aussi et c'est bien dommage car ce film aurait pu être largement mieux.
    CDRIX C.
    CDRIX C.

    50 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2015
    Eva Greene est une mère aliénée, une femme mûre frustrée sur le déclin. Shailene Woodley est à la fleur de l'âge, à la recherche de nouveaux plaisirs, sans crainte, sans complexe. WHITE BIRD est un film froid, étrange, qui rappelle énormément l'univers TWIN PEAKS. Plaisirs naissants, désirs refoulés, mort des sentiments. Du cinéma riche et dérangeant.
    Raphaël P.
    Raphaël P.

    28 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2014
    J'aime beaucoup, et je suis vraiment pas étonne. Plus propre, plus beau que ses films précédents, Araki nous livre sa deuxième adaptation qui marche du tonnerre, grace a un lot d'acteurs superbes et une mise en scène quasi parfaite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2014
    Contrairement à ce que l'on pourrait penser il n’y a pas que le charme de Shailene Woodley et d'Eva Green qui nous enivre dans White Bird, il y a aussi l’atmosphère très particulière que lui insuffle Gregg Araki. Une ambiance qui oscille entre le réalisme et le totalement décalé, bien moins extravagante que celle de Kaboom certes mais qui reste tout de même agréablement percutante. Avec une bande-originale du tonnerre et une image très travaillée, nous voilà dans un univers à la fois sombre et coloré dont seul ce cinéaste à la clé. Alternant subtilement thriller et teen-movie de qualité, White Bird est sans conteste une réussite de plus dans la filmographie de Gregg Araki, Shailene Woodley et Eva Green.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juin 2020
    White Bird est un thriller criminel à la fois captivant et glaçant, qui possède certaines fois le coté très sombre d'un Polanski.
    Si, au débit le film semble inoffensif paraissant presque niais, plus on avance dedans, plus l'histoire devient complexe et intéressante. En particulier à cause des chaudes couleurs de la photographie mais aussi d'un soucis d'une certaine ''jeunesse" dans la réalisation. Et le ton léger que peut prendre Gregg Araki qui contraste très bien avec le coté glaçant voir glauque de la fin. Malgré tout cela, et même si j'ai passé une mauvaise nuit, ce film est fascinant, étrange, et envoûtant.

    Côté actrices : Shailene Woodley est formidable de bout en bout. Dans ce nouveau rôle qui lui permet de s'affirmer davantage entant qu'actrice et de s'émancipée de son statut de "starlette pour ados''.

    Quand à Eva Green tout simplement magistrale (malgré 3/4 lignes de dialogues) dans ce nouveau rôle. Toujours au top et passant de la tristesse et à la joie et à son rires inoubliable de la fin, avec une belle aisance. Elle est juste un enchantement.

    Le duo est assez improbable mais fonctionne très bien, tenant de bout en bout le long-métrage. Il fait même des étincelles tout le long, et pourtant Dieu sait que je ne les aurais jamais imaginer jouées ensemble. Un coté dark très intéressant et encore une belle critique de l'Amérique.
    Pauline T
    Pauline T

    30 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Je n'avais vu que Kaboom de ce réalisateur (que j'avais adoré) et je n'ai pas du tout été déçu. Je suis, de base, allée à l'avant première aux Halles pour voir la sublime Shailene Woodley, et j'ai eu la chance de découvrir un film quasi parfait. Outre la bonne ambiance dans la salle (le grand choc partagé par tous à la fin du film restera un des meilleurs moments de cinéma que j'ai vécu), le film suit son fil sans encombre et nous livre une histoire qui pourrait paraitre plate mais qui nous en fait voir de toutes les couleurs. Personnages attachants, certains indéchiffrables, jusqu'au bout on nous garde en suspend "mais merde, il lui est arrivé quoi à cette bonne femme ?" (une mère tarée jouée par Eva Green qui incarne si bien la folie). L'actrice principale, quant à elle, brille dans un rôle émouvant qui nous rappellera nos propres vies d'adulescents.
    J'ai adoré, un des meilleurs films de l'année 2014 selon moi.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    Un film étrange à l'ambiance glauque porté par de bons comédiens, notamment Eva Green, impériale.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur
    Paul F.
    Paul F.

    12 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2014
    Une superbe photographie, c’est la première chose que l’on remarque dans cet excellent film. La jeune Shailene Woodley est lumineuse, le rôle lui va à merveille, elle a beaucoup de charme et une répartie qui ne lasse pas de plaire. C’est l’histoire d’une disparition, celle de la mère de Kat (Shailene Woodley) interprétée par Eva Green, excellente. Le film ne commence ni pas le début ni par la fin, la reconstitution se fait par petite touches et il faut savoir interpréter tous les petits évènements dès le début du film. C’est un puzzle géant qu’il faut reconstituer, les rêves de Kat et des flash-bak vont nous aider à comprendre ce qui s’est passé. C’est très bien joué et excellemment filmé. La chute est géniale. 4 étoiles
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    A l'aube du vingtième siècle, Sigmund Freud découvrait que la voie royale d'accès à l'inconscient était le rêve. Dans White bird, à la suite de la disparition de son épouse, le père envoie sa fille consulter une psychothérapeute, qui déclare que les rêves ne veulent rien dire! Lorsque Freud se rendit aux Etats Unis, il déclara: "ils ne savent pas que je leur apporte la peste". En fait, l'usage que font les américains de la théorie de l'inconscient est parfois discutable... A viser l'adaptabilité, on passe à côté de la portée subversive de la dimension de l'inconscient et du caractère parfois sulfureux de ce que le rêve peut nous révéler. White bird est un thriller de haute volée. Les acteurs sont excellents, le scénario bien ficelé. Je viens de découvrir qu'Eva Green est la fille de Marlène Jobert, elle est formidable dans son rôle, tout comme elle l'était également dans The salvation. Shailene Woodley incarne magnifiquement l'étape adolescente, qui d'entrer dans la sexualité n'en interroge pas moins le fonctionnement ou les éventuels dysfonctionnements de celle de ses parents. Chaque personnage de ce film mériterait d'être détaillé. Le mieux, c'est finalement de courir voir cet excellent film!!
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2015
    Un film d'Araki qui change des bad trips habituels pour aborder, à travers le drame intimiste et le thriller, le thème de l'amour qu'il soit filial ou conjugal. Les acteurs sont tous très bons, Shailene Woodley en tête, magnifique de fragilité et d'assurance à la fois. Une jeune fille devenant femme en somme !
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    Toujours fasciné par la période de transition qu'est l'adolescence, Gregg Araki se penche sur la virilité, la sexualité et les premiers amours. Il part du foyer familial américain modèle et le fait exploser. L'absence soudaine de cette mère (campée par le charme vénéneux d'Eva Green) va peu à peu s'immiscer dans les rêves de plus en plus étranges de sa fille (jouée par l'actrice montante Shailene Woodley).

    Au final, White Bird se révèle être une lumineuse et sombre chronique de la famille d'une adolescente.
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