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    White Bird
    Note moyenne
    3,6
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    206 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 octobre 2014
    Le film est sobre bien mené, les acteurs sont précis et impeccables. L'histoire nous réserve un suspens et une fin intéressante. Le metteur en scène est surprenant, film à voir car il aborde de vrais problèmes existentiels et la vie au quotidien des gens en ne ménageant pas la dureté. L’héroïne est héroïque
    Jessica F
    Jessica F

    16 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2014
    film subtil ... avec un vrai scénario et une actrice brillante
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2014
    White Bird est très bon un thriller franco-américain coproduit, écrit et réalisé par Gregg Araki qui parle d'un rapport très difficile et très étrange entre une mère très possessive (magnifique Eva Green) qui va étrangement disparaitre et sa fille (Shailene Woodley très bien dans le role d'une adolescente assez complexe)... Tiré d'un du roman Un oiseau blanc dans le blizzard (White Bird in a Blizzard) de Laura Kasischke, ce film est une œuvre très intrigante réalisé par un cinéaste indépendant (très a la mode pour les Bobos) dont je ne suis pas réellement fan par ailleurs (a part peut être pour son OVNI Kaboom) porté par deux bonnes actrices et par Christopher Meloni qui joue le role (très ingrat) du mari et du père de l’héroïne (un très bon acteur qu'on a put voir dans la série télévisée New York, unité spéciale ou il joue l'inspecteur Elliot Stabler)... Enfin bref, ce film est (pour moi) l’œuvre la plus abouti du cinéaste et Eva Green est magnifique en mère fantôme... Donc un beau petit film a voir
    Ditcinema
    Ditcinema

    3 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Pour moi. C'est un petit Columbo même si l'inspecteur et juste détective bon a voir si le temps n'est pas agréable dehors sinonbrigade criminel Tv
    Bon pour des ado qui connaisse pas ces genre de crimeou disparition
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Déçue par ce film qui n'est pas vraiment captivant. Le scénario méritait un montage moins ennuyeux. Les acteurs ne jouent pas tous très bien, aucun n'est touchant. Improbable scène d'un étranglement sans résistance.... Bref, mieux vaut un bon livre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Film touchant et original malgré qu'il soit un peu noir, le jeu d'acteur assez fort. Shaileen Woodley est excellente.
    Le doute plane tout le long du film, on ne sait pas comment cela va se terminer, du coup c'est un peu le choc à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 octobre 2014
    Très bon film, bien joué, touchant, un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2014
    Gregg Araki forme avec Larry Clarke, Harmony Korine et Gus Van Sant un quatuor majeur des réalisateurs américains actuels spécialisés dans l’adolescense. Chacun sa patte bien définie, du frontal, de l’expérimental, de l’éthéré, il y en a pour tous les goûts. Je n’avais vu que Mysterious Skin d’Araki, mais on retrouve immédiatement son goût pour les marginaux, les couleurs flashys et la bonne musique (ici c’est un peu la compilation des meilleurs synthés des années 80, avec Depeche Mode, Talk Talk, Tears for Fears, New Order et j’en passe). Pas difficile avec tout ça de se sentir plongé en 1988.

    Encore une fois le sujet va être le mal-être adolescent, mais abordé avec un angle assez original qui est celui du thriller. Coïncidence étonnante d’avoir le même mois trois films articulés autour d’une disparition, avec Gone Girl et Horns, et le faisant tous d’une manière radicalement différente. Pas de fantastique, d’examen du couple au scalpel ou de battage médiatique ici, la mère de l’héroïne disparaît, point. On sait dès le début que l’enquête n’a rien donné, et que l’on va plutôt suivre cette fille qui essaie tant bien que mal de se construire après un évènement tragique et surtout resté sans réponse. Il se maintient pourtant de vagues soupçons autour de son père qui donnent une ambiance particulière au film, mais comme dans les deux autres films cités, ils existent surtout parce qu’il est le coupable idéal aux yeux de tous.

    Ici aussi les performances d’acteur sont décisives pour emporter l’adhésion à cette histoire somme toute assez simple, et ils ne sont pas en reste. Eva Green bien sûr, on accrochera ou pas du tout à son rôle désormais bien rôdé de femme hautaine et glaciale, à la limite de cabotiner parfois mais semblant se régaler à jouer de cette image. Christopher Meloni est parfait lui aussi dans le rôle du père soumis à sa femme, simple et honnête comme le Ben Affleck de Gone Girl. De même il est toujours plaisant de revoir Thomas Jane dans un bon rôle, lui qui n’est pas forcément gâté ces dernières années.

    En tout cas il ne faut pas y aller pour voir un thriller, vous risqueriez d’être déçus, mais c’est un bon moyen de découvrir Araki avec un film très accessible, qui sans être majeur reste une agréable surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 février 2015
    J’ai fortement aimé Un oiseau blanc dans le blizzard de Laura Kasischke, j’avais donc envie de voir le film qui en est l’adaptation, tout en redoutant un peu vu que je trouve le roman très difficile à adapter avec les pensées de Kat, les souvenirs, les impressions, les rêves…

    Petit rappel du pitsch : Kat est ado lorsque sa mère disparaît subitement. La réaction de Kat à cet élément troublant est à la hauteur de l’étrangeté de ses relations avec sa mère…

    Le scénario ne s’en sort pas trop mal au vu des difficultés que je soulevais en introduction, mais l’écriture de Laura Kasischke qui permet de nous tenir en haleine ne peut pas être rendue. À part quelques scènes marquantes, l’ensemble est assez peu dynamique, et certaines transitions sont mal gérées. Pour compenser tout ça, le fond de l’intrigue est vraiment intéressant, et un spectateur qui n’a pas lu le livre pourra être surpris, ainsi que celui qui l’a lu d’ailleurs, car un élément de la fin a été changé et que celle-ci a été développée. Ça m’a étonnée et bien plu !

    Le jeu des acteurs m’a vraiment convaincue, en particulier Shailene Woodley (que j’aime de toute façon), qui interpète Kat, et Eva Green (qui monte dans mon estime depuis Penny Dreadful), qui joue sa mère. J’ai aussi beaucoup aimé les couleurs et l’ambiance qui en découle, mettant en relief les années 80, ainsi que la musique.

    En conclusion, je dois dire que c’est pas mal du tout ! Peut-être pas au point d’acheter le DVD, mais de le voir oui.
    Christine N.
    Christine N.

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 octobre 2014
    une belle bande son, eva Green en desperate housewife, une jolie surprise de rentree que je vous recommande. vu lors de la selection du festival americain de deauville.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    C'est un bon film porté par une Shailene Woodley beaucoup plus a l'aise dans des roles comme ceux ci que dans les grosses productions. La camera de Gregg araki se veut douce et cabotine tendrement aux rythmes des souvenirs de son actrice porté par une photo réussi qui font de quelques plans un vrai plaisir cinephile. Mais le souvenir d'un Mysterious skin en tout point somptueux vient quelque peu ternir le bonheur de voir ce film car son réalisateur a fait bien mieux ....
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Au-delà de l'aspect thriller, qui ne semble pas passionner Araki qui l'expédie dans les dernières minutes de manière abrupte, le film évoque l'éveil sexuel d'une jeune fille, entre son boyfriend très beau mais pas assez intelligent selon elle et le flic chargé de retrouver sa mère, un quadra poilu, viril et direct. (...) S'il ne parvient pas à atteindre les sommets cette fois, Araki n'en livre pas moins un film remarquable et captivant.

    LA SUITE :
    Aymeric Jacquinet
    Aymeric Jacquinet

    7 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2014
    Plutôt bien ficelé : Eva Green est juste, l'émotion est là aussi
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2014
    Le très talentueux et déjanté Gregg Araki adaptant la romancière américaine Laura Kasischke adepte des atmosphères troubles, c'était, sur le papier, une combinaison intrigante. Le résultat est fascinant : White Bird, sous des dehors de teen movie et de thriller psychologique, s'impose par son climat glacé et ouaté, tout entier construit construit autour des cauchemars froids de son héroïne adolescente. Portrait d'un American Way of Life dysfonctionnel, le film rappelle parfois Lynch et/ou American Beauty. Si la jeune Shailene Woodley est remarquable, les quelques scènes "baroques" d'Eva Green en Desperate Housewife, au bord de la crise de nerfs sont stupéfiantes de violence rentrée. Araki dit avoir voulu réaliser un film féministe de l'âge des possibles (18 ans) à celui des désillusions (20 ans plus tard). Il le démontre de façon crû et réaliste à certains moments et oniriques à d'autres, dans une mise en scène élégante et pure comme une étendue neigeuse. Le twist final, inattendu, n'est pas le plus important dans ce film singulier. C'est son atmosphère somnambule avec son imprégnation sociale de la fin des années 80 (Très belle B.O) qui séduit et hypnotise comme un sortilège blanc.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2014
    Gregg Araki a développé deux voies bien distinctes dans son cinéma, celle complètement azimutée et bordélique de « Kaboom » ou « The Doom Generation » où se mêlent sexe, drogue et fantaisies en tous genres et celle, plus récente, initiée par le très beau « Mysterious Skin ». « White Bird » fait partie de cette dernière mouvance, plus sage et nostalgique. Il croque d’ailleurs comme personne le passé récent de sa Californie. La croisée des 80’s et des 90’s n’est jamais si belle que sous sa caméra. Des décors colorés, aux costumes vintage en passant par une bande originale extrêmement bien choisie et mélancolique, la reconstitution (et le coup de nostalgie qui va avec donc…) est parfaite. Quant à ses deux actrices, elles sont impeccables : Shaileene Woodley confirme qu’aux côtés de Jennifer Lawrence elle forme la relève des grandes actrices américaines, en sachant être téméraire et polyvalente dans ses choix. Quant à Eva Green, elle ajoute un rôle border-line de plus à sa filmographie qui en compte déjà beaucoup. Au bord de l’implosion, elle campe une desperate housewive avant l’heure de la plus parfaite des manières. On reprochera dans cette chronique d’une époque révolue un manque de fond et d’intrigue qui la limite parfois à une simple madeleine de Proust oculaire et auditive. Tout comme un rythme parfois ronronnant. Mais la dernière séquence, qu’on ne voyait pas venir, donne une toute autre impression de l’ensemble… Un film délicat et fragile.
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