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    Before Midnight
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    106 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    6 285 abonnés 6 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Après "Before Sunrise" (1995) et "Before Sunset" (2004) nous retrouvons notre couple (presque) une autre décennie en plus... Après la rencontre et la confirmation d'un amour voilà le troisième opus qui va décrire la déliquescence du couple, la routine de deux amants qui sont devenus parents, bref l'érosion du temps sur les sentiments au sein d'un couple. Toujours mis en scène par Richard Linklater et co-écrit avec les acteurs les fans des deux précédents films vont être comblés. Ce troisième film est sans doute un peu plus bavard que les autres, laissant un peu moins de place aux charmes naturels des choses (fond et forme). Séparés en plusieurs actes, le récit est d'autant plus bancal vis à vis des différentes sections. Du prologue (terriblement touchant), à la discussion en voiture (juste et 100% before) à la dispute (trop long et parfois lourd) en passant par le repas (très bien écrit et léger) le scénario manque de fluidité et, surtout, s'engonce dans un dialogue de plus en plus sourd et fastidieux... Malheureusement, si c'est parfois long (la dispute finale) il faut en passer par là pour comprendre que ce couple est aussi le couple universel, parfois drôle, souvent touchant et tellement ancré dans le vrai. Les acteurs sont sublimes de naturel encore 20 ans après. Il y a du Woody Allen, le réalisme en lieu et place de la fantaisie. Un beau et bon film donc malgré quelques agacements.
    septembergirl
    septembergirl

    604 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2014
    Une romance épurée, sensible, touchante et intelligente, qui conclut une trilogie débutée il y a 18 ans. Un film doté d’une humanité, d’une justesse et d’une sincérité incroyables, qui nous immerge dans la perfection d’un été grec. Les paysages sont magnifiques tout comme la mise en scène et les dialogues. Une réalisation légère et passionnante qui dégage une émotion inattendue. Une très belle virée, romantique et volubile !
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 119 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2013
    Suite et fin de cette trilogie aujourd’hui culte débutée en 1995 avec Before Sunrise. Après Paris et Vienne c’est au tour de la Grèce, terre de toutes les grandes et belles tragédies, de leur servir de cadre. Doté d’une humanité désarmante, Before Midnight se dévoile comme l’épisode le plus touchant de cette trilogie romantique...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Après Before Sunrise et Before Sunset, après Viennes et Paris, voici Before Midnight au Péloponnèse qui clôt - ou peut-être pas - une trilogie sentimentale épurée, sensible et touchante. Ce triptyque réalisé par Richard Linklater met en scène une nouvelle fois ses deux personnages que l'on a rencontrés dans un train en 1994, retrouvés à Paris en 2004, qu'on retrouve aujourd'hui, neuf ans plus tard, mariés, avec enfants, en vacances pendant six semaines en Grèce. Une journée passée avec ces quadragénaires devenus un couple. Ils se sont rencontrés et tombés amoureux, ils se sont retrouvés. On parle (encore) de beaucoup de choses dans Before Midnight, ces dialoges, ces plan-séquences qui ont fait la renommée des deux précédents sont de retour, ces discussions caustiques sur l'amour, le passé, les espoirs, les enfants, la mort, le travail: un film du quotidien, simple et pourtant traité avec une infinie justesse (le naturel et la connivence de Julie Delpy et Ethan Hawke sont toujours aussi saisissants). Before Midnight, encore une fois, ce sont ces longs dialogues, ces "walk and talk", mais cette fois au pays de la tragédie.
    Si les deux films précédents étaient deux petits chemins fluides et linéaires dans deux capitales européennes, celui-ci est divisé en six scènes, deux actes. Une ouverture sur la solitude dans un aéroport, un trajet en voiture, une scène de repas. Un premier acte donc ; de nouveaux personnages entrent en scène où l'on remet en perspective ce couple, qui avant s'était extrait du monde réel, alors qu'ici il y est pleinement attaché, avec tous les tracas qui peuvent s'y mêler. D'où un second acte, cette fois recentré sur notre duo, avec une scène de marche, une scène de ménage, et un épilogue. Une dimension quasi tragi-comique est injectée au récit lors d'une scène d'engueulade mémorable, transcendant donc cette trilogie, mettant en péril le devenir de ce couple, la vocation même de l'amour "pour toujours". Pendant un long dialogue autour d'un repas, l'amour est présenté comme de plus en plus pragmatique, en phase avec notre monde contemporain, une époque où il serait facile d'en finir avec l'autre, claquer une porte suffirait pour mettre un point final à une histoire qu'on aura suivi par petites touches pendant 18 ans. On sait et il est admis qu'on peut passer à côté de l'amour, mais de le jeter par contrariété l'est tout autant. L'éphémère et le temps qui passe sont au centre de ce splendide et magnifique Before Midnight, un film sur le passé, sur les souvenirs, l'insécurité de l'amour, et à l'image de ce passage où la famille, à bord de leur voiture, Jesse aux commandes cette fois, alors que lui et Céline étaient les passagers en 94 et 2004 et se laissaient aller le temps de deux journées à l'incertitude et l'imprévisibilité, cette fois ils sont les maîtres de leur monde mais passent à côté des splendides ruines de la Grèce Antique: le passé est révolu, seul le présent compte, mais vouloir aller trop vite mène inéxorablement vers le chaos. Ce troisième chapître serait-il l'introduction d'une véritable tragédie antique ?
    MC4815162342
    MC4815162342

    399 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mars 2015
    Et nous voilà 18 ans après leur première rencontre, soit 9 ans après leurs retrouvailles, ce coup ci Jesse et Céline ne se retrouvent pas uniquement pour quelques instants et ensuite ciao, non, cette fois ils sont mariés et ont deux filles, rien de bien étonnant de les voir ensembles quand on à vu la fin du deuxième volet qui en deux phrases nous dit clairement qu'ils ne se quitteront plus.
    Linklater nous emmène suivre ce couple qui comme tous les couples perd de sa magie au fil du temps, on oublie Vienne et Paris, direction la Grèce où ils rejoignent en famille des amis proches, ces mêmes amis qui leur offriront une nuit d’hôtel sans les enfants qu'ils garderont. Rien de mieux que de se retrouver tranquille entre mari et femme après avoir eu deux enfants ensembles, ils essayes de retrouver les moments qu'ils ont vécu durant cette première nuit et cette après midi passées, sauf que voilà, ça ne tourne pas aussi bien et le romantisme n'est plus tout à fait au même point.

    Surement le meilleur volet de la saga, pas parce qu'ils se disputent au lieu de se connaitre mais parce qu'il est encore plus profond et plus attachant que les deux premiers, et oui plus attachant, car voir ce couple qu'on a vu prendre du bon temps il y'a 18 ans se friter comme ça, c'est pas possible, on ne veut pas que ça leur arrive. C'était justement LE couple magique, celui sans faille et qui devait durer toujours, mais non Linklater nous démontre bien grâce à son réalisme toujours poussé au détail que l'amour n'est pas éternel et que ce couple n'a rien de spécial, c'est juste des gens ordinaires.

    C'est ce qui fait la force de ce dernier acte, et en parlant d'acte, j'avais vu ça dans le documentaire concernant le réalisateur et je suis obligatoirement d'accord, Linklater révolutionne le mot "trilogie", car une trilogie d'habitude on entend forcement "pognon" clignoter derrière, "tient le premier à marcher, donc pourquoi pas en faire un deux ?!" ......etc, alors que lui s'en fout clairement des recettes et du résultat au box office, il a voulu faire sa trilogie sans penser au revenu, ce qui est plutôt rare dans cette industrie de nos jours.
    Et j'ai adoré voir ces deux personnages évoluer au fil du temps, certes la trilogie a prit 18 ans pour se faire et je l'ai vu en trois semaine, un par semaine, mais j'ai vraiment adoré ces moments passé avec eux et cette évolution. Et il reprendra un peu ce système avec son suivant "Boyhood" dont je suis ultra fan sauf que ce coup ci ce sera sur 12 ans tournés en temps réel, ce qui est encore plus fort que ce qu'il a fait avec ses "before".

    Pour le reste j'ai été bluffé comme à chaque fois, rien que ce plan séquence en voiture au début, juste woaw, où cette discussion toute naturelle et simple autour de la table avec leurs amis, voir encore le moment où Jesse explique son futur livre sur la terrasse, enfin niveau technique c'est toujours aussi grandiose si ce n'est encore plus.
    Sincèrement la mise en scène de cette trilogie est selon moi incritiquable, tellement belle, simple, naturelle et surtout vivante, pour ce qui est des décors Linklater sait toujours placer ses personnages à de superbes endroits, sa réalisation est fabuleuse et j'en passe, je ne pense pas que ce soit la technique qu'on retienne sur cette magnifique trilogie mais je ne peux m’empêcher de la trouver fabuleuse.

    En bref, j'en ai fini de suivre les incontestablement parfaits Julie Delpy et Ethan Hawke dans leurs discutions passionnantes, c'est triste de leur dire adieu mais autant ne pas en faire trop, Linklater à su raconter sans pousser trop loin sa somptueuse histoire qui aurait pu être la votre.
    Erick B.
    Erick B.

    42 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Je me suis rarement autant ennuyé dans un film !! Au bout de 45 minutes je suis sorti de la salle.
    Ennuyeux a bailler ! Des dialogues interminables, 4 plans a la demi heure.......La scène du début devrait rentrée dans les annales du cinéma. 20 minutes de dialogue a travers un pare brise de voiture qui roule sur une petite route.
    Comment peut on réaliser se genre de film ??? Le cinéma intello je veux bien, mais là......c'est le pompom.
    J'ai détesté et suis sortit de la salle en colère, comme si l'on m'avait volé
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 juin 2013
    Excellente comédie romantique ! Les dialogues sont magnifiquement écrits par Linklater, Delpy et Hawke, certains passages sont hilarants. On peut tout de même reprocher à Delpy de faire du Delpy tellement ses films sont proches mais j'adore cette légèreté, cette sincérité, cela fonctionne à merveille. Ethan Hawke et Julie Deplpy forment un duo en osmose. Il y a beaucoup de plans séquences très réussis et le paysage grec est magnifique. Un beau moment.
    Cinephille
    Cinephille

    157 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2013
    Cruelle déception que ce dernier (?) opus de la série des Before. Fan absolue de Before Sunset j'ai commencé à m'ennuyer fermement dès le premier quart d'heure de Before Midnight. De façon absolument manifeste on reprend les recettes de Before Sunset, les longs plans séquences en voiture, en balade...Mais tout sonne faux, les dialogues sont convenus, Ethan Hawke et Julie Delpy semblent jouer (pas très bien) un remake médiocre. Arrive une scène de diner où là chacun récite son petit couplet, le tout censé représenter l'amour selon les âges de la vie. Là encore c'est lourd, c'est artificiel. Mais le pire est à venir : l'interminable scène de ménage où Julie Delpy joue la ménagère de 40 ans frustrée, aigrie, mesquine, méchante. Elle ne manque pas auparavant de longuement s'exhiber seins nus histoire de montrer qu'elle a peut-être vieilli mais qu'elle reste une bombasse hein. Cette scène de ménage sans aucun humour, où cette femme écrabouille son compagnon comme un méchant cafard n'a aucun charme, aucune profondeur. Certes ce genre de scène arrive, la violence verbale des femmes n'est pas un mythe. Mais n'est pas Elisabeth Taylor qui veut et là on est juste gêné de voir Julie Delpy telle qu'elle semble à son plus désagréable. Et soudain le film se termine, avec un twist fainéant qui laisse juste craindre un Before le gouter.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 082 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Je me rends compte que je vais voir au cinéma des films que j'ai envie de voir, mais ce n'est pas forcément des films que je suis certain d'aimer ou de réalisateurs que j'aime. C'est parfois juste des films que je veux voir. Before Midnight je savais que je n'allais pas adorer, j'ai pas adorer les deux premiers… Et pourtant, je voulais le voir.

    Et autant le dire tout de suite, tout ce que je n'ai pas aimé dans les deux premiers est de retour. Je ne connais que cette "saga" de Linklater, mais putain le mec n'est pas un grand réalisateur, ni même un bon réalisateur, sa mise en scène est extrêmement plate. Je vois bien qu'il mise tout sur les acteurs et les dialogues (on y reviendra), mais ce n'est pas une excuse pour ne pas faire de cinéma. Des plans séquences oui, pourquoi pas, poser la caméra pendant 10 minutes sur le capot de la voiture, pourquoi pas, c'est du temps réel, on pourrait être dans le vrai, dans le beau, seulement ce qui se raconte est tellement artificiel (et on revient à ce que je disais sur les deux films précédents) que ce n'est pas possible d'y croire. Du coup on a cette absence totale de profondeur ou de réel mêlée avec une mise en scène faiblarde, on va être très clair, ça ne donne pas envie.

    Le film est tout aussi artificiel que les deux précédents, les dialogues vont absolument tout dire, il n'y a pas de dialogue anodin (ou presque), tout est en lien avec la dispute à venir. Et si je peux aimer ce genre de dialogues chez Rohmer, vous savez les grands dialogues sur l'amour, Pascal, la religion, etc, c'est parce qu'ils ont une réelle profondeur, il filme l'invisible derrière ces personnages, ces acteurs. Là on retrouve Delpy dans son rôle (actrice dont j'adore le physique), mais on ne voit que Delpy avec ses préoccupations de bourgeoise de gauche (oxymore ?). Je suis un peu révulsé. Parce que tout ceci est très vain, d'ailleurs le film en lui-même est très vain, il n'a pas de couilles.

    Le réalisateur veut nous faire croire que ce couple pourrait se séparer. Ok, très bien. Mais fais-le à fond. Là on assiste juste à une petite dispute de merde et lorsque le film se finit : "quoi ? déjà ? hein ? mais je me suis fait arnaquer !". On a l'impression d'avoir vu une bande annonce.

    Le problème avec cette "saga" c'est que ça pourrait être scènes de la vie conjugale, sauf que c'est bien niais, fleur bleue, con, romantique (que des synonymes). Il y a cette incapacité à donner du corps aux personnages. Ils n'existent pas, autant dans le premier ou le second film on pouvait en avoir un peu à foutre, autant là, c'est la routine, il n'y a pas de magie (ok, je vois le parti pris), mais du coup on s'en branle d'eux. Ils peuvent se séparer j'en aurai rien à foutre.

    C'est un film de paresseux. Il ne véhicule rien. Il pense que revoir les deux personnages sera suffisant pour remporter l'adhésion du public, mais non. Il faut raconter quelque chose, donner de la consistance. Faire un truc bien en somme.

    Et ce qui m'agace c'est cette proportion de dialogues de merde sur les femmes, le féminisme, blablabla, Delpy passe juste pour une connasse hystérique (avec de beaux seins malgré son âge). Elle ne sert pas sa cause.

    Un film atrocement banal et calibré. On échappe juste à la contrainte de temps qui liait les deux films précédents, ici le temps n'est plus compté. Tant mieux à la rigueur parce que sinon ça aurait été encore plus artificiel de les remettre une troisième fois dans une telle situation… Mais bon… Du coup c'est plat (en plus d'être artificiel et faux).

    Je pense que c'est le moins bon film des trois parce qu'il ne véhicule plus rien, pas même une belle idée comme dans before sunrise que j'aurai envie de défendre. Là c'est juste de la vacuité pendant un peu moins de deux heures. Néanmoins on a quelques petits gags que je trouve sympa, qui agrémentent le film et le rendent ainsi digeste.
    negsa
    negsa

    6 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    Je n'ai pas vu les 2 premiers "épisodes" de cette saga qui m'a un peu fait penser à un soap sur grand écran - intérêt du scénario très limité et dialogues dépassant rarement la discussion de comptoir.
    Mais je me suis demandé pendant tout le film et à l'instar d'une célèbre pub des années 90 pour une marque de soda à l'orange : "mais pourquoi est-elle si méchante"? Car franchement Julie Deply (enfin son personnage) n'est pas seulement insupportable de verbiage (loi du genre de ce type de film), mais juste méchante comme une teigne : on comprendrait vraiment que son mari la plaque à la fin, bien que sa patience et sa quasi abnégation lui laisse une porte de sortie pour un prochain opus... On est quand même très loin de Woody Allen!
    lipfy
    lipfy

    7 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2013
    Un verbiage "quotidien" non stop sur l'amour, la vie, le monde, gna gna gna, des scènes en bagnole, à table en train de bouffer, assis, debout, à blablater, à sortir des banalités, comme vous, comme moi, «comme-dans-la-vie-quoi ! », genre de film qui se croit moderne parce que les personnages ne cessent de discuter entre eux, de dire ce qui leur passe par la tête. C'est carrément... INSUPPORTABLE !!! Ça se voudrait Woody Allen, certes, mais il manque juste la magie allénienne... et l'humour !
    Quand un réalisme factice ne sert qu'à dissimuler un vide narratif abyssal, ça donne exactement ça. Et que ce soit bien joué (ça l'est mais à quoi bon ?) ne change rien. J'ai lu quelque part que ce film a été tourné en 18 jours. Tout s'explique !!
    Laurent C.
    Laurent C.

    257 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2013
    Un film bobo encore ou les gens usent leur salive à parler de choses qui ne regardent personne. C'est d'autant plus obscène que le film se passe en Grèce où les gens ont certainement plus de soucis que les problèmes existentiels de ce couple bobo. On s'ennuie ferme !
    bsalvert
    bsalvert

    412 abonnés 3 582 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    un film lent, plongé à l'interieur d'un couple dont on ne bénéficiera que des désagréments.
    PLV : le couple fait crédible
    vidalger
    vidalger

    322 abonnés 1 251 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2015
    Le pitch est intéressant même si pas très original (crise de couple franco-américain après une dizaine d'années de vie commune), les dialogues sont plutôt bien écrits et les comédiens convaincants. Et pourtant, on finit par rapidement décrocher. Ce film respire la prétention et l'intellectualisme supposé de ses auteurs et scénaristes. Nous n'avons pas vu les deux épisodes précédents de la saga et, franchement, après avoir vu Before Midnight, ça ne nous manquera pas. Des plans excessivement allongés (on commence par vingt minutes interminables en voiture) font ressembler ce film à une pièce de théâtre en trois ou quatre actes. Peu d'actions, pas de rebondissement, l'intérêt faiblit très
    vite pour les états d'âme d'une emmerdeuse de première catégorie. Julie Delpy, qui ne nous a convaincu dans aucun de ses deux précédents navets (Skylab et Two days), nous confirme qu'elle dispose de bons amis dans le petit milieu cinématographique.
    Charlotte28
    Charlotte28

    124 abonnés 2 013 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 août 2020
    La déliquescence du couple s'incarne dans celle de cette trilogie qui devient ici une caricature d'elle-même, peu aidée par des dialogues faussement philosophiques et saupoudrés de poncifs clichés mais profondément bobos déconnectés et une Julie Delpy absolument ridicule, notamment lors de la (trop) longue scène de dispute. Même si l'intention se veut réaliste et douce-amère, le ressenti profondément pessimiste semble un pamphlet contre la famille et l'amour! Un mauvais épisode de soap.
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