Mon compte
    Malavita
    Note moyenne
    2,8
    7849 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Malavita ?

    843 critiques spectateurs

    5
    30 critiques
    4
    158 critiques
    3
    264 critiques
    2
    204 critiques
    1
    115 critiques
    0
    72 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Zoé B.
    Zoé B.

    465 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 octobre 2013
    Besson adapte Benacquista. Le résultat est évidemment à des années-lumière de ce qu’un Audiard, par exemple, avait pu déceler dans l’univers du romancier. Besson fait du Besson. La présence de ses acteurs stars (De Niro et Pfeiffer, invités à se parodier) ou le parrainage de Scorsese n’y change rien. Il y a quelques années, le cinéaste du "Grand Bleu" avait annoncé son intention d’arrêter la réalisation. Après "Arthur et les minimoys". Il a finalement décidé de continuer et on se demande pourquoi, tant l’inspiration semble désormais lui faire défaut. Bien-sûr, il y a toujours cet indéniable savoir faire, ce sens du cadre et du tempo, mais au service de quoi ? Un catalogue de clichés, un triste produit du ressassement, entre pillage et auto-citation. Besson, ou comment passer du cinéma de djeun au cinéma de beauf.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mars 2014
    Luc Besson aime l'argent, De Niro aime l'argent, Michelle Pfeiffer sans doute aussi (elle a au moins l'excuse de ne plus trouver d'emploi depuis quinze ans). Quand le frenchy malin qui a ses entrées à Hollywood propose à De Niro le bon coup, il sait que depuis vingt ans l'acteur culte de Scorsese un peu à la manière de Depardieu se commet dans tous les nanars qui lui permettent de faire tourner la cash machine en se contentant le plus souvent de s'autoparodier. Ca tombe bien, c'est exactement ce que lui propose Besson. Le réalisateur producteur sait que la mode actuelle à Hollywood est la réunion parodique d'acteurs cultes des films d'action des années 80. Le plus bel exemple étant donné par la franchise "Expendable" initiée par sieur Stallone en personne. Mais là où Stallone et ses potes (Willis, Schwarzenegger, Van Damme,..) font régner une ambiance bon enfant et décontractée qui ne manque jamais de se moquer des facultés perdues de nos super héros des eighties; Besson toujours aussi poète se veut acide et méchant essayant au passage de profiter de l'affrontement entre yankees et culs-terreux normands pour faire passer en loucedé son mépris pour la populace française qui a pourtant fait son succès. Tonino Benacquista l'auteur de polars dont le film est inspiré de son roman éponyme n'a vraiment pas de chance avec le cinéma, les films tirés de ses livres étant jusqu'alors médiocres voire calamiteux ("La boîte noire", "Les morsures de l'aube"). Besson qui a du passer en tout deux heures à la rédaction du scénario, accumule les poncifs et la vulgarité , sans parler des emprunts plus ou moins heureux comme l'obsession de De Niro pour obtenir de l'eau claire au robinet de sa villégiature forcée, un peu à la manière de Jeff Bridges dans "The Big Lebowksi" en quête du quidam qui a pissé sur son tapis. La seule bonne trouvaille de cette daube sans nom est bien sûr la séance au ciné club où De Niro assiste ému à la projection de son dernier grand fait d'arme au cinéma "Les affranchis" (Martin Scorsese, 1991). Quand il se plaindra à nouveau des procès d'intention qui lui sont faits par la critique, Besson ferait bien de s'infliger une projection de "Malavita", ça lui remettra les idées en place. Mais soyons-sûrs qu'il s'en fout, seul le compte d'exploitation du film étant important à ses yeux. Pauvre Besson, il réussit même à être antipathique et prétentieux dans ses nanars
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Je n'ai pas vu un film de Luc Besson depuis Arthur et les minimerde 2 qui était sans doute un des pires films que j'ai vu de ma vie, un truc con, très con, destiné pour les morveux et les abrutir. Mais là, le joli casting m'a donné envie de renouer avec Besson. Bon après je n'ai pas moult film de lui, le 5° élément, Léon et Arthur 2, c'est tout je crois (si je ne compte pas une partie du grand bleu étant petit).

    Mais ce mec est con, c'est possible d'être aussi con. Le mec il nous fait quoi là ? Il fait la pute auprès des USA ? Les Français du film sont tous des gros cons, mais tous… ils mangent de la merde… ils sont moches… bref, la totale.

    Le film est sans subtilité, pour preuve, à un moment on invite De Niro à parler d'un film américain… là je le sens venir gros comme une maison, tu le sens venir gros comme une maison… et là non… ils vont passer Comme un torrent (que je n'ai pas vu), mais tu le sens venir gros comme une maison ?

    Aucune subtilité, c'est gras. C'est que du gras. C'est très américain.
    Mais le film fait pire, on a De Niro et Tommy Lee Jones dans le même plan et ça n'évoque rien, c'est juste platement nul ! Bordel ! Je veux bien que De Niro ne soit pas au meilleur de sa forme ces derniers temps, mais Tommy Lee Jones, ce mec transpire la classe même encore aujourd'hui ! Et non, il ne se passe rien !

    Je ne parle même pas du scénario et de comment fait la mafia pour les retrouver, mais QUI peut y croire ? QUI ? c'est juste pas possible ! Je me suis demandé si c'était une blague ! Si c'était un cauchemar ? NAAAAn c'est bel et bien dans le film ! Quelle médiocrité !

    Le gun fight final est d'une mollesse…, mais c'est pas pensé ce truc, c'est pas possible !

    Le film avait pourtant des trucs rigolos à montrer, genre Pfeiffer (bien conservée, merci le botox) ou les gosses dans leur vie de tous les jours, ou bien la quête pour l'eau marron. C'était des petits trucs comme ça qu'il fallait mettre, sans le mépris pour les français, le filtre jaune immonde et cette absence de mise en scène constante.

    Voir un gamin qui débarque à l'école et qui a pour projet de monter une sorte de mafia ça m'intéresse. Sauf que non, c'est juste là pour le gag. C'est pas drôle ! C'est juste nul !

    Mais je dois dire que malgré tous ses défauts, le film n'est pas chiant… ouf, manquait plus que ça.
    L_huitre
    L_huitre

    86 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 novembre 2013
    Je n'ai jamais adhéré au "Besson bashing" ou à toute forme de dézingage en règle de ce réalisateur dont le seul tort est d'avoir fait autrefois de grands films à succès. J'attendais même Malavita avec impatience du fait de son casting prestigieux et pour les promesses de ce film. Quelle déception ! Ce film est hélas mauvais au sens où il laisse ses spectateurs au bord de la route, quasi indifférents à l'histoire de cette famille américaine cherchant à se soustraire des griffes de la mafia. Tout dans ce film est excessif et outrancier : la vision ploucissime de la France profonde; l'utilisation aberrante de l'anglais comme langue locale; le scénario qui laisse la porte ouverte à des excès de comportement qui ne sont même pas drôles... Mais ce qui dérange le plus est la violence qui surgit à tout moment, y compris dans les actes de la vie quotidienne, comme si Besson voulait faire du Taken dans toutes les scènes d'un scénario a priori plus intimiste. La violence pure comme constituant de la vie, voilà bien un racolage minable dont ce grand réalisateur ne sort pas grandi. Il y avait pourtant un casting de rêve ! Quel plaisir de revoir la toujours très belle Michelle Pfeiffer ! Et Robert de Niro, Tommy Lee Jone... Quel gâchis !... J'espère juste que Besson va se réveiller et retrouver son niveau d'exigence d'antan, quand il ne cherchait pas à faire du cinéma planétaire standardisé. Allez Jean Luc, un effort, redonnez-nous de l'authentique !
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    999 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 octobre 2013
    Qu'on se le dise, il y a l'avant et l'après Luc Besson. L'avant se situe dans les années 80 et 90 avec des films poignants, mémorables, soignés, quasi-intemporels. L'après a démarré la décennie lorsqu'il a commencé à écrire et produire des nanars par bouquets sans vraiment se soucier d'une quelconque qualité. Cette attitude a dépeint sur ses autres films, des longs-métrages mineurs qui, malgré le plutôt engagé The Lady, n'ont jamais fait l'effet d'une bombe comme autrefois et, pire encore, sont des produits d'ores et déjà oubliés. Malavita aurait pu changer légèrement la donne mais les habitudes ont la vie dure... Quand un réalisateur comme Luc Besson réalise une comédie sur des gangsters censément repentis qui n'arrivent pas à échapper à leur passé, c'est intéressant bien que peu ambitieux. En plus, il choisit Robert De Niro pour incarner le père de cette famille mafieuse mise en sous la protection des témoins. L'hommage est indéniable, d'autant plus renforcé par des passages explicites sur Les Affranchis (rappelons que Scorsese est ici producteur exécutif). Mais quand il mélange le tout avec une socialisation ratée franco-américaine, Besson se prend les pieds dans le plat et nous livre son plus mauvais film. Aucun style, aucun dialogue mémorable, aucune séquence mémorable, des extraits de Gorillaz en guise de B.O. et une mise en scène incroyablement ringarde : Malavita lorgne vers plus vers le supplice que vers le tour de force. Placer le film dans les années 90 est une bonne idée. À condition de ne pas faire demander aux enfants du film des portables. Confronter une famille américaine à la simplicité de la Normandie est rigolo. Faire du petit village un endroit bilingue l'est nettement moins (c'est aux seconds rôles de faire l'effort de parler en anglais, quelle blague). Pour le reste, c'est de la mauvaise parodie façon Besson : les Français sont hautains, sûrs d'eux et un peu cons, les Américains aiment la malbouffe mais sont toujours au top. On subit donc un choc des cultures niais et facile pendant la première heure et on écarquille un peu plus les mirettes durant la dernière demie-heure pour un affrontement final plus dynamique mais dans l'ensemble, Malavita est un produit américain bâclé et sans saveur, porteur d'un message douteux qui n'arrive tout simplement pas à exister.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 octobre 2013
    Comme à son habitude Luc Besson calibre sa réalisation au niveau d’un petit divertissement de samedi soir, mais la grande différence entre Malavita et ses précédents films vient du fait qu’au lieu de destiner son film à un public français en voulant lui faire croire qu’il sait filmer comme un américain, il destine son film directement à un public américain en donnant un image méprisante de la France et de ses habitants (qui, comme par hasard, sont ici tous parfaitement anglophone). Est-ce pour cela que le film n’a pas été apprécié par les critiques ? Si seulement… Tout sonne creux dans cette tentative ratée de rendre hommage aux films de gangsters des années 80, aussi bien les clichés faits sur la mafia que ceux sur la Normandie, et donc les gags relevant du prétexte du choc des cultures ne peuvent être que des niaiseries grossières et téléphonées. Le gag qui semble avoir fait le plus rire le public est la référence directe aux Affranchis, un clin d’œil que l’on voit gros comme la pluie et qui elle non plus n’a rien de drôle, alors que d’autres références peuvent se percevoir dans les interprétations de Robert De Niro et Michelle Pfeiffer dont l’auto-parodie relève plus souvent du grotesque has-been que du réel hommage cinématographique.
    alain-92
    alain-92

    322 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2013
    Luc Besson s'approprie le roman de Tonino Benacquista, auteur, entres autres, de l'excellent Saga et du présent Malavita, scénariste également et ce, à plusieurs reprises pour Jacques Audiard.

    Peine perdue. Le scénario cosigné par le réalisateur avec Michael Caleo est tout simplement insultant pour les français, tout autant que pour le cinéma de Scorsese, à n'importe quel degré, et consternant dans sa globalité. Je ne retiens rien.

    Si ce n'est une longueur excessive, malgré la vitesse insupportable d'une prétendue mise en scène qui laisse le spectateur à côté de l'action.

    Quant à la distribution, c'est à croire que Robert De Niro fait tout pour faire oublier qu'il a été un grand acteur. J'aurais aimé retrouver Michelle Pfeiffer dans un vrai grand et beau rôle. Et Tommy Lee Jones plus crédible.

    Une grande déception.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    De Niro, Tommy Lee Jones, Pfeiffer... on se dit qu'avec pareil casting on va avoir un grand film. Bof... s'il se regarde néanmoins avec un petit plaisir, on assiste de toute évidence à du cinéma de série B. A aucun moment je suis "rentré" dedans. Je me suis toujours vu assis sur un fauteuil en tant que spectateur. Bref ça ne m'a pas emballé, pas plus que fait voyager. Je l'ai vu hier au soir ce film, et ce matin je l'ai déjà oublié (quasiment).
    gjolivier1982
    gjolivier1982

    66 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2013
    Malavita est un véritable désastre industriel que le talent d'interprètes exceptionnels n'arrive malheureusement pas à sauver. C'est simple, il n'y a pas grand chose â dire. Le scénario est nullissime mais le problème réside principalement dans la mise en scène qui gâche tout le potentiel du film. C'est simple tout sonne faux et le ton général du film est bien trop artificiel pour convaincre. Dommage pour Michelle Pfeiffer et Robert de Niro qui ont une belle alchimie.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    288 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 novembre 2013
    Luc Besson ne réalise plus autant qu’il ne produit de films grâce à sa structure EuropaCorp. Le succès de cette dernière lui a ouvert les portes d’Hollywood.

    Là où Luc Besson aide vraiment le cinéma français, c’est qu’il lui permet de faire des films bien français, qui se déroulent et se tournent en France, avec un mélange d’acteurs américains stars (comme John Travolta dans From Paris With Love) et d’acteurs français… Par contre, où il n’aide absolument plus le cinéma français, c’est dans la mesure où ses films sont absolument catastrophiques. Malavita n’est malheureusement pas une exception à la règle. Le plus vicieux, avec ce nouvel opus de Luc Besson, c’est qu’il faut attendre la fin du film pour bien s’apercevoir à quel point ce dernier insulte l’intelligence de ces spectateurs à longueur de films, spectateurs qu’il appâte avec des castings prestigieux (Robert de Niro, Tommy Lee Jones et Domenick Lombardozzi sont plutôt bons, ici, tandis que Michelle Pfeiffer en fait trente fois trop). Malavita commence comme une comédie aux ressorts éculés, pas forcément détestable, juste prévisible et jamais surprenante. Ceci dure pendant 1h30 avant de tomber dans le thriller dramatique risible. Comment ne pas rire devant cette jeune fille de 16 ans, fille de mafieux, qui veut se suicider parce qu’elle a couché avec un type pas très fréquentable, en lui sautant dessus tel une pub pour parfum ? Où on ne rit plus du tout, par contre, c’est dans l’ultra violence absurde du climax, qui provoque une cruelle rupture de ton dans le film, tout en étant particulièrement mal filmée. Luc Besson parvient à nous perdre dans un espace d’à peu près 200 m². Et dire que ce type a réalisé un film aussi sympathique que Le Cinquième Elément… Incroyable.

    Malavita est une énième catastrophe dans la filmographie d’un réalisateur-scénariste-producteur qui ne fait plus que cela, mais qui semble bénéficier d’un crédit illimité… Y en a qui ont de la chance.
    Brice B
    Brice B

    215 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Un film conçut avec une suite de clichés et de caricatures aussi nuls les uns que les autres : sur les français, sur les mafieux, les italiens, les artisans...
    la caricature dépeint plus la France des années 70/80 que les 90's d'ailleurs. (vu les mentalités)
    Si toutefois c'était drôle ce serait pas mal, car le fond de l'histoire est correcte mais là c'est vraiment too much, en plus fait par un français qui n'a peut être plus envie de vendre ses bouses en France.
    Quand je vois les chiffres aux usa, on ne peut pas dire qu'il ait été un carton là bas même avec un casting pareil.
    J'ai lu un article sur le tournage du film qui disait que Luc Besson travaillait très vite (dixit les acteurs) : c'est peut être ça le problème !!
    César D.
    César D.

    37 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 octobre 2013
    bon, je me dévoue pour dire à Luc Besson qu'il peut désormais rester chez lui, au lieu de faire le réalisateur. il n'a maintenant plus assez de talent que pour faire un téléfilm, et encore. ce Malavita (c'est le nom de la chienne de cette famille) est un désastre. pas drôle du tout, rempli de caricatures et d'anachronismes (en 2010, la France a pour monnaie LES FRANCS - oui, vous avez bien lu!) et on ne sait par quel miracle, tous les habitants de Cholong-sur-Avre (petite bourgade inventée se situant en Normandie) parlent anglais!
    franchement, se rabaisser autant, juste pour se faire du fric (alors qu'il en a déjà beaucoup, j'imagine) c'est terriblement triste de la part d'un type qui a été un brillant réalisateur. c'est tous juste bon à refourguer à des amerloques idiots et mangeurs de pop-corn, qui pensent que le monde entier parle uniquement leur langue.
    le seul relatif intérêt de cette bouse, c'est la présence de Michelle Pfeiffer, trop rare de nos jours au cinéma. mais je pense que si quelqu'un lui demande ce qu'elle pense de ce Malavita, elle répondra : "Pardon, je ne vois pas du tout de quoi vous me parlez. je ne parle pas italien. une autre question?".
    nathaliewell
    nathaliewell

    22 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 octobre 2013
    Ce film est censé être une comédie sur la mafia ? Ah bon ! Pas drôle du tout !
    C’est étrangement ennuyeux.
    Besson continue dans les échecs et peut-être devrait-il penser à faire une (longue) pause comme réalisateur ! Film ridicule, pour ne pas dire complètement nul !
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 132 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 octobre 2013
    Avec son scénario tout droit sorti des têtes d’une hydre bicéphale à l’effigie d’un Scorsese retraité et d’un Lautner ressuscité, Malavita ne tient malheureusement pas ses promesses...
    Miltiade
    Miltiade

    40 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 septembre 2013
    Le contraste entre le calme de la campagne normande et l’agitation de New York aurait sûrement pu être une grande ressource comique. Mais le cadre n’est absolument pas exploité, Luc Besson n’en fait rien du tout : la famille Blake aurait tout aussi bien pu s’installer dans la campagne américaine. Le réalisateur semble avoir filmé cette histoire sans aucune passion. On retrouve la manière de filmer de Besson, toujours articulée autour d’images ou de répliques censées être frappantes (notamment les transitions). Censées, car ici elles ne le sont pas du tout : on a l’impression qu’avec « Malavita », Luc Besson vient de réaliser son premier téléfilm.
    Le film s’effondrerait complètement sans la résonance constante qu’il entretient avec le passé filmographique de Robert De Niro. C’est peut-être là que réside l’humour du film : que Luc Besson ose citer dans cette comédie bâclée, sans ambition et complètement commerciale des films comme « Le Parrain » ou « Les Affranchis ».
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top