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Ph SRL
1 abonné
18 critiques
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2,0
Publiée le 16 septembre 2024
Même si c’est une critique récurente des spectateurs liseurs ( sic ) pour moi c’est particulièrement vrai de ce roman si mal adapté à mon goût ou encore trop présent dans ma mémoire , si vous n’avez pas lu le livre alors peut être 😎
Une enfilade de poncifs et parfois d'idioties à peine sauvées par des acteurs qui s'auto-parodient. Une belle scène : l'arrivée des tueurs dans la ville.
Je savais, Luc Besson, capable du meilleur comme du pire, mais qu’est ce donc que cet ovni ? C’est bourré de clichés mensongers sur les français, à croire que le réalisateur oublie le pays d’origine de sa fan base, on du mal à comprendre où est ce qu’il veut aller; en même temps, jouer une production mi mafia, mi desperate housewives, c’était risqué.
Un film un peu inattendu, un film qui mêle action, film de mafia, thriller au cœur de la Normandie où évidemment tout le monde parle parfaitement anglais. Un peu absurde, souvent avec le trait forcé, une prestation classique, pas un film qui restera gravé mais qui, au demeurant, permet un bon moment.
Un ancien parrain de la mafia new-yorkaise vient se planquer en Normandie. Sur le papier, j’aime beaucoup et cela peut provoquer des situations vraiment cocasses. Sur l’écran, ça l’est beaucoup moins. Ce n’est jamais drôle, au plus le film avançait et au plus je m’ennuyais (pour rester poli car, là, à chaud, c’est un autre mot qui me vient à l’esprit). C’est totalement bancal et je n’attendais qu’une chose : que cela se termine. Un nouveau chef d’œuvre de mon ami Besson.
Dans la France des années 90, une famille américaine s'installe dans un petit village normand. Sauf que le père est en réalité un ex-gangster qui vit sous le programme de protection des témoins. Pourquoi en France, là où des Américains attirent l'attention et le FBI n'a aucune légitimité ? Allez savoir, ça ne sera jamais expliqué. Malgré cette invraisemblance, "The Family" est un divertissement correct pour qui demeure indulgent. Certes, le portrait de la Normandie n'est guère flatteur (la population passe pour des andouilles). Certes, on s'étonne de voir tout le monde parler anglais sans aucun souci. Dans la vraie vie, je doute que le chef de bande du collège local maîtrise la langue de Shakespeare (encore moins en 1996), et traite les Américains de "yankee" ! Tandis que le scénario tourne un peu en rond, malgré un point de départ juteux : comment des crapules peuvent s'ajuster à une vie paisible. Un pitch déjà tenté par l'affreux "My Blue Heaven". Ce n'est pas toujours très adroit, et le final est expédié, mais il y a quelques idées intéressantes. Et le film contient des qualités. La mise en scène tient la route. La reconstitution des années 90 n'est pas trop mal (on est à des années-lumière du ratage "Anna" et de ses anachronismes gros comme une maison). Vieille Peugeot, photo de Jacques Chirac, et francs à l'appui. Surtout, "The Family" est appuyé par une solide distribution. Je serai un poil dubitatif sur Dianna Agron : l'actrice a beau être craquante et enflammée, elle est clairement trop âgée (27 à l'époque) pour incarner une lycéenne (!). Mais on bénéfice de Michelle Pfeiffer, Tommy Lee Jones, et en particulier d'un Robert De Niro motivé. Quelques très bonnes références/vannes seront d'ailleurs trouvées autour du lui. Il cite une célèbre phrase d'Al Capone... qu'il a lui-même prononcée dans "The Intouchables". Et puis il y a cette très amusante séquence spoiler: dans un ciné-club, où son personnage revoit avec un grand sourire... "Goodfellas" !
Assez anecdotique au final, mais pas aussi mauvais que l'on pouvait craindre.
Giovanni Manzonni, un mafieux de New-York, a trahi son organisation et dénoncé les autres membres. Dans le cadre du programme de protection des témoins, le FBI l’a planqué en France, avec sa famille. Après un passage sur la Cote d’Azur, ou ils ont été repérés, il se retrouvent dans une petite ville de Normandie, sous le nom de Blake. Ils pourraient y vivre incognito éternellement, mais on ne chasse pas le naturel : il ne faut pas marcher sur les pieds des Blake, qui règlent tous les conflits à la castagne. Un supermarché qui saute par ce qu’on y critique ouvertement les américains devant madame, qui n’apprécie pas, un plombier qui se retrouve à l’hôpital après avoir tenté d’arnaquer monsieur, ou un adolescent qui se fait massacrer a la raquette de tennis par ce qu’il drague lourdement la fille ainée, …et le cadet n’est pas en reste. Cette comédie sanguinolente est jubilatoire, et on ne voit pas le temps passer. Ceux qui n’aiment pas le sang passent leur chemin, les autres vont aimer.
C'est le seul film depuis le cinquième élément qui m'a un peu réconcilié avec Luc Besson. C'est peu mais c'est déjà ça. Un film qui m'a plu car détonnant, décalé, avec un humour à prendre au 10ème degrés. Je me suis dit "mazette Luc Besson a eu une poussée d'inspiration", mais non... Car le scénario est tiré du roman du même nom. Luc Besson n'a fait que le mettre en scène, ce qui est déjà pas mal car il le fait bien. J'aime beaucoup l'ambiance du film, aidé d'une bande son sympathique, et bourré de référence du genre. Vraiment à voir, pour le film en lui même, et parce que Luc Besson ne fait plus rien de bien depuis 1997...
Besson a t'il vraiment fait ce film? Une succession de clichés (faux) sur les français qu'on pourrait sorties de l'imagination d'un americain n'ayant pas passé plus de 3 jours en France lors d'un voyage marathon en Europe. Qu'un français ait pu pondre un tel salmigondis est deconcertant. Au passage, le sujet est grotesque, et imaginer que 2 ado americains denarquant dans un lycée sans parler un mot de français et que tout le lycée va donc parler anglais avec eux comme dans le film est naturel laisse pantois.
Adaptation du roman éponyme de Tonino Benacquista. On retrouve Robert De Niro dans la peau - encore - d’un mafieux, Michelle Pfeiffer dans celui de sa femme et Tommy Lee Jones en agent du FBI chargé de protéger toute la famille fraîchement débarquée en Normandie. Bons acteurs mais c’est du Besson… elle ne présente aucun intérêt mais cette comédie noir d’action et hyper violente est plutôt récréative.
luc besson le réaisateur du 5 e element et de valerian et du grand bleu de nikita EuropaCorp et Relativity Media signent en mai 2012 un marché pour la coproduction de deux films incluant la distribution6. Le premier des deux films est Malavita, le deuxième est 3 Days to Kill (2014) Le scénario, écrit par Luc Besson et Michael Caleo, est adapté du roman Malavita de Tonino Benacquista, publié en 2004 La productrice Virginie Besson-Silla avoue que le scénario respecte presque totalement l'intrigue du roman À l'origine, Luc Besson ne devait être que scénariste et producteur du film. Mais après avoir développé le projet avec Robert De Niro et cherché d'éventuels metteurs en scène, il a décidé d'être aussi le réalisateur Le tournage débute le 14 août 2012 en France et se poursuit jusqu'en octobre 2012 entre la Normandie, (à Gacé, notamment au collège Jean-Moulin de la ville, transformé pour l’occasion en lycée Jules-Vallès, et surtout Le Sap, New York et la Cité du cinéma à Saint-Denis pendant un mois. Une partie du tournage a également eut lieu dans la ville de L'Aigle. En Normandie, l'équipe tourne également à Sainte-Foy-de-Montgommery (Calvados), Saint-Evroult-de-Montfort et Sées et L'Aigle (Orne). Quelques plans sont réalisées dans les Alpes-Maritimes Luc Besson était également ravi de tourner à la Cité du cinéma, pour la première fois en tant que réalisateur Le film projeté au ciné-club n'est autre que Les Affranchis de Martin Scorsese, producteur exécutif de Malavita