En généralité vue dans l’ensemble, une analyse avec le cinéma français, une liste dont on ne voit jamais ce que les scénarios veulent en venir, plus en déballant les paquets de mise en scène pluvieuse, plus la chaleur commence à monter et ça s’évapore pour devenir du vide transparent.
Ça fait toujours la tronche, ça râle, c’est triste, à plomber en coulant des larmes de désespéré brisé d’amour, y’a de la mélancolie dans ces relations de couple conflictuel perpétuel finira par éclater, voler en éclat toute la canalisation grincheux, la mélancolie du devoir marital a envie de partir.
La décision prise définitivement vers d’autre cieux plus radieux, moins stressante et plus épanouie une fois raccompagner, jeune, vif et rigoureux, c’est la mise en scène fantasque théâtrale fougueuse amoureux, le baiser du cinéma en fiction.
Cette comédie fait sourire par quelques scènes au resto sushi 🍣 thé 🍵verdoyant paisible luxuriant bishonen service à table, les disputes avec familiarité déconcertante, juste quelque mot suffit de spécialité choisi option facultative civilisation langue chinoise pictogramme.
Ni hao ma.....Msieur Jean-Pierre Bacri ! Volupté bourgeoisie magistrature paternaliste foufou transmission filiale aigrie, c’est tout un drame au puit peu profond, il y a de l’eau au fond et de l’espoir.
Ce film parle beaucoup, très certainement au sujet démagogique 2012, les partis qui s’opposent au pouvoir en place, laissant vacant le successeur de l’année de passation passée de mode inaperçue, ça ne dit rien ce film, les contrôles, suivis, ordres, illégalités, refus de coopérer, infractions, délits, outrages, interpellations, fichés.
L’astreint menotté libéré pour bonne conduite, vaguement évasif bourgeois gentilhomme fâcheux romantique, retrouvé de bonne volonté mais impatient, est de tous les bords de côté du paysage visuel national.