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Votre avis sur Cherchez Hortense ?
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Un bon téléfilm, malheureusement je ne peut pas tous saisir car je ne vis pas à l'intérieur du périphérique.
Mal ficele, pas credible, scenes mal jouees. Ce film n'a ni queue ni tete et en fin de compte tres peu d'interet.
Une distribution prestigieuse (Jean-Pierre Bacri, Kristin Scott Thomas, Isabelle Carrè) ne fait pas toujours un bon film. " Cherchez Hortense" de Pascal Bonitzer est de cela! Cette question d'identitè nationale (mais pas seulement nationale) est un thème auquel le cinèaste avait envie de traiter dans toutes ses dimensions! Bonitzer dècide donc de le faire à travers une comèdie que l'on peut qualifier d'aigre douce! Malheureusement la mayonnaise ne prend pas et son mètrage n'est jamais surprenant! Seul les derniers èchanges entre Bacri et Carrè apportent ce qui manquait jusque là: l'èmotion! Par son physique lumineux et fragile, elle est d' « ailleurs » . Sans Isabelle Carrè (et sans Bacri aussi), ce film ne serait qu'insignifiance! Quant à la grande Kristin Scott Thomas, elle est tristement transparente, Claude Rich en père homo / vachard en fait trop de son côtè et le jeune Marin Orcand Tourres est juste insupportable! Si on s'ennuie un peu, on se consolera d'une scène amusante entre Bacri et le serveur gay de restaurant japonais...
Très bon film.
La fin est prévisible, mais nous surprend quand même un peu.
Un casting parfait, sans fausse note, avec un fils au top !!
La fin est prévisible, mais nous surprend quand même un peu.
Un casting parfait, sans fausse note, avec un fils au top !!
Jean-Pierre Bacri est un acteur à part. Jouant la comédie depuis plus de trente ans, on le voit au cinéma régulièrement, mais pas dans n'importe quel film. Il prend le temps de les choisir avec soin afin d'être le plus en accord possible avec les personnages qu'il interprète. Dans Cherchez Hortense, il campe un homme un peu perdu qui doit demander à son père (l'excellent Claude Rich) de l'aider pour qu'une sans-papier serbe ne soit pas reconduite à la frontière.
Sur un sujet d'actualité, l'ex critique Pascal Bonitzer élargit son récit en créant différents personnages pour donner à son film plus de pistes de lecture et d'épaisseur. Le choix de confier le rôle principal à Bacri était évident. Archétype de l'antihéros (son enfant lui parle mal, sa femme le trompe, il n'a pas les tripes de parler à son père), l'acteur tient ici une de ses plus belles performances. Si l'aspect « bourru » lui collera éternellement à la peau, il propose un jeu tout en justesse, triste et passif à la fois.
Face à lui, Isabelle Carré fait plaisir à voir en cassant le stéréotype de l'émigré ne parlant pas un mot de français. Mais si ces comédiens sont tous aussi bons les uns que les autres, c'est surement grâce à cette plume précise donnant des dialogues bien ciselés, et offrant au public un scénario qui tient la route. Loin du pathétisme et des clichés faciles, le film est plus humain que politique, vise le social et non la polémique.
Cherchez Hortense se laisse regarder même s'il n'a rien d'extraordinaire. Il rentre dans la lignée de ces films qui penchent vers le cinéma d'auteur sans être pour autant déroutant pour un spectateur lambda.
Sur un sujet d'actualité, l'ex critique Pascal Bonitzer élargit son récit en créant différents personnages pour donner à son film plus de pistes de lecture et d'épaisseur. Le choix de confier le rôle principal à Bacri était évident. Archétype de l'antihéros (son enfant lui parle mal, sa femme le trompe, il n'a pas les tripes de parler à son père), l'acteur tient ici une de ses plus belles performances. Si l'aspect « bourru » lui collera éternellement à la peau, il propose un jeu tout en justesse, triste et passif à la fois.
Face à lui, Isabelle Carré fait plaisir à voir en cassant le stéréotype de l'émigré ne parlant pas un mot de français. Mais si ces comédiens sont tous aussi bons les uns que les autres, c'est surement grâce à cette plume précise donnant des dialogues bien ciselés, et offrant au public un scénario qui tient la route. Loin du pathétisme et des clichés faciles, le film est plus humain que politique, vise le social et non la polémique.
Cherchez Hortense se laisse regarder même s'il n'a rien d'extraordinaire. Il rentre dans la lignée de ces films qui penchent vers le cinéma d'auteur sans être pour autant déroutant pour un spectateur lambda.
Je m’oblige toujours, pour écrire une critique, à regarder un film jusqu’à la fin et parfois c’est vraiment une épreuve, dans le cas de ce film ça m’a vraiment demandé beaucoup d’efforts pour ne pas interrompe cette torture au bout d’une heure (sachant que je m'embêtais déjà au bout de vingt minutes). J’ai rarement éprouvé devant un film un tel ennuis mêlé d’irritation que devant cette comédie dramatique nanti pourtant d’un casting alléchant : Jean-Pierre Bacri, Kristin Scott Thomas, Isabelle Carré, Claude Rich et Jackie Berroyer. Car en fait ce long-métrage, hormis cette distribution de qualité, n’a rien qui puisse être sauvé du naufrage. L’intrigue pour commencer est sans grand intérêt et est juste un prétexte à des péripéties incongrues et parfois franchement inutiles à son déroulé. Les personnages sont de pâles silhouettes qui peinent à convaincre un spectateur dubitatif et ce d’autant plus qu’il ne se dégage de ce film pas la moindre once d’émotion ou de quelque chose de vaguement ressemblant. Et ce n’est pas les dialogues qui donnent plus de corps au film, tant ils ressemblent par leur artificialité à des répliques de mauvais théâtre. On passe donc tout le film à regarder sa montre à intervalles réguliers en maudissant le temps de ne pas passer plus vite et finalement à éprouver un profond soulagement quand cette purge se termine avec le début du générique de fin. Parfois je trouve les critiques, qui décrivent le cinéma français comme globalement mauvais, exagérées et pour tout dire de mauvaise foi, mais avec un film comme ça je me dis que ce dernier tend le bâton pour se faire frapper. Franchement un long-métrage ennuyeux, au propos inconsistant dont on pourra sans regret ignorer jusqu'à l’existence sans que cela ne soit pénalisant pour sa culture personnelle.
Voilà un pur produit de cinéma parisien pour bobos sans réelle histoire si ce n'est l’éternelle redite sur le couple en crise sur fond politique, ici l'expulsion des sans papiers.
Mention spéciale pour Jean Pierre Bacri que j'adore et qui porte le film sur ses épaules, sinon à part ça pas grand chose à retenir, typique du film français qui se laisse regarder mais dont on se sait jamais trop où il veut nous mener.
Mention spéciale pour Jean Pierre Bacri que j'adore et qui porte le film sur ses épaules, sinon à part ça pas grand chose à retenir, typique du film français qui se laisse regarder mais dont on se sait jamais trop où il veut nous mener.
Toute la quintessence du jeu d'acteur dans celui de Jean-Pierre Bacri ici même, dans le nouveau film de Pascal Bonitzer. Non pas que l'oeuvre en elle même soit extra (une histoire de vie en déliquescence où tout semble échapper au personnage principale en pleine crise de la 40taine), mais surtout parce que Bacri nous sort une récital hors du commun en passant par tous les états possibles ou presque des ressentiments sortant de sa bulle de "mec aigri". Une performance magistrale qui porte le film du début à la toute fin tant on est pris dans le prisme de l'existence de son personnage au destin pourtant "déjà vu". Les satellites autour sont très bien également (Isabelle Carré, Kristin Scott Thomas et le surprenant m^me qui joue son fils) et transforme cette histoire simplette en un très agréable moment de cinéma.
Nicolas V
je suis fan de bacri et adore tout ses films mais dans ce dernier, l'acteur ( ou son personnage ) est fade, avec une certaine mélancolie et douceur mais fade quand meme. le film est long, trop long.
Pourtant j'aime bien Jean-Pierre Bacri, mais la ce coup si rien n'a fait capter mon attention jusqu'au bout. La mise en scènes est d'une lenteur, qu'on s'ennui très vite. Le scénario n'est pas bien intéressant non plus, malgré quelque rebondissement on n'accroche pas vraiment. La fin n'est pas du tout original et d'un ridicule sans nom. Sa se laisse regarder mais dans l'ensemble c'est décevant.
très déçu par ce film pourtant très fan de bacri
je me suis ennuyé dans ce film lent et ennuyeux
je n'ai pas compris le titre du film, qui est Hortense ? aurais je loupé quelque chose ?
je me suis ennuyé dans ce film lent et ennuyeux
je n'ai pas compris le titre du film, qui est Hortense ? aurais je loupé quelque chose ?
On peut dire ce qu'on veut sur les films français parisiens/intellos/gauchistes/bobos, au moins on les réussit bien. Nouvel exemple ici avec une jolie (mais mélancolique tout de même) histoire de couple qui se déchire sur fond de sans-papier en voie d'expulsion à sauver. Excellent casting (Bacri en tête) et dialogues drôles et piquants. On se régale !
On a du mal à en dire du mal mais ce film est très frustrant. Une comédie typiquement française : bons acteurs, dialogues qui font mouche, scénario inventif, réalisation classique, etc. Mais au final, la mayonnaise ne prend pas totalement. Se laisse voir malgré tout.
Jubilatoire! Evidemment, on n'est pas chez Ken Loach donc un peu loin d'un drame social sur les sans papiers... un peu parisien sur les bords peut être, mais c'est frais, souvent drôle, les acteurs sont excellents, les dialogues font mouche, Bacri a même une petite touche inhabituelle de positivisme (petite!). Tout ça fait de ce film une jolie ballade familiale, amoureuse et sociale comme on les aime....
Très bon film où plusieurs thèmes sont abordés (sans papier, infidélité, rapport père/fils, rapport amoureux).
Bacri est égal à lui même c'est à dire excellent, et Claude Rich est exceptionnel dans son rôle de père inabordable.
Les seules critiques sont les rôles de Beroyer en fiancé d'une jeune femme sans papier, et le trop peu de différence d'âge entre le père et le fils (Claude Rich et Bacri) qui ne sont pas très crédibles.
Bacri est égal à lui même c'est à dire excellent, et Claude Rich est exceptionnel dans son rôle de père inabordable.
Les seules critiques sont les rôles de Beroyer en fiancé d'une jeune femme sans papier, et le trop peu de différence d'âge entre le père et le fils (Claude Rich et Bacri) qui ne sont pas très crédibles.
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