AlloCiné
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Votre avis sur San Andreas ?
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benoitG80
"San Andreas" est le champion du scénario creux, bateau et ridicule...
Un film, même du genre catastrophe doit-il forcément en être privé à ce point ?
On frise tellement le n'importe quoi dans cette histoire qui réunit une famille plutôt à la dérive, où le père taillé comme un roc, sauveteur de métier, va finalement ne sauver que les siens grâce à de nombreux moyens de transport qu'il va trouver sans problème, à tel point qu'on se demande d'ailleurs s'il y a d'autres habitants touchés par cet énorme séisme à San Francisco !!!
Et donc même si les effets spéciaux très réussis sont efficaces et incroyables de réalisme, après les premières images très impressionnantes, très vite. on ne ressent plus aucune peur, plus aucune sensation de voir toute cette panique, toute cette folie généralisée, puisque seuls ces cinq personnages très stéréotypés font l'objet du film...
Ça devient donc très rapidement lourd et fatigant, avec des ficelles tellement énormes que cette réalisation de Brad Peyton, fait presque rire alors que l'on ne devrait ressentir que de l'angoisse, du stress, et donc de très fortes émotions !
Tout est deviné à l'avance, que ce soient les dialogues d'une pauvreté affligeante ou les rebondissements plutôt risibles de bêtise, tant les coïncidences de se retrouver sont flagrantes, devenant ainsi de parfaites incohérences ! Impensable...
Les acteurs ont ainsi des rôles basiques, avec un jeu qui l'est tout autant.
Aucune imagination à l'horizon, à un point jamais vu...
Il fallait oser mettre sur pied un scénario pareil, sans un soupçon de psychologie, sans s'attacher à différents groupes de personnages pour qu'une identification se mette en place et crée ainsi un minimum d'implication, avec le bouleversement et l'effroi que l'on aurait dû au moins ressentir.
Quant à la fin typiquement hollywoodienne, archi prévisible et attendue, c'est franchement la cerise sur le gâteau, ici bourré de crème fraîche bien épaisse !
Alors oui, très passivement, on assiste dépassé mais parfaitement détaché, à l'ampleur de cette catastrophe par le tremblement de terre et les dégâts inimaginables qu'il occasionne, et ensuite ?
Tout film quel qu'il soit mérite un traitement original, un travail et une recherche au niveau de l'histoire et des hommes qui la font.
C'est un minimum pour faire naître la crédibilité, indispensable et essentielle d'ailleurs à ce genre de production !
Une vraie et grosse déception par rapport à d'autres réalisations dans le genre, bien plus anciennes mais infiniment mieux réussies.
Il reste cependant un point très positif, on est ensuite très content de retrouver son "chez soi" à l'abri de son toit, de préférence dans une petite maison très basse bien ancrée sur le plancher des vaches...
Un film, même du genre catastrophe doit-il forcément en être privé à ce point ?
On frise tellement le n'importe quoi dans cette histoire qui réunit une famille plutôt à la dérive, où le père taillé comme un roc, sauveteur de métier, va finalement ne sauver que les siens grâce à de nombreux moyens de transport qu'il va trouver sans problème, à tel point qu'on se demande d'ailleurs s'il y a d'autres habitants touchés par cet énorme séisme à San Francisco !!!
Et donc même si les effets spéciaux très réussis sont efficaces et incroyables de réalisme, après les premières images très impressionnantes, très vite. on ne ressent plus aucune peur, plus aucune sensation de voir toute cette panique, toute cette folie généralisée, puisque seuls ces cinq personnages très stéréotypés font l'objet du film...
Ça devient donc très rapidement lourd et fatigant, avec des ficelles tellement énormes que cette réalisation de Brad Peyton, fait presque rire alors que l'on ne devrait ressentir que de l'angoisse, du stress, et donc de très fortes émotions !
Tout est deviné à l'avance, que ce soient les dialogues d'une pauvreté affligeante ou les rebondissements plutôt risibles de bêtise, tant les coïncidences de se retrouver sont flagrantes, devenant ainsi de parfaites incohérences ! Impensable...
Les acteurs ont ainsi des rôles basiques, avec un jeu qui l'est tout autant.
Aucune imagination à l'horizon, à un point jamais vu...
Il fallait oser mettre sur pied un scénario pareil, sans un soupçon de psychologie, sans s'attacher à différents groupes de personnages pour qu'une identification se mette en place et crée ainsi un minimum d'implication, avec le bouleversement et l'effroi que l'on aurait dû au moins ressentir.
Quant à la fin typiquement hollywoodienne, archi prévisible et attendue, c'est franchement la cerise sur le gâteau, ici bourré de crème fraîche bien épaisse !
Alors oui, très passivement, on assiste dépassé mais parfaitement détaché, à l'ampleur de cette catastrophe par le tremblement de terre et les dégâts inimaginables qu'il occasionne, et ensuite ?
Tout film quel qu'il soit mérite un traitement original, un travail et une recherche au niveau de l'histoire et des hommes qui la font.
C'est un minimum pour faire naître la crédibilité, indispensable et essentielle d'ailleurs à ce genre de production !
Une vraie et grosse déception par rapport à d'autres réalisations dans le genre, bien plus anciennes mais infiniment mieux réussies.
Il reste cependant un point très positif, on est ensuite très content de retrouver son "chez soi" à l'abri de son toit, de préférence dans une petite maison très basse bien ancrée sur le plancher des vaches...
"Salut, je m'appelle Nathalie, j'ai vingt ans et je suis blonde, donc je dois avoir de belles parties, aussi bien sous mon visage qu'au dessus de mes pieds, et vu que j'ai l'air d'être aussi idiote que ces derniers, je vais vous raconter une histoire encore plus bête que moi. Alors un jour, j'étais en promenade dans ma grosse voiture bien américaine, j'écoutais de la musique pop commerciale, j'écrivais sur mon portable des SMS pour mon petit ami, étant au volant et en pleine route de montagne! J'ai failli me manger deux ou trois gros cailloux et belles bagnoles, je fumais quand même un gros pet' et buvais de l'alcool à gros goulot, oh non ça a été coupé au montage! Mais là il y'a eu une vachement grosse avalanche en fait, et j'ai perdu le contrôle de mon véhicule, je me retrouve donc dans un fossé de dix kilomètres de longueur! Là j'entends un gros engin qui s'approche de moi, d'abord je pense à une tondeuse à gazon, mais je me suis rappelé que ça ne volait pas, alors je vois un mec sortir d'un hélicoptère accroché à un fil, comme les anges dans le concert de Mylène Farmer, et je me projette! Je ne sais pas pourquoi, mais ma voiture s'est précipité vers le vide, alors j'ai eu peur quoi, mais là Musclor arrive dans la place, et ses gros bras me sauve! En fait moi j'ai rien servi à l'intrigue, je ne suis qu'une poupée d'Hollywood utilisée pour faire apparaître un autre personnage, comme ceux qui font la promotion de l'oeuvre d'autrui. Je ne suis que ça." De la scène d'introduction jusqu'au générique, "San Andreas" rempile sur les caricatures et les effets de mauvaise qualité. Tentant vulgairement d'inspirer une bonne image au spectateur , les scénaristes font jaillir de terre l'identité de Johnson pour jouer un père de famille "de bonne qualité". Si, vous savez, le type qui laisserait mourir des centaines de milliers de personnes juste pour sa fille. Ah , pauvre Alexandra... Une seule identité : celle de la jeune demoiselle trop gentille-trop bête. On lui marche dessus? Pas grave! Son maquillage coule? Horreur, vite, un coup de Photoshop pour la rendre blanche de chez blanche et pour que le spectateur le plus incrédule se demande si elle va mourir ou non! Quel suspense incroyable! Et ne parlons pas des personnalités du beau-père ou du petit ami, sinon on en aurait encore pour quatre pages.
7eme critique
Et un film catastrophe sans innovation, c'est parti !
Le premier sauvetage et son ridicule hors-norme annoncent déjà bien la couleur : sécuriser la voiture plutôt que de prendre la fille rapidement par le pare-brise...mouais...chacun sa méthode après-tout. Mais ce n'est pas tout, attendez que The Rock ramène sa fraise en arrachant la portière à main-nue façon Terminator pour sauver la fille…allez hop, la tentative d'immersion du film catastrophique ne sera toujours pas pour cette-fois. Nombreux abandonneront dès les cinq premières minutes, et ce sera parfaitement compréhensible. La sauce habituelle continue de dégouliner généreusement sur le genre "catastrophe" : le mec qui court à la limite du séisme, fissures aux pieds ; le fameux sauvetage de la petite chialeuse repliée sur elle-même, et le sacrifice tout aussi "inattendu"… D’autres spectateurs partiront à ce moment-là, et une fois de plus, on ne pourra pas leur en vouloir. Puis débarque le cas du divorce qui s’installe dans le scénario, avec ce dénouement classique qui nous vient instinctivement en tête, à savoir assister à la réconciliation du couple sous les actes héroïques de son perso principal…le film ne nous donnera pas tort. Tous ces clichés écœurants en moins de vingt minutes, adossés à un scénario indigeste sans originalité aucune, c'est un vrai raz-de-marée d'inutilités qui s'abat sur "San Andreas". Non loin d’un "Deep Impact" ou plus récemment d’un "2012", mais malheureusement sorti à la bourre, à une époque où ce type de cinéma, traité ainsi, en plus de ne rien révolutionner, n'arrivera même pas à tuer le temps. "San Andreas" pourra toutefois satisfaire les amateurs de divertissement grandeur nature (et non pas de cinéma), avant de filer tout droit sur les chaînes câblées type SyFy, mais ne hérissera pas le moindre poil du passionné de cinéma, tant ce film sonne comme un plagiat total des films du genre. On sent tout venir à l’avance, c’est écrit avec la plume (enfin plutôt les pieds) d’un débutant, et ça en deviendra à la limite du supportable. Originalité zéro, humour zéro ! Comment peut-on engager un tel scénariste ?... Bref, "San Andreas" restera du même acabit que les films de Roland Emmerich & compagnie, ceux qu'on pensait pourtant largement périmés en 2015.
Le premier sauvetage et son ridicule hors-norme annoncent déjà bien la couleur : sécuriser la voiture plutôt que de prendre la fille rapidement par le pare-brise...mouais...chacun sa méthode après-tout. Mais ce n'est pas tout, attendez que The Rock ramène sa fraise en arrachant la portière à main-nue façon Terminator pour sauver la fille…allez hop, la tentative d'immersion du film catastrophique ne sera toujours pas pour cette-fois. Nombreux abandonneront dès les cinq premières minutes, et ce sera parfaitement compréhensible. La sauce habituelle continue de dégouliner généreusement sur le genre "catastrophe" : le mec qui court à la limite du séisme, fissures aux pieds ; le fameux sauvetage de la petite chialeuse repliée sur elle-même, et le sacrifice tout aussi "inattendu"… D’autres spectateurs partiront à ce moment-là, et une fois de plus, on ne pourra pas leur en vouloir. Puis débarque le cas du divorce qui s’installe dans le scénario, avec ce dénouement classique qui nous vient instinctivement en tête, à savoir assister à la réconciliation du couple sous les actes héroïques de son perso principal…le film ne nous donnera pas tort. Tous ces clichés écœurants en moins de vingt minutes, adossés à un scénario indigeste sans originalité aucune, c'est un vrai raz-de-marée d'inutilités qui s'abat sur "San Andreas". Non loin d’un "Deep Impact" ou plus récemment d’un "2012", mais malheureusement sorti à la bourre, à une époque où ce type de cinéma, traité ainsi, en plus de ne rien révolutionner, n'arrivera même pas à tuer le temps. "San Andreas" pourra toutefois satisfaire les amateurs de divertissement grandeur nature (et non pas de cinéma), avant de filer tout droit sur les chaînes câblées type SyFy, mais ne hérissera pas le moindre poil du passionné de cinéma, tant ce film sonne comme un plagiat total des films du genre. On sent tout venir à l’avance, c’est écrit avec la plume (enfin plutôt les pieds) d’un débutant, et ça en deviendra à la limite du supportable. Originalité zéro, humour zéro ! Comment peut-on engager un tel scénariste ?... Bref, "San Andreas" restera du même acabit que les films de Roland Emmerich & compagnie, ceux qu'on pensait pourtant largement périmés en 2015.
Catastrophique....... San Andréas ou la parabole d'un gigantesque séisme pour nous prouver que le mariage est sacré, que le divorce c'est pas bien, que les beaux pères sont des lâches (puni par un gros container), que les papas sont des héros (surtout quand ils sont secouristes), que les secouristes savent piloter toutes sortes d'engins et préparer le café, que les victimes n'ont aucune importance si elles ne font pas partie de votre famille (ou à la rigueur de vos amis), que les mères ont tout intérêt à rester avec leur mari secouriste et à lui obéir, que les images sont spectaculaires, qu'il n'y a aucune émotion tellement on sait que le héros est un héros et que les incohérences sont aussi nombreuses que les victimes de ce truc............. film catastrophe qui porte bien son nom........ 1/2 étoile pour les images (comme à l'école)...... les scénaristes et producteurs hollywoodiens se comportent comme des idéologues et nous bassinent avec leur morale.....
Comment une daube pareil peut avoir une note moyenne aussi élevée, je m'interroge. Là, je trouve que Roland Emmerich a trouvé à qui parler. Les personnages sont tous des stéréotypes en puissance: la famille séparée mais on sait qu'à la fin, tout rentrera dans l'ordre, que le beau-père est évidemment un salaud de première, que le père est un héro, sans oublier le futur petit ami qui sauve la fille. D'ailleurs le père secouriste n'en a rien à carrer des autres, il veut sauver SA fille, les survivants peuvent crever. Et j'allais oublier les scientifiques que personnes ne croient mais on se rend compte qu'ils ont raison à la fin. Et puis sinon, les immeubles tombent, le tsunami , on a notre quota de situation "sauvetage à la limite" tous les 15 minutes, il ne faudrait que le péquin moyen s'endorme. Et puis à la fin, tout le monde se retrouve bras dessus bras dessous, sur fond de Soleil couchant, avec la bannière étoilée, tellement émouvant que je n'ai pu m’empêcher de me lever, les larmes aux yeux en entonnant l'hymne américain, la main sur le cœur.
Attention cet avis contient des spoilers tels que :
spoiler:
le soutien gorge d'Alexandra Daddario est antisismique. Il encaisse les coups mais retrouve irrésistiblement sa place.
À Hollywood on n'a pas d'idées mais on a de l'argent. Bon les gars, ça fait longtemps qu'on n'a pas sorti un film catastrophe. On relance le genre? Les tornades, les volcans, les ères glaciaires, les requins volants, la moussaka géante...déjà fait...les astéroïdes, les extraterrestres...trop lointains...le feu...on ne sait pas faire en numérique...les plantes qui ne poussent pas, la mort des abeilles, trop intello...des nazis zombies partis se cacher à l'époque des dinosaures reviennent dans le présent pour voler le big data?! Celui qui a dit ça est viré, j'ai vraiment pas le temps. Non les gars, je veux un truc proche, primaire et naturel. Un truc crédible mais énorme! Comme le 11 septembre mais...bio. Et non, pas de virus ni de radioactivité, je veux du très grand spectacle, pas des gens qui vomissent du sang. On vend du pop-corn, pas des tranquillisants. Fuku quoi? Shima? Un tremblement de terre? Déjà vu non? Pas trop depuis 74? Et ça on sait faire en numérique? Oui ? Banco garçon! On va faire tomber de l'immeuble! Même Transformers et Superman se sentiront tout petits. « The Rock » est toujours sous contrat. Une force de la nature contre une autre force de la nature ; je me trouve vraiment génial parfois! Non, il ne fera pas des pompes au sol pour empêcher la terre de trembler. Je veux un héros normal, un père de famille. Dwayne n'est pas qu'une montagne de muscles, il a aussi un cœur gros comme ça. D'ailleurs pour meubler entre deux séismes de destruction massive , on va lui faire entamer une introspection psychanalytique et...quoi? Il y a des mots que vous ne comprenez pas? Sandra Bullock, Gravity? Toujours pas? OK, on ne va pas se prendre la tête ni ouvrir un dictionnaire: on va la jouer beaucoup moins subtil et beaucoup plus américain, promis. Alors c'est parti, je ne veux plus voir une tour debout à la fin, secouez-vous les gars...et secouez le monde entier. Moralité : on peut fracasser des gratte-ciel sans forcement casser des briques.
À Hollywood on n'a pas d'idées mais on a de l'argent. Bon les gars, ça fait longtemps qu'on n'a pas sorti un film catastrophe. On relance le genre? Les tornades, les volcans, les ères glaciaires, les requins volants, la moussaka géante...déjà fait...les astéroïdes, les extraterrestres...trop lointains...le feu...on ne sait pas faire en numérique...les plantes qui ne poussent pas, la mort des abeilles, trop intello...des nazis zombies partis se cacher à l'époque des dinosaures reviennent dans le présent pour voler le big data?! Celui qui a dit ça est viré, j'ai vraiment pas le temps. Non les gars, je veux un truc proche, primaire et naturel. Un truc crédible mais énorme! Comme le 11 septembre mais...bio. Et non, pas de virus ni de radioactivité, je veux du très grand spectacle, pas des gens qui vomissent du sang. On vend du pop-corn, pas des tranquillisants. Fuku quoi? Shima? Un tremblement de terre? Déjà vu non? Pas trop depuis 74? Et ça on sait faire en numérique? Oui ? Banco garçon! On va faire tomber de l'immeuble! Même Transformers et Superman se sentiront tout petits. « The Rock » est toujours sous contrat. Une force de la nature contre une autre force de la nature ; je me trouve vraiment génial parfois! Non, il ne fera pas des pompes au sol pour empêcher la terre de trembler. Je veux un héros normal, un père de famille. Dwayne n'est pas qu'une montagne de muscles, il a aussi un cœur gros comme ça. D'ailleurs pour meubler entre deux séismes de destruction massive , on va lui faire entamer une introspection psychanalytique et...quoi? Il y a des mots que vous ne comprenez pas? Sandra Bullock, Gravity? Toujours pas? OK, on ne va pas se prendre la tête ni ouvrir un dictionnaire: on va la jouer beaucoup moins subtil et beaucoup plus américain, promis. Alors c'est parti, je ne veux plus voir une tour debout à la fin, secouez-vous les gars...et secouez le monde entier. Moralité : on peut fracasser des gratte-ciel sans forcement casser des briques.
Bon voila un film ou certains auront la gâchette facile pour le descendre, mais ils oublient le genre de film que c'est : "catastrophe", et sur ce point la, le film rempli parfaitement le cahier des charges.. Attention loin de moi de dire que c'est un chef d’œuvre ou que c'est le film de l'année, simplement que celui qui va voir le film c'est à quoi s'attendre, donc si on aime pas visiblement on se précipite pas pour le voir, car les bandes annonces, l'affiche etc. sont assez explicite sur le film...
Moi personnellement je l'ai trouver plus intéressant et plus plausible que "2012", alors bien sur il y a de nombreux cliché mais ça n'en gâche pas le film pour autant.
Il y a pas mal de passage intéressants ou on retiens son souffle. Le numérique est bien fait et il est un niveaux au dessus que "2012" dans l'immersion et le réalisme mais on s'en encore le fond vert sur certain passage pour les plus pointilleux. Le film à droit a sa version 3D qui est absolument inutile...
Quand à l'histoire elle est principalement concentrer sur une famille lambda qui est plutôt attachante, bien que bourré de stéréotype .. bref je pense pas qu'il y est besoin d'en faire des pages entière pour décrire ce film, simplement que c'est une bonne surprise dans le genre catastrophique avec des clin d’œil pour ses ainés, forcé de constater l'inspiration sur des grands films comme "La Tour Infernal", "Le Jour d'Après", "L'Aventure du Poséidon" et bien d'autre... j'ai passé deux bonnes heures et lui met donc un 15/20
Moi personnellement je l'ai trouver plus intéressant et plus plausible que "2012", alors bien sur il y a de nombreux cliché mais ça n'en gâche pas le film pour autant.
Il y a pas mal de passage intéressants ou on retiens son souffle. Le numérique est bien fait et il est un niveaux au dessus que "2012" dans l'immersion et le réalisme mais on s'en encore le fond vert sur certain passage pour les plus pointilleux. Le film à droit a sa version 3D qui est absolument inutile...
Quand à l'histoire elle est principalement concentrer sur une famille lambda qui est plutôt attachante, bien que bourré de stéréotype .. bref je pense pas qu'il y est besoin d'en faire des pages entière pour décrire ce film, simplement que c'est une bonne surprise dans le genre catastrophique avec des clin d’œil pour ses ainés, forcé de constater l'inspiration sur des grands films comme "La Tour Infernal", "Le Jour d'Après", "L'Aventure du Poséidon" et bien d'autre... j'ai passé deux bonnes heures et lui met donc un 15/20
Autant vous le dire dès le départ, voir un film comme San Andreas, quelques jours seulement après avoir vu l’excellent Mad Max : Fury Road, a été pour moi un supplice, et le moins que l’on puisse dire c’est que le film souffre clairement de la comparaison. Tout est clair dans San Andreas : on assiste à un blockbuster pur et dur qui n’a aucune autre ambition que de nous en mettre plein la vue. Le film est stupide au possible et prend surtout le spectateur pour un analphabète sans cerveau. Oui, ma critique sera dure, car je vous avoue que j’ai vu là un des pires films de catastrophe qu’il m’ait été donné de voir.
On suit donc ici l’histoire de Ray, un chef secouriste, sorte de super-héros américain des temps modernes. Il est en parallèle un père de famille traumatisé par le décès de l’une de ses filles dont il s’attribue la culpabilité. Alors qu’un énorme séisme menace Los Angeles et San Francisco, l’homme va tout faire pour sauver sa fille et sa future ex-femme à bord de son hélicoptère de secourisme. On le voit ainsi survoler toute la Californie sans même être un tant soit peu perturbé par les ponts, les immeubles et les routes qui s’effondrent tout autour de lui.
En parallèle, on suit bien évidemment un scientifique qui semble tout proche de pouvoir prévoir ce genre d’événements. Il va passer la grande majorité de son temps enfermé dans son bunker à regarder ses écrans et alerter le monde entier de la catastrophe qui se prépare. Les effets spéciaux sont bien entendu la meilleure arme de ce film. Et pourtant, j’ai été particulièrement déçu sur ce point-là. Il est vrai que certaines scènes sont impressionnantes, mais tout semble faux et les vagues sismiques semblent tout droit sorties du jeu vidéo Sim City. Là où Mad Max nous offrait des scènes qui semblaient réelles, on a le droit ici à un film beaucoup plus sensuel et souvent mal fait. Tout est tellement raté qu’on ne ressent rien face à cette catastrophe et qu’aucune émotion ne nous traverse !
[...]
Un film que les amateurs du genre apprécieront peut-être mais que j'ai personnellement détesté ! Des personnages creux au possible, des invraisemblances scénaristiques incroyables et des effets spéciaux décevants ... Un blockbuster sans saveur.
On suit donc ici l’histoire de Ray, un chef secouriste, sorte de super-héros américain des temps modernes. Il est en parallèle un père de famille traumatisé par le décès de l’une de ses filles dont il s’attribue la culpabilité. Alors qu’un énorme séisme menace Los Angeles et San Francisco, l’homme va tout faire pour sauver sa fille et sa future ex-femme à bord de son hélicoptère de secourisme. On le voit ainsi survoler toute la Californie sans même être un tant soit peu perturbé par les ponts, les immeubles et les routes qui s’effondrent tout autour de lui.
En parallèle, on suit bien évidemment un scientifique qui semble tout proche de pouvoir prévoir ce genre d’événements. Il va passer la grande majorité de son temps enfermé dans son bunker à regarder ses écrans et alerter le monde entier de la catastrophe qui se prépare. Les effets spéciaux sont bien entendu la meilleure arme de ce film. Et pourtant, j’ai été particulièrement déçu sur ce point-là. Il est vrai que certaines scènes sont impressionnantes, mais tout semble faux et les vagues sismiques semblent tout droit sorties du jeu vidéo Sim City. Là où Mad Max nous offrait des scènes qui semblaient réelles, on a le droit ici à un film beaucoup plus sensuel et souvent mal fait. Tout est tellement raté qu’on ne ressent rien face à cette catastrophe et qu’aucune émotion ne nous traverse !
[...]
Un film que les amateurs du genre apprécieront peut-être mais que j'ai personnellement détesté ! Des personnages creux au possible, des invraisemblances scénaristiques incroyables et des effets spéciaux décevants ... Un blockbuster sans saveur.
Un film catastrophe qui met en scène une famille confrontée à des séismes dévastateurs touchant les villes de Los Angeles et San Francisco, et causés par l'ouverture de la faille de San Andreas. La réalisation offre dans son ensemble un visuel travaillé et de belles images spectaculaires. Cependant, en deuxième partie, le scénario trop faible voire inexistant ne parvient plus à nous tenir en haleine. De plus, le jeu d’acteurs s'avère médiocre, les personnages sont fades et sans charisme, et le film cumule clichés, situations incohérentes et scènes prévisibles. Une réalisation dans la veine de "2012", que l’on oubliera tout aussi vite !
Quelle quasi-catastrophe que ce San Andreas.
Impression de la bande-annonce confirmée : tout dans ce film est du déjà-vu (à croire que la faille de San Andreas est appelée à s'effondrer pour de bon, tant Superman (version Donner de 1978), Emmerich dans son 2012 et autres l'ont déjà évoquée) sans aucun jeu d'acteurs (certes mieux que Black Storm, sur ce point impossible de faire pire).
Mais où le film pêche le plus, c'est par le manque d'originalité des séquences à effets visuels : Là où Emmerich savait nous faire bondir de 2 mètres de notre siège (notamment dans 2012 et le jour d'après), aucune scène ne m'a provoqué d'effroi et la scène d'ouverture est une telle catastrophe dans son déroulement que l'on sait tout de suite à quoi s'en tenir. Le summum est une séquence de sauvetage aquatique qui vous rappellera un grand film de Cameron spoiler: (pas Titanic l'autre)
et qui est absolument massacrée par rapport à l'originale (l'une de mes scènes cultes du réalisateur). Et la 3D? Euhhh oui? Si elle n'était pas là, il n'y aurait eu aucune différence.
Vous l'aurez compris, si vous voulez vérifier par vous-mêmes, allez-y, sinon abstenez-vous pour votre bien (et j'espère que l'on en a fini avec ces genres catastrophes, car là, ça lasse vraiment)
Impression de la bande-annonce confirmée : tout dans ce film est du déjà-vu (à croire que la faille de San Andreas est appelée à s'effondrer pour de bon, tant Superman (version Donner de 1978), Emmerich dans son 2012 et autres l'ont déjà évoquée) sans aucun jeu d'acteurs (certes mieux que Black Storm, sur ce point impossible de faire pire).
Mais où le film pêche le plus, c'est par le manque d'originalité des séquences à effets visuels : Là où Emmerich savait nous faire bondir de 2 mètres de notre siège (notamment dans 2012 et le jour d'après), aucune scène ne m'a provoqué d'effroi et la scène d'ouverture est une telle catastrophe dans son déroulement que l'on sait tout de suite à quoi s'en tenir. Le summum est une séquence de sauvetage aquatique qui vous rappellera un grand film de Cameron spoiler: (pas Titanic l'autre)
et qui est absolument massacrée par rapport à l'originale (l'une de mes scènes cultes du réalisateur). Et la 3D? Euhhh oui? Si elle n'était pas là, il n'y aurait eu aucune différence.
Vous l'aurez compris, si vous voulez vérifier par vous-mêmes, allez-y, sinon abstenez-vous pour votre bien (et j'espère que l'on en a fini avec ces genres catastrophes, car là, ça lasse vraiment)
Le film commence très mal en nous montrant un accident de voiture doté d'effet spéciaux scandaleusement ridicules.. Une voiture qui tombe d'une falaise en faisant des tonneaux dans le sens de la longueur à une vitesse folle et d'une façon surréaliste. Bref, tout les espoirs de voir un bon film s'effondre alors. Cependant, la scène de destruction du barrage Hoover nous surprend par son réalisme et nous scotche au fauteuil. Les espoirs renaissent. Et ces espoirs seront comblés par l'heure et demi qui suit : c'est un veritable divertissement spectaculaire qui nous est offert. Le film n'a pas la prétention de se vendre par son scénario qui reste modeste mais par son action et ses effets spéciaux spectaculaires. C'est un film catastrophe assumé et ceux qui vont voir un film dans ce genre dans l'espoir qu'on leur offre autre chose que du divertissement et de la destruction : vous n'avez rien compris, passez donc votre chemin. Ce serait comme espérer voir un bain de sang dans la "Reine des neiges". Pour les autres, amateurs de films catastrophes tels que "2012", "le jour d'Après" ou encore "Prediction", "San Andreas" n'a rien à leur envier. Réaliste, immersif, surprenant et intense, tels sont les qualificatifs que je lui attribuerai. Le film tient en haleine à chaque répliques du séisme qui fait trembler San Francisco et Los Angeles et conduit à cet immense Tsunami très réussi lui aussi. Certes nombreux, ce ne sont pas les clichés du films qui réduiront son intensité. L'action étant présente du début à la fin sans trop en inonder le film. Le rythme est bien dosé. Les acteurs sont corrects. Les musiques et bruitages accompagnent parfaitement le long-métrage. Un bon film pour les friands de films catastrophes, un mauvais film pour les autres. 14/20
[Edit : Merci au modérateur de noter que ma critique ne contient aucun spoiler ni aucune vulgarité (les termes médicaux étant tout aussi courtois que les références au monde animal, avisées), qu'elle est écrite dans un français correcte et qu'enfin, soyons honnête, le film le mérite]. J'aimerai commencer cette critique en célébrant cet excrément comme il le mérite : je gonfle mes biceps créatinés et entrechoque mes parties au rythme d'un chant patriote américain. Cette année le Box Office célèbre San Andreas comme Cher les innovations en chirurgie esthétique : dans la douleur. Cela me dépasse et en même temps pourquoi se priver de déféquer sur l’intelligence du public qui en redemande ? San Andreas est l'archétype du film commercial calibré et débilitant : le scénario est zéro, les situations s’enchaînent sans aucune cohérence, la réalisation est en roue libre, les acteurs seraient plus à l'aise dans un porno et les dialogues sont tellement mauvais que l'on préférerait un porno ! C'est chiant à se pendre à une poutre et du coup on démultiplie l'action de peur de perdre l'attention de spectateurs incapable de s'empêcher de consulter leur flux Facebook en pleine séance. A la limite je comprend presque ces drogués tant San Andreas mérite d'être consommé comme le produit de consommation qu'il est. On est tellement loin du Cinéma. Il y a aussi je trouve quelque chose d'indécent à se focaliser sur la survie d'une famille quand des millions sont englouties. A réquisitionner un hélico pour aller chercher sa brune et sa fille alors que des centaines crament devant soi. Les gens qui tombent dans le vide ? On s’en badigeonne le membre viril avec le pinceau de l'indifférence pourvu que nos héros survivent. L'autre n'est pas humain, c'est un outil utilisé pour appuyer la tension dramatique et souligner l'héroïsme de notre joyeuse famille de (je n'utiliserai pas le mot "taré" qui pourrait m'être reproché mais lui préfère le doux euphémisme de "retardés"). Un mot sur Johnson qui joue son rôle de bœuf aux hormones avec un vocabulaire de chimpanzé (combo WWF déclenché !) avec un naturel qui ne peut être que de composition. San Andrea, un film qui s'apprécie comme un premier toucher rectal.
" San Andreas " sympathique blockbusters de Brad Peyton .
L'histoire se déroule en Californie . La faille de San Andreas fini par s'ouvrir et provoque un immense tremblement de terre de magnitude 9 . Celui ci n'était que le début d'une série de tremblement de terre de plus en plus violent . Un pilote d'hélicoptère de secours en montagne nommer Ray ( Dwayne Johnston ) et son ex femme Emma ( Carla Gugino ) vont alors tout faire pour tenter de sauver Blake ( Alexandra Dadario ) leurs fille unique qui se trouvent en plein cœur du séisme ...
" San Andreas " est un sympathique film d'action / catastrophe sortit en 2015 mis en scène par le réalisateur Brad Peyton . Bon on va pas se mentir l'histoire de " San Andreas " est très classique avec une énième histoire de tremblement de terre avec des gens qui vont tenter de se sortir de cette catastrophe. L'histoire ne fait pas franchement dans l'originalité sa rappelle plein de films comme " volcano " , " Le pic de Dante " ou encore plus récemment " 2012 " de Roland Emerich. Le film emprunte d'ailleurs beaucoup à " 2012 " par ses séquences de tremblement de terre très ressemblante ou ses personnages qui sont pratiquement les mêmes avec le fameux couple divorcer qui ne s'entend pas mais qui va devoir mettre ses différents de côté et faire équipe pour tenter de sauver ses gosses de la catastrophe . l'histoire est très classique et sans grande surprises et on se doute du dénouement dès le début
spoiler: ( on se doute bien que le couple divorcer finira par sauver sa fille , et qu'au cour du film ses événements vont les rapprocher et qu'ils vont se remettre de nouveau ensemble à la fin et former de nouveau une famille . Le truc très classique déjà vu dans " 2012 " d'ailleurs . )
. C'est très classique donc mais c'est très efficace et divertissant avec ses personnages pris au cœur d'un immense tremblement de terre et qui vont tenter de s'en sortir ce qui va donner lieux a son lot d'action , de suspense et de scènes très spectaculaires
spoiler: ( toutes les séquences de tremblement de terre avec nottament l'explosion du barrage , le tsunami avec nottament le bateau qui tente de la franchir la vague géante , le sauvetage de la voiture coincer au début , la séquence finale avec les personnages coincer dans l'immeuble en train de couler ... )
. Bref tout les ingrédients pour passer un bon moment sans prise de tête . J'ai bien aimer que le réalisateur , pendant les scènes de tremblement de terre , film la catastrophe de l'extérieur en filmant les immeubles en train de trembler et décide de rentrer avec sa caméra à l'intérieur pour voir ce qu'il se passe . Dans 2012 on ne voyait la catastrophe que d'un point de vue extérieur avec les immeubles qui s'écroulaient etc ... mais sans voir ce qu'il se passait réellement à l'intérieur de ses immeubles . Sa donne quelque chose d'un peu plus réaliste et vraisemblable de voir qu'il y a des gens à l'intérieur de ses immeubles qui subissent la catastrophe . Le film est déjà un peu plus réaliste qu'un " 2012 " même si sa reste quand même toujour un peu invraisemblable par moment .
Les effets spéciaux sont réussit pour mettre en scène cette catastrophe même si les cgi ( effets spéciaux numériques ) restent moins réaliste que des effets spéciaux à l'ancienne comme dans le film " Le pic de Dante " ou la catastrophe semblait beaucoup plus réaliste .
Le casting est correct avec à sa tête l'acteur Dwayne Jonston qui fait plutôt bien le job dans le rôle de ce pilote d'hélicoptère de secours en montagne qui va tout faire pour sauver sa fille incarner par la charmante actrice Alexandra Dadario pris au cœur du séisme . Il va tenter de la sauver en compagnie de son ex femme interpréter par l'actrice Carla Cugino . Il est crédible et charismatique dans le rôle du héros qui va tout tenter pour sauver sa fille .
Pour résumer " San Andreas " est un sympathique film d'action / catastrophe qui nous fait passer un bon moment de détente sans prise de tête et c'est bien la le principal.
L'histoire se déroule en Californie . La faille de San Andreas fini par s'ouvrir et provoque un immense tremblement de terre de magnitude 9 . Celui ci n'était que le début d'une série de tremblement de terre de plus en plus violent . Un pilote d'hélicoptère de secours en montagne nommer Ray ( Dwayne Johnston ) et son ex femme Emma ( Carla Gugino ) vont alors tout faire pour tenter de sauver Blake ( Alexandra Dadario ) leurs fille unique qui se trouvent en plein cœur du séisme ...
" San Andreas " est un sympathique film d'action / catastrophe sortit en 2015 mis en scène par le réalisateur Brad Peyton . Bon on va pas se mentir l'histoire de " San Andreas " est très classique avec une énième histoire de tremblement de terre avec des gens qui vont tenter de se sortir de cette catastrophe. L'histoire ne fait pas franchement dans l'originalité sa rappelle plein de films comme " volcano " , " Le pic de Dante " ou encore plus récemment " 2012 " de Roland Emerich. Le film emprunte d'ailleurs beaucoup à " 2012 " par ses séquences de tremblement de terre très ressemblante ou ses personnages qui sont pratiquement les mêmes avec le fameux couple divorcer qui ne s'entend pas mais qui va devoir mettre ses différents de côté et faire équipe pour tenter de sauver ses gosses de la catastrophe . l'histoire est très classique et sans grande surprises et on se doute du dénouement dès le début
spoiler: ( on se doute bien que le couple divorcer finira par sauver sa fille , et qu'au cour du film ses événements vont les rapprocher et qu'ils vont se remettre de nouveau ensemble à la fin et former de nouveau une famille . Le truc très classique déjà vu dans " 2012 " d'ailleurs . )
. C'est très classique donc mais c'est très efficace et divertissant avec ses personnages pris au cœur d'un immense tremblement de terre et qui vont tenter de s'en sortir ce qui va donner lieux a son lot d'action , de suspense et de scènes très spectaculaires
spoiler: ( toutes les séquences de tremblement de terre avec nottament l'explosion du barrage , le tsunami avec nottament le bateau qui tente de la franchir la vague géante , le sauvetage de la voiture coincer au début , la séquence finale avec les personnages coincer dans l'immeuble en train de couler ... )
. Bref tout les ingrédients pour passer un bon moment sans prise de tête . J'ai bien aimer que le réalisateur , pendant les scènes de tremblement de terre , film la catastrophe de l'extérieur en filmant les immeubles en train de trembler et décide de rentrer avec sa caméra à l'intérieur pour voir ce qu'il se passe . Dans 2012 on ne voyait la catastrophe que d'un point de vue extérieur avec les immeubles qui s'écroulaient etc ... mais sans voir ce qu'il se passait réellement à l'intérieur de ses immeubles . Sa donne quelque chose d'un peu plus réaliste et vraisemblable de voir qu'il y a des gens à l'intérieur de ses immeubles qui subissent la catastrophe . Le film est déjà un peu plus réaliste qu'un " 2012 " même si sa reste quand même toujour un peu invraisemblable par moment .
Les effets spéciaux sont réussit pour mettre en scène cette catastrophe même si les cgi ( effets spéciaux numériques ) restent moins réaliste que des effets spéciaux à l'ancienne comme dans le film " Le pic de Dante " ou la catastrophe semblait beaucoup plus réaliste .
Le casting est correct avec à sa tête l'acteur Dwayne Jonston qui fait plutôt bien le job dans le rôle de ce pilote d'hélicoptère de secours en montagne qui va tout faire pour sauver sa fille incarner par la charmante actrice Alexandra Dadario pris au cœur du séisme . Il va tenter de la sauver en compagnie de son ex femme interpréter par l'actrice Carla Cugino . Il est crédible et charismatique dans le rôle du héros qui va tout tenter pour sauver sa fille .
Pour résumer " San Andreas " est un sympathique film d'action / catastrophe qui nous fait passer un bon moment de détente sans prise de tête et c'est bien la le principal.
Voulant se donner des aires de super héros, Dwayne Johnson fini par complètement perdre le téléspectateur, je m'explique : Avant de commencer on voyait très bien dans la bande annonce que ce film s'attaquait de front a "2012". Nous assurant des scènes de catastrophe a couper le souffle et un jeu d'acteur effréné. Il y'a 3 scènes d'effondrement en tout et des effets 3D complètement nuls. Comme je le disais plus haut, Ray veut sauver tout le monde pour un "Happy End", les scènes sont vraiment prévisible au même point que le ridicule.
spoiler:
Une fin que je trouve totalement gaché : Comment un film catastrophe peut il finir aussi bien que celui ci ? C'est complètement stupide de la part du réalisateur.
A regarder d'un seul œil un dimanche après midi...
A regarder d'un seul œil un dimanche après midi...
Autant j'ai apprécié "2012" (voir ma critique sur ce film), autant j'ai moyennement aimé ce "San Andreas". Pourtant, les deux métrages comportent bon nombre de similitudes: un scénario reposant pour une grande part sur un déluge d'effets spéciaux, des personnages archi stéréotypés et des situations qui ne le sont pas moins, un héros qui parvient toujours à s'en sortir (même dans les situations les plus extrêmes), un dénouement tellement "happy" que c'en est presque indécent... . Bref, au départ je pensais que "San Andreas" allait me plaire, au même titre que le film d'Emmerich. Malheureusement, cela n'a pas été du tout le cas. Bien au contraire, d'ailleurs.
Les scènes de destruction et autres séquences "qui en mettent plein les yeux" sur le papier sont, à mon sens, mal rendues à l'écran. Je n'ai pas éprouvé la moindre émotion en voyant toutes ces catastrophes déferler, alors que les destructions dans "2012" m'avaient, au contraire, souvent filé des frissons.
En outre, les personnages sont trop "cucul" et par là-même antipathiques. Je n'ai pas éprouvé la moindre empathie à leur égard, j'aurais même préféré que spoiler: la fille meurt à la fin
(ainsi, ça aurait changé des scénarios habituels), malheureusement tout est cousu de fil blanc. Les réactions des personnages sont trop exagérées pour être crédibles, on sait par avance comment tout va se terminer (la fille va retrouver ses deux parents qui, de fraîchement divorcés, vont finir par se rabibocher). Le même scénario que "2012", en somme, me direz-vous. Oui, à une exception près: "2012" réussissait à se montrer drôle (volontairement, j'entends) via des répliques souvent bien senties, alors que "San Andreas" est tout bonnement pathétique. Tout est tellement cliché que cela frisait l'indigestion. De même, l'intrigue est paresseuse au possible (les deux Anglais qui réussissent à sauver Blake, comme par hasard...). Le film est censé reposer pour une bonne part sur ses effets spéciaux, mais c'est raté.
C'est vraiment dommage. J'aurais sincèrement voulu apprécier ce film, j'espérais en prendre plein les yeux, en avoir pour mon argent, or j'ai eu l'impression d'assister à un métrage tourné à la va-vite, mettant en scène les pires clichés existant dans le cinéma US actuel.
Les scènes de destruction et autres séquences "qui en mettent plein les yeux" sur le papier sont, à mon sens, mal rendues à l'écran. Je n'ai pas éprouvé la moindre émotion en voyant toutes ces catastrophes déferler, alors que les destructions dans "2012" m'avaient, au contraire, souvent filé des frissons.
En outre, les personnages sont trop "cucul" et par là-même antipathiques. Je n'ai pas éprouvé la moindre empathie à leur égard, j'aurais même préféré que spoiler: la fille meurt à la fin
(ainsi, ça aurait changé des scénarios habituels), malheureusement tout est cousu de fil blanc. Les réactions des personnages sont trop exagérées pour être crédibles, on sait par avance comment tout va se terminer (la fille va retrouver ses deux parents qui, de fraîchement divorcés, vont finir par se rabibocher). Le même scénario que "2012", en somme, me direz-vous. Oui, à une exception près: "2012" réussissait à se montrer drôle (volontairement, j'entends) via des répliques souvent bien senties, alors que "San Andreas" est tout bonnement pathétique. Tout est tellement cliché que cela frisait l'indigestion. De même, l'intrigue est paresseuse au possible (les deux Anglais qui réussissent à sauver Blake, comme par hasard...). Le film est censé reposer pour une bonne part sur ses effets spéciaux, mais c'est raté.
C'est vraiment dommage. J'aurais sincèrement voulu apprécier ce film, j'espérais en prendre plein les yeux, en avoir pour mon argent, or j'ai eu l'impression d'assister à un métrage tourné à la va-vite, mettant en scène les pires clichés existant dans le cinéma US actuel.
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