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Votre avis sur Mud - Sur les rives du Mississippi ?
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Voilà un très bon film, dans cette belle histoire d’amitié, qui fait interagir un adolescent à la découverte de l’amour et un adulte encore perdu dans son amour d’adolescent. Le tout sur fond des beaux paysages du fleuve Mississippi. Un film émouvant qui fait aussi réfléchir…
Belle aventure de deux jeunes..,, qui vont à la rencontre
d’un homme isolé… super film suspense bonne caméra
Dans les années 80 US je recommande
d’un homme isolé… super film suspense bonne caméra
Dans les années 80 US je recommande
Jeff Nichols s’impose comme l’un des réalisateurs contemporains les plus fascinants, grâce à son talent pour mêler finesse narrative et profondeur émotionnelle. Avec Mud, son troisième long-métrage, il signe une œuvre à la fois intense et nuancée, où chaque détail, qu’il s’agisse de l’écriture ou de la mise en scène, témoigne d’une maîtrise remarquable. Le spectateur est invité à interpréter par lui-même cette histoire, sans qu’aucune explication ne vienne alourdir le récit – une subtilité qui fait la force du film.
Le cœur de l’intrigue repose sur la rencontre entre deux adolescents et un homme énigmatique, campé par un Matthew McConaughey au sommet de son art. Incarnant Mud, cet être mystérieux et tourmenté, McConaughey livre une performance captivante, pleine de charisme et d’humanité. Ses interactions avec les jeunes héros apportent au film une intensité palpable, alternant moments de tendresse, de danger et de réflexion.
Mais Mud est aussi une ode à la nature, magnifiée par les paysages somptueux de l’Arkansas. La rivière, omniprésente, devient un personnage à part entière, miroir des émotions des protagonistes. Nichols excelle à capturer la beauté brute de cet environnement, contrastant avec la rudesse des relations humaines et les dilemmes moraux qui jalonnent l’histoire. L’arbre qui porte un bateau ou les lieux reculés, presque inaccessibles, soulignent cette coexistence entre poésie et réalisme.
Au-delà de sa dimension visuelle, le film explore avec délicatesse des thèmes universels : l’amour, l’apprentissage, la perte et l’espoir. La relation entre Mud et Juniper, incarnée par Reese Witherspoon, ajoute une touche de romantisme mélancolique qui résonne profondément. Une scène marquante, leur adieu dans un motel, est un concentré d’émotion pure, où chaque regard et chaque silence racontent plus que des mots.
Avec son rythme volontairement contemplatif, Mud avance comme le Mississippi : lentement, mais sûrement, en traçant des méandres fascinants. C’est un voyage empreint de réflexions sur le passage à l’âge adulte et la complexité des relations humaines, soutenu par une partition musicale subtile et envoûtante de David Wingo. Nichols nous rappelle ici que la simplicité apparente peut cacher une richesse infinie. Un film à savourer, à ressentir, et à méditer.
Le cœur de l’intrigue repose sur la rencontre entre deux adolescents et un homme énigmatique, campé par un Matthew McConaughey au sommet de son art. Incarnant Mud, cet être mystérieux et tourmenté, McConaughey livre une performance captivante, pleine de charisme et d’humanité. Ses interactions avec les jeunes héros apportent au film une intensité palpable, alternant moments de tendresse, de danger et de réflexion.
Mais Mud est aussi une ode à la nature, magnifiée par les paysages somptueux de l’Arkansas. La rivière, omniprésente, devient un personnage à part entière, miroir des émotions des protagonistes. Nichols excelle à capturer la beauté brute de cet environnement, contrastant avec la rudesse des relations humaines et les dilemmes moraux qui jalonnent l’histoire. L’arbre qui porte un bateau ou les lieux reculés, presque inaccessibles, soulignent cette coexistence entre poésie et réalisme.
Au-delà de sa dimension visuelle, le film explore avec délicatesse des thèmes universels : l’amour, l’apprentissage, la perte et l’espoir. La relation entre Mud et Juniper, incarnée par Reese Witherspoon, ajoute une touche de romantisme mélancolique qui résonne profondément. Une scène marquante, leur adieu dans un motel, est un concentré d’émotion pure, où chaque regard et chaque silence racontent plus que des mots.
Avec son rythme volontairement contemplatif, Mud avance comme le Mississippi : lentement, mais sûrement, en traçant des méandres fascinants. C’est un voyage empreint de réflexions sur le passage à l’âge adulte et la complexité des relations humaines, soutenu par une partition musicale subtile et envoûtante de David Wingo. Nichols nous rappelle ici que la simplicité apparente peut cacher une richesse infinie. Un film à savourer, à ressentir, et à méditer.
Un doux voyage au coeur des sublimes paysages du Mississippi. Comme une dernière quête avant le passage à l’âge adulte pour ce duo de gamins. La beauté d’une vision pure de l’amour.
Sans doute à ce jour l'opus le plus accompli de Jeff Nichols ( selon moi), mis en scène sur un ton certes classique mais dont les méandres thématiques du scénario en font sa richesse.
Si " mud" du nom du personnage principal dont la traduction ( boue) rend compte du parcours compliqué de ce héros pas épargné par la vie.
L'astuce du scénario nous présente en miroir ce que pourrait être le futur de l'enfant et sur ce qu'a été l'enfance de Mud.
Famille déstructurée, conduite par un couple de parents incompétents, l'issue consiste à chercher un père de substitution. L'enfant et Mud en auront d'ailleurs un chacun.
Le film traité des difficultés à rencontrer l'amour pour des enfants élèves dans un tel canevas familial, mais la prise de conscience autorise un futur sentimental meilleur détaché des tares transmises par le passé.
On pense parfois à Mark Twain, dans ce titre qui est aussi un hommage à la nature et un coup de griffes adressé au narcissisme renforcé par la possession matérielle de certains barons de la société marchande.
Pour Nichols, le choix entre ses personnages est vite réglé. La maturité du cinéaste de 34 ans creve l'écran dans ce titre qui se bonifie avec le temps. On est ici en face d'une des réussites majeures du cinéma américain indépendant des années 2010.
Si " mud" du nom du personnage principal dont la traduction ( boue) rend compte du parcours compliqué de ce héros pas épargné par la vie.
L'astuce du scénario nous présente en miroir ce que pourrait être le futur de l'enfant et sur ce qu'a été l'enfance de Mud.
Famille déstructurée, conduite par un couple de parents incompétents, l'issue consiste à chercher un père de substitution. L'enfant et Mud en auront d'ailleurs un chacun.
Le film traité des difficultés à rencontrer l'amour pour des enfants élèves dans un tel canevas familial, mais la prise de conscience autorise un futur sentimental meilleur détaché des tares transmises par le passé.
On pense parfois à Mark Twain, dans ce titre qui est aussi un hommage à la nature et un coup de griffes adressé au narcissisme renforcé par la possession matérielle de certains barons de la société marchande.
Pour Nichols, le choix entre ses personnages est vite réglé. La maturité du cinéaste de 34 ans creve l'écran dans ce titre qui se bonifie avec le temps. On est ici en face d'une des réussites majeures du cinéma américain indépendant des années 2010.
Jeff Nichols, dans son film "Mud : Sur les rives du Mississippi," offre une épopée vibrante et un drame poignant, sublimé par des performances actoriales de premier plan et une atmosphère immersive qui captive le spectateur. À travers l’odyssée de Mud, interprété par un Matthew McConaughey magnétique, Nichols explore les thèmes de l’amour inconditionnel, de la rédemption, et de la quête de sens au sein des tumultes de l'existence.
L'intrigue, tissée autour de deux adolescents découvrant Mud, un fugitif en quête de réconciliation avec son grand amour, est racontée avec une sensibilité qui fait palpiter le cœur du spectateur. Les jeunes Ellis et Neckbone, joués respectivement par Tye Sheridan et Jacob Lofland, incarnent la transition de l'enfance à l'âge adulte avec une justesse remarquable, apportant une fraîcheur nécessaire qui contrebalance la gravité de l'histoire principale.
La direction artistique du film est un autre point fort. Les paysages du Mississippi sont capturés avec une telle beauté qu'ils en deviennent un personnage à part entière, renforçant l’immersion dans ce décor à la fois splendide et impitoyable. La photographie d’Adam Stone mérite une mention spéciale pour son habileté à capturer l'éclat mystique des rivières et forêts, servant d'écrin parfait à cette fable moderne.
Cependant, le film n'est pas exempt de certaines longueurs qui, par moments, semblent diluer l'intensité du récit. Bien que ces passages plus lents contribuent à la construction des personnages, ils auraient pu être écourtés sans nuire à la profondeur du scénario. De plus, certains aspects du script, tels que les motivations secondaires de certains personnages, auraient gagné à être davantage développés pour enrichir la trame narrative.
Le montage de Julie Monroe soutient efficacement le rythme du film, bien qu'une coupe plus serrée aurait pu accentuer la tension dans les moments clés, surtout vers le dénouement de l'histoire. La musique de David Wingo, avec ses nuances subtiles et évocatrices, complète idéalement l’ambiance, même si parfois elle passe inaperçue, se fondant un peu trop dans le décor sonore.
"Mud : Sur les rives du Mississippi" réussit à tisser une histoire captivante de courage et de conviction, malgré ces quelques détours narratifs. C’est un film qui marquera les esprits par sa représentation sincère des épreuves humaines et par la qualité de ses performances, particulièrement celle de McConaughey, dont le portrait de Mud est à la fois complexe et touchant. Nichols démontre une fois de plus son habileté à raconter des histoires profondément américaines, chargées d'émotions et de paysages éloquents, faisant de ce film une œuvre significative, bien que perfectible dans son exécution.
L'intrigue, tissée autour de deux adolescents découvrant Mud, un fugitif en quête de réconciliation avec son grand amour, est racontée avec une sensibilité qui fait palpiter le cœur du spectateur. Les jeunes Ellis et Neckbone, joués respectivement par Tye Sheridan et Jacob Lofland, incarnent la transition de l'enfance à l'âge adulte avec une justesse remarquable, apportant une fraîcheur nécessaire qui contrebalance la gravité de l'histoire principale.
La direction artistique du film est un autre point fort. Les paysages du Mississippi sont capturés avec une telle beauté qu'ils en deviennent un personnage à part entière, renforçant l’immersion dans ce décor à la fois splendide et impitoyable. La photographie d’Adam Stone mérite une mention spéciale pour son habileté à capturer l'éclat mystique des rivières et forêts, servant d'écrin parfait à cette fable moderne.
Cependant, le film n'est pas exempt de certaines longueurs qui, par moments, semblent diluer l'intensité du récit. Bien que ces passages plus lents contribuent à la construction des personnages, ils auraient pu être écourtés sans nuire à la profondeur du scénario. De plus, certains aspects du script, tels que les motivations secondaires de certains personnages, auraient gagné à être davantage développés pour enrichir la trame narrative.
Le montage de Julie Monroe soutient efficacement le rythme du film, bien qu'une coupe plus serrée aurait pu accentuer la tension dans les moments clés, surtout vers le dénouement de l'histoire. La musique de David Wingo, avec ses nuances subtiles et évocatrices, complète idéalement l’ambiance, même si parfois elle passe inaperçue, se fondant un peu trop dans le décor sonore.
"Mud : Sur les rives du Mississippi" réussit à tisser une histoire captivante de courage et de conviction, malgré ces quelques détours narratifs. C’est un film qui marquera les esprits par sa représentation sincère des épreuves humaines et par la qualité de ses performances, particulièrement celle de McConaughey, dont le portrait de Mud est à la fois complexe et touchant. Nichols démontre une fois de plus son habileté à raconter des histoires profondément américaines, chargées d'émotions et de paysages éloquents, faisant de ce film une œuvre significative, bien que perfectible dans son exécution.
Toutes les définitions de l'amour sont dans ce film, l'amour à 50 ans, l'amour à 14 ans, l'amour entre deux amis, l'amour d'un frère spirituel et d'un père spirituel...
Magnifique !
Magnifique !
Mud est un film qui m’a profondément marqué. Dès les premières minutes, j’ai été captivé par l’histoire et ses personnages, tous aussi complexes que crédibles.
Le réalisateur Jeff Nichols réussit à créer une atmosphère immersive, en nous plongeant dans les paysages du sud des États-Unis. Les marais, les rivières et les îles sont filmés de manière sublime, offrant une toile de fond réaliste et presque magique.
Le scénario m’a également impressionné. Il allie parfaitement suspense et drame, avec des rebondissements bien dosés qui maintiennent l’intérêt du début à la fin. Chaque révélation semble se fondre naturellement dans l’intrigue, sans jamais verser dans la facilité.
Matthew McConaughey, dans le rôle de Mud, est magistral. Il incarne un personnage à la fois énigmatique et vulnérable, avec une présence à l'écran qui ne laisse personne indifférent. Tye Sheridan et Jacob Lofland, qui jouent les jeunes héros, livrent des performances émouvantes et pleines de justesse.
Ce qui rend Mud encore plus captivant, c’est la richesse des thèmes qu’il aborde : l’amitié, l’amour, la trahison et la rédemption. Ce film m’a poussé à réfléchir sur mes propres choix et la façon dont on se relie aux autres, sans jamais tomber dans le mélodrame.
La musique de David Wingo ajoute une touche supplémentaire à l’atmosphère du film, renforçant encore l’intensité émotionnelle de l’histoire.
En conclusion, Mud est un véritable chef-d'œuvre, qui mérite d’être vu et apprécié. Avec ses personnages attachants, sa profondeur émotionnelle et sa réalisation soignée, ce film reste une expérience cinématographique inoubliable.
Le réalisateur Jeff Nichols réussit à créer une atmosphère immersive, en nous plongeant dans les paysages du sud des États-Unis. Les marais, les rivières et les îles sont filmés de manière sublime, offrant une toile de fond réaliste et presque magique.
Le scénario m’a également impressionné. Il allie parfaitement suspense et drame, avec des rebondissements bien dosés qui maintiennent l’intérêt du début à la fin. Chaque révélation semble se fondre naturellement dans l’intrigue, sans jamais verser dans la facilité.
Matthew McConaughey, dans le rôle de Mud, est magistral. Il incarne un personnage à la fois énigmatique et vulnérable, avec une présence à l'écran qui ne laisse personne indifférent. Tye Sheridan et Jacob Lofland, qui jouent les jeunes héros, livrent des performances émouvantes et pleines de justesse.
Ce qui rend Mud encore plus captivant, c’est la richesse des thèmes qu’il aborde : l’amitié, l’amour, la trahison et la rédemption. Ce film m’a poussé à réfléchir sur mes propres choix et la façon dont on se relie aux autres, sans jamais tomber dans le mélodrame.
La musique de David Wingo ajoute une touche supplémentaire à l’atmosphère du film, renforçant encore l’intensité émotionnelle de l’histoire.
En conclusion, Mud est un véritable chef-d'œuvre, qui mérite d’être vu et apprécié. Avec ses personnages attachants, sa profondeur émotionnelle et sa réalisation soignée, ce film reste une expérience cinématographique inoubliable.
Mélange d'émotions diverses. On croit à cette histoire haletante à l'ambiance moite et défraîchie, sans savoir de quel côté se ranger.
Mud est un grand moment de cinéma, et l'un de mes films préférés.
C'est simple, j'adore tout dans ce film. À commencer par l'immense Matthew McConogey, qui crève l'écran dans un rôle charismatique et impénétrable. J'adore ce genre de personnages sympathique mais qui possède un côté sombre et torturé. Toute sa relation avec les deux enfants est très touchante. Tyle Sheridan est très bons, il dégage beaucoup d'émotions pour son âge, et le casting secondaire est loin d'être en reste. Le scénario est très simple, mais rudement efficace et émouvant. C'est vraiment l'histoire de deux âmes perdues et abîmées par le destin qui vont essayer de se retrouver malgré les épreuves de la vie. Ce genre d'histoire me touche beaucoup. Le côté thriller s'encastre parfaitement dans le scénario et ajoute tension et enjeux au long métrage.
J'admire la mise en scène de Jeff Nichols, en particulier le travail fait sur la lumière, qui est magnifique. Sa caméra est très bien utilisée, j'aime comment elle flâne sur le long des rives du Mississippi et sur cette région abandonnée, rurale et fragile. On nous dresse ici une vraie Amérique rouillée, usée et sale, et ça m'a beaucoup attiré.
Une pépite bien trop sous estimé !
C'est simple, j'adore tout dans ce film. À commencer par l'immense Matthew McConogey, qui crève l'écran dans un rôle charismatique et impénétrable. J'adore ce genre de personnages sympathique mais qui possède un côté sombre et torturé. Toute sa relation avec les deux enfants est très touchante. Tyle Sheridan est très bons, il dégage beaucoup d'émotions pour son âge, et le casting secondaire est loin d'être en reste. Le scénario est très simple, mais rudement efficace et émouvant. C'est vraiment l'histoire de deux âmes perdues et abîmées par le destin qui vont essayer de se retrouver malgré les épreuves de la vie. Ce genre d'histoire me touche beaucoup. Le côté thriller s'encastre parfaitement dans le scénario et ajoute tension et enjeux au long métrage.
J'admire la mise en scène de Jeff Nichols, en particulier le travail fait sur la lumière, qui est magnifique. Sa caméra est très bien utilisée, j'aime comment elle flâne sur le long des rives du Mississippi et sur cette région abandonnée, rurale et fragile. On nous dresse ici une vraie Amérique rouillée, usée et sale, et ça m'a beaucoup attiré.
Une pépite bien trop sous estimé !
Jeff Nichols s'engage pour son troisième film pour une aventure en plein coeur du Mississippi et de ses berges. Mathhew McConaughey en acteur star l est bourré de charisme, il joue à merveille ce rôle de gars perdu sur une île déserte. Le film laisse transpirer pléthore de sentiments humains et en particulier de l'amour. A travers les yeux d'un jeun de 14 ans nommé Ellis, nous allons comprendre que l'amour n'est pas toujours quelque chose qui dure et que la vie est jalonnée de désillusions multiples, mensonges et autres trahisons. Un très bon film où l'on voit des paysages des Etats Unis trop rarement montrés au cinéma.
Porté par un jeu d'acteurs de haut niveau, accompagnée par une musique country immersive, Mud nous emmène au cœur de l'Amérique profonde, au milieu des bayous du Mississippi. Un décor excellent, une réalisation authentique et immersive car sans effets de studio. La trame scenaristique est soignée et touchante. Même si le film ne dispose pas d'une tension incroyable et une résolution d'un des problèmes un peu facile, il me plaît toujours autant. Fortement conseillé, sachant qu'il conviendra à toutes les générations.
J'ai trouvé le scénario solide. L'interprétation est formidable, les gamins en tête, Mud aussi. Vu en replay sur francetv, mais sur grand écran, ça doit en jeter ! Merci Mr Nicholls.
Bon film vec une ambiance ineressante et particuliere. Un Matthew McConaughey telentueux comme a son habitude. Mais je n'ai pas aimer autant que je pensais au vu des eloges. Il manque quelque chose dans le scenario pour le rendre vraiment dramatique.
"Mud", un titre qui ne veut pas dire grand chose et un film qui dort dans ma liste à voir depuis un bon moment. Je me décide finalement de regarder ce film en ayant aucune fichue idée de ce dont il peut bien s'agir. Puis, je découvre une oeuvre humaine avec deux jeunes comédiens plutôt bons, Matthew McConaughey en grande forme tout comme le reste du casting. Bien écrit et bien mis en scène, Mud est presque un film intimiste dévoilant les revers de l'être humain au travers de différentes histoires, d'abord celle de Mud, puis celle d'Ellis et enfin celle de ses parents. Tous ont une manière de voir l'amour différente. Et non, ça ne finit pas toujours bien, tandis que parfois, l'amour peut se montrer docile. Ces croisements permettent à chacun de croire encore un peu en cet étrange sentiment. Et ce, on le ressent à travers l'évolution de Mud. Solitaire, sur son île, il rencontre deux garçons. De là, tout bascule. Pour lui, comme pour eux.
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