Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chrischambers86
13 695 abonnés
12 418 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 22 novembre 2007
Le film mythique de George Cukor a la grâce magique est la très fidèle adaptation du spectacle de Broadway, avec Rex Harrison et Julie Andrews en vedette! Pour porter à l'ècran cette histoire d'une jeune fille pauvre prise en mains et transformèe en "dame" par un professeur èrudit en mysogyne, Jack L.Warner ne voulait pas de Julie Andrews, pas assez photogènique et pas assez connue à son goût, ni de Rex Harrison, jugè trop vieux! il lui prèfèrait Cary Grant qui non seulement refusa le rôle mais assura qu'il n'irait pas voir le film si Harrison n'ètait pas pris! Quant à Audrey Hepburn, au sommet de sa grâce, elle manque l'Oscar pour avoir ètè doublèe dans ses chansons! Pauvre Audrey dèjà mortifièe parce qu'elle s'ètait entraînèe au chant pendant des mois et croyait qu'elle chanterait! Le rèalisateur pressenti ètait Vincente Minnelli, finalement trop cher, et ce fut Cukor qui permit au film de dècrocher huit Oscars à Hollywood dont ceux du meilleur film et du meilleur rèalisateur! Tour à tour spectaculaire et dramatique, "My Fair Lady" est portè par de superbes chansons ("I Could Have Danced All Night" et On The Street Where You Live sont à tomber par terre) et surtout illuminè par la sublime Audrey Hepburn qui confère au film une atmosphère fèerique! Un must...
Oscar du meilleur film en 1965 (entre autre, le film bénéficia au total de huit oscars), "My Fair Lady" retrace l'histoire d'un professeur de phonétique qui veut faire d'une simple vendeuse de fleurs, une grande dame suite à un pari. Il va donc s'acharner à lui apprendre les bonnes manières et un langage soutenu. Et il faut bien avouer que l'on tombe sous le charme de cette comédie musicale et malgré les 170 minutes, on ne s'ennuie pas du tout, on est emporté par le charme de la divine Audrey Hepburn et suivre son évolution, passant de gavroche et dame du monde. Surtout que Rex Harrison lui donne parfaitement bien la réplique dans le rôle d'un professeur de phonétique ronchon, célibataire et misogyne. Le duo est alchimique. De plus les chansons et numéros musicaux sont excellent et n'ont pas pris une ride, on se laisse facilement transporter. La reconstitution dans les studios est impeccable et comment ne pas parler des looks de Audrey Hepburn, pas moins de mille costumes, dix-sept habilleuses, vingt-six maquilleuses, trente-cinq coiffeurs, des étoffes et des plumes venues de tous les pays, des fourrures rares, des bijoux... Une grande, charmante et irrésistible réussite, qui n'a pas pris une ride et qui est à la hauteur de sa réputation, avec des scènes et chansons inoubliables.
Je viens de voir cette petite merveille avec ma grand-mère. Je suis une grande fan de ce genre de comédie musicale. My fair lady est un vieux film comme je les aime. Et puis, le sujet est assez intéressant. L'histoire d'un fille qui parle très mal sa langue, qui devient éloquence est magnifiquement bien comptée. Mais c'est surtout grâce aux chansons superbes que j'ai aimé ce film.
Eliza Doolittle (Audrey Hepburn), une jeune fleuriste sans le sou affublée d'un terrible accent cockney, est repérée par le professeur Higgins (Rex Harrisson). Le linguiste fait le pari de la transformer en dame du monde.
"My Fair Lady" fait partie de ces films mythiques, couverts d'éloges. Quelque part entre "Autant en emporte le vent", "Ben Hur", "Mary Poppins" et "Dansons sous la pluie". Récompensé par huit Oscars en 1965, il est - nous dit son affiche - le chef d’œuvre du grand George Cukor. Il offre à Audrey Hepburn l'un de ses plus grands rôles. Les incroyables costumes de Cecil Beaton - notamment les robes et les chapeaux portées par l'héroïne - sont entrés dans la légende. Nombreux sont les cinéphiles - quoique d'un certain âge - qui classent "My Fair Lady" au nombre de leurs films préférés.
J'ai profité d'une rétrospective Cukor à la Filmothèque pour aller le voir. J'étais le plus jeune dans la salle - ce qui est à la fois de plus en plus rare et très mauvais signe. Une salle presque comble - ce qui démontre la popularité inentamée de ce chef d’œuvre.
À mon grand désarroi, j'ai trouvé "My Fair Lady" bien fade et totalement suranné. Pourtant, je ne suis pas rétif aux comédies musicales de cette époque. J'avoue, le rouge au front, avoir été touché par La Mélodie du Bonheur. Je place "West Side Story" parmi mes films préférés.
Mais rien ne m'a séduit dans "My Fair Lady". Aucune des mélodies de André Prévin ne m'a touché - alors que les duos de "West Side Story" m'arrachent des sanglots. Même le jeu de Audrey Hepburn m'a semblé stéréotypé, dont on sait par avance que l'horrible petite souillon qu'elle incarne au début du film avec son accent effroyable se transformera en radieuse chrysalide. Je la trouve autrement plus émouvante dans "Vacances romaines" ou "Diamants sur canapé".
Surtout, c'est le scénario de Alan Jay Lerner, fidèle à la pièce de George Bernard Shaw, qui m'a déplu. Sans me poser en féministe intransigeant, j'ai trouvé que "My Fair Lady" véhiculait les pires clichés sexistes. Sans que cela semble choquer personne et, pire, dans une scène censément comique, le père d'Eliza, un ivrogne invétéré, monnaye comme un vulgaire maquignon l'abandon de sa fille aux bons soins du professeur Higgins. La fin du film - qui s'écarte d'ailleurs sur ce point de la pièce de Shaw - n'est pas moins révoltante pour le spectateur du vingt-et-unième siècle qui voit Eliza, désormais transformée en ravissant papillon, passait les pantoufles aux pieds de son prétentieux Pygmalion.
Déçu par ce classique réalisé par George Cukor et récompensé avec 3 oscars par ses pères Hollywoodiens en 1964. Cette Comédie musicale au budget pharaonique a bien mal vieilli de par le sujet et ses dialogues emphatiques passés de mode. Ce Drame prétendu romantique et pseudo social se révèle très peu musical ; de nombreuses scènes sont plus récitées que chantées. Excepté le célèbre thème musical composé par Frederick Loewe, le film trop long se perd dans des scènes sans charme ni profondeur vocale. Ne reste que la mise en scène sérieuse et très académique de George Cukor et les belles interprétations d'Audrey Hepburn et de Rex Harrison.
Audrey Hepburn toujours aussi sublime dans une comédie musicale un peu longuette , à voir impérativement en V.O. car la V.F. est catastrophique surtout pour les chansons .
Depuis le temps que je voulais le voir, la déception est à la hauteur de l’attente. Je n’ai pas du tout aimé. Déjà, c’est long, 2h40 quand cela ne vous intéresse pas vraiment, c’est encore plus long. Certes, c’est techniquement très beau et Audrey Hepburn est magnifique, mais cela n’a pas suffi. Et puis les chansons…Je ne sais pas si cela a très mal vieilli mais je n’ai pas adhéré une seule minute et j’ai trouvé cela agaçant. Dommage…
La quintessence de la comédie musicale avec un scénario malicieux, des décors magnifiques en CinémaScope, de nombreuses chansons irrésistibles et une Audrey Hepburn éblouissante.
Un classique, même si les chansons ne sont pas franchement passionnantes et font pâles figures à côté de celles de West Side Story / The Sound of Hapiness, mais Audrey Hepburn est fantastique et remonte le film, le sublime, quelle classe.
Comédie musicale culte, My fair Lady est devenu un film de grande classe. Tout juste peut-on lui reprocher d'avoir voulu adapter les 2h45 de spectacle, là où il aurait gagné à faire quelques coupures, notamment musicales (comme cela a été fait pour l'adaptation de Chicago). Les numéros musicaux et les chorégraphies relèvent souvent du théâtre filmé, mais sont sublimés par la caméra. Les costumes grandioses et la beauté d'Audrey Hepburn sont l'apothéose d'un film inoubliable.
George Cukor, célèbre réalisateur que l'on ne présente plus, réalise ici l'une des plus mémorables comédies musicales US des années 60, de par son originalité, son scénario loufoque, sa mise en scène, ses dialogues et surtout, ses interprètes ! My Fair Lady (1964) nous offre sur un plateau d'argent, une élégante distribution, où se côtoient le bourru Rex Harrison et la toujours séduisante Audrey Hepburn, dans un rôle qui lui va à ravir. Il faut l'entendre débiter son texte, avec son accent, son franc parler, son langage grossier, bref, une liberté de ton qui en choque plus d'un autour d'elle ! D'un rang social bien en deçà de l'éminent professeur qui la prend sous son aile, ce dernier a la lourde tâche de transformer cette fille humble et ignorante en une "grande dame". Situations et répliques hilarantes se succèdent tout au long, grâce à des dialogues et des intonations de voix parfaitement réussis (grâce à une Audrey Hepburn en grande forme !). Cette épatante comédie fut récompensée par 8 Oscars, dont ceux du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur !
n n'est pas passé loin du chef d'œuvre, tout y est une mise en scène classieuse, Audrey Hepburn fabuleuse (ce qui n'est pas toujours le cas), Rex Harisson magistral, des décors et des costumes grandioses, une intrique beaucoup moins sucrée et bien plus intelligente qu'une lecture superficielle pourrait le faire supposer, et une musique inoubliable. Le top du film étant le " Get Me to the Church on Time" par un Stanley Holloway complètement déchaîné. Pourquoi faut-il après cela que dans les dernières vingt minutes, les scénaristes nous imposent un long dialogue qui ne sert plus à rien des scènes inutiles, une fausse fin suivie d'une twist débile ?
Une comédie musicale de toute beauté. Une Audrey Hepburn décidément phénoménale, douée d'une multitude de talents dont ici le chant est mis en avant. Exceptionnel.
Avec My Fair Lady, George Cukor nous livre un film brillant, drôle, passionnant et passionné. Près de 3h00 de délices intemporels qu’on ne voit quasiment pas passer tellement la réalisation est fluide, le scénario intelligent et les musiques entrainantes. En somme, une comédie musique digne des plus grands chef-d’œuvre de l’histoire du cinéma, les dialogues sont fins et extrêmement percutants, les acteurs sont exceptionnels (et ce sans exception). On en veut encore et encore. Cet hymne à l’amour et à la lutte contre la guerre des classes est emballant et nous fait rêver. (Un ami couché à mes g’noux, qui m’dirait d’une voix douce comme tout…)