AlloCiné
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Votre avis sur Captain America, le soldat de l'hiver ?
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36 critiques
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Je viens de regarder Captain America : Le Soldat de l'Hiver, et franchement, je suis resté assez indifférent. L'intrigue ne m'a pas captivé du tout ; elle semblait manquer de profondeur et était souvent prévisible. Certes, les scènes de combat sont bien chorégraphiées et très dynamiques, mais elles finissent par manquer d'originalité. Quant aux incohérences, elles s'accumulent au fil du film : des personnages qui survivent à des situations improbables, des gadgets futuristes qui semblent sortir de nulle part... On a un peu l'impression que le scénario sacrifie la logique pour le spectacle. En bref, malgré quelques moments divertissants, ce n'est pas un film qui restera dans les mémoires.
Un des meilleurs film d'action ainsi que de la triologie Captain América, excellent casting et effets spéciaux
J'ai adoré ce film, les combats, les photographies, les scènes et le scénario qui sont superbe ! Le captain américa et super bien avec une Black Window extraordinaire.
Captain America 2, la baston à la mode espionnage
Captain America à D.C., c'est un peu comme si on collait Jason Bourne dans un costume étoilé. Sauf que là, Steve Rogers balance du shield et du frisbee en adamantium à tout va. Plus intense que le premier opus, cet épisode tire un trait sur le monde parfait des Avengers pour nous faire plonger dans des conspirations à la 007 façon Marvel. C’est comme si notre Captain troquait son sourire éclatant contre une paranoïa bien dosée et un costume bien serré.
Scarlett Johansson et Anthony Mackie sont de la partie, parce qu’évidemment, Cap ne peut pas sauver le monde sans un peu de compagnie. Black Widow fait du charme et assomme à tour de bras, tandis que Falcon débarque avec son kit d’ailes customisé — un gadget digne de Stark Industries. Et ensemble, ils forment un trio plus explosif qu’un missile Stark lui-même.
Fini les dieux mythologiques et les extraterrestres aux pouvoirs cosmiques ; ici, l’ennemi, c’est du brut : le Soldat de l'Hiver, alias Bucky Barnes version tueur psychopathe sous stéroïdes. Le mec débarque avec une main bionique et un regard qui ferait même flipper Terminator. Pas de répliques cinglantes, juste un flingue, un poing d'acier et une vendetta froide comme le pôle Nord.
S.H.I.E.L.D. est plus fissuré qu'un vieux mur de guerre froide. Entre trahisons internes et manipulations à la chaîne, c’est comme si on avait collé un morceau d’espionnage sombre dans un Marvel. Pas de laser dans les cieux ou de vilains qui lancent des rayons mortels, juste une menace bien humaine, prête à détruire l'American way of life.
Mais, sérieux, le réal a filé sa caméra à un cameraman qui venait de s'enfiler trois cafés serrés. Dans les scènes de baston, ça tremble comme dans un found footage ! On dirait que l’objectif fait la course avec les coups de bouclier, et parfois on ne sait même plus où regarder. Si t’as le mal de mer, t’es foutu.
Alors ouais, Captain America 2 n’est peut-être pas le Marvel de l’année, mais faut avouer que ça envoie. Pas un moment pour s’ennuyer, ça balance de la castagne et des révélations à la pelle. Un film bien noir, avec juste ce qu’il faut de rebondissements et d’adrénaline pour nous rappeler pourquoi on aime encore l’univers Marvel, malgré les kilomètres de pellicules produites chaque année.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Captain America à D.C., c'est un peu comme si on collait Jason Bourne dans un costume étoilé. Sauf que là, Steve Rogers balance du shield et du frisbee en adamantium à tout va. Plus intense que le premier opus, cet épisode tire un trait sur le monde parfait des Avengers pour nous faire plonger dans des conspirations à la 007 façon Marvel. C’est comme si notre Captain troquait son sourire éclatant contre une paranoïa bien dosée et un costume bien serré.
Scarlett Johansson et Anthony Mackie sont de la partie, parce qu’évidemment, Cap ne peut pas sauver le monde sans un peu de compagnie. Black Widow fait du charme et assomme à tour de bras, tandis que Falcon débarque avec son kit d’ailes customisé — un gadget digne de Stark Industries. Et ensemble, ils forment un trio plus explosif qu’un missile Stark lui-même.
Fini les dieux mythologiques et les extraterrestres aux pouvoirs cosmiques ; ici, l’ennemi, c’est du brut : le Soldat de l'Hiver, alias Bucky Barnes version tueur psychopathe sous stéroïdes. Le mec débarque avec une main bionique et un regard qui ferait même flipper Terminator. Pas de répliques cinglantes, juste un flingue, un poing d'acier et une vendetta froide comme le pôle Nord.
S.H.I.E.L.D. est plus fissuré qu'un vieux mur de guerre froide. Entre trahisons internes et manipulations à la chaîne, c’est comme si on avait collé un morceau d’espionnage sombre dans un Marvel. Pas de laser dans les cieux ou de vilains qui lancent des rayons mortels, juste une menace bien humaine, prête à détruire l'American way of life.
Mais, sérieux, le réal a filé sa caméra à un cameraman qui venait de s'enfiler trois cafés serrés. Dans les scènes de baston, ça tremble comme dans un found footage ! On dirait que l’objectif fait la course avec les coups de bouclier, et parfois on ne sait même plus où regarder. Si t’as le mal de mer, t’es foutu.
Alors ouais, Captain America 2 n’est peut-être pas le Marvel de l’année, mais faut avouer que ça envoie. Pas un moment pour s’ennuyer, ça balance de la castagne et des révélations à la pelle. Un film bien noir, avec juste ce qu’il faut de rebondissements et d’adrénaline pour nous rappeler pourquoi on aime encore l’univers Marvel, malgré les kilomètres de pellicules produites chaque année.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Ce film est un benger absolu. Tout est parfait le méchant, le héros, les personnages secondaires, l'intrigue, les scènes d'action, les dialogues.tout merde
Lorsque l'on voit la mediocrité des Marvel apres Infinity War, il est parfois bon de se réfugier dans des valeurs sûr et le soldat de l'hiver en fait naturellement parti.
«
spoiler:
Je ne vais pas te combattre. Tu es mon ami. – Tu es ma mission ! – Alors termine-la. Parce que je suis avec toi jusqu'au bout.
»
Dans le deuxième film concernant Captain America, qui est le troisième épisode de la deuxième phase et le neuvième film de la Saga Infinity du MCU, Steve Rogers est confronté au spoiler: néo-terrorisme de l'organisation Hydra, qui corrompt le Supreme Headquarters, International Espionage and Law-Enforcement Division – S.H.I.E.L.D. de l'intérieur, afin de satisfaire le vieux rêve nazi de prendre le contrôle de la planète
.
Alors que le S.H.I.E.L.D. spoiler: plonge dans les ténèbres du totalitarisme, Captain America, qui est la sentinelle de la liberté et un homme hors du temps, fait équipe avec ceux prêts à faire le sacrifice ultime pour défendre l’indépendance
.
A ses côtés, spoiler: Nick Fury, le directeur du S.H.I.E.L.D., l'agent Natasha Romanoff/Black Widow – (secrètement) amoureuse de Steve Rogers, au point de vouloir qu'il rompe son célibat avec toute femme digne de le rendre heureux – et Sam Wilson/Falcon
.
Des Avengers confirmés ou en devenir, qui doivent spoiler: arrêter un mystérieux assassin, appelé « Le Soldat de l'Hiver », et Alexander Pierce, un haut fonctionnaire du S.H.I.E.L.D.
Ce film intense est réalisé par Anthony Russo et Joe Russo – les Frères Russo – qui apportent un style de réalisation qui convient parfaitement au MCU. Que ce soit pour les séquences d'action ou pour mettre en valeur les performances d'un (nouveau) casting phénoménal, comprenant Chris Evans, Scarlett Johansson, Sebastian Stan, Anthony Mackie, Samuel L. Jackson, Robert Redford, Cobie Smulders, Frank Grillo, Emily VanCamp, Hayley Atwell, Toby Jones et Jenny Agutter.
4.7//5
»
Dans le deuxième film concernant Captain America, qui est le troisième épisode de la deuxième phase et le neuvième film de la Saga Infinity du MCU, Steve Rogers est confronté au spoiler: néo-terrorisme de l'organisation Hydra, qui corrompt le Supreme Headquarters, International Espionage and Law-Enforcement Division – S.H.I.E.L.D. de l'intérieur, afin de satisfaire le vieux rêve nazi de prendre le contrôle de la planète
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Alors que le S.H.I.E.L.D. spoiler: plonge dans les ténèbres du totalitarisme, Captain America, qui est la sentinelle de la liberté et un homme hors du temps, fait équipe avec ceux prêts à faire le sacrifice ultime pour défendre l’indépendance
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A ses côtés, spoiler: Nick Fury, le directeur du S.H.I.E.L.D., l'agent Natasha Romanoff/Black Widow – (secrètement) amoureuse de Steve Rogers, au point de vouloir qu'il rompe son célibat avec toute femme digne de le rendre heureux – et Sam Wilson/Falcon
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Des Avengers confirmés ou en devenir, qui doivent spoiler: arrêter un mystérieux assassin, appelé « Le Soldat de l'Hiver », et Alexander Pierce, un haut fonctionnaire du S.H.I.E.L.D.
Ce film intense est réalisé par Anthony Russo et Joe Russo – les Frères Russo – qui apportent un style de réalisation qui convient parfaitement au MCU. Que ce soit pour les séquences d'action ou pour mettre en valeur les performances d'un (nouveau) casting phénoménal, comprenant Chris Evans, Scarlett Johansson, Sebastian Stan, Anthony Mackie, Samuel L. Jackson, Robert Redford, Cobie Smulders, Frank Grillo, Emily VanCamp, Hayley Atwell, Toby Jones et Jenny Agutter.
4.7//5
Honneur, bravoure et sacrifice! Telles sont les valeurs de Steve Rogers alias le Captain America qui revient dans un second opus typique de Marvel Studios, s'associant ici à Black Widow pour dèjouer une vilaine conspiration! On l'a chargè d'une mission et il ira jusqu'au bout pour sauver le monde! On le retrouve comme on l'a quittè et il faut attendre que Captain America soit un fugitif recherchè et dèpassè par le temps pour que cette suite dèroule son grand spectacle avec son lot de sèquences d'action spectaculaires! De par son efficacitè, son humour facile et ses F / X, ce blockbuster remplit donc sans problème son cahier des charges malgrè quelques petites longueurs! Restez si possible jusqu'au bout car le gènèrique de fin annonce le dèbut de "Captain America : Civil War" (2016) à venir...
Bon voilà. On y est. Un des meilleurs Marvel à mes yeux. Tout est parfait dans ce film : la pression, les rebondissements, les scènes de combat, le rythme, les costumes et surtout l’histoire de Bucky et le Captain : tout est là pour être hyper, l’attaque surprise contre Furry… Merci pour ce classique.
Captain America : Le Soldat de l'Hiver, réalisé par Anthony et Joe Russo, est souvent célébré comme l'un des meilleurs films de l'univers cinématographique Marvel (MCU). Cependant, il est compréhensible que certains spectateurs aient du mal à s’y attacher, voire à comprendre l’engouement autour de ce film.
L'intrigue tourne autour de Steve Rogers, alias Captain America, qui se retrouve confronté à une menace insidieuse au sein de S.H.I.E.L.D. et à un ancien allié devenu ennemi, le Soldat de l'Hiver. L'aspect politique et l'intrigue de conspiration sont au cœur du récit, ce qui le distingue des autres films de super-héros plus orientés action. Cependant, ce ton plus sérieux et sombre peut dérouter certains fans habitués à des récits plus légers.
Bien que le film offre des scènes d'action impressionnantes et une direction artistique solide, notamment avec des combats chorégraphiés de manière saisissante, le développement des personnages peut sembler superficiel pour ceux qui espèrent une exploration plus profonde des motivations et des arcs narratifs. La complexité du récit, bien que potentiellement intrigante, peut paraître déroutante et difficile à suivre pour ceux qui ne sont pas familiers avec l'univers du MCU.
De plus, le fait que le film s'écarte parfois de la tradition de super-héros, en mettant l'accent sur le réalisme politique et les dilemmes moraux, peut ne pas plaire à tous les fans.
En résumé, Captain America : Le Soldat de l'Hiver est un film qui ne manquera pas d'intéresser certains, mais qui peut laisser d'autres spectateurs sur leur faim, notamment en termes de cohérence narrative et de lien émotionnel. Si l'œuvre est saluée pour sa profondeur et ses thèmes d'actualité, elle ne réussit pas à séduire tout le monde de la même manière.
L'intrigue tourne autour de Steve Rogers, alias Captain America, qui se retrouve confronté à une menace insidieuse au sein de S.H.I.E.L.D. et à un ancien allié devenu ennemi, le Soldat de l'Hiver. L'aspect politique et l'intrigue de conspiration sont au cœur du récit, ce qui le distingue des autres films de super-héros plus orientés action. Cependant, ce ton plus sérieux et sombre peut dérouter certains fans habitués à des récits plus légers.
Bien que le film offre des scènes d'action impressionnantes et une direction artistique solide, notamment avec des combats chorégraphiés de manière saisissante, le développement des personnages peut sembler superficiel pour ceux qui espèrent une exploration plus profonde des motivations et des arcs narratifs. La complexité du récit, bien que potentiellement intrigante, peut paraître déroutante et difficile à suivre pour ceux qui ne sont pas familiers avec l'univers du MCU.
De plus, le fait que le film s'écarte parfois de la tradition de super-héros, en mettant l'accent sur le réalisme politique et les dilemmes moraux, peut ne pas plaire à tous les fans.
En résumé, Captain America : Le Soldat de l'Hiver est un film qui ne manquera pas d'intéresser certains, mais qui peut laisser d'autres spectateurs sur leur faim, notamment en termes de cohérence narrative et de lien émotionnel. Si l'œuvre est saluée pour sa profondeur et ses thèmes d'actualité, elle ne réussit pas à séduire tout le monde de la même manière.
Dans le tumultueux océan des films de super-héros, "Captain America: Le Soldat de l'Hiver" s'ancre avec une assurance qui intrigue autant qu'elle divise. À la barre, les frères Russo, Anthony et Joe, naviguent entre les écueils du blockbuster traditionnel et les flots plus tumultueux d'un thriller politique aux nuances grises. Ce choix audacieux, miroir d'une Amérique post-11 septembre, oscille entre la lumière crue de la critique institutionnelle et l'ombre portée par une certaine naïveté narrative.
Le cœur battant de cette aventure est sans conteste le duo formé par Chris Evans, l'incarnation même de l'idéalisme avec son bouclier étoilé, et Scarlett Johansson, dont la Black Widow tisse un contrepoint cynique et énigmatique. Leurs interactions, pétries de non-dits et de confidences murmurées, apportent une profondeur émotionnelle souvent absente des fresques super-héroïques. L'entrée en scène de Anthony Mackie en Falcon déploie un nouvel horizon d'amitié et de bravoure, bien que son personnage frôle parfois la périphérie du récit.
Le Soldat de l'Hiver, incarné avec une intensité palpable par Sebastian Stan, est une figure tragique sculptée dans la glace du passé. Sa confrontation avec Steve Rogers, teintée de fraternité perdue et de manipulation, offre des instants de cinéma d'une puissante mélancolie. Cependant, l'exploration de cette dualité est par moments entravée par un manque de nuance, laissant le spectateur sur sa faim quant à la richesse potentielle de ce personnage.
Sur le front visuel, le film se distingue par des séquences d'action chorégraphiées avec une précision quasi chirurgicale, où chaque coup porte l'empreinte des enjeux dramatiques. La destruction spectaculaire s'imbrique dans une esthétique réaliste, conférant aux affrontements une brutalité et une urgence captivantes. Pourtant, cette excellence technique ne parvient pas toujours à masquer certaines facilités scénaristiques et une propension à l'outrance spectaculaire.
Le scénario, tissé d'intrigues et de trahisons, s'aventure audacieusement dans les méandres de la surveillance de masse et du sacrifice de la liberté au nom de la sécurité. Ce miroir tendu à notre réalité frappe par sa pertinence, mais flirte parfois avec une simplification excessive des dilemmes moraux. L'ambition louable de tisser une toile de fond politique se heurte ainsi à une exécution par moments manichéenne.
La musique de Henry Jackman, mêlant souffle épique et intimités mélodiques, soutient le récit avec justesse, bien qu'elle cède parfois le pas à la tentation de l'emphase. La direction artistique et les décors, de Washington à la merveille technologique que sont les héliporteurs, brossent un univers à la fois familier et étrangement futuriste, reflet d'un monde en proie au doute.
En somme, "Captain America: Le Soldat de l'Hiver" est une œuvre aux multiples facettes, où brillent des éclats de génie autant que des zones d'ombre. Son ambition de marier l'esprit des comics à une réflexion sur notre époque se heurte à des limites tant narratives que conceptuelles. Une symphonie inégale, donc, où les moments de grâce côtoient les dissonances, laissant le spectateur dans un entre-deux émotionnel et critique.
Le cœur battant de cette aventure est sans conteste le duo formé par Chris Evans, l'incarnation même de l'idéalisme avec son bouclier étoilé, et Scarlett Johansson, dont la Black Widow tisse un contrepoint cynique et énigmatique. Leurs interactions, pétries de non-dits et de confidences murmurées, apportent une profondeur émotionnelle souvent absente des fresques super-héroïques. L'entrée en scène de Anthony Mackie en Falcon déploie un nouvel horizon d'amitié et de bravoure, bien que son personnage frôle parfois la périphérie du récit.
Le Soldat de l'Hiver, incarné avec une intensité palpable par Sebastian Stan, est une figure tragique sculptée dans la glace du passé. Sa confrontation avec Steve Rogers, teintée de fraternité perdue et de manipulation, offre des instants de cinéma d'une puissante mélancolie. Cependant, l'exploration de cette dualité est par moments entravée par un manque de nuance, laissant le spectateur sur sa faim quant à la richesse potentielle de ce personnage.
Sur le front visuel, le film se distingue par des séquences d'action chorégraphiées avec une précision quasi chirurgicale, où chaque coup porte l'empreinte des enjeux dramatiques. La destruction spectaculaire s'imbrique dans une esthétique réaliste, conférant aux affrontements une brutalité et une urgence captivantes. Pourtant, cette excellence technique ne parvient pas toujours à masquer certaines facilités scénaristiques et une propension à l'outrance spectaculaire.
Le scénario, tissé d'intrigues et de trahisons, s'aventure audacieusement dans les méandres de la surveillance de masse et du sacrifice de la liberté au nom de la sécurité. Ce miroir tendu à notre réalité frappe par sa pertinence, mais flirte parfois avec une simplification excessive des dilemmes moraux. L'ambition louable de tisser une toile de fond politique se heurte ainsi à une exécution par moments manichéenne.
La musique de Henry Jackman, mêlant souffle épique et intimités mélodiques, soutient le récit avec justesse, bien qu'elle cède parfois le pas à la tentation de l'emphase. La direction artistique et les décors, de Washington à la merveille technologique que sont les héliporteurs, brossent un univers à la fois familier et étrangement futuriste, reflet d'un monde en proie au doute.
En somme, "Captain America: Le Soldat de l'Hiver" est une œuvre aux multiples facettes, où brillent des éclats de génie autant que des zones d'ombre. Son ambition de marier l'esprit des comics à une réflexion sur notre époque se heurte à des limites tant narratives que conceptuelles. Une symphonie inégale, donc, où les moments de grâce côtoient les dissonances, laissant le spectateur dans un entre-deux émotionnel et critique.
Certainement l 'un des meilleurs films Marvel. Des scènes de combat ultra réaliste dans cet univers de super héros, loin des "superman" ou "captain Marvel" qui vous démonte une planète en une pichenette. Les personnages sont bien dessinés, ont du charisme, autant que les vilains et le scénario tient en haleine. Ce deuxième épisode de captain américa amène bien l'univers Marvel à ses sommets avec les épisodes qui suivront également, Avengers notamment ..Un régal de film d'action fantastique !!!
Un excellent film qui utilise captain America dans toute sa splendeur avec un méchant charismatique et qui permet a captain america de devenir l'un des Avengers les plus appréciés par le public.
Après la seconde guerre mondiale, voilà que Captain America au 21ème siècle contre le pays, pour lequel il a toujours servi. Le scénario est très bien écrit, dans la mesure où le film est cette fois-ci anti-patriotique, contre les USA. Ça met bien en valeur les complots internes au sein des organisations.
Les acteurs jouent, encore une fois tous bien, et les alchimies entre Chris Evans et Scarlett Johansson font vraies et prouvent qu’ils ont travaillé plusieurs fois dans le passé. Anthony Mackie fait aussi belle figure et son introduction au sein du MCU colle à l’histoire. Et bien évidemment, heureux de retrouver spoiler: Sebastian Stan en Bucky
et Robert Redford joue bien les chefs manipulateurs.
Musicalement parlant, c’est top ! On ressent ce côté patriotique, mais aussi un côté sérieux et brutal. Même le thème du Soldat de l’Hiver ressemble à un son sorti des Enfers. Même l’action est génial ; ça va un peu vite, mais on voit bien ce qui se passe.
« Captain America : le Soldat de l’hiver » est un vrai retour de force avec un thème, une ambiance plus sombre et stressante que les précédents films et des scènes d’action plus dynamiques que jamais. Dommage qu’il est prévisible par moments.
Les acteurs jouent, encore une fois tous bien, et les alchimies entre Chris Evans et Scarlett Johansson font vraies et prouvent qu’ils ont travaillé plusieurs fois dans le passé. Anthony Mackie fait aussi belle figure et son introduction au sein du MCU colle à l’histoire. Et bien évidemment, heureux de retrouver spoiler: Sebastian Stan en Bucky
et Robert Redford joue bien les chefs manipulateurs.
Musicalement parlant, c’est top ! On ressent ce côté patriotique, mais aussi un côté sérieux et brutal. Même le thème du Soldat de l’Hiver ressemble à un son sorti des Enfers. Même l’action est génial ; ça va un peu vite, mais on voit bien ce qui se passe.
« Captain America : le Soldat de l’hiver » est un vrai retour de force avec un thème, une ambiance plus sombre et stressante que les précédents films et des scènes d’action plus dynamiques que jamais. Dommage qu’il est prévisible par moments.
Je l'ai préféré au premier , j'ai trouvé que le Captain avait plus de charisme et d'assurance.
Le film est bien rythmé même si on peut regretter que le 'Soldat de l'hiver' n'apparaisse pas beaucoup contrairement à 'Natasha' qui est un petit peu trop présente.
4/5
Le film est bien rythmé même si on peut regretter que le 'Soldat de l'hiver' n'apparaisse pas beaucoup contrairement à 'Natasha' qui est un petit peu trop présente.
4/5
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