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Ben
4 abonnés
73 critiques
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2,5
Publiée le 21 décembre 2024
Un film dans le sentimental, trop peut être, ce en devient lourd. Les méchants sont presque invisibles, et cette guerre des boutons n’est pas à la hauteur de ce qu’on a put connaître. Certaine réplique sont honorable et les acteurs joue tous de même bien leur rôle. À regarder avec des enfants
Des personnages de qualité, un rythme parfaitement maîtrisé, de belles couleurs, une bande originale magnifique, c’est un film trop sous-estimé à mon goût. Ce n’est évidemment pas le meilleur film de son année de sortie, mais j’y ai trouvé là une œuvre très divertissante qui traite spoiler: aussi bien de la rivalité entre deux villages voisins, pas assez développée à mon goût d’ailleurs, que des rafles des années 1940 qui nous conduisent à un climax vraiment bien exécuté . J’apprécie bien plus cette version que l’autre version sortie à la même période.
Certes un très beau casting d'acteurs stars, des enfants pas trop mal (surtout le petit Gibus), mais quel dommage d'avoir voulu faire un mélo en changeant l'époque. Le film original qui était à hauteur d'enfants était beaucoup plus juste. Ici, la fameuse guerre des boutons passe au second plan et ne sert que dans quelques scènes afin de justifier le titre du film (et essayer de récupérer quelques spectateurs nostalgiques). C'est un beau gâchis !
J’ai trouvé cet opus de Christophe Barratier supérieur à celui de Yann Samuel. D’abord, j’ai trouvé que situer l’action à la fin de la guerre 39-45 était une bonne idée, et on retrouve le méchant des Choristes dans la peau d’un milicien zélé. Néanmoins des défauts, comme la musique envahissante, et on n’atteint pas la légèreté et l’humour de la version d’Yves Robert.
La Nouvelle guerre des boutons n’a de nouveau que l’épithète placée dans le titre originel, celui du roman et de son adaptation au cinéma par Yves Robert. Le film est perdu entre plusieurs époques qu’il ne parvient jamais à concilier sinon par la maladresse et par la désuétude : celle du roman de 1912 ; celle de la Seconde Guerre mondiale, et plus précisément de l’Occupation allemande ; celle dudit long métrage de 1962, où la malice et l’innocence des enfants transparaissaient avec éclat ; celle de 2011, que définissent l’explicitation par le dialogue de tous les enjeux historiques, l’interprétation poussives d’acteurs confirmés visiblement peu à l’aise, le montage charcutier qui segmente ses scènes déjà brèves en une défilade de plans de quelques secondes à peine, la pudeur dans le filmage des corps et des pratiques des deux bandes en présence. La ruralité telle qu’elle est ici montrée, et son opposition avec Paris par le biais du personnage féminin, ne renvoient à aucune réalité territoriale ou historique ; elles participent de la célébration d’une campagne enchantée qu’Honoré d’Urfé n’aurait pas reniée, incapable de transposer par le jeu des enfants la guerre qui décime leurs parents. La musique de Philippe Rombi englue l’ensemble dans un lyrisme facile, qui emprunte au thème principal composé par James Horner pour The Land before Time (Don Bluth, 1988). Seule la photographie assure un semblant de spectacle, soigne ses paysages auvergnats et leur confère un charme suranné à la Yves Robert. C’est bien peu.
Film bien décevant. Casting all star qui ne sauve pas la médiocrité du film avec des acteurs plats qui récitent machinalement leur texte sans émotion. le contexte débarquement 2nd guerre mondiale donne l'impression qu'on regarde juste un reportage d'un petit village durant cette période plutôt qu'un film axé sur la rivalité d'enfants de 2 villages. Le ptit Gibus est juste horrible durant chacune de ses interventions à crier son texte. Les enfants sont beaucoup trop grands pour certains.
Une adaptation pas mal d'un film culte du cinéma français. L'histoire est satisfaisante et les acteurs sont très convenables. Les enfants sont très corrects et les images sont plutôt bonnes. Les décors sont bien et la reconstitution du contexte de l'occupation Allemande est convaincante. L'ambiance est plaisante et il y a un peu d'émotions. Un film donc pas mauvais avec une troupe de gamins agréables.
Un très bon film, avec une bonne histoire qui tient la route du début à la fin et de très bon acteurs. Tout les ingrédients sont donc réunis pour passez un bon moment
Barratier qui fait du Barratier... Un remake pas mauvais en soit, mais qui est loin d'égaler l'original. A la fois drôle et dramatique, le scénario apporte une approche intéressante pour expliquer la guerre au enfants mais avec tellement de démagogie quand ça en devient indigeste.
C'est un bon film familiale sur une bonne thématique (guerre). Il y a des personnages attachants et cela est vraiment sympa à voir. spoiler: Cependant au fur et à mesure du temps l'histoire s'éloigne un peu de sa base] je trouve personnellement. Je conseil ce film.
C'est un bon film familiale sur une bonne thématique (guerre). Il y a des personnages attachants et cela est vraiment sympa à voir. spoiler: Cependant au fur et à mesure du temps l'histoire s'éloigne un peu de sa base je trouve personnellement. Je conseil ce film.
Film plein de bon sentiments, sans réelle prise de tête. Les acteurs, jeunes notamment, ont un potentiel malgré un jeu assez peu mémorable. L'intrigue est classique même si le parallèle dressée avec la Seconde Guerre mondiale est intéressant. Un bon film pour enfant donc, sans plus.
Cette adaptation se démarque des autres, et il y a toute un contexte à reprendre en compte. En effet cette version est sortie à une semaine d'intervalle avec le film d'Yves Samuel. Le film de Barratier a sans doute attiré plus de monde, sans doute à une distribution séduisante, Kad Mérad, Guillaume Canet, Laeticia Casta, François Morel, Gregory Gatignol, et Gérard Jugnot. Toutefois il a pris certaines libertés comme plaçant le film dans un contexte de seconde guerre mondiale, le père de Lebraque est vivant, ou encore une romance avec une petite fille juive cachée, qui chavire le cœur du leader des longevernes. C'est un film au ton sympathique mais qui au détriment de certaines libertés tombent un peu trop dans les clichés.
L’intrigue se déroulant pendant l'Occupation avec une querelle de villages notamment entre deux clans de gamins est assez bien vue car elle permet de relativiser le tout via ce conflit majeur. Les acteurs, notamment les adultes sont très bons (Jugnot, Merad et Canet en tête), les ados aussi (notamment Lebrac). En revanche, Petit Gibus est agaçant au possible car il sonne faux et surtout semble souffrir de gros problèmes d’élocution et au lieu de paraître mignon, devient vite pénible ! Après, il y a ce qu’il faut d’émotion et d’action pour satisfaire un public pas très exigeant mais surtout pas trop vieux car si on analyse plus profondément la chose, Barratier accumule tout de même pas mal les clichés avec ses protagonistes (les collabos, les juifs, les histoires d’amour et leur conclusion…) et filme ses batailles comme des assauts majeurs alors que ça reste juste une guerre entre gamins s’arrachant les boutons de leurs chemises et pantalons ! Pourtant, on se surprend à suivre jusqu’au bout les aventures de ces gosses que la guerre va finalement rapprocher.