Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 23 février 2012
Ce film très instructif, montre la vie des enfants pendant la II guerre mondiale. Une petite juive qui s'appelle Violette doit se cacher et vit avec la peur au quotidien. Les enfants essaient oublier la realité pour vivre pleinement son enfance. C'est un film très touchant, agreable à regarder.C'est sur qu'en sortant vous serez émus!!!
Comparé au film de Samuell, ce film était très moyen. Le jeu des acteurs n'étaient pas terrible. Le but de ce film est l'humour, on ne le retrouve pas dans ce film. Même s'il on y trouve de bons acteurs tel que Kad Merad, Gerard Jugnot et Guillaume Canet, le film était légèrement décevant. Le jeu des enfants n'étaient pas incroyable mais après tout ce n'est peut être pas le métier qui leur convient? Christophe Barratier a incendié le film de Samuell! De peur? surement! Car la Guerre des Boutons vaut beaucoup plus le détour que la Nouvelle Guerre des Boutons.
Ce film est plutôt moyen, certains passages sont marrants, d'autres violants (dans le langage). Très bien réaliser. La Nouvelles Guerres Des Boutons, ne m'as pas fait vraiment rigoler malgré que ce film a des moments drôles, mais peu a mon goût !
Visionné après celui de Samuell, le film de Christophe Barratier m'a déçu bien qu'il soit techniquement mieux réalisé (cadrages et image, décors) et avec visiblement plus de moyens (acteurs plus chers !). Transposer La Guerre des Boutons sous l'occupation était un postulat comme un autre, mais le piège était d'en faire un enième film sur les enfants juifs cachés, la gestapo et les gentils résistants : Barratier y est tombé à pieds joints, le roman de Pergaud ne servant plus que de prétexte à une histoire mainte fois rebattue au cinéa. Du coup la fantaisie qui émane du livre et des métrages d'Yves Robert et de Yann Samuell est ici entravée par un scénario trop académique et un jeu d'acteurs empesé, Canet, Merad et Casta en tête. On ne rit pas et on sourit peu, ce qui est quand même un comble dans une histoire de chenapans déchaînés ! Cerise sur le gateau : une omniprésente et crispante musique sirupeuse dont Barratier a le secret depuis ses célèbres "Choristes". Allez voir l' "autre" et revoyez l' "original", ils sont bien plus digestes que cette daube trop riche...
Comme faire un remake d'un ancien chef-d'oeuvre qui se suffisait à lui même pour en faire un pastiche dégoulinant de bons sentiments, agrémenté de références à l'occupation parfaitement inutile, mais qui finissent par prendre le dessus, quitte à perdre des chaînons parmi les plus importants de la trame initial. Les personnages sont soit idéalisés soit diabolisés à outrance, en violation total avec l'oeuvre originale, pas de demi-mesure quitte à perdre tout l'équilibre du récit. Une véritable daube.
Le contexte politique dans lequel se situ le film fait éco au conflit des enfants ! Il ne s’agit plus d’échapper à la trempe des parents mais au courroux NAZY ! Les enjeux sont plus importants et graves que dans le bouquin. Il manque incontestablement la fraicheur et la spontanéité que j’ai beaucoup appréciée dans le premier film et celui de Yann Samuel. Tout est un peu trop artificiel à commencer par les gosses notamment ptigibus pas toujours très naturel. Les effets comiques ne sont pas toujours réussis, La faute probablement aux répliques pas toujours bien écrites . Certaines scènes sont quand même amusantes et attendrissantes parfois. Cad Mérad s’en sort assez bien a l’inverse de Guillaume Canet qui patauge dans un rôle moralisateur et mouligasse un peu a l’image du film d’ailleurs. Bref : trop artificiel
Différent de son meilleur ennemi sortie une semaine plutôt, La Nouvelle guerre des boutons tient plus du drame que de la comédie. Ici, le film est transposé en pleine occupation allemande durant la seconde guerre mondiale. La "guerre" des enfants en est presque recalé au second plan et à la rigueur ce n'est pas plus mal tant celle-ci est inintéressante et déjà vu. Cependant, cela ne donne pas pour autant un film passionnant, la faute sans doute à un manque de spontanéité et d'inspiration flagrantes.
C'est un divertissement honnête si on a moins de 10 ans. Au delà, on aura bien du mal à gober autant de clichés franchouillards et caricaturaux. Et, plus encore, à apprendre les leçons d'histoire et de morale que le film cherche à inculquer si grossièrement.
Terriblement déçu par cette version, bien moins agréable que la Guerre des boutons version Yann Samuell. Christophe Barratier nous livre un scénario tire larme sombrant dans le pathos avec le thème hors propos de la déportation. Du coup le film perd en fraicheur et en humour ce qui est fort dommageable. Le casting est largement inférieur à la version de Yann Samuell avec un Lebrac manquant singulièrement de charisme et beaucoup de rôles surjoués et de personnages stéréotypés. La réalisation est de moins bonne facture, proche d'un téléfilm. Bref une déception pour un film qui à le démérite de faire double emploi. Dommage.
Oh le drame, l'originale etait bien, cete version est nullisime. En effet que font les NAZI dedans? Je sais que mettre un juif sa fait intelectuel, dramatique,... mais sa ne prejuge en rien de la qualité du film (c'est souvent meme le contraire). La shoah commence vraiment a me faire chier, je m'en tamponne, surtout quand je veux regarder un film dans se genre. ils ont crus qu'en sortant des acteurs connus et les nazi, le film serait bien. c'est tout le contraire, un mauvais jeu d'acteurs, une mise en scene deplorable (onn se demande si le realisteur a deja touché une camera de sa vie), et bien sur comme je le dit precedament le scenario est debile.
Autant le dire tout de suite, les deux projets diffèrent considérablement entre eux, aussi bien sur le plan du style mais aussi sur celui de la qualité. En effet avec les Choristes et Faubourg 36, on savait que Christophe Barratier se faisait une vision assez particulière de la France et de son cinéma en proposant des films dentant assez formatés pour un public susceptible de se déplacer sans soucis alors que le film est bon ou non. Ici il s’accommode les services de Thomas Langmann sauf que dès la départ on sent comme un problème, en effet ils décident d’opter pour un non-sens complètement absurde à savoir transposer l’histoire pendant la seconde guerre mondiale histoire de transposer dans le « grand » conflit le « petit » qu’est l’affrontement des deux villages. De plus, l’histoire de cœur (que l’on retrouve dans les autres adaptations) est ici entre Lebrac et une jeune juive. Certes on peut saluer l’originalité du réalisateur de transposer cela dans une autre époque, multipliant les pistes de lecture et rappelant au passage le travail exercé par Claude Lelouch concernant son adaptation des Misérables. Mais le film ne peut échapper à ses principaux défauts, ainsi le film est profondément démago, proposant comme spectacle de voir une France parfaite dans les années 44 où même les collabos étaient en fait des résistants, ainsi les méchants ont les identifies assez rapidement (ceux qui ont une sale trogne) tout comme le personnage au musée assez homo/collabo sur les bords. Tout comme le père de Lebrac qui n’obtiendra que la reconnaissance une fois que ce dernier sera reconnu comme résistant. On regrette donc que Langmann et Barratier soient partis dans des proportions complètement délirantes sur incrustés cette belle histoire durant la seconde guerre mondiale, de plus ils ont essayé en vain de rajouter un côté dramatique lorsqu’un des jeunes lit la lettre de son père au front ou encore le côté « histoire vraie » en racontant ce que sont devenus les enfants à la fin du générique. Notons tout de même au passage le travail remarquable du chef décorateur et du compositeur qui arriveront à nous faire oublier une réalisation trop monotone et une histoire incohérente. Ainsi entre les deux films allez plus voir celui de Yann Samuell, le matche entre les deux films n’est donc pas inévitable et il est clair que le film de Barratier sort perdant, ne proposant pas des enfants avec un charisme aussi fort que celui de Robert ou de Samuell, même les acteurs ne nous provoquent pas l’adrénaline suffisante. Comme Canet et Casta dont on a du mal à croire à leur histoire de cœur et dont on s’accroche difficilement. Les acteurs fétiches de Barratier Merad et Jugnot font ici de la figuration assez sommaire même si Jugnot nous remontre ses talents que l’on n’avait pas vu depuis de nombreuses années. Peut-être le réalisateur a voulu trop en mettre plein la vue, oubliant au passage un élément important de cette histoire, le côté humain.
Tous les prétextes sont bons pour certains (ici Thomas Langmann) pour nous remettre une couche sur la déportation des juifs. Bien sûr que cet épisode historique est ignoble, mais cela ne donne pas le droit de gâcher des oeuvres d'art. Toute la nature primesautière et joyeuse de la Guerre des Boutons est ainsi empesentie d'horreur, avec son lot de milice, petite fille qui va être capturée, et qui ne verra plus jamais ses parents, etc, etc... Avec ce parti pris la faiblesse des acteurs nous apporte pressque un peu de gaité... Ha oui ! Il existe une autre Guerre des boutons de 2011, très drôle, avec des acteurs méconnus qui croient à leur jeu : absolument aucune comparaison.
Une nouvelle guerre des boutons plus axée sur l'histoire: la seconde guerre mondiale. C'est donc pour moi une comédie assez dramatique. Mais dès que l'on rentre dans la véritable guerre, on passe de bons moments. Les 4 comédiens en tête d'affiche m'on plutôt convaincu, ainsi que les enfants. Je me permet de comparer par rapport à la précédente guerre des boutons: la nouvelle est moins aboutie, notamment lors des petites batailles entre les enfants qui sont moins amusantes dans ce dernier film. Sinon, c'est sympa.
Très moyennement convaincu par cette nouvelle version de la "Guerre des boutons", où l'on se demande finalement quel en est le véritable thème : la guerre des boutons ou la seconde guerre mondiale ? Ce film, plus commercial, reste tout de même divertissant et se laisse regarder, malgré un jeu d'acteur des enfants qui laisse parfois un peu à désirer. Quant au rôle de Guillaume Canet : un peu trop caricatural...