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Un visiteur
4,0
Publiée le 9 avril 2015
on as une jolie histoire ,bien réalisé pleines de poésie spoiler: d'un gars qui as le pouvoir(ou plutôt la malédiction ) de faire mourir tout autour de lui mais tout va changer lorsqu'il va rencontrer cette jeune fille et à eux deux il vont transformer cette malédiction au pouvoir de faire renaitre mais tout vas basculer
A la fois d'un drame puisquespoiler: le garçon va mourir mais d'un miraclespoiler: parce qu'il y a guérrisson d'un cancer puisque elle était arrivé à un stade de non retour et cette rencontre marque à tout jamais sa vie
J'ai trouvé ce film excellent. L'histoire est originale, les personnages et les acteurs très touchants. Petit bémol pour la fin du film qui semble un peu bâclée. Mais the Last Son est un film a voir sans attendre !
Un conte de fées moderne, plutôt tendre, original doté d'une jolie musique et avec un casting intéressant. Le film se laisse regarder même si à plusieurs reprises on aimerait plus de rythme, plus de dynamisme dans cette romance fantastique !!
Agnès Merlet et son The Last Son est un film fantastique qui tient du conte mais qui, par un réalisme prégnant, se confond avec le drame. La mise en scène toute en retenue, sensible et délicate offre le portrait de deux individus qui souffrent d'un mal rédhibitoire quoique différent. Une jolie réalisation donc à laquelle s'ajoute une interprétation de qualité. 4/5
Agnès Merlet m'avait déjà charmé avec son étrange Dorothy la voici qu'elle récidive avec The Last Son, la malédiction un film poétique qui raconte l'histoire du dernier fils d'une famille dont seuls les hommes possèdent un don particuliers mais maudit. Le début sur l'enfance de James est sans doute la partie la plus réussie du film mais la suite se regarde avec passion notamment grâce aux jeunes acteurs qui jouent avec justesse leurs personnages, un garçon et une fille attachants se rapprochant grâce à leur différence. On pourrait reprocher au film d'Agnès Merlet d'être un peu court et ainsi de ne pas avoir développé davantage certains points et une fin qui s'éloigne du ton presque désespéré du reste du film. En tout cas c'est un beau film à l'histoire touchante ayant une photographie très soignée qui mérite d'être plus reconnu.
Je suis allé voir ce film sans savoir ce quoi ça pouvait bien parler, juste que ça durait 1h35 (avant de suivre quelqu'un au cinéma, je regarde au moins la durée, pour savoir combien mon calvaire peut éventuellement durer). Mais bon après tout ça peut être une bonne surprise ? tu parles. Ce film est une sorte de conte, une malédiction qui se passe de génération en génération, de père en fils, dans le genre on conseillera plus la chute de la maison Usher de Epstein (enfin bon). Seulement voilà, c'est filmé caméra à l'épaule, c'est mal cadré, c'est juste abominable. Attends, on peut utiliser la caméra à l'épaule, mais si on veut raconter un conte, c'est pas ce que l'on va privilégier. Il faut être cohérent quelque part. Alors autre question pourquoi filmer le nez de l'acteur principal ? je veux dire je savais qu'on faisait des inserts d'yeux, de bouches, de mains etc, mais de nez ? attends c'est pas très beau un nez. D'ailleurs en parlant de nez, on apprend que ceux qui ont un gros nez n'auront pas de cancer, ce qui augure que du bon pour Belmondo et moi. Bon passons. Le mec a donc une malédiction qui tue tout ce qui est autour de lui dès qu'il souffre. Ok, pourquoi pas après tout ? Ouais mais non. Parce que tout est cousu de fil blanc, c'est catastrophique. Dès le début on se doute de comment cet étron va finir. On retrouve un pitch similaire à Restless, sauf que restless est bien mieux, un jeune garçon un peu étrange qui rencontre une cancéreuse en phase terminale (qui a l'air tout à fait saine, alors qu'il lui reste un mois à vivre, looogggiiquuue, je ne fréquente pas beaucoup de cancéreux, j'espère que ça va rester ainsi, mais bon ça ne me semble pas crédible). Alors forcément lorsqu'ils sont ensemble tout est parfait et blablabla, niaiserie, à grand niveau. Et puis c'est d'un ridicule, cette fin, mais j'ai ris, c'est un excellent nanar. On voit le visage du héros flotter dans le ciel. Oh mais mon dieu, c'est juste nul. Aux frémissements dans la salle je pense que je ne suis pas le seul que cette scène a choqué. C'est juste de la merde. Je ne vois pas à qui se destine ce genre de film. ça veut se la jouer film d'auteur sensible, alors que c'est vraiment nul à chier et sans subtilité, musique triste à gogo, aucun univers, aucune personnalité, tout est d'une banalité et d'une laideur. Mais bon on a quand même une belle morale qui dit : baisez avec les hommes des bois ! Je dirai ça au petit chaperon rouge. Bref un navet impardonnable.
Un film avec une idée intéressante mais qui manque cruellement de fond. L'histoire est plate, sans intérêt, sans intrigue, sans suspense. Les décors sont quasi inexistants. Rien n'est mis en avant ou en valeur. Les personnages sont tristes et plats et ne nous retransmettre que trop mal leur émotions. C'était bien partie mais ça devient vite lassant.
La première moitié est vraiment très bonne: que ce soit sur le plan visuel ou de l'écriture c'est beau et malin. Passée l'introduction le film instaure une tonalité qui m'a évoqué une certaine vibe Ghibli/Miyazaki: un merveilleux poétique, subtil et délicat, prenant place au sein d'une forêt. Las, la seconde moitié perd en intérêt, avec ses rebondissements sortis de nulle part et sa romance aussi attendue que dispensable, j'ai très nettement décroché pris par un sentiment de déjà-vu. Je trouve d'ailleurs cela étonnant car l'écriture de l'introduction était plutôt originale et forte d'un humour subtil et accrocheur pour laisser présager une suite au ton vraiment singulier. Dommage, mais pour son premier segment et sa musique le film vaut d'être vu.
Ce conte d'Agnès Merlet est très intéressant , on est embarqué dans l'histoire , il y a quelques moments de grâce et de poésie , même si je trouve la fin assez too much .
Si le scenario est sympa, la mise en scène et la réalisation sont catastrophiques. C'est vraiment dommage, l'idée est bonne mais reste à savoir l'exploiter. Tant pis.
Malgré un scénario intéressant qui traîne en longueur et une fausse idée de film d'épouvante qui n'en est pas un, The Last Son bénéficie d'une photographie enivrante d'où se dégage une poésie inespérée. Une belle petite surprise.