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Unc-Scrooge
52 abonnés
613 critiques
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3,0
Publiée le 8 janvier 2012
Reboot du fameux vengeur de cape et d’épée que nous n’avions pas vu depuis bien longtemps sur un écran, the Mask of Zorro aura au moins su respecter son cahier des charges : la plupart des personnages sont présents, les scènes d’épées dans la Californie du XIXème aussi. Bref, tout est parfait, et justement trop parfait. Le scénario est lissé à la perfection, ne laissant aucune place pour une chevauchée improvisée, supprimant toute imagination pour un classicisme absolu. L’ensemble donne le sentiment ou rien n’a été raté, mais où l’on a l’impression d’être passé à côté de quelque chose… Dommage….
Beaux Décors, belle complicité entre Anthony Hopkins et Antonio Banderas. Magnifique Alchimie entre Catherine Zeta-Jones et Antonio Banderas, qui sont aussi charismatiques l'un que l'autre. De supers combats à l'épée. Des scènes mémorables et hilarantes entre Catherine et Antonio, comme leur rencontre, la confession, le numéro de danse, la scène de combat dans l'écurie, la mine. De l'humour, de l'émotion, du drame, des larmes, vous serez littéralement charmé et envoûté par ce film.
Je suis assez partagé pour ce film... J'en garde un excellent souvenir des premières fois où j'ai vu "Le masque de Zorro" de Martin Campbell, je l'ai revu à l'instant et je dois dire que j'ai été beaucoup moins charmé par cette version du renard masqué. Des personnages bien trop stéréotypés à mon goût, un scénario pas assez travaillé, une intrigue cousue de fil blanc. Dommage car on change un peu les personnages du moins, Don Diego de la Vega voit son rôle réduit par rapport aux autres versions et passe le flambeau à un jeune californien à la dérive interprété par un très bon Antonio Banderas. Malgré tout, les coincidences "bizarres" émaille l'intérêt que peut avoir le plus grand public, mais le film est très rythmé et il y a beaucoup d'action et beaucoup de charme.
Le Masque de Zorro fait partie de ces superproductions grands publics premier degré et manichéenne, pourtant pas désagréables à regarder, et présentant toujours le même "schéma jeu vidéo" : intro en action, didacticiel, level up, boss final.
"Zorro est arrivé" comme on dit. Arrivé à être un excellent film. Anthony Hopkins, Antonio Banderas et Catherine Zeta-Jones nous font vivre un spectacle hallucinant. Avec également de l'humour dans les scènes de combats où Zorro remporte toujours la bataille. Félicitation à Martin Campbell
"Le Masque de Zorro" est un film d'action de Martin Campbell présentant les aventures du célèbre Zorro ou plutôt des Zorro, en effet le protagoniste, incarné brillamment par Anthony Hopkins, doit céder son masque à un successeur digne de prendre sa place, il choisit Alejandro Murrieta qui est interprété par un très bon Antonio Banderas. Ce duo entre le maître et élève est très intéressant pour l'évolution de l'histoire, celle-ci est assez passionnante, car bien conçue et avec un équilibre entre les scènes narratives et les scènes d'action. Ces dernières sont particulièrement bien exécutées. Cependant les caractères et personnalités des personnages ne sont pas assez développés et le tout manque sérieusement d'émotions. "Le Masque de Zorro" se termine, cependant, sur un final assez explosif, il nous laisse une impression positive.
Belle surprise, et belle réussite. Scénario vraiment efficace (rare avec ce genre de film généralement), mise en scène soignée, acteurs super (Antonio Banderas et Hopkins), très belle musique.
Avant les adaptations de Marvel à tour de bras, on avait Banderas, qui déchirait les pantalons des méchants avec son grand cure dent, parce qu'il avait des lunettes en carton ridicules qui ne l'aidaient pas vraiment à voir clair mais protègent mieux du soleil que des Dolce&Cabana, et c'était très bien comme ça.
Avant de découvrir ce film, j’avais déjà vu la Légende de Zorro, qui est la suite du Masque de Zorro. Le deuxième opus ne m’avait pas vraiment convaincu, et j’étais assez réticent à l’idée de voir l’épisode précurseur. Je dois dire avoir été agréablement surpris. Ce premier épisode est bien meilleur que la suite qui a été réalisée 7 ans plus tard. On y découvre les origines de Zorro, ou plutôt du nouveau Zorro, car le Zorro que tout le monde connait (Don Diego de la Vega) est en fait âgé, et entraîne un jeune qui pourrait reprendre le flambeau. Le scénario s’en sort plutôt bien, et l’idée du Zorro âgé est excellente. C’est un peu comme le dessin animé Batman Beyond, dans lequel Bruce Wayne, devenu âgé, entraîne un jeune à reprendre la relève. D’ailleurs, cette histoire de Batman aurait été une excellente idée pour un long-métrage. J’aurais bien vu Clint Eastwood dans le rôle du Batman âgé. Mais trêve de bavardages, on parle ici de Zorro, un super-héros qui n’a pas vraiment besoin de tous les gadgets qu’utilise l’homme chauve-souris. C’est Anthony Hopkins qui prête ses traits au Zorro âgé. Antonio Banderas incarné quand à lui le Zorro plus jeune. Martin Campbell a su apporter un nouveau souffle aux aventures de ce justicier mexicain. Dommage que la suite ne soit pas aussi travaillée. En effet, la suite n’est rien d’autre qu’un banal film d’action, avec quelques touches de romantisme assez mal dosées.
Le héros légendaire "Zorro" enfin réadapter au cinéma.
Un film bien rythmé, mêlant action drame romance et aventure avec un très beau casting qui fait mouche A.Hopkins pour l'expérience A.Banderas et Catherine zeta-jones pour la touche sexy et leurs complémentarités à l'écran.
Un Zorro virevoltant et vigoureux plein de panache.
Sans aucune surprise je suis hyper fan. Déjà qu'a la base j'aime Zorro la je susi totalement conquis. Un bon jeu d'acteur une super réalisation ... à voir et à revoir !
Martin Campbell signe ici un excellent divertissement, rythmé et interprété par une brochette d'excellents acteurs! Doté en outre d'un scénario solide et d'une bande-son entraînante, le Masque de Zorro est une franche réussite!
Loin de se contenter d'honorer la série des années 1950, Martin Campbell s'engage ici dans une épopée flamboyante et sensuelle. La présence au générique d'Anthony Hopkins, Catherine Zeta-Jones et Antonio Banderas achève de convaincre. Un plaisir sans cesse renouvelé.