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    Et Dieu... créa la femme
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    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 novembre 2024
    Roger Vadim signe son premier film en 1956 avec "Et dieu créa la femme" BB fait tourner la tête de tous les hommes (jeunes et moins jeunes) et.. c'est tout ! Le film vaut uniquement pour la superbe plastique de Brigitte Bardot, 100% des scènes sont destinées à la mettre en valeur, si c'est agréable pour les yeux ce n'est pas suffisant pour en faire un film un tant sois peu intéressant.
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2024
    Premier film de Roger Vadim sorti en 1956 dont je n'ai vu que "Barbarella" qui m'avait plutôt fait marrer alors je me suis dit pourquoi pas, surtout que c'est culte et que ça a lancé la carrière et surtout l'icône Brigitte Bardot. spoiler: Et puis finalement, eh bien... pas grand chose. Alors je ne m'attendais certes pas à un scénario tarabiscoté ou forcément très travaillé mais tout de même, tout reste très léger. Nous suivons les aventures d'une jeune femme qui attise tous les regards. Elle est considérée comme dévergondée, assume pleinement son corps et sa sexualité dont elle est consciente et fait volontairement tourner les têtes. Malgré tout, ce n'est pas une fille idiote, comme la plupart des sex-symbols de l'époque, elle est indépendante et envoie chier en gros toutes les personnes se trouvant sur sa route. Mais sa vie amoureuse tourne principalement autour de trois mecs : un garçon qu'elle épouse, le frère de ce dernier et un riche entrepreneur. Alors oui, c'est sympa, c'est Saint-Tropez, c'est le soleil, c'est l'été, ce qui est d'ailleurs une bonne excuse pour foutre Bardot à poil toutes les cinq minutes, mais ça s'arrête là. L'histoire d'amour pseudo-tragique est vite fatigante et surtout prévisible et puis le film est creux, tout simplement. Il y a certes une sensualité indéniable qui se dégage de l'actrice, aidée par la mise en scène de Vadim, mais le film ne propose jamais vraiment autre chose, ce qui est bien dommage.
    Ainsi, on reste finalement très passif devant "Et Dieu... créa la femme" qui, sans Bardot, n'a rien à raconter.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 350 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Et Vadim créa Bardot (mais on peut aussi considérer que c'est le contraire). Si le film a marqué son époque, c'est par la grâce d'une jeune actrice d'une rare sensualité qu'il le doit. Brigitte Bardot crève l'écran dans ce film où le cinéaste fait preuve d'une certaine audace érotique et a le mérite d'imposer un modèle féminin moderne en ce qu'il renouvelle le sex-appeal.
    Mais le talent de Vadim fut surestimé et s'est d'ailleurs déprécié de films en films. "Et Dieu crea la femme" est un mélodrame sentimental artificiel et maladroit. Juliette, qui passe pour une fille légère -Vadim l'affirme sans réellement le démontrer- et impertinente, se voit menacée de réintegrer l'orphelinat. spoiler: Pour l'éviter, elle épouse le chétif Michel (le jeunot Trintignant), frère de l'homme qu'elle aime.

    Le parfum d'amoralité qui émane du film est vain tant les personnages manquent d'envergure et d'authenticité, de profondeur psychologique. La réalisation cliquante de Vadim (la Côte d'Azur en couleur et en Cinémascope) et sa starlette voluptueuse n'occultent pas un sujet superficiel, des dialogues mal écrits, une direction d'acteurs malhabile. Tout un style et des lacunes qui promettaient cette oeuvre parfois risible à une rapide désuétude.
    David_Note
    David_Note

    18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juillet 2023
    C'est ce film qui a détrôné Marilyn Monroe et couronné Bardot comme le sex-symbol le plus populaire au monde. Bardot a atteint ce statut sans avoir à tourner un seul film à Hollywood dans toute sa carrière et sa popularité et sa renommée rivalisaient avec celles des plus grandes vedettes hollywoodiennes de l'époque. Tous les grands noms qui n'étaient pas originaires d'Amérique, comme Charlie Chaplin, Greta Garbo, Claudette Colbert, Marlene Dietrich, Sophia Loren, etc. ont dû s'immerger complètement dans le système des studios hollywoodiens pour devenir célèbres, mais BB n'a ressemblé à aucune autre star avant ou après elle pour n'avoir pas cédé à Hollywood et elle est quand même devenue un phénomène mondial dans les années 50 et 60.

    Une Femme à la beauté provocante, au cœur infidèle et à l'esprit simpliste.
    Une inspiration pour beaucoup de jeunes femme de l'époque
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2023
    Très connu, avec une histoire simple, bien interprété, en couleur avec des beaux décors. Bien entendu, les rapports hommes/femmes ont très largement évolué depuis.
    bladgik
    bladgik

    89 abonnés 535 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2023
    2023 vs 1956 les temps ont changé mais je peux comprendre le scandale a l'époque. Brigitte est terriblement belle et magnétique. Pour le reste de belles images de st tropez, mais les qualités du film en reste là . L'histoire est un peu flemmarde, on tourne en rond ... la scène finale est intéressante ... Brigitte est né à partir de ce film mais je pense que c'est loin d'être son meilleur .
    Acidus
    Acidus

    716 abonnés 3 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2023
    "Et Dieu... créa la femme" a bâti sa popularité sur l'érotisme de certaines scènes ayant choqué une Amérique puritaine. C'est aussi (et surtout) le film qui a révélé Brigitte Bardot au grand public.
    Aujourd'hui, ce long métrage présente assez peu d'intérêt. Son côté subversif ne fait plus effet et il ne reste au final qu'un film basique dans son scénario et sa mise en scène. Bien entendu, Bardot occupe tout l’écran et si l’actrice est charmante, son personnage de jeune fille ingénue est peu intéressant.
    Film moyen à visionner une fois pour sa culture cinématographique mais qualitativement dispensable.
    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Il est des films dont l’impact sur la pop culture est tellement énorme, qu’ils en deviennent des œuvres considérées comme majeures. Ce indépendamment de leurs qualités intrinsèques... C’est évidemment le cas de « Et Dieu créa… la femme ». Si sa première sortie française fut timorée, le film cartonna à travers le monde, notamment au USA et au Royaume-Uni, où il déchaîna les passions. Les scènes sensuelles avec Brigitte Bardot, et ce rôle de jeune femme aussi insolente que fraîche, faisant autant tourner les têtes que couler de l’encre.
    Les acteurs principaux virent leur carrière propulsée en avant. Tandis que Brigitte Bardot devint une égérie des 60’s, de la sexualité, ou encore de la féminité. Roger Vadim, scénariste et réalisateur, connut la célébrité, au prix de son mariage avec Bardot, qui se brisa peu après la sortie du film. Celle-ci atterrissant provisoirement dans les bras de… Jean-Louis Trintignant ! Enfin, St-Tropez, petit village de pêcheurs connu de quelques initiés, fut placé sous les feux de la rampe, et se transformera en quelques années en une station balnéaire de riches.


    Certes, mais quid du film ? Et bien il faut avouer que vu d’aujourd’hui, on peut avoir du mal à comprendre tout ce raffut.
    D’abord, que les (a)mateurs se détendent, les scènes de nudité demeurent très prudes. Oui, ça a du faire tourner quelques têtes dans les 50’s, notamment ce plan totalement gratuit dans les premières minutes sur le corps nu de Brigitte Bardot (vu de dos). Ou cette séquence de danse lascive, par ailleurs sans doute la mieux montée du film. Mais pas de quoi vrombir non plus…
    D’autant plus qu’à part cela, le film est monstrueusement statique. La mise en scène étant très sage, et l’intrigue sans grand intérêt. Qui des trois lascars la belle jeune femme sensuelle va-t-elle choisir ? Le jeunot gentil sans charisme ? L’entrepreneur cinquantenaire trop vieux et rigide pour elle, mais qui a du pognon et du statut ? Le loup aguerri qu’elle désire, mais qu’elle sait être une raclure ?
    Alors je veux bien admettre qu’à l’époque, il était relativement novateur de montrer le désir et les choix féminins de la sorte. Le problème est que cette démarche est anéantie par le personnage de Bardot, une irrespectueuse immature qui tient davantage de la saboteuse de relation que de la jeune épicurienne. En conséquence, on n’éprouve aucune empathie ni pour elle… ni pour l’intrigue.
    Sans compter le propos du film, soi-disant féministe. En réalité le comportement de la protagoniste est sans cesse moralisé par les autres personnages (hommes comme femmes). Et son univers est en permanence guidé par le choix des hommes, qu’elle se contente de suivre. Ce jusqu’à un final d’un conservatisme ahurissant pour une œuvre qui est censée représenter la sexualité et la féminité des 60’s.
    Reste une évocation esthétique du St-Tropez pré-jet set, de bons acteurs dans les rôles principaux, et quelques bons mots çà et là.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 644 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2022
    Premiere réalisation de Roger Vadim, connu pour son talent de découvreur de stars féminines, de Bardot à Catherine Deneuve, " et dieu..." fit beaucoup de bruit à sa sortie en 1956 et obtint un grand succès à l'international.


    En couple avec Bardot ( le film eut pour effet sa fin ) déjà avant le tournage, c'est l'opus de Vadim qui lança la carrière de l'actrice.

    Le scénario n'a d'autres prétentions que de brosser rapidement le portrait d'une jeune fille du midi, amoureuse d'un jeune homme ( interprété par Christian Marquand) qui la délaisse, se marie avec le frère de son ancien flirt, pour revenir de manière furtive à son ancien amant.

    Sacré coup de pieds dans la morale petite bourgeoise et dans la morale tout court, mises en avant dans " et Dieu...". L'attitude, les poses de Bardot sont ici provocantes et c'est vrai parfois très sexys, qui feront monter la température chez certains spectateurs ( je pense à la scène "maillot mouillé" particulièrement épicée, sur la plage, après l'incendie du bateau).

    Les couleurs chatoyantes, les paysages de St Tropez et de ses plages, procurent un parfum de nostalgie et le film possède un charme qui ne s'est pas évanoui encore aujourd'hui.

    La faiblesse de " et Dieu..." provient essentiellement de la realisation uniquement illustrative qui n'est certainement pas celle d'un grand metteur en scène.

    On notera un des premiers rôles tenu par Jean Louis Trintignant qui est ici en compagnie de son futur beau-frère ( Christian Marquand- frere de la future Nadine Trintignant). On apercoit aussi, rapidement, Jean Lefevre

    On peut conseiller aux spectateurs intéressés par l'actrice, de ne pas manquer " vie privée " de Louis Malle consacré aux conséquences de la starisation dans la vie de Bardot hors du regard des caméras.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2022
    Juliette (Brigitte Bardot), une jeune femme libre et sensuelle, excite le désir des hommes : Carradine (Curd Jurgens), un riche entrepreneur, Antoine (Christian Marquand) dont elle est amoureuse et Michel (Jean-Louis Trintignant), le frère d’Antoine, qu’elle accepte d’épouser sans l’aimer pour s’émanciper de ses tuteurs qui veulent la renvoyer à l’orphelinat.

    "Et Dieu créa la femme" est un film mythique qui lança le « mythe Bardot ». À sa sortie, en France, fin 1956, il fit un flop. Mais son succès au parfum de scandale à l’étranger lui valut de revenir à l’affiche un an plus tard et d’y attirer les foules.

    B.B. y crève l’écran. Un des personnages du film la décrit dans un langage fleuri : « Elle a le cul qui chante ». Simone de Beauvoir dit la même chose dans un style plus polissé : « un saint vendrait son âme au diable pour la voir danser ». Aujourd’hui, on pourra la trouver bien sage. Il est vrai que depuis 1956, les mœurs se sont libérées et que le spectateur en a vu des vertes et des pas mûres. Pour autant, même en 2022, les fesses dénudées de l’actrice, sa moue, ses cheveux relevés en chignon ou dénoués en cascade, le déhanché fiévreux de ses danses jusqu’à son phrasé traînant que les puristes critiquent, font leur petit effet.
    Et on imagine volontiers le scandale qu’elle a causé à l’époque, pour devenir illico une icône du féminisme. Une icône toutefois pas si révolutionnaire, puisqu’à la fin du film – pardon pour le spoiler – après un mambo endiablé, elle reçoit quatre torgnoles de son mari et le suit piteusement à la maison.

    Il est de bon ton de nos jours de tenir en piètre estime "Et Dieu créa la femme". Les critiques se moquent de son intrigue de roman-photo. Elles n’ont pas tout à fait tort. Mais celle des "Parapluies de Cherbourg", peut-être le film le plus réussi qui soit à mes yeux, ne valait guère mieux. Elles raillent le jeu des acteurs, à commencer, on l’a dit, par celui de Bardot : si Trintignant – dont c’est quasiment le premier film – se morfond dans le rôle du mari cocu transi d’amour, Curd Jurgens y est pourtant impérial. Surtout, elles passent à côté de l’essentiel : l’apparition météoritique d’une actrice incandescente dont le réalisateur – et futur ex-mari – eut le talent de capter la sensualité et l’élan de liberté. Elle enflamma la pellicule ; elle l’enflamme encore.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2022
    Je veux bien croire que « Et Dieu… Créa la Femme » bousculait certains codes lorsqu’il sorti en 1956 mais le temps joue aujourd’hui méchamment en sa défaveur. L’histoire ne vaut pas tripette et la grande majorité de la distribution joue mal. Alors bien sûr, le film de Vadim lança le mythe Bardot. Et c’est bien là son seul attrait.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Etonnamnent féministe pour un film de cette époque. Le film dépeint et prone la liberté d'être une femme libre et amoureuse de la vie. Bardot crevé l'écran et il est clair que le film est fait pour elle. Une belle photo très carte postal provincial et un Trintignant tout jeune qui montre déjà son talent d'acteur. Belle surprise donc.
    Musomuse
    Musomuse

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Un film qui n'est pas idiot. Il y a quelque chose de très juste dans ce film. Même si je ne suis pas fan de Brigitte Bardot il faut bien avouer qu'elle a quelque chose cette femme.
    Autrement, en ce qui concerne le film, il y a de véritables dialogues qui fonctionnes au quart de tour.
    L'ensemble du film étant très unis, c'est une valeur sûre. Par contre l'émotion n'est pas garantie. Tout cela étant très extérieur.
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    7 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2021
    J'ai beaucoup aimé les décors et les couleurs du film : des couleurs chaudes, et celles de la Méditerranée.
    J'ai aimé cette femme-enfant éprise de liberté dans un village où les femmes ont l'esprit étriqué et les hommes ne pensent qu'à ça.
    J'ai aimé le capitaine d'industrie qui comprend Juliette, et le pauvre Michel qui voudrait bien.
    Des personnages eux aussi haut en couleurs.
    Un film non dénué d'humour.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2021
    Et Dieu... créa la femme est le film de la révélation de Brigitte Bardot. Elle explose à l'écran submergeant le public et surtout le public masculin bien sûr. Je parie que les femmes elles aussi sont choquées à l'idée qu'une telle rivale puisse exister. Le film lui-même a toujours été sous-estimé. Il a fait scandale à l'époque et nous pouvons facilement comprendre pourquoi. En fait l'atmosphère érotique créée par B.B. dans Et Dieu... créa la femme est étonnante même pour les standards d'aujourd'hui immensément supérieure à celle des films actuels à mon avis. En tout cas le scandale a fait que le film a été automatiquement considéré comme mauvais mais inutile de dire que les gens sont devenus fous pour le voir. Curieusement des années plus tard plusieurs mauvais films avec Bardot ont été automatiquement considérés comme bons par les critiques en raison du scandale qu'ils ont soulevé. L'image de Bardot incarnait une combinaison unique de perversité et d'innocence. Au moins par rapport a des films de la nouvelle vague Française le film de Roger Vadim a une histoire cohérente...
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