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Un visiteur
3,5
Publiée le 19 mars 2012
Je pense que pour vraiment apprécier ce film il faut se mettre les pieds et la tête dans les années 50 , l'époque encore timide face à l'érotisme . J'aurai vécu à cette époque j'aurai sûrement été choquée par le jeu et l'audace de Brigitte Bardot ... mais j'aurai adoré ! St Tropez dans les années 50 fait rêver, Brigitte Bardot est divine .. Le film vaut vraiment le coup pour les amateurs de la Nouvelle Vague et bien sûr la Superbe Brigitte Bardot .. ;)
Les grands cinéastes de la nouvelle vague apprécièrent plus que le public ce film traitant des conséquences néfastes que peut avoir leur attrait physique pour une femme plus que sulfureuse et symbolisant la libération sexuelle féminine. Cette femme en question est la plantureuse Brigitte Bardot qui, âgée de 20 ans à l’époque, accéda alors à un statut de sex-symbol à travers le monde. Son charme provocateur et sa fraicheur sensuelle firent oublier aux spectateurs la légèreté de son jeu mais provoqua les colères de la bien-pensance cultuelle (particulièrement aux Etats-Unis) qui fit censurer quelques scènes de danses coquines. La qualité des images de ce film viennent toutefois moins des charmes de cette midinette candide que de la technicolor éclatante.
Après avoir vu l'Été meurtrier, qui magnifie une histoire du même genre, Et Dieu créa la femme est bien fallot. La beauté de Brigitte Bardot n'y change rien...
Franchement mauvais... La présence de Brigitte Bardot au casting n'apporte pas tellement, "Et Dieu Créa La Femme" (titre annonciateur de la qualité, une sorte d'avant-gout de la nouvelle vague qui sent mauvais la pseudo-philosophie romantique) est un film vide. Plat et ennuyeux, qui n'évolue pas, stagne, et accumule les scènes inutiles durant une heure et demi qui passe bien lentement. Ca tourne en rond, c'est un fait, mais que ca le fasse tandis que le reste inintéressant et inerte, c'est pas tolérable, je m'excuse.
Roger Vadim dirige ici son épouse (divorcée l’année suivante), à travers une œuvre sulfureuse sur une jeune fille dévergondée, débordant de beauté et de sensualité et qui attise le feu sous le soleil de Saint Tropez en attirant la convoitise de tous les hommes qu’elle croise. Et Dieu . . . créa la femme (1956) a gagné son statut d’œuvre culte pour la simple et bonne raison qu’il révéla aux yeux du monde entier une inconnue du nom de Brigitte Bardot (20 ans lors du tournage). Le film fit un véritable scandale aux Etats-Unis, dans une Amérique encore très puritaine c’est ce qui contribua au succès mondial et à la renommée du film. Car mis à part cela, les acteurs ont beau être correct, l’histoire n’en reste pas moins des plus banale et la mise en scène très contemplative.
4 Etoiles pour St Tropez, La couleur et notre BB qui des la sortie du film a provoque un scandale d'enfer dans le monde entier. Bien sur le film maintenant nous parait si timide mais il faut se remettre dans le contexte de cette france des annees 50. Bardot ne joue pas elle est...
Une petite déception quand même car au vu de la difficulté de trouver le DVD de ce film dit 'culte', je m'attendais à un peu mieux de la part de BB. Les autres acteurs justifient leur statut par la qualité de leur jeu mais ce film reste trop souvent cantonné dans le registre de la petite comédie. Très belle performance de Jean-Louis Trintignant dont c'est à ma connaissance le premier film.
Et dieu créa Bardot , et quel bonne idée la plus belle actrice du cinéma Français resplendit dans ce film ,dommage que sa carrière n'est pas été aussi brillante que sa beauté .
Bravo Mr Vadim d' avoir découvert cette pépite et surtout de l'avoir si bien mis en scène .
Film à l'origine de la déferlante B. Bardot (et l'on comprend pourquoi) mais qui, comme beaucoup de films à l'origine d'un phénomène, se révèle au final assez creux, doté d'une histoire d'amour un peu pénible mais fort bien traitée au final. Des personnages assez complexes, des situations audacieuses pour l'époque tout comme certains mouvements de caméra ou cadres qui démontre tout le talent de R. Vadim. B. Bardot fait étalage de toute sa sensualité et de sa provocation dans une scène de danse finale habilement montée, incroyablement intense et dotée d'un pouvoir érotique indéniable. L'histoire toute entière glorifie son actrice principale, talentueuse et les images passées à la postérité sont légions. Le casting masculin est des plus réussi mais l'histoire, d'un point de vue générale, m'a assez peu transporté et les bagarres sont mise en scène de façon assez molle et peu crédible. Mais un film important du cinéma qui mérite largement d'être vu. D'autres critiques sur
Sulfureux à sa sortie, Et Dieu créa la femme est devenu par les années l'exemple type de la libération sexuelle de la femme. Il faut dire que le réalisateur Roger Vadim ose dès les premiers plans, montrant une Brigitte Bardot entièrement dénudée, cachée en partie et somptueusement par les rideaux pendants sur une corde à linge. Certes de nos jours, l'ensemble affiche ce que l'on appelle la pudeur, le refus de l'exhibitionnisme. Mais si l'on se remet dans le contexte de l'époque, c'est-à-dire à plus de cinquante ans, le film choque. Il faut dire que le personnage de Juliette Hardy a tout de la jeune femme dévergondée, naïve et insouciante de son corps, enchaînant les passions amoureuses sans morale, ni retenu. Néanmoins, le film n'a plus que cet aspect historique d'intéressant. Le reste n'est que superflu. Le scénario éprouve de nombreuses longueurs, affiche trop de ses beaux plans tropéziens, quoique sympathiques, mais sincèrement dispensables. Le côté psychologique des personnages, notamment des trois coeurs partagés de la belle, manquent totalement de sincérités et de talents. L'ensemble n'étant que gloire au numéro volontairement insolent de Brigitte Bardot, le long-métrage vieillit, se laisser dépasser par les temps actuels et reculés de son messages encaissé depuis trois bonnes décennies. Il en reste un film curieux pour son côté d'époque et la grande révélation que fut ce film pour la carière de Brigitte Bardot. Un incontournable.
Fort ennuyant. Le film est vraiment creux et lent, c'est une romance on ne peut plus banal qui plus est, c'est déroulé il y a maintenant bien longtemps. Mis à part deux ou trois répliques, il n'y a rien d'intéressant.
Ce film, je le vois plutôt comme une sorte de repaire d'archives: acteurs quand ils étaient jeunes, érotisme qui scandalisa... De nos jours, il est un peu dépassé, et je pense que je l'aurais mieux aimé si je n'étais pas née à la fin du 20ème siècle.
Une jeune fille assimilée à "une femme libérée" selon les critiques. Voilà qui est extrêmement exagéré. En vérité, on nous montre une oie blanche: totalement écervelée donc, qui en pince pour un type qui la traite comme une chienne et qui lui fait avaler sans peine tout ce qu'il lui débite même s'il se trahit la seconde d'avant. Si être candide et idiote c'est être "une femme libérée"...eh bien euh...sans commentaires. Ce film a les relents du machisme d'autant plus que l'unique qualité de l'héroïne est sa beauté blonde. La femme blonde écervelée: LE fantasme chez les hommes, fort bien mis en évidence. Ca vous dit quelque chose là, tout de suite, n'est-ce pas ?
Le jeu d'actrice de Brigitte Bardot est pitoyable (et encore je suis gentille). Sa voix est à la limite du supportable. Néanmoins, elle aurait fait l'affaire dans un doublage de Paris Hilton dans la série animée "les Simpson".
Ce film s'avère être un pur navet. Une grosse verrue reluisante de pue à la fesse du cinéma français.Dire qu'il est culte: c'est effrayant...