3,5
Publiée le 8 décembre 2013
Bon film de science fiction. Des effets spéciaux impressionnants. De l'action. Après il manque quelque chose pour que ce soit un chef d’œuvre mais pas mal dans l'ensemble.
3,5
Publiée le 7 avril 2014
Après District 9, difficile de faire mieux...
En tant que film d'action SF, on est servi, mais quand on voit cette fin, on reste sur la nôtre !, un bon moment à passer, mais on reviendra plus aisément sur District 9 se rappeler qu'avant c'était mieux !
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 5 octobre 2013
J'ai eu vraiment du mal à évaluer ce film. Je ne suis jamais rentrer dans l'histoire sans que je découvre pourquoi. Le bon et le mauvais côté cent fois vus dans les films de SF peut être! Les scènes d'action un peu pourries. Bref je passe...
3,0
Publiée le 29 décembre 2013
Autant la première heure est plutôt bien, autant la seconde est plutôt moyenne et flirte avec le n'importe quoi et la série bis. De même, les effets spéciaux sont assez foireux la seconde heure.
Une petite déception au vue de la première heure. Un bon divertissement qui ne restera pas dans les annales de la SF
3,0
Publiée le 19 mars 2021
Un film de science-fiction divertissant, à la fois rythmé et spectaculaire, au scénario ambitieux mais caricatural et inabouti, porté par un Matt Damon très convaincant.
3,0
Publiée le 4 mars 2014
Après le choc "District 9", Neil Blomkamp est devenu instantanément l’un des réalisateurs à suivre et était forcément attendu au tournant. Il aura, donc, fallu attendre 4 ans pour qu’il nous livre son nouveau film dont le sujet s’avérait tout aussi surprenant que celui de "District 9". En effet, après l’allégorie extra-terrestre de l’Apertheid, Blomkamp décide de traiter de l’immigration mexicaine aux Etats-Unis à travers cette histoire de lutte des classes entre les pauvres restés sur une Terre dévastée et les riches réfugiés sur une station orbitale paradisiaque… Soit un sujet particulièrement propice aux dérapages démagos les plus primaires, surtout avec Matt Damon (connu pour ses prises de position très politiquement correctes) en tête d’affiche. Pourtant, et c’est la première (et meilleure) surprise du film, le héros campé par Matt Damon (impeccable comme toujours) n’est, en aucun cas, un porte-drapeau de la cause des pauvres, ni même un rebelle allergique à l’autorité mais, simplement, un ancien voyou reconverti, qui agit par nécessité (son irradiation et sa mort prochaine) et non par idéal. II ne s’agit pas du seul piège évité par le réalisateur puisqu’il dresse, également, un portrait assez subtil des passeurs (davantage motivés par l’argent que par une quelconque charité et personnifiés par l’excellent et méconnu Wagner Moura) et des Élyséens, terrifiés à l’idée de voir leur mode de vie perturbé par des envahisseurs. "Elysium" démarre, donc, très bien et impressionne, dans sa première moitié, par sa capacité à mettre en place des décors époustouflants (la Terre dans un état de délabrement et de surpopulation très crédible, Elysium comme caricature du paradis terrestre tout équipé…) ainsi qu’un univers atypique mais totalement réaliste dans les motivations des personnages et dans leur quotidien (comme "District 9", avec lequel le film partage le même ADN). Malheureusement, "Elysium" opère un virage scénaristique à mi-bobine, c'est-à-dire à compter de la traque du héros. En effet, la critique sociale si pertinente jusque là et le fond si subtilement exploité font place à une succession de scènes d’actions, certes spectaculaires mais un peu trop déjà vues, voire redondantes, avec un héros transformé en surhomme via un exosquelette et des armes futuristes. On a ainsi droit à des courses poursuites, à des attaques de vaisseaux ou encore à des duels mano a mano qui auraient pu satisfaire pleinement le spectateur dans un film plus " classique" mais qui se révèlent insuffisants ici. La faute à la première partie du film, sans doute trop riches en promesses…mais également à l’éparpillement de Blomkamp qui parait ne plus savoir où donner de la tête. Ainsi, le grand méchant du film, interprété par l’extraordinaire Sharlto Copley (décidément sous-exploité à Hollywood) est un sociopathe de premier ordre mais connaît une évolution particulièrement banale qui prive le personnage de l’aura qu’il aurait mérité. Idem pour la rigide Secrétaire à la Défense (Jodie Foster, toute en autorité naturelle), dont les agissements sans concessions intriguent mais qui disparaît sans qu’on en sache beaucoup sur ses motivations. Au lieu de soigner ses méchants, Blomkamp a préféré se concentrer sur la love story de son héros avec son amie d’enfance (Alice Braga, toujours aussi transparente) et sa promesse de faire soigner sa fille mourante… ce qui fait perdre énormément d’originalité à l’intrigue. Mais surtout, le principal défaut de cet "Elysium" est de se montrer, au final, d’une grande malhonnêteté intellectuelle. Car, la conclusion du film confirme que le réalisateur (qui entendait pourtant dénoncer l’exploitation de la main d’œuvre mexicaine aux USA) n’a jamais axé son intrigue sur la différence de niveau de vie entre les riches et les pauvres mais sur les MedBox, ces cabines médicales qui permettent de soigner tout problème de santé et qui ne sont présentes que sur Elysium. En effet, il ressort de l’intrigue que les Terriens veulent aller sur Elysium uniquement pour soigner une maladie incurable sur Terre et non pas pour profiter des infrastructures paradisiaques de la station orbitale ! Dans ce cas, il parait incompréhensible que les Elyséens n’aient pas eu l’idée d’envoyer des MedBoxs sur Terre afin de calmer la population et de préserver la station orbitale de toute invasion ! Blomkamp a-t-il voulu aller au-delà de l’allégorie sur l’immigration mexicaine et se livrer à une métaphore plus générale de l’accès aux soins aux Etats-Unis, davantage réservé aux classes aisées ? C’est possible mais, dans ce cas, le mélange des genres (ou plutôt la multiplicité de critiques sociales) s’avère contre-productive puisqu’il laisse entendre qu’il suffirait que les pauvres aient accès aux soins pour mettre un terme à toutes tensions sociales… ce qui serait un summum de naïveté. Blomkamp aurait sans doute dû davantage radicaliser les Terriens, en mettant en exergue les tensions suscitées par la différence de niveau de vie (surtout avec une Elysium qui trône fièrement au-dessus de leur tête) ou en axant sa réflexion sur le partage des richesses. En occultant toute considération financière, "Elysium" perd donc en objectivité et en pertinence (ce qui n’était pas le cas de " District 9"). En sa laissant aller à une surenchère spectaculaire à mi-bobine, il perd en originalité et en profondeur. Pour autant, Neil Blomkamp réalise un film à grand spectacle servi par un BO parfaitement exploitée (signée Ryan Amon), qui ravira les fans de science-fiction sans pour autant froisser les réfractaires (ce qui est définitivement le plus grand talent du metteur en scène) et qui brille par sa représentation terriblement réaliste du futur. S’il avait s’agit d’un premier film, j’aurais peut-être été moins exigeant. C’est tout le problème de commencer sa carrière de réalisateur par un film choc.
3,0
Publiée le 25 janvier 2020
Dans un monde dramatiquement futuriste, ce film d'action et de SF est incontestablement efficace. après la percutante et bonne surprise de "district 9", Blomkamp montre de nouveau les paradoxes entre privilégiés et les laissés pour contre à travers le message, les décors. M. Damon assure en sauveur de minorités et le final se veut humaniste. Même si le scénario n'est pas vraiment nouveau, le contrat annoncé est rempli.
3,0
Publiée le 6 février 2014
Techniquement parfait, ce film d'action de science fiction n'arrive cependant pas à se hisser au niveau des grandes productions à cause d'un scénario bancal qui ne va pas plus loin que celui des film d'action lambda des années 80: un gentil avec un but qui se voit systématiquement freiné par un méchant jusqu'au combat final.
Matt Damon cachetonne mais n'apporte pas grand chose au rôle et Jodie Foster est à baffer tellement elle en fait des tonnes en méchante peu crédible.
On retiendra donc des F.X. excellents dans ce film aux airs de déjà déjà vu, et vite oublié surtout!!
Dommage!!
3,5
Publiée le 5 avril 2022
Il y a evidemment des "grosseures" si je puis me permettre. Et meme quelques incoherences. Mais comme dans tous les films de Neill Blomkanp, ca accroche, ca detonne. Avec un face entre un Sharlto Copley fantastique et Matt Damon. Les scenes d'actions sont grandioses.
3,0
Publiée le 6 décembre 2013
Après l'excellent District 9 Neill Blomkamp revient avec Elysium le film est un peu moins bien que le précédent mais reste quand même un bon film avec un scénario qui tient la route mais qui n'est pas assez exploité. Le rythme ne baisse jamais avec pas mal d'action et des scènes assez impressionnantes comme le fait si bien Hollywood. L'univers des deux mondes est superbe et très réaliste avec des décors bluffants. Coté acteur mis à part Matt Damon et Sharlto Copley qui se livre d'ailleurs un très bon duel personne ne sort du lot.
3,0
Publiée le 31 octobre 2013
Un « blockbuster engagé » par le réalisateur de « District 9 » : avouez que cela avait de la gueule. Hélas, loin d'être déshonorant, le résultat est en-dessous de nos espérances. Pourtant cela démarre fort : décors, mise en scène, propos... On n'a qu'une seule envie : que cela dure le plus longtemps possible. Mais très vite, Neill Blomkamp semble rattrapé par la réalité financière du gros divertissement à l'américaine : beaucoup d'action, de technologie et du coup une réflexion passant au second plan. Attention, cela ne veut pas dire pour autant que l'on s'ennuie. Le résultat est plutôt rythmé, nous en met souvent plein la vue, sans oublier une musique omniprésente mais très efficace. Reste que le récit s'avère globalement assez prévisible, avec ce que cela implique de bons moments, mais aussi de facilités et de lourdeurs, notamment à travers une caméra bougeant parfois beaucoup trop. Après, « Elysium » ne perd jamais totalement de vue sa dimension « sociale » et peut se targuer de quelques bons personnages ainsi que d'une solide interprétation (la toujours très classe Jodie Foster et Sharlto Copley en tête), ce qui nous permet de le suivre avec un minimum d'intérêt jusqu'au bout, d'autant que le film n'est pas sans quelques idées bienvenues. Reste qu'après une première œuvre vraiment prometteuse, on attendait plus d'un réalisateur qui, sans être broyé par la machine hollywoodienne, y a quand même perdu un peu de son âme...
3,0
Publiée le 15 août 2013
Le réalisateur de l'excellent "District 9" (2009) revient avec un budget multiplié par 3 et une thématique semblable pour son second film. Comme dans son précédent film Neil Blomkamp s'attaque à la division du monde entre pauvre et riche, entre ceux qui ont tout et ceux qui n'ont rien... On pourrait comparé la trame principale à un "Upside Down" (2013 de Juan Solanas) version hard. On retrouve également cette idée de l'hybridation, dans "District 9" Sharlto Copley (qu'on retrouve ici) contractait un virus et se métamorphosait en extraterrestre tandis qu'ici Matt Damon, condamné, se greffe un squlette droïde... Le fond de ce film d'anticipation éveille évidemment une certaine idée du monde d'aujourd'hui et, comme son précédent film, Neil Blomkamp soigne un univers qui doit rester crédible et cohérent même en 2154 ; mission accomplie. Néanmoins on reste déçu par la toute fin du film qui reste dans une convention trop hollywoodienne, trop lisse et finalement trop attendue. Bon point pourtant pour le personnafge de Matt Damon, pas réellement un héros puisque toute son action est d'un égoïsme profond (il est prêt à tout avant tout pour sauver sa peau), ce qui pouvait faire espérer une fin un peu plus cynique que ce résultat convenu. Sans atteindre la puissance idéologique de "District 9" Neil Blomkamp persiste et signe, il confirme ainsi un talent certain.
3,0
Publiée le 11 mai 2015
Désormais surpeuplée et polluée, la Terre est devenue un bidon-ville géant, délaissée par les riches qui vivent dans l'opulence, sur la station spatiale Elysium. Attendu au tournant après son subversif "District 9", Neill Blomkamp mélange ici à nouveau politique et SF, mais peine à se renouveler. On y retrouve les thèmes des inégalités sociales et économiques, ou de l'interaction homme-machine, le tout cette fois-ci avec une touche hollywoodienne un peu lourde. En effet, plusieurs personnages sont caricaturaux, on dénote quelques effets clipesques, et le happy end forcé n'est pas très convaincant. Néanmoins, "Elysium" est un film mené tambour battant. Les scènes d'action sont nombreuses, lisibles, et dynamiques, avec plusieurs bonnes idées, et des effets visuels et décors de qualité. Et, malgré l'enfoncement de quelques portes ouvertes, le scénario demeure engagé. Par ailleurs, bien que son personnage soit parfois maladroitement écrit, Matt Damon est charismatique, face à un Sharlto Cooper très en forme en mercenaire psychotique. Au final, "Elysium" est une petite déception pour ceux qui attendaient de voir Blomkamp disposer de gros moyens, mais constitue dans l'absolu un bon divertissement.
3,0
Publiée le 16 septembre 2013
Une très bonne ambiance d'un futur souvent envisagé qui sépare physiquement les riches et les pauvres. Un relent du père de tous ces films est l'illustre Métropolis de Fritz Lang. Ici l'action est au rendez-vous autour de la possibilité de régénérer tout les corps malades. Bien fait et dynamique, on passe un très bon moment même si je pense qu'on oubliera assez vite ce film.
3,0
Publiée le 20 août 2013
On va dire, qu'apres un district 9 original mais un peu déroutant (visuellement^^). Ici, on se retrouve face à un blockbuster SF chargé d'acteurs de renom ou le réalisateur fait quand même attention à ne pas prendre les spectateurs pour des imbéciles. On sent la touche du réalisateur ainsi que le coté "apocalypse" de la vie. Mélangeant action, SF et anticipation. L'ensemble se montre parfois un peu facile ; mais en même temps ; nous montre quelques chose qui a un minimum de crédibilité. LE film nous happe dés le début, et la violence qui suit ; n'est elle aussi pas veine et montre un coté plutôt noir (ce qui est logique à la lecture du synopsis). Mais du coup, la petite "morale" ; ou plutôt le message que veut nous faire passer le réalisateur perd un peu de son charme. Et je ne parlerais pas des clichés habituels qui tombent en masse une fois l'action commencé. Certains moments peuvent paraitre ennuyeux, et comblé par moment par d'inévitable flashback... Mais la mode de filmage qui était un peu nauséeux pour District 9 ; n'est heureusement pas présent ; est permet ainsi d'apprécier cette production comme le petit blockbuster SF de l'été (n'étant pas un genre omniprésent au cinéma. Elysium s'apprécie quand même mieux sur grand écran). On passe un moment sympa, mais pas inoubliable. Il y avait de quoi faire mieux. Pourquoi pas.
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