Avis sur Super 8

"Super 8" est tout simplement un régal ! On prend un réel plaisir à suivre cette bande d'adolescents cinéastes mener son enquête ! Leur jeu est excellent et ce film dans le film est une bonne idée !
Le mélange des genres, l'atmosphère générale, l'intrigue font de ce film une vraie réussite !
On se trouve replongé dans l'ambiance de certains vieux films américains et de plus, les scènes sont très bien filmées...
L'idée générale est loin de E.T. et la comparaison n'a pas d'intérêt !
Bien sûr, ne surtout pas louper le générique de fin qui est la cerise sur le gâteau !

Un film signé J.J. Abrams: une histoire intéressante et prenante, des effets spéciaux spectaculaire spoiler: celle de la scène du train !
Les ados sont excellent dans leurs rôles. On a des frissons quand la chose attaque la ville. On passe un vrai beau moment dans le cinéma en tant que spectateur !

Une ode à l'amitiè et un hommage au cinèma populaire, "Super 8" combine fantastique et nostalgie avec beaucoup de brio! Produit par Steven Spielberg et rèalisè par J.J Abrams (le crèateur de "Lost"), le mystère de ce film ambitieux ètait savamment entretenu depuis des mois et tient au final toutes ses promesses! Une simple camèra, quelques bricoles et un peu d'authenticitè et de rêve, telle est l'histoire qui se dèroule à l'aube des annèes 80 avec une bande de jeunes qui rappellent "Les Goonies". Joel Courtney qui rèalise avec ses amis un court-mètrage en super huit (un format de pellicule) est particulièrement attachant et ses rapports, faits de beaucoup de regards avec l'ètoile montante Elle Fanning sont magnifiques! Un spectacle intense où l'action monte crescendo jusqu'au final haletant aidè en cela par une interprètation parfaite permettant à chaque ado de se dètacher individuellement! Pour sa bande originale, les seventies sont mises à l'honneur avec quelques bons morceaux comme le mythique "Don't Bring Me Down" du groupe de rock britannique Electric Light Orchestra! Un film dèjà culte avec quelques rèjouissants clin d'oeil aux trentenaires ou quadragènaires nostalgiques et un gènèrique de fin à ne rater sous aucun prétexte...

Voici enfin le film qu'on dit Spielbergien au possible et qu'on annonce comme un super divertissement de qualité. Alors je l'ai vu en VF, VF que je trouvais catastrophique dans la BA, mais bon, on fait avec ce qu'on a. Alors je tiens à dire que Abrams à la réal ça me laissait un peu septique. En effet, j'ai détesté M.I 3, Cloverfield qu'il a produit (dont on pensait à un moment que Super 8 pourrait être la prequelle/séquelle), par contre j'avais beaucoup aimé son Star Trek (ne connaissant pas du tout la série ou les autres films), il envoyait le SWIII de Lucas aux oubliettes (là où était sa place en fait) dans le genre SF grand public). J'avais peur qu'il tombe dans le mysticisme à deux balles genre Cloverfield ou Lost où les fans aveuglés car ils ont l'impression de réfléchir répondent aux questions pour les scénaristes. Alors c'est pas le cas, gros gros plus pour le film donc.
Ce que j'ai aimé c'est avant tout qu'on a un divertissement qui se prend pour ce qu'il est : un divertissement, pas pour un film supra intelligent dans une symbolique débile, ce qu'il n'est évidement pas (genre Inception), et ne tombe pas dans la débilité la plus totale à la Transformers.
Alors on a des grosses ficelles : genre le noir qui doit tirer sur la bête, que va t'il se passer ? on le sait tous ce qui arrive à ces personnages dans ce genre de film (et ceci n'est pas du racisme de ma part, on l'a tous remarqué), ou bien des objets qui sortent de nul part : "mais il sort d'où sa corde là ?". On est bien au cinéma américain à grand spectacle.
On se tape aussi la musique totalement banale qui vient sur-appuyer les scènes "émotionnelles", ce qui est dommage j'y reviendrai.
En fait une qualité du film, outre son histoire qui ne tombe pas trop dans le cliché, c'est ses jeunes acteurs, je veux dire en général on se tape des mômes ultra chiant, insupportables qui ne savent pas jouer, et ceci même dans des megablockbuster, ici la gamine jouant Alice : Elle Fanning, elle est juste géniale, plus que sa soeur encore je dirai, elle a vraiment sa place au cinéma. Du coup je pose la question, on a des mômes qui sont des bons acteurs, pourquoi lorsqu'ils chialent faire un gros plan et foutre de la musique triste qu'on a déjà entendu 100 fois ? au contraire ça casse l'émotion, la beauté de la scène. C'est d'une vulgarité absolue de faire ça, du racolage pour faire pleurer la ménagère, alors que justement le film vaut mieux que ça dans son ensemble.
Sinon la mise en scène est vraiment bonne, créant une ambiance proche au début d'un village des damnés ou bien l'invasion des profanateurs de sépultures, mais vu cette fois depuis un point de vu enfantin à la Spielberg un peu. J'ai plusieurs fois pensé à Jurassic Park devant le film, on sait qu'il y a quelque chose, mais on ne le voit pas, il peut être n'importe où.
On a vraiment un vrai travail de passionné sur la mise en scène pour être le plus fluide que possible.
Bon alors le film ne reste pas sans incohérence, et c'est un peu pénible. Je n'en dirai pas ici pour ne pas spoiler outre mesure, mais lorsqu'on les voit ça sort du film, on se souvient que c'est du cinéma, qu'on est pas dans ce village.
Après l'histoire familiale fait vraiment cliché, mais contrairement à d'autres films elle n'est pas chiante à suivre, et puis il y a une scène finale très belle, ça dit quelque chose sur l'enfance, sur le fait de grandir, sur le deuil, ce que ne font pas les blockbusters d'habitude, où ça tombe dans le cliché le plus débile et insultant pour le spectateur.
Du coup je ressors très satisfait du film, même si il y a pleins de facilités qui auraient pu être évitées.
J'aimerai aussi parler d'un point qui m'a fait plaisir, la créature, ils ont fait l'effort surhumain, on dirait lorsqu'on voit l'ininventivité d'Hollywood sur cette question, d'inventer une technologie intéressante, quelque chose de nouveau, qui ne ressemble pas à quelque chose qu'on connaît. Après le design de la créature m'a un peu déçu, trop conventionnel.
Après l'histoire semble assez universelle, belle et touchante. Enfin c'est pas non plus un chef d'oeuvre, mais ça diverti sans mentir sur la marchandise, sans prétendre être ce qu'il n'est pas, et sans être stupide. Du coup ça fait plaisir à voir.

Le dimanche soir, avant le lundi, c'est le moment de la semaine où passent à la télé les meilleurs films. Et hier soir, "Super 8" au programme, contre "Le Colosse de Rhodes" et "Rio", qui se battaient en duel, film fantastique et de science-fiction, que je n'avais encore jamais vu, me tentait plutôt, pour ne pas dire m'attirait assez. Sauf que le soucis, tu vois, c'est que j'étais en train de me mater "Supercondriaque", le dernier Dany Boon. Et pour ne pas rater ce métrage inédit, j'ai tout planté là où s'en était, et je me suis jeté tête la première dans cette oeuvre que je ne connaissais pas. J'attéris autour d'enfants tous plus jeunes les uns que les autres, à les observer tourner un film dans la nuit, dans une gare presque désaffectée, entourés par la pénombre, sous un faible halo de lumière, avec le hurlement strident du train qui passe derrière eux. Étrangement, ils ne me voient pas. C'est normal, en fait, assis sur mon canapé, je suis le seul à pouvoir les observer dans leur monde, puisqu'ils ne connaissent pas le mien ( "Last Action Hero", pour ceux qui n'auraient pas compris ). Et puis, le gamin qui vient de comprendre que la seule gamine du groupe lui plait, se retourne, parce que lui, comme c'est le héros, il faut qu'il soit plus réactif que les autres pauvres gars du commun des mortels. Et là, tu vois, si tu découvres le film comme moi hier soir, tu auras droit à un truc auquel tu n'aurais pu penser, que tu n'aurais jamais espéré aussi énorme et explosif, surement le meilleur passage du film, d'un peu moins de deux minutes ( au moins, il y a un défaut, sa trop courte durée ), et qui marquera autant qu'il éblouira de technique et de réalisme. Et là, tu te rends compte que les effets-spéciaux sont terribles, bluffants, incroyables, et que tu as bien fait de sacrifier un autre film pour voir celui là. Non parce qu'on est loin de "Supercondriaque". Enfin, c'est ce que je me suis dit dès que c'est arrivé. Un déraillement de train comme ça, c'est exactement ce que je voulais voir au cinéma un jour ou l'autre, et l'aspect global est, comme je ne cesse de le répéter, désopilant. Ça part de partout, ça vole, ça s'en va dans les airs, ça percute, ça se crash, bref, que du sensationnel à vue! Et là, quand on arrive à cette scène, bien sur, on peut faire bien d'autres remarques et constatations. Mais je vais t'en parler, ne t’inquiètes pas. Les lansflares, la marque de fabrique de Mr J.J. Abrams, passent crème dans les "Star Trek", puisqu'ils collent à l'univers développé, mais là, pour ce film de SF fantastique, je trouve ça complètement abusé, mal placé et surtout, en dehors de l'à propos du tout. Non mais sérieux, le mec te fout des dizaines et des dizaines d'effets de lumière toutes les dix secondes, à tel point qu'il en sera complètement lassant et que tu t'en sortiras avec une crise d’épilepsie et la rétine cramée. "Oui mais c'est son style". Sauf qu'un style, tu vois, toi, si tu veux le défendre, ça s'applique à certains films et pas à d'autres, et c'est pourquoi, un style, tu l'adaptes à ce à quoi tu t'attaques, et ce n'est pas le scénario qui doit s'y adapter, si tu vois ce que je veux dire. Ça, c'était la séance critique. Maintenant, on va s'attaquer au reste. Et puis, entre six lansflares et quatre explosions, je remarque un élément, enfin, je confirme quelque chose que je pensais déja, les acteurs sont foutrement excellents! Rien de bien extraordinaire, te diras-tu surement. Sauf que là, en fait, c'était oublier que tous ont quoi, 14 ans, peut-être 13, 15 au grand maximum? Essayez de jouer comme eux à leur âge, et vous comprendrez ce que je veux dire! Et mention spéciale à trois d'entre eux, le héros, Joel Courtney, l'héroïne, Elle Fanning ( pas de jeu de mot sur son prénom, le monde s'en portera mieux ), et le meilleur pote du héros, joué par Riley Griffiths ( dont le nom est aussi imprononçable que celui de son personnage ). Question acteurs plus âgés, un seul en ressort vraiment, Kyle Chandler, AKA la star narcissique du "King Kong" de Jackson, convaincant et très bon. Ah oui, et j'allais l'oublier lui, le petit blond, qui participe au raid contre la méchante créature de l'espace pas si méchante que ça. Bon, je connais pas son nom, mais qu'est-ce qu'il est gavant, ce gamin! Sans déconner, je sais pas si le personnage était pensé comme cela, mais qu'est-ce qu'il m'a soûlé! Ouais, je sais, c'était gratuit, un peu comme le film. Niveau scénario et crédibilité, par contre, c'est une autre paire de pattes. Le scénar est pas trop mauvais, bien que je trouve la fin beaucoup trop énorme ( exagérée ) et tirée par la barbe. Le côté tout beau tout gentil est agaçant, mais bon, on va passer. Non, c'est surtout quand j'ai vu la réaction des gamins que j'ai tilté. Les mecs, vos persos ont quoi, 14 ans, et vous en faîtes des John McLane et des John Rambo? Faut pas déconner non plus! Je sais bien que vous prenez parfois les gens pour des cons ( "Il ne faut pas prendre les gens pour des cons, mais ils ne faut pas oublier qu'ils le sont", trois grands hommes ont un jour sorti cette phrase ), mais quand même! Ouais, "Harry Potter" a fait la même chose, mais dans "HP", les gars, ça marche et c'est crédible! Là, voir un gosse tenir tête à un monstre de plus de cinq mètres, c'est complètement ridicule. Sauf que comme j'ai continué à le matter, parce que faut pas déconner, ses deux défauts n'en font pas un mauvais film, il en est même un très bon, je ne pouvais m'empêcher de relever le mystère du truc. Et c'est là sa force principale. Regarde la scène de la station service, et tu comprendras ce que je veux dire. La mise en scène y est excellente, suffisamment pour faire l'une des suggestions les plus efficaces et les plus marquantes que j'ai pu voir jusqu'à ce jour. Une fois cette scène glaçante passée, et tout le film avec, cerise sur le gâteau, surprise à son paroxysme, originalité dans le sang et sur la pellicule, vient le court-métrage réalisé par les cinq gamins. Imitation d'Hitchcock géniale et références aux films de zombies de Romero ( "Romero Chimical", ou un truc comme ça ) feront que j'ai pris mon pied. A toi de prendre le tient en le matant, et surtout, surtout, n'hésite pas.

J. J. Abrams rend un trés bel hommage aux films de steven spielberg, les acteurs sont exellents(Abrams sait diriger ses acteurs sa c'est sure), beaucoup d'émotions et une mise en scène trés soignée. Bref un grand film, meme si star trek reste son meilleur film.

Un Très bon film ! J.J Abrams nous livre là un film truffé de référence au 7ème art . Rien que le titre du film nous y fait penser , "Super 8", car oui super 8 est une caméra , la caméra qu'utilisent le groupe d'adolescents pour tourner leur propre petit film . Et justement durant ce film une catastrophe ce produit sous leurs yeux et celle de la caméra , "l'accident du train''. Cette accident va entraîner une suite de mystères et de rebondissement , ces mystères tiendront les spectateurs en haleine ! A noter aussi l'impressionnante performance des jeunes acteurs, en priorité pour Elle Fanning qui suit les ( merveilleuses ) tracent de sa sœur aîné Dakota ( qui ma d'ailleurs impressionné dans Man On fire ). Les effets spéciaux sont excellents et bien dosé , et le petit bonus du générique de fin est vraiment un cadeau pour les cinéphiles . En d'autres termes , c'est un film à voir rien que pour ces référence au cinéma du 20ème siècle .

Supercherie hollywoodienne surévalue par la critique,et pour cause J.J abrams ne fait pas dans la finesse. En écrivant et montant son film de la façon la plus sommaire qui soit.
Le coup de l'explosion quasi atomique(quitte à faire une explosion autant en faire une ENORMMMME) du train arrêté par une simple bagnole dont le conducteur reste en vie,humm ça commence déjà bien. Tout est pété autour des rails sauf,la bagnole des héros,les héros eux même,et la camera des héros,c'est bien d’être un héros,surtout un gamin t'es sur de pas crever de tout le film.
Le film se passe en été 1979 et dans la chambre du petit gros qui adore le cinéma,hé ben il est tellement fan de romero qu'il a déjà une affiche du film day of the dead qui sera réalisé en 1985.
Il semblerait que certaines scènes soient carrément manquantes au film,tant il est parfois incompréhensible de savoir comment les personnages arrivent à tel action ou tel endroit. J.J abrams ne s’embarrasse à aucun moment de présenter une histoire élaboré,non. Tout est superficiel et sans contenu,l’extraterrestre n'est qu'un prétexte sans intérêt pour avoir une part mystérieuse.
Le top reste quand même ce discourt ou le gosse face à E.T(enfin vu sa gueule il ressemble plus à alien avec 4 bras que E.T) prêt à être bouffé par la bestiole, lui sort un discourt digne d'un conseiller du pôle emploi. Il lui dit''Je sais que des choses terribles sont arrivés. C'est comme ça. Mais on peut toujours rebondir. Vous pouvez aller de l'avant.'' Et ça marche! L’œil noir de l'alien prêt à le bouffé se transforme en œil de biche. Il laisse le gosse tranquille car il l'a remotivé dans son taf. Précision l'alien est bloqué sur terre depuis un grand nombre d'années et d'un coup,lui qui ne parle pas la langue et qui a subit tout un tas de test de la part de l'armée, rechoppe la pèche. Il suffit pas de grand chose des fois..... Donc cet alien bloqué ne veut qu’une chose repartir chez lui,pour cela il doit construire un vaisseau. Très simple,il lui suffit d'aimanté toutes les choses métalliques qui se trouve dans les 50m,et hop son vaisseau est fabriqué avec de vélos,de boites aux lettres,d'armes (y a un con de militaire qui veut pas lâcher son armes,du coup il se pète la gueule comme une merde de 5m)cette fabrication rappelle quand même celle de la soucoupe volante en contreplaqué dans striptease,je me demande si l'alien va être obligé de coupé le chêne au bout du jardin avant de décoller? Comme dit la vieille ''une fois terminé elle va couté aussi cher qu'un avion,bon pas comme le concord bien sur''..L'alien a presque terminé mais il lui manque encore un truc,la chaine en argent de la maman morte du petit garçon héros du film. IL tiens dans sa main la chaine en argent flottant dans les airs en direction du futur vaisseau(,bon l'argent ça s'aimante pas mais bon p'etre que ça mère lui a laissée un truc en toc qui vaut peau de couilles)c'est à ce moment là que le fermoir avec la photo de lui et sa moman s'ouvre,trop émouvant comme scène. C'est sur! Sauf que pour les besoins de la scène la photo est à l'envers,histoire que le spectateur puisse bien voir la photo de moman et son mioche. Hé ben comme il est sympas le petit gars du pôle emploi il donne sa photo qu'il serrait comme spiderman contre son cœur le soir avant de s'endormir. Ouf un peu plus et l'alien restait encore bloqué sans cette putain de chaine.

Super 8 est le pétard mouillé de l'année précédente, jouant à fond la carte nostalgique en rendant hommage à Spielberg et au cinéma des années 80, cette réalisation de J.J. Abrams nous plonge au fil des minutes dans un ennui interminable. Pourquoi un tel formatage, pourquoi une telle niaiserie ? Pourquoi ne retenir que le mauvais coté de Spielberg ? Super 8 est un raté d'une suffisance rare et au dénouement presque à gerber. Désagréable sentiment de déjà vu, dialogues creux, intrigue vide, un véritable défilé de clichés 'américains' et d'incohérences. Super 8 ne réussit jamais à avoir ce brin de magie qu'avait ses ancetres, un hommage médiocre et à très vite oublier.

J.J. Abrams est décidément un génie. Il nous livre une nouvelle fois un magnifique film totalement réussi. Que ce soit pour la mise en scène, le scénario, les décors où les effets spéciaux, tout est d'un très haut niveau. Les enfants sont excellents, d'ailleurs où il les a trouvés et comment fait-il pour les diriger ainsi ? On n'a pas du tout l'impression que ce ne sont que de jeunes acteurs débutants. J.J. Abrams sait vraiment très bien s'entourer car en plus de trouver des acteurs impeccables, il travaille avec Spielberg (à la production) et Michael Giacchino (à la musique). Ce film est un mélange entre "E.T." et "Les dents de la mer" du maître Spielberg par le prodige J.J. Abrams.

Super 8 fait partie de mes "inclassables". Ceux qui sont dures à noter, à qui on à du mal à leur choisir un genre. Super 8 est ce genre de films qui vous laissent dans l'émotion du début jusqu'à la fin, et c'est vrai que j'ai eu un peu de mal à me détacher des personnages. J.J. Abrams sait parfaire le film avec des scènes d'action à couper le souffle, mais cette fin ( spoiler: avec l'extraterrestre qui remonte dans son vaisseau et puis la happy end
) qui m'as déçu à baissé la note que je donne à ce film. Donc c'est juste ça et une petite longueur vers la fin qui m'as attristé.

Les années 1980 ont été en grande partie marquées par les productions et réalisations Spielbergienne, souvent nommées productions Amblin (Société créée par Spielberg du nom de l'un de ses premiers courts-métrages. Le logo représente Elliott et E.T. sur le vélo, devant la lune lumineuse, scène mythique d'un film qui représente l'essence de ces productions). J.J. Abrams a grandit avec ces films. L'occasion pour le créateur de Lost d'y rendre hommage dans Super 8, ainsi qu'aux premiers films, les jeunes héros tournant un court-métrage (qu'on a le plaisir de voir pendant le générique), qui rappelle évidemment ceux que Spielberg et Abrams ont réalisé étant âgés du même âge. Un hommage, un film intemporel. Super 8 n'est pas qu'un simple hommage aux productions Amblin, c'est aussi à un hommage grandiose au cinéma, au fantasme, aux rêves, à l'enfance, à l'innocence, à la cinéphilie et à la persévérance. La simplicité du scénario, tout en douceur et en beauté, est voulue, et on connait la fin dès qu'elle est en partie annoncée. Le jeune prince qui conquiert la belle princesse, le tout sous une mise en scène nostalgique d'un J.J. Abrams qui réalise ici son meilleur métrage. Direction artistique parfaite (tous les acteurs sont superbes, mention spéciale à Joel Courtney, Elle Fanning et Kyle Chandler, les trois s'annonçant d'ors et déjà comme des potentiels énormes pour l'avenir). Une musique de Michael Giacchino dont les petites notes nous rappelle Cocoon de James Horner, ou encore les envolées symphoniques celle d'E.T. de John Williams : Oui, car Super 8 est indéniablement le nouveau E.T., il fera rêver des générations d'enfant, avec certes un impact plus mineur, mais pas forcément moins fort. Certes, Super 8 ne fera pas l'unanimité, de nombreux défauts techniques et scénaristiques que ne se gênent pas de relever certains pseudo-cinéphiles élitistes, mais pour moi, et pour beaucoup, c'est un retour en enfance. Super 8 réussit ce qu'aucun film ne m'avait fait ressentir depuis le premier Harry Potter : rêver. De la magie, du fantastique. Le tout sublimement réalisé avec ses plans old school et ses acteurs superbes. Je n'ai pas de mot, mais Super 8 est un coup de cœur comme on en a très rarement. Après la nostalgie lancé par le dernier Harry Potter, voilà Super 8 qui nous fait regretter Stand By Me, E.T., Les Goonies ou encore Rencontre du Troisième Type. Les mots me manquent pour dire ce que j'ai ressenti en voyant Super 8 : nostalgie, rêverie... Certains y trouvent des défauts techniques, mais moi j'y vois un retour à l'essence même du cinéma, qui n'est pas de donner un spectacle où les plans, les histoires et les maquillages sont parfaits, non. Mais de nous donner un film qui nous fait rêver, nous fait ressentir, nous émeut, nous fait pleurer, rire, peur. Super 8 a ses défauts, mais tous sont embrumés par sa simplicité et sa nostalgie contagieuse. Pas un chef d’œuvre technique, mais un chef d’œuvre de passion et de magie. Une réussite. Merci J.J..

J.J. Abrams avait brillé par son sens de l'innovation pour Star Trek, il surprend en faisant l'exacte inverse : tout le film n'est qu'une compilation d'hommages au cinéma fantastique des 70's 80's (principalement les films de Spielberg) et rien de bien nouveau à l'horizon. Les Goonies rencontrent E.T. qui ressemble au cafard de Men in Black (ou au monstre de Cloverfield), le tout dans une ambiance qui voudrait ressembler à la rencontre du 3è type mais qui s'attarde par ses dialogues mous et qui louche plutôt du côté du soporifique Abyss. Tous les plans semblent être étudiés pour faire mouche ou pour rappeler d'autres plans impulsifs qui eux étaient émouvants. Tout m'a semblé réfléchi, préparé. Rien n'est laissé au hasard où à la magie du cinéma. Les personnages sont bâclés (le gros égocentrique, le peureux, le fou qui fait tout péter sauf quand il faut, le jeune héros si courageux qu'il en est inhumain, la jolie fille intelligente qui finira avec le jeune héros... mais qui n'est pas très jolie d'ailleurs). Une très grosse déception et un succès incompréhensible devant tant de clichés.

Ce film est une déclaration d'amour au cinéma. Alors oui, on peut grogner que telle scène est cliché ( spoiler: la fin du film avec le chaîne
), que le film contient telle facilité scénaristique ( spoiler: les enfants qui savent exactement où se trouvent les travaux du professeur Woodward
), mais le but de ce film n'est pas de révolutionner l'histoire du cinéma de science-fiction mais de faire rêver. On se sent littéralement retomber en enfance et on s'attache à cette bande d'adolescents qui ne veulent rien de plus que tourner un film.. D'ailleurs pour rendre hommage au cinéma de Spielberg et au cinéma tout court, quoi de mieux que de placer un film dans le film ? On assiste ainsi aux débuts du producteur Steven Spielberg, qui a lui aussi connu à ses débuts la caméra Super 8. Le film regorge d'émotions, on se sent entraînés par cette sorte de magie enfantine, cette croyance en l'imaginaire. Le but du film est clairement de faire voyager en temps que spectateur, et j'ai été complètement conquis à ce niveau-là. Les acteurs sont tous très bons, en particulier Joel Courtney et Elle Fanning, attachants et émouvants tout au long du film. J.J. Abrams nous livre un film soigné, à réalisation maîtrisée et limpide, et les apparitions de la créature sont très bien gérées. Certaines scènes regorgent d'effets visuels impressionnants ( spoiler: l'accident du train
). Pour les spectateurs qui souhaitent retomber en enfance, retrouver cette magie du cinéma Spielbergien et rendre hommage au cinéma.

Super 8 est un hommage plus que réussi aux film des années 1980 et avant tout à ceux de Steven Spielberg. J'avais hésité à aller voir au cinéma Super 8 ou La Planète des Singes: Les Origines et mon choix s'est porté sur le deuxième film que j'ai adoré, bien que même si j'étais aller voir Super 8 au cinéma, je n'aurait pas non plus été déçu. Le film nous fait vraiment rappeler " E.T l'Extra-terrestre " et " Rencontres du Troisième Type ", on se dit que Steven Spielberg lui-même aurait pu réaliser le film à la place de J.J Abrams tellement l'ambiance, l'histoire, les personnages, l'intrigue ressemblent à ce qu'il fait dans ses films. Les acteurs sont très bons, J'ai beaucoup apprécié Elle Fanning, elle était vraiment très mignonne, Joel Courtney, Kyle Chandler et tous les autres acteurs se débrouillent aussi sans problème. Le scénario est vachement accrocheur et plein de nostalgie! Accrocheur parce que le film a de nombreuses idées comme spoiler: la caméra Super 8 qui filme l'Alien
. Plein de nostalgie parce que le déroulement de l'histoire rappelle tout les films des années 1970-1980 et ça c'est vraiment cool car on c'est comme si c'était un film qui était sorti en 1980 avec une technologie plus moderne, ça fait rappeler beaucoup de souvenirs. La musique de Michael Giacchino est en général plutôt bonne et va parfaitement avec l'ambiance du film. On a parfois droit à quelques touches d'humour qui nous font également penser à l'humour bon enfant de Spielberg. Les effets spéciaux sont très beaux et très réussis surtout pour un film qui a un budget aussi réduit, précisément 50 millions de $! Et pourtant quand on voit l'aspect visuel de la scène où spoiler: le train déraille et que tout explose ainsi que celle de l'Extra-terrestre
, on se dit que ça a au moins coûté 90 millions. La réalisation est parfaite, J.J Abrams filme très très bien, j'ai même l'impression qu'il a fait exprès de mettre certains symboles que Spielberg met d'habitude dans ses films comme le Spielbergface ou le cercle. Rien à redire, Super 8 est un divertissement de grande qualité qui séduira toute la famille! Spielberg aurait vraiment pu le réaliser.