Avis : Super 8 - Page 2

Pas moyen de faire plus académique, plus chiant, plus putassier,(J J Abrams a bien retenu les leçons de son maître à penser, je veux bien croire qu’il l’aime, mais ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage), plus pathétique aussi. Quand le jeune dit du gars qui s’est endormi dans la voiture assommé par sa dope, «la drogue c’est pas bon», on voit bien que s’est à nous qu’il s’adresse. Difficile de faire plus son et lumière vide de sens à part les effets, (quel bel accident de train!), difficile d’avoir des personnages aussi creux, qui traînent leur rôle sans aucun pourquoi à défendre. Ils n’existent pas, se sont juste des prétextes, comme le reste. Difficile de faire plus lourd quand la musique accentue chaque moment fort par des crescendo langoureux, au cas où on n’aurait pas remarqué qu'il se passait quelque chose, peut-être. Le genre de cinéma que je n’aime pas, et qu’on nous refourgue à coup de millions sur la tête alors qu’on a rien demandé. Vu comme c’est désincarné, avec beaucoup de bons sentiments dedans, je sens que ça va plaire à beaucoup de consommateurs, grand bien leur fasse.

Un bon film de SF bien qu'il ne révolutionne pas le genre. La troupe de jeunes est plutôt attachant tout le long du film, le scénario est assez classique mais agréable à suivre avec quelques scènes assez impressionnantes.
J'ai passé un bon moment. A voir.

Bon moi, je n'ai jamais regardé Lost, par-contre, j'ai pour l'instant été conquise à chaque fois par les films de J.J. Abrams ! Et celui-ci m'a plus qu'emballé ! C'est d'ailleurs un de ceux que je regrette de ne pas avoir découvert au ciné. Rien que pour la folle séquence de déraillement du train - que j'ai bien dû me repasser quatre fois de suite lors du premier visionnage sur ma télé !
Evidemment que les références à ET sont là, mais c'est jouissif, car tellement bien amené que ça ne dérange absolument pas. Un vrai film hommage.
Bon c'est vrai, la scène finale est frustrante de par sa brièveté. Mais l'ensemble du film est assez magistral, tant au niveau de l'image, des effets spéciaux, de la tension, des séquences d'émotion et surtout de ses jeunes acteurs - Elle Fanning en tête !!! Les références constantes au procédé de film super 8 sont formidables d'humour et de nostalgie. Avec évidemment la scène post-générique d'anthologie (le petit film de zombies tournés par nos jeunes héros).
Et le thême musical de Michael Giacchino est superbe.

Annoncé comme l'un des blockbusters incontournables de cette année 2011, le troisième long-métrage du créateur des séries Alias et Lost répond à toutes les attentes que suscitent les films à grands spectacles, aussi bien sur le fond que sur la forme : nous faire décoller pour un voyage divertissant qui vous mettra des étoiles plein les mirettes. Les amateurs du genre ne seront certainement pas déçus par ce résultat à l'efficacité monstrueuse, mais les autres regretteront un trop grand conformisme et un cruel manque de prise de risque. Nostalgique à l'extrême des productions Spielberg des années 70-80, Abrams signe ici un hommage très appuyé à son idole (et producteur pour le coup) qui frôle le plagiat par moment, plutôt qu'une réelle tentative personnelle à force de multiplier les clins d’œil et les références, oubliant du même coup de nous surprendre, finissant par s'embourber dans le déjà-vu et revu. On passe un moment sympathique en compagnie de ses gosses aux prises avec un secret venu d'ailleurs, mais y'a vraiment pas de quoi fouetter un alien...

Retrouvez ma critique complète de "Super 8", avec photos et anecdotes, ainsi que celles de films divers et variés, en ligne sur mon blog : http://soldatguignol.blogs.allocine.fr/ N'hésitez pas, merci !

Film de SF niais pour pré-ados, mix entre le plus mauvais de Spielberg et Cloverfield, le tout pourri par un discours moralisateur sur la drogue et une morale à 2 balles "La vie c'est dur mais le meilleur reste à venir". Les gosses sont de vraies têtes à claques, aucune histoire, le monstre comme l'histoire n'a ni queue ni tête, il est horriblement ridicule. Heureusement que la réalisation quasi parfaite empêche le film de virer au nanard, Spielberg et JJ Abrams sont décidément en perte de vitesse!

J.J Abrams signe ici un film de Science Fiction bidon pour ados démunie de cerveau tout comme Transformer et autre daube du genre . Au début l'histoire parait sympa mais se révèle être d'un ridicule pas croyable . Acteur moyen , mise en scène bidon .Et bien sur on notera la nom de Spielberg affiché en grand sur l'affiche du film pour attirer les gens , beaucoup vont meme a croire que c'est Spielberg le réalisateur . Bref vendre son nom pour attirer ça marche bien mais ce n'est pas pour autant que le film lui sera bon ...

Super 8 est un film magnifique, émouvant, drôle, flippant et spectaculaire à la fois. J.J. Abrams signe là un bel hommage au cinéma de Steven Spielberg et au cinéma tout court. Un film de passionné, passionnant, parsemé de beaux messages humains. Les personnages sont tous attachants, mention pour les enfants vraiment très drôles, et sont tous bien exploités et incarnés par des acteurs qui font un sans-faute, coup de coeur pour Joel Courtney, touchant. Car Super 8 n'est pas qu'un film fantastique se concentrant sur la catastrophe ferroviaire et ses conséquences. C'est aussi un film humain mettant en avant les personnages, leurs relations, leurs quêtes et leurs conflits sans que le côté spectaculaire du film ne soit éclipsé. La mise en scène d'Abrams va dans ce sens en équilibrant le tout et se révèle ultra-efficace, le suspense et le mystère entourant la catastrophe ferroviaire étant maintenus comme il faut et les révélations arrivant à point nommé. Côté ambiance, l'atmosphère Spielbergienne des années 70-80 est très réussie. On retrouve cette magie, cette innocence de certaines productions Amblin où les enfants et ados sont les héros. Mais on trouve aussi une atmosphère plus adulte, plus mystérieuse et angoissante propre à Abrams qui réussit à captiver le spectateur et à jouer avec lui. Les scènes spectaculaires sont impressionnantes, aussi efficaces que le sont les scènes plus intimes entre les personnages. Super 8 est donc un film qui s'apprécie malgré ses défauts. Car il en a, et pas des moindres. L'intrigue fantastique repose tout de même sur des facilités scénaristiques un peu grosses pour être crédibles, la dernière partie est un peu en dessous du reste et certains éléments sont expédiés rapidement et restent même flous. Mais ceci n'impacte pas le rythme et la compréhension de l'histoire. Bref, Super 8 est un beau film, touchant et époustouflant à chaque moment, même lors du générique de fin, jubilatoire et à ne rater sous aucun prétexte. Un bon moment de cinéma.

JJ Abrams flatte ce qu'il y a de plus tendrement enfantin en nous, et il le fait avec une délicatesse et une intelligence qui désarment le critique le plus cynique. C'est en ce sens, et seulement en celui-là, qu'on peut le qualifier de fils spirituel de Spielberg.



Super 8 n'est donc pas seulement un film de monstre qui débarque dans une petite ville américaine, et qu'un groupe d'enfants va combattre. Le prétexte de cette intrigue vue et revue ne paraît d'ailleurs pas passionner Abrams qui nous livre un monstre sans grand relief, comme si, finalement..... la suite sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/article-super-8-82934455.html

Un très bon film de JJ Abrams, c'est un peu un E.T. de 2011. Un hommage à la super 8 avec des clins d'oeil sympa et une bande de gosse qui fait penser à celle des Goonies! Vraiment très agréable!

Ah, l'été...Ça sent bon la fin de l'école, le chant des grillons, le doux vent chaud caressant les collines, l'enfance surtout...L'enfance des marginaux : petits brins de grands cinéphiles, grands cinéastes de navets en super 8, entre "Plan 9 from outer space" et les vidéos amateurs postées Youtube. En parallèle, les premiers émois de l'adolescence qui guette, les filles, l'amour qui nait et qui nous fait rougir comme des pommes...Tout ça à un côté gnangan, pouf patapouf, séquences émotions vues et revues : mais la sincérité est là, alors ça marche. Super 8, c'est un joli conte coloré et désuet, un rêve sincère en pastel qui raconte l'enfance, toute l'enfance, et qui aime le cinéma. 14/20.

un film se situant au début des années 80 dans une petite ville des USA
Une bande d'ados passe leur temps libre à tourner des films avec une caméra super 8
Un soir ils vont être témoins d'un déraillement de train
à partir de ce moment là la vie de cette ville ne va jamais être tranquille
un film de science fiction avec comme acteurs principaux des enfants, qui sont pas mal
se laisse regarger

Pour ceux qui comme moi ont grandi dans les années 80,et ont découvert le cinéma émerveillé à travers les oeuvres de Steven Spielberg,"Super 8" représente un retour aux sources délicieux et irrésistible.Qui fait presque regretter cette époque bénie où divertissement ludique et vision artistique ne faisaient qu'un.JJ Abrams,en parfait disciple de maître Spielberg a ingéré toutes ses références(E.T,Rencontres du 3ème type,Les Goonies...)en y injectant une bonne dose d'autobiographie enfantine.Ces 6 enfants,tournant leur film amateur de zombies,c'est lui à 13 ans!De quoi donner des vocations à la génération actuelle."Super 8" est d'ailleurs plus un hymne sincère à l'enfance téméraire,généreuse et amoureuse qu'un film à grand spectacle.Même si la créature,remarquablement dessinée et suggérée dans ses apparitions,donne des sueurs froides,et dégage même une humanité que n'aurait pas renié E.T.Les 2 jeunes héros,Joel Courtney et Elle Fanning sont d'une justesse étonnante.On ressent avec eux leurs premiers émois amoureux,leurs frissons et leur mal-être du à une vie familiale dissolue.Quelques objets précis(le fameux BMX,le talkie-walkie,le tourne-disque),la musique de Michael Giacchino et une photographie bleutée,renforcent ce sentiment de nostalgie et cette invitation à l'aventure.Enfin,les différentes attaques sont très spectaculaires,notamment celle du bus renversé.Le coup de coeur de l'été.

Avec Super 8, le réalisateur J.J. Abrams livre certainement son œuvre la plus personnelle de sa filmographie en rendant hommage à son mentor, le maître Steven Spielberg, qui est également un des producteurs du film. Et verdict : Super 8 est un très beau film de science-fiction qui rend un vibrant et superbe hommage au cinéma et à celui de Spielberg. Été 1979, dans une petite ville de l’Ohio. Alors qu’ils tournent un film en caméra super 8, un groupe d’adolescents est témoin d’une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Mais ils vont vite comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un simple accident. Peu après, notamment avec l’arrivée de l’armée américaine, des disparitions et des évènements inexplicables se produisent dans la tranquille petite ville, où la police tente de découvrir la vérité. Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer. Sorti durant l’été 2011, Super 8 fut un gros succès pour J.J. Abrams puisque son film qui coûta environ 50 millions de dollars en rapporta plus de 260 millions dans le monde et le tout aidé de critiques très positives. En France, le film rassembla 1 506 877 cinéphiles confirmant ainsi le joli succès du film. Mais pour le réalisateur J.J. Abrams, Super 8 est certainement plus une réussite personnelle que commerciale car son troisième film de sa carrière est, comme nous l’avons dit ci-dessus, une œuvre personnelle et intimiste puisque dans Super 8, le réalisateur rend hommage au cinéma de ce que l’on pourrait appeler son mentor, qui est le grand Steven Spielberg. A la base, les deux hommes ont travaillé ensemble à l’écriture du scénario qui devait au départ rendre un hommage au cinéma tourné en super 8 où un groupe d’adolescents réalise un film amateur dans ce format. Et ensuite c’est Abrams qui a eu l’idée de placer l’action dans une petite ville traditionnelle des Etats-Unis, d’amener des évènements inattendus et terrifiants et le côté science-fiction avec un train transportant quelque chose tout droit venue de la fameuse Zone 51, la base militaire classée top-secret dans le Nevada où il y serait cachée la carcasse d’un OVNI et des documents qui révéleraient l’existence d’une forme de vie extraterrestre dans notre univers. Et quand on voit Super 8, il est difficile, très difficile même, de ne pas reconnaître les multiples références au style du plus grand réalisateur du cinéma qu’est Steven Spielberg, à mon avis bien évidemment. On retrouve tout ce qui fait le « style Spielberg » dans Super 8 : les années 1970, les relations compliqués entre un père et son fils, l’absence maternelle, la bande de copains, les BMX, la musique nostalgique et lyrique et cette passion pour le cinéma aussi. En fait le film de J.J. Abrams est un hommage appuyé à plusieurs films, réalisés et produits, par Steven Spielberg comme Rencontres du Troisième Type bien évidemment, mais aussi E.T. l’Extra-terrestre, Les Goonies ou encore La Guerre des Mondes. Ce film, pour les fans comme moi du réalisateurs, est une véritable mine d’or et un plaisir jouissif à voir aujourd’hui dans les années 2010 un film reprenant de nombreux codes du cinéaste. Super 8 est un film nostalgique des années 1970 et du cinéma de Steven Spielberg et cela montre toute l’admiration que possède J.J. Abrams pour son mentor. Et pour la petite histoire, il faut savoir que c’est ce format de super 8 qui permit la première rencontre entre les deux hommes. En effet, J.J. Abrams et son ami d’enfance Matt Reeves, ont tous les deux présenté leurs réalisations dans un festival de films en super 8. Et les deux garçons, alors âgés de quinze ans, vont se faire remarquer et feront l’objet d’un article dans le Los Angles Time. Et c’est là qu’ils vont attirer l’attention de Kathleen Kennedy, l’assistante de Steven Spielberg, et ils vont se voir proposer de restaurer les tous premiers films réalisés en super 8 par le grand cinéaste durant son enfance. Les deux jeunes hommes ont bien évidemment accepté l’honneur qu’ont leur faisait et ils ont remonté et restauré les films amateurs de Spielberg comme par exemple Firelight ou Amblin’. Mais revenons à Super 8 après cette anecdote qui scella la rencontre entre Spielberg et Abrams. Le scénario du film est très prenant puisque il est raconté d’une façon très nostalgique où J.J. Abrams semble s’être investit avec passion sur son film. En fait, son film se situe entre l’œuvre personnelle et le blockbuster estival car dans Super 8, hormis le magnifique hommage rendu à Spielberg et au cinéma en général, il y a une histoire de science-fiction avec la venue d’un être d’une autre planète dans une ville de l’Ohio suite à un spectaculaire accident de train, une scène qui encore aujourd’hui et pour de nombreuses années gardera toute sa puissance et sa qualité visuelle. Les effets spéciaux du film sont superbes, le design de la créature est pas mal du tout et c’est surtout l’ambiance que je trouve réussie dans ce film, pour celle des années 1970 avec les costumes, les voitures ou encore l’armée américaines de l ’époque, mais surtout pour le monstre car il n’arrive vraiment qu’à la fin. Dans toutes ses précédentes apparitions nous ne le voyons quasiment pas. Mais il reste présent tout le temps car de nombreuses personnes sont enlevées et la peur gagne le spectateur à chaque scène de nuit où il n’y a pas un seul bruit, le suspense continu jusqu’à ce qu’une scène rapide avec un terrible bruit viennent nous faire sursauter sur notre siège pour nous faire comprendre que la créature est toute prête des personnages. Super 8 est un film de science-fiction qui nous parle de courage, de réconciliation entre un père et son fils, d’amitié et de cinéma aussi. Et ce qu’il y a d’intelligent dans l’histoire, c’est de se baser du point de vue des adolescents qui tournent leur film de zombies intitulé « The Case » et nous voyons ainsi des moments de tournage de leur film, comment ils s’y prennent pour les décors, le maquillages, les costumes et la réalisation. C’est très intéressant de voir ceci et cela montre cet hommage rendu au cinéma où des jeunes arrivent à faire un film avec très peu de moyens. Surtout que nous avons la grande chance durant le générique de fin, de découvrir l’intégralité du petit court-métrage de la bande tourné durant les évènements du film. Super 8 est donc un très beau film de science-fiction réalisé par J.J. Abrams où celui-ci réussit à donner un magnifique hommage à son mentor Steven Spielberg et au Septième Art en lui-même. Super 8 est un film nostalgique qui a tout d’un classique de cinéma.

On cherche depuis longtemps maintenant un successeur à M. Spielberg. Ce film a permis de voir l'éclosion d'un jeune réalisateur J.J Abrams. Celui-ci a beaucoup de talent mais il n'égalera pas le maître. Super 8 raconte l'histoire de jeunes ado habitant une petite ville qui assiste à un accident ferroviaire en tournant un film avec une caméra Super 8. En gros il s'agit d'une histoire mélangeant la science-fiction, la comédie, l'enfance, et la famille. On se rapproche du mythique E.T mais Super 8 ne l'égale pas. A noter une superbe bande son !
Bref : pour les petits (pas trop car certaines scènes sont dures) et les grands !

C'est marrant, mais en voyant la conclusion de ce "Super 8" il m'est venu à la bouche une expression typiquement d'jeunz mais qui condensait tellement tout ce que j'avais à en dire et à penser : cette expression c'est « lol ». Bah oui, parce qu'au fond, ce "Super 8" m'est apparu comme tous les précédents films de J.J. Abrams : honnête à n'en pas douter et un brin imaginatif pour générer du suspense, mais aussi - et une fois de plus - incroyablement désincarné. Y'a pas à dire, je sais que certains s'en foutent, mais moi ça me bloque totalement quand les personnages et leurs interrelations sont totalement plates et stéréotypées. Vous allez me dire, pourtant c'est pas la première fois qu'un film d’action américain joue la carte du stéréotype, mais d'habitude ça passe encore parce que dans les autres films, les personnages, ils s'en foutent ! Abrams, lui, passe des plombes avec ses gamins et ses adultes à essayer d'en tirer quelque chose d'humain : « oh désolé pour ta maman ! – Je ne veux pas que tu vois cette fille ! – Tu sais pour moi c'est dur, car désormais tout le monde compte sur moi ! – Tu n'as jamais su qui j'étais vraiment ! (ouin ouin !) » etc... Mais quelle plaie ! Le pire, c'est que ça ne sert jamais l'intrigue principale, les lamentations de chacun se déroulant toujours de manière indépendante de la chasse au monstre... Et pour moi, c'est un peu ça le problème de "Super 8" : il y a beaucoup de choses, mais c'est surtout qu'une accumulation de fioritures qui ne s'emboîtent même pas les unes dans les autres. Le tout pour quoi ? Juste pour accoucher d'une banale chasse au monstre qui se révèle être au final qu'une sorte de remake 2011 de "E.T." mais avec tous les codes usuels de son époque ce qui, à mes yeux, est l'un des mélanges les plus bancals qui soit. Enfin bon, aussi vain soit-il, "Super 8" parvient malgré tout à fournir quelques scènes visuelles sympas et quelques détails amusants, si bien que – pour un « blockbuster » ultra-conventionnel, il n'est pas forcément pire que la moyenne des productions de son époque... Ainsi certains pourront peut-être s'en divertir, mais je doute que les plus exigeants ne s'y retrouvent vraiment...