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AccroZomb83
1 abonné
16 critiques
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4,0
Publiée le 7 février 2017
tres bon resident evil dans la lignée des precedent opus avec une Milla Jovovich en pleine forme,tres bon effet speciaux,bons acteurs,bande son au top,le gros point negatif du film que beaucoup de personne on dit dans les commentaire c'est au momment des scenes d'action ou les plan de camera qui passe de l'une a l'autre vont beaucoup trop vite on ne voit quasiment rien a la scene et c'est bien dommage il y a aussi les zombies qui courent alors que dans les premier film il marcher lentement mes sa n'enleve rien a la qualiter du film qui de plus a une tres bonne fin mes qui selon les dernier mots du personnage a la fin du film pourrai penser qui aurait une suite mes peut etre pas avec le meme personnage
C’est fini ? Ça y est on arrête le meeting coprophage annuel ? On laisse le niveau global du cinéma mondial remonter d’un gros cran ? On décide d’effacer 15 ans (2002-2017) des livres d’histoire pour espérer gagner le respect des générations futures ? On autodafe les preuves et on fait des bisous à la batte cloutée aux petits malins qui sortent encore qu’Anderson c’est pas si mal vu que The Grand Budapest Hotel était très bien.
Ah ah ah.
Par où commencer ? L’utilisation de la 3D ? Non, je n’ai pas envie d’être grossier. Peut-être par les cinq minutes d’intro visant à faire table rase des cinq films précédents, car oui, ce n’est pas parce que Paul W.S. en a réalisé 4, les a tous produit et écrit qu’il a jugé utile de les rendre cohérents entre eux. Enfin bref, on se mange une nouvelle origin story pour reprendre là où s’était arrêté… le quatrième film. En effet, le cliffhanger concluant le cinq – Alice et Wesker mains dans la main sur la sulfateuse lance-flamme vs une armée de morts-vivants- est tout simplement éludée. En fait les personnages parlent sans cesse de ce grand moment de gloire visiblement plus intéressant que le film que l’on est en train de regarder. Un choix catastrophique qui n’entache en rien le reste car comme la drépanocytose qui devient viable en Afrique en ralentissant le paludisme, ce scénario honteux s’oublie derrière une réalisation médiocre qui va elle-même être masquée par des faux raccords à outrance qui se noient dans un scénario honteux. La boucle est bouclée, c’en est presque admirable.
Et si ce n’était pas si nul en fait ? On s’entend, c’est une insulte à l’intelligence de son spectateur, le monteur est remplacé par un chimpanzé cocaïnomane à chaque scène d’action, le scénario à beaucoup du cadavre exquis et encore plus du foutage de gueules mais je n’ai pas vraiment pris de déplaisir à le suivre. Une fois assumé que l’on ne va pas simplement tester sa sensibilité à l’épilepsie, on se retrouve avec une Milla Jovovich au jeu de plus en plus paralysé par son botox tentant de nous faire avaler la complexité de son personnage à la philosophie nichée quelque part entre Mad Max et Noël Mamère, Iain Glen et son clone pour nous offrir deux méchants caricaturaux pour le prix d’un, prenant un plaisir visible à cabotiner comme le dernier des scientifiques fous de série Z, un compte à rebours que l’on oublie à mi-chemin et des séquences d’action d’une générosité confinant à la démesure. Pourquoi combattre dix zombies quand on peut envoyer des hordes entières contre nos héros se plaignant sans cesse du manque de munitions et d’armes alors qu’aux besoins de la scène, ils se retrouvent à défourailler du mort-vivant par douzaines, les plus grands ennemis du film étant de toute façon un couloir et un gros ventilateur.
On a même droit au coup de coude d’un Anderson se voulant soudainement complice en nous refourguant les décors du premier épisode, un peu comme un grand oncle après quinze ans de thérapie nous sort avec un clin d’œil aussi appuyé que son glaucome le permet un gras « tu te souviens quand je t’ai emmené au bordel pour tes 14 ans ? ». Oui tonton Anderson, la scène avec les lasers dans le couloir était cool, passe à autre chose.
Il n’empêche que là où un Uwe Boll énerve en servant de la médiocrité beauf en se disant que son public ne mérite pas mieux, Paul W.S. Anderson n’a au contraire pas une once de cynisme tellement tout est fait pour divertir. Un peu comme une mémé qui ne cuisine pas très bien et qui te gave de dinde aux marrons à noël. Je le vois même plus proche de l’autre grosse sortie de l’autre sortie de la semaine que d’une adaptation de jeu vidéo dont il n’a plus rien à voir si ce n’est deux-trois rappels esthétiques : La La Land.
D’un côté Chazelle a porté son projet six ans, en a fait un film plaisant pour son public et jouissif pour le cinéphile qui s’amusera à décortiquer les choix apportés au moindre élément le composant. A l’autre extrémité, son double maléfique, Resident Evil : Chapitre Final, conclusion d’une saga portée quinze ans par Anderson, où le néophyte pourra bien se marrer et où le cinéphile pourra repérer qu’absolument tout ce qui compose ce film est délicieusement raté ou à côté de la plaque. Avoir devant les yeux deux œuvres qui se fichent totalement des conventions, aussi ambitieuses que des blockbusters avec des budgets six fois moindres, personnellement je trouve ça beau.
Aller voir un Resident Evil une fois de temps en temps va me manquer, mais heureusement Anderson me laisse une réplique comme une lumière pour les jours sombre à venir, alors que la situation semble désespérée, un personnage féminin dont le nom ne sera jamais cité dit : « mais qu’est-ce que l’on va faire », suite à quoi un grand baraqué noir cliché de série B répond d’une voix grave « Oui ».
Film d'action génial ! ! Je ne suis pas un fan des films d'action et/ou flippant....j'ai été voir ce film pour clôturer la saga en pensant voir un navet (vu les avis et de part les habituelles saga style blockbuster) et j'en suis sorti ultra satisfait ! Le suspens, les effets spéciaux, les acteurs, le scénario....tout est là pour faire un bon film! Je recommande.
Un dernier opus qui reste meilleur que son prédécesseur, beaucoup plus logique dans sa construction, les scènes d’action sont terriblement impressionnantes, même si elles peuvent parfois souffrir de certains défauts de cadrage !
L'histoire présente des incohérences de scénario mais ce n'est grave que pour les puristes. Par contre, les images sont trop saccadées, les nombreux plans sont trop rapides pour discerner et comprendre l'action. Dommage car cela semble bâclé et gâche l'intérêt des actions. Bref, tout va trop vite avec des images qui font mal aux yeux et des actions difficiles à comprendre. Le plus mauvais épisode de cette bonne série.
L'histoire est intéressante pour une fin, et on y croit jusqu'au bout...mais les scènes d'actions sont trés mal monté...et enchaîner des plans de 0.5s voir 1s (action longue)...ce n'est pas digne d'un film mais d'un trailer....malheureusement, le monteur du film a décidé que ce serait bon d'en mettre pendant l'intégralité du film. C'est dommage car cela m'as laissé un avis trés négatif sur le film
Rien à dire on en a pour notre argent contrairement à " Le Cercle ". Je trouve tous les films de la série au top avec beaucoup d'éléments du jeu vidéo. Il y a de de bons effets spéciaux, grosses scènes d'actions, du gore, de beaux plans & mouvements de caméra etc au top quoi. Mila Jovovitch toujours la grande classe.
La saga a définitivement atteint ses limites. Un chapitre de conclusion qui n'apporte pas grand chose à l'histoire (spoiler: à part les origines d'Alice ). L'action est bien dosé et permet d'oublier l'absence d'un vrai scénario. Milla se défend toujours dans son rôle. Mais il serait bien de la voir dans autre chose dorénavant. Au final la saga n'a fait qu’effleurer le potentiel du jeu vidéo.
À la hauteur des précédents, si ce n'est que moins abusé. Des zombies qui restent des simples zombies. 2-3 monstres, un schéma narratif qui se répète encore une fois. On est toujours très loin de la saga jeux vidéos, mais au moins celui ci, c'était le dernier !
Voilà enfin le dénouement final de l’histoire d’Alice ! La saga Resident Evil au cinéma est loin d’avoir fait l’unanimité, bafouant pour certains les jeux vidéo, de véritables nanars pour d’autres. Pour nous, c’est loin d’être culte mais pas pour autant détestable, ce sont des films pop-corn pas désagréables, même si un peu inégaux entre eux. Celui-ci reprend le même style que les autres : il commence sans lien avec les précédents, gardant juste les personnages encore en vie et modulant les événements précédents comme ça l’arrange. Le scénario est toujours plutôt plat, même décousu, la petite trame ne sert qu’à enchainer les affrontements aux images à deux doigts de provoquer une crise d’épilepsie. C’est très haché, trop même, perdant en lisibilité des combats pourtant assez sympas. Après quelques jump-scare et des incohérences flagrantes, on arrive dans le dernier tiers du film qui rattrape le tout : Les liens avec les débuts se tissent, c’est plus intéressant, et ça conclus la saga honorablement. Bref, ce n’est ni une déception (étant dans la moyenne des autres) ni une réussite, mais ce film a le mérite de clôturer convenablement la saga !
Il faut être au choix sacrement fan des films Resident Evil ou particulièrement maso pour s’infliger ce Resident Evil : Chapitre Final. Entre un scénario qui ne tient pas la route, des personnages mal développés, des acteurs peu inspirés, des scènes d’action se déroulant dans l’obscurité sans véritable enjeu pour susciter la moindre émotion etspoiler: une fin qui n’en est pas vraiment une , il n’y a strictement rien pour sauver le nouveau film de Paul W.S. Anderson. Comme pour le jeu vidéo, il est temps d’espérer un reboot qui nous fera rapidement oublier cette catastrophe. Et dire que Paul W.S. Anderson s’attaque désormais à Monster Hunter, on craint déjà le pire… [lire la critique complète sur le site]
Monumental et pitoyable navet. Douleur incommensurable pour les yeux. Chaque scène d'action est une série de plan découpés par des caméra toutes sur vibromasseur. Incroyable pourriture du cinéma.
La saga se termine de manière ouverte et de quelle manière : WOUAH ! Un déluge d'actions et d'effets spéciaux qui séduiront les amateurs du genre. Ce dernier épisode de la saga boucle de la manière logique les aventures d'Alice. Bravo Mr. ANDERSON !