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Votre avis sur Resident Evil : Chapitre Final ?
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Resident Evil : Chapitre Final est à l'image de la saga depuis le troisième film. Un scénario bancal et bourré d'incohérences qui misera sur les scènes d'action plutôt nombreuses. Par contre, Paul W.S. Anderson a écouté et n'a pas bourré les scènes d'action de ralentis inutiles. Il a fait totalement l'inverse, en faisant des scènes qui partent dans tous les sens et très rapidement, ce qui donne un résultat très brouillon et difficile à suivre. Seul intérêt : Milla Jovovich qui revient combattre la méchante société Umbrella pour une "dernière fois".
Nullissime, le pire de la série ! Les scènes d'actions sont brouillons, on ne voit rien, : vous savez ces pseudos scènes d'actions où c'est filmé très près et ou les images s'enchaînent pour donner une impression de vitesse mais au final on ne comprend rien ? Bon ben voilà c'est ça tout du long... on a l'impression qu'ils se sont dit que les gens iraient de toute manière le voir car il s'agit du "dernier", donc ils ont rogné à mort sur le budget et le scénario... une honte...
Le film est bien.les monstres et certaines scenes sont tirés du 5.on s'ennuie pas.beaucoup de scenes pas logiques dommage . Ce qui m'enerve c'est wesker il est nul au possible mais normalement ce devrait etre wesker qui est amelioré mais pour la logique du film cest le docteur isaac,wesker est juste la pour garder la grenade et il a pas lache tout de suite comme ça ils ont le temps de partir.et c'est vraimment la fin;certains disent qu'il y aurait une suite mais certains films finissent comme ça et heureusement car je voudrai qu'un rea fasse le film a l'ancien resident evil ce serait moins surealiste
Commencée 15 ans plus tôt, l’aventure de l’iconique héroïne Alice (jouée par Milla Jovovitch) touche à sa fin avec Resident Evil : Chapitre Final, de Paul W. S. Anderson.
S’ouvrant comme à l’accoutumée par un monologue d’Alice narrant tout ce qui a pu se passer jusqu’au dernier cliffhanger, son récit s’achève cette fois-ci autrement, par « Je m’appelle Alice et ceci est mon histoire, la fin de mon histoire ». Une introduction qui annonce donc la fin de la série de films adaptée du jeu vidéo homonyme L’intrigue qui démarre juste après les événements qui se sont déroulés dans Resident Evil : Retribution (sorti en 2012), tourne autour d’un vaccin au T-Virus (propagé dans le monde par Umbrella Corporation et à l’origine de l’apparition des zombies). Annoncé par le programme d’intelligence artificielle « Red Queen » représenté sous la forme d’une petite fille en hologramme (interprétée par la fille de 9 ans de Milla Jovovitch, Ever Gabo Anderson), ce vaccin, capable de stopper la propagation du T-Virus et de sauver les quelques milliers d’humains qui restent sur Terre, se trouve à Raccoon City dans le Hive (le laboratoire sous-terrain où a été créé le T-Virus). Ainsi, avec deux jours pour se rendre dans ce ground zero où le cauchemar apocalyptique a commencé et sauver le monde, un dernier périple attend notre ex-agent d’Umbrella Corporation, Alice.
S’ouvrant comme à l’accoutumée par un monologue d’Alice narrant tout ce qui a pu se passer jusqu’au dernier cliffhanger, son récit s’achève cette fois-ci autrement, par « Je m’appelle Alice et ceci est mon histoire, la fin de mon histoire ». Une introduction qui annonce donc la fin de la série de films adaptée du jeu vidéo homonyme L’intrigue qui démarre juste après les événements qui se sont déroulés dans Resident Evil : Retribution (sorti en 2012), tourne autour d’un vaccin au T-Virus (propagé dans le monde par Umbrella Corporation et à l’origine de l’apparition des zombies). Annoncé par le programme d’intelligence artificielle « Red Queen » représenté sous la forme d’une petite fille en hologramme (interprétée par la fille de 9 ans de Milla Jovovitch, Ever Gabo Anderson), ce vaccin, capable de stopper la propagation du T-Virus et de sauver les quelques milliers d’humains qui restent sur Terre, se trouve à Raccoon City dans le Hive (le laboratoire sous-terrain où a été créé le T-Virus). Ainsi, avec deux jours pour se rendre dans ce ground zero où le cauchemar apocalyptique a commencé et sauver le monde, un dernier périple attend notre ex-agent d’Umbrella Corporation, Alice.
Pas terrible, franchement... La série est clairement à bout de souffle, et il faudrait songer à la clore avec ce qui lui reste de dignité. Voyons dans le détail.
- L'histoire : tirée par les cheveux, pour ne pas dire ridicule, sans lien narratif avec les épisodes précédents, sauf le premier.
- Les personnages : bon, là, on va passer. Aucun, pas même l'héroïne, n'est intéressant. Ils sont creux, froids (pour ne pas dire glaciaux), et très prévisibles. D'ailleurs, toute l'histoire est prévisible...
- Les effets spéciaux : bien, surtout les raccords entre CGI et éléments réels, mais ils donnent à tout cet univers un aspect complètement artificiel qui ne sert pas l'histoire.
- Les effets sonores : beaucoup, beaucoup trop de bruits ! Un abus permanent de décibels et de "jump scares" qui finissent par irriter plutôt que faire peur.
Seul élément notable de ce film : le pamphlet allégorique sur notre société (bien réelle, celle-là) délivré par la bouche du principal "vilain" de l'histoire. On y sent le poids des événements récents : terrorisme, réchauffement climatique, accès au pouvoir de personnalités politiques préoccupantes. Mais c'est un peu appuyé, et très bref. Donc environ 45 secondes de réflexion et de perspective pour tout le reste d'action.
Messieurs les réalisateurs et distributeurs, honnêtement, songez à arrêter maintenant. A force de racler les fonds de tiroir narratifs et situationnels, vous allez finir par pédaler dans le vide...
- L'histoire : tirée par les cheveux, pour ne pas dire ridicule, sans lien narratif avec les épisodes précédents, sauf le premier.
- Les personnages : bon, là, on va passer. Aucun, pas même l'héroïne, n'est intéressant. Ils sont creux, froids (pour ne pas dire glaciaux), et très prévisibles. D'ailleurs, toute l'histoire est prévisible...
- Les effets spéciaux : bien, surtout les raccords entre CGI et éléments réels, mais ils donnent à tout cet univers un aspect complètement artificiel qui ne sert pas l'histoire.
- Les effets sonores : beaucoup, beaucoup trop de bruits ! Un abus permanent de décibels et de "jump scares" qui finissent par irriter plutôt que faire peur.
Seul élément notable de ce film : le pamphlet allégorique sur notre société (bien réelle, celle-là) délivré par la bouche du principal "vilain" de l'histoire. On y sent le poids des événements récents : terrorisme, réchauffement climatique, accès au pouvoir de personnalités politiques préoccupantes. Mais c'est un peu appuyé, et très bref. Donc environ 45 secondes de réflexion et de perspective pour tout le reste d'action.
Messieurs les réalisateurs et distributeurs, honnêtement, songez à arrêter maintenant. A force de racler les fonds de tiroir narratifs et situationnels, vous allez finir par pédaler dans le vide...
A prendre comme un jeu video car si on prend ce film au premier degres , l'histoire est irrealiste , les scenes d'action improbable et les acteurs faible. Sinon le film lui est assez rapide avec une certaine tension et des assez beaux decors.
Un final (pas si sur) qui décoiffe tant par les morts vivants qui ont muté que les combats qui déménagent.
Encore une aventure incroyable où malgré les coups donnés et reçus, aucun membre fracturé ni visage abîmé ! Trop forts ces combattants.
L'histoire s'essouffle et ca devient un peu grotesque mais les amateurs de ce genre de film se régaleront très certainement !!
Encore une aventure incroyable où malgré les coups donnés et reçus, aucun membre fracturé ni visage abîmé ! Trop forts ces combattants.
L'histoire s'essouffle et ca devient un peu grotesque mais les amateurs de ce genre de film se régaleront très certainement !!
Pas déçu par le film, je ne m'attendais pas à mieux ni à pire, il reste dans la continuité des précédent. J'ai passé un très bon moment.
Une saga souvent rabaissée qui s'achève sur une très bonne note. Le chapitre final porte bien son nom : des scènes d'action captivantes - malgré quelques effets de caméra et zoom parfois trop excessifs -, des effets spéciaux réalistes, et une intrigue qui se termine sur un dénouement quasi imprévisible apportant réponse aux questions que l'on se pose dès le premier volet. Notons aussi une nette amélioration côté scénario par rapport aux précédents films ; les fans seront bouleversés par l'ultime retournement de situation... Une conclusion satisfaisante et digne de ce nom : 3.5/5.
N'ayant rien a voir d'autre j'ai trouvé le film bien fait mais avec du zombie hyper réchauffés, sur des histoires archi exploitées sans interet.
L’héroïne est au top
Aussitôt vue aussitôt oublié ^^
L’héroïne est au top
Aussitôt vue aussitôt oublié ^^
Rien a voir avec la suite du dernier film. Film d'action et pas un RE. Manque Jill, chris.
Dr isaacs etant mort et present dans le film.
Combat contre Wesker inexistant.
Claire effacée dans ce film.
1h45 de souffrance pour les fans.
Dr isaacs etant mort et present dans le film.
Combat contre Wesker inexistant.
Claire effacée dans ce film.
1h45 de souffrance pour les fans.
À mon avis, ce film me donne l'ambiance de palpitant depuis le début, grâce à l'effet sonores. La héroïne, Milla Jovovich joue sa rôle étonnement comme Alice. D'autre acteur que j'apprécie est lain Glen joué Dr.Isaacs. Alors, des effets visuels de ce film sont superbes. En somme, j'aime la manière de Paul Anderson en construire de l'ambiance palpitant que je pense est assez équilibré. Néanmoins, j'espère qu'il y a plus conflits ou complexités dans ce film pour que l'histoire est imprévisible et peut Apporter le sens dynamique pour les spectateurs. Comme le film est de chapitre final, c'est ce que je regrette de n'est pas suivre depuis le début.
Résident evil chapitre final clôt une saga qui n'a cessé de s'empêtrer dans le grand n'importe quoi pour finir par offrir ici un véritable déluge de situations délirantes et de scènes d'actions hachés et ultra répétitives. Si le scénario est en assez consternant, il laisse la place à l'action omniprésente du début à la fin, ce qui permet au film de remplir parfaitement son rôle de blockbuster bourrin volontairement comique. Visuellement, le décor post apocalyptique à la Mad Max n'est jamais réellement exploité tandis que les zombies et autres monstres manquent d'incarnation, la faute à une 3D bien trop présente. Crétin, bourré de références mal digérés et visuellement assez laid, ce resident evil porté par Milla Jovovich réussit cependant à divertir faut-il avoir laissé son cerveau à l'entrée !
Je regrette d’être allez voir se film ! Franchement je m'attendait pas a quelque chose d'exceptionnel en allant le voir (enfin si un peu) mais au moins a une suite qui suit les rails des précédent opus. Alors que la le scénario de se film démolis complétement l'histoire qu'on a connu jusqu'ici.
spoiler:
Déjà départ, Alice seul dans un monde chaotique, Après combat contre un gros monstre avec une Alice qui a mystérieusement reperdu ses pouvoir
Jusque la un peu cliché mais OK. spoiler: Après, rencontre avec la reine rouge qui résume se qui c'est passé en le 5 et le 6 et décide d'aidée Alice maintenant.
et a partir de se moment LA le film dérape, se qui fait 10 minute de film et déjà un détails qui me donne envie de hurler. On a juste le droit a une explication de 2 minute qui dit "je sais qu'on a eu des différents dans le passé et que spoiler: Albert Wesker ta mentit
mais maintenant je suis devenue gentil et je vais t’aider a sauvée le monde". Alors que je rappelle dans le 5 c'était précisément l'inverse spoiler: La reine rouge voulait détruire l'humanité et wesker prétendait vouloir l'en empêcher en se servant d'Alice
Après s'en suis une pile d'incohérence don je peux pas tout expliqué tellement y en a mais pour résumé spoiler: le vrai Dr Issac contrôle embrela dans l'ombre (excuse pour le faire revenir dans le film), Alice est en faite un clone sans souvenir de la vrai (alors d’où lui vient les souvenirs quelle récupère peu à peu dans le 1) , Wesker a aussi mystérieusement perdu ses pouvoirs (Pourquoi ?), virus volontairement propagé par embrella dans l'air dans le 1 (N'importe quoi, c'est Spence qui la répendut, pas embrella), pourquoi wesker a aidé Alice a s’échapper dans le 5 si c'était pour la piégé après ? Le hive ne ressemble pas du tout a celui qu'on a connu dans le 1 (bon a part la pièce des laser, mais avec une immense salle juste sous leur pied avec des centaines de personnes endormie qui n'était pas la avant) et cerise sur le gâteau ils suffisait juste d'éclaté un anti-virus sur le sol pour sauvée le monde donc le monde aurait pu être sauvée dès le dépars si on suit cette logique
. Donc pour conclure, j'aurais peu être un peu plus apprécié se film si je n'avais pas vu les 5 autres ou si certain personnage (chris redfield, jill valentine ect...) ne manquait pas l'appelle mais ce n'est pas le cas !!!
Jusque la un peu cliché mais OK. spoiler: Après, rencontre avec la reine rouge qui résume se qui c'est passé en le 5 et le 6 et décide d'aidée Alice maintenant.
et a partir de se moment LA le film dérape, se qui fait 10 minute de film et déjà un détails qui me donne envie de hurler. On a juste le droit a une explication de 2 minute qui dit "je sais qu'on a eu des différents dans le passé et que spoiler: Albert Wesker ta mentit
mais maintenant je suis devenue gentil et je vais t’aider a sauvée le monde". Alors que je rappelle dans le 5 c'était précisément l'inverse spoiler: La reine rouge voulait détruire l'humanité et wesker prétendait vouloir l'en empêcher en se servant d'Alice
Après s'en suis une pile d'incohérence don je peux pas tout expliqué tellement y en a mais pour résumé spoiler: le vrai Dr Issac contrôle embrela dans l'ombre (excuse pour le faire revenir dans le film), Alice est en faite un clone sans souvenir de la vrai (alors d’où lui vient les souvenirs quelle récupère peu à peu dans le 1) , Wesker a aussi mystérieusement perdu ses pouvoirs (Pourquoi ?), virus volontairement propagé par embrella dans l'air dans le 1 (N'importe quoi, c'est Spence qui la répendut, pas embrella), pourquoi wesker a aidé Alice a s’échapper dans le 5 si c'était pour la piégé après ? Le hive ne ressemble pas du tout a celui qu'on a connu dans le 1 (bon a part la pièce des laser, mais avec une immense salle juste sous leur pied avec des centaines de personnes endormie qui n'était pas la avant) et cerise sur le gâteau ils suffisait juste d'éclaté un anti-virus sur le sol pour sauvée le monde donc le monde aurait pu être sauvée dès le dépars si on suit cette logique
. Donc pour conclure, j'aurais peu être un peu plus apprécié se film si je n'avais pas vu les 5 autres ou si certain personnage (chris redfield, jill valentine ect...) ne manquait pas l'appelle mais ce n'est pas le cas !!!
Mon avis en quelques mots:
Un concentré d'action explosive, appréciable de bout en bout
Pleinement réussi et explosif niveau action, mais souffrant d'un certain nombre d'incohérences au niveau du scénario, notamment par rapport à l'univers global des films de la saga, Resident Evil: Chapitre final reste néanmoins un très bon film d'action, très bien rythmé, aux effets spectaculaires. Même si on est content de retrouver une Milla Jovovich aussi badass qu'à l'accoutumée, on regrettera néanmoins l'absence de certains personnages des précédents films et l'introduction de nouveaux survivants à l'implication anecdotique. On ne s'ennuie cependant pas une seconde devant ce blockbuster efficace qui respecte les règles du genre et nous tient du début à la fin sans ennui.
Retrouvez la critique complète pour ce film et bien d'autres sur mon blog au lien suivant:
Un concentré d'action explosive, appréciable de bout en bout
Pleinement réussi et explosif niveau action, mais souffrant d'un certain nombre d'incohérences au niveau du scénario, notamment par rapport à l'univers global des films de la saga, Resident Evil: Chapitre final reste néanmoins un très bon film d'action, très bien rythmé, aux effets spectaculaires. Même si on est content de retrouver une Milla Jovovich aussi badass qu'à l'accoutumée, on regrettera néanmoins l'absence de certains personnages des précédents films et l'introduction de nouveaux survivants à l'implication anecdotique. On ne s'ennuie cependant pas une seconde devant ce blockbuster efficace qui respecte les règles du genre et nous tient du début à la fin sans ennui.
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