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Terreurvision
218 abonnés
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3,5
Publiée le 5 avril 2013
Intelligent, angoissant, offrant un twist final habile, même s'il souffre d'un rythme irrégulier et que l'épouvante y est au final peu présente, un comble pour un film dédié aux terreurs enfantines, Intruders demeure un thriller fantastique dense et plus complexe qu'il n'y paraît. Notre critique complète est en ligne sur le site Terreurvision.
Intruders (2011), troisième long-métrage de Juan Carlos Fresnadillo (28 semaines plus tard - 2007) démarrait comme un home-invasion pour finalement se planter en beauté sous la forme d’un thriller psychologique avec un encéphalogramme plat au trouillomètre. Hélas, rien ne fonctionne avec cette histoire tirée par les cheveux où un espèce de croquemitaine à capuche a élu domicile, non pas sous le lit des enfants mais dans leur placard. Avec une double lecture assez casse-gueule (l’intrigue se divise en deux, l’action principal se déroule en Angleterre et l’action secondaire en Espagne). Alternant constamment ces deux unités de lieu et de temps, le réalisateur peine à nous faire comprendre où il veut en venir, enfin… jusqu’à ce qu’il se décide à nous dévoiler son ridicule twist final abracadabrantesque. Au final, il n’y a que les SFX qui ont fiers allures ici, tout le reste s’avère rapidement futile.
J'ai bien aimé ce film. Le film est efficace; comme beaucoup de films d'horreur il prend place dans une maison, qui est le cadre dans lequel une famille est attaquée. La tension dramatique vient de là: normalement, notre maison et in extenso notre proche famille est le lien ou l'endroit dans lequel on est censé ne pas être menacé, à l'abri du monde extérieur. Or ici ce n'est pas le cas, il y a une intrusion. Ce genre de film est fréquent pour cette raison: à condition d'être réalisé correctement (et ici c'est la cas), le film est toujours très efficace pour induire le suspense, un sentiment de peur pour les protagonistes. En général, dans les films d'horreur, c'est le membre le plus vulnérable de la famille qui est attaqué: un enfant ou une femme, l'homme ayant un rôle plus distant (soit de protecteur, soit d'antagoniste). Ici, c'est partiellement le cas, mais avec l'originalité que le mari est aussi pris à partie par la menace (dont je ne révèlerai pas la nature). Donc au total un film efficace, avec une pointe d'originalité.
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3,5
Publiée le 6 décembre 2013
il suffit parfois d'une suite dont personne n'attendait grand chose sur le papier (l'excellentissime "28 Weeks Later") pour qu'un cinèaste espagnol jusqu'ici talentueux fasse des petits prodiges par la suite dans le cinèma d’èpouvante! Juan Carlos Fresnadillo est de cela et son "Intruders" est un thriller / fantastique très recommandable sur le thème des peurs enfantines et des terreurs nocturnes dont on aurait tort de s'en priver au vu des critiques nègatives qui poussent comme des champignons! En se forgeant quelques certitudes dès les premières minutes du film, le spectateur risque la dèsillusion de s'être totalement trompè! A ce moment, la surprise d'un rebondissement qu'il n'a pu prèvoir peut lui donner plus de plaisir que de dèconvenue! Car après tout, voir "Intruders" pour y vivre une expèrience d'une suprême originalitè reste la principale motivation! Shootè avec un sens de l'image terrassant de beautè dèsespèrèe, un peu vers des ambiances à la M. Night Shyamalan (mais en mieux), le long-mètrage parvient à nous scotcher sur notre fauteuil durant toute la projection et mèritait clairement mieux que cette sortie nationale à la sauvette! En plus Clive Owen et la jeune Ella Purnell sont constamment justes...
Un film assez étonnant car il est captivant et très prenant. La créature où « la chose » dans ce film est très particulière, je n’en dirais pas plus, mais c’est clairement tellement étrange qu’on se laisse embarquer dans l’histoire intensément. Il y a deux histoires en parallèle, et à la fin, on comprend pourquoi. Le final est un bon twist mais on en saura pas vraiment plus sur la chose en question, je pense qu’on me l’interpréter un peu à sa manière et chacun aura son idée. Les effets spéciaux de la créature sont bien rendus pour rendre chacune de ses apparitions inquiétantes, mais c’est surtout l’ambiance générale du film qui prend aux tripes. A noter un très bon Clive Owen, superbe acteur qui joue son rôle à merveille ici. J’ai bien aimé le fait qu’il envoi sa femme bouler, enfin un homme un vrai, qui ne pleurniche pas… quand votre femme ne vous soutiens plus, il faut partir, et il n’a pas hésité, beaucoup apprécié ça. Bref, un film à voir, très étonnant, très particulier, mais ambiance garantie !
L'espagnol Juan Carlos Fresnadillo (dont je n'avais, à titre personnel, pas vraiment apprécié la suite qu'il avait proposé au très bon « 28 jours plus tard » de Danny Boyle il y a quelques années) tente ici de s'inspirer du travail des meilleurs de ses compatriotes en livrant une sorte de conte horrifique jouant sur les peurs infantiles. Le problème est que le sujet à déjà été maintes fois traité et surtout de meilleure manière. Si la réalisation est tout à fait correcte, les acteurs très pros (quand on peut se payer Clive Owen...) et qu'une certaine originalité se dégage de la façon dont se déroule l'histoire (le parallélisme des situations), le scénario ne tient finalement pas vraiment la route et l'atmosphère angoissante est quasi inexistante. On suit ce film comme une histoire vaguement épouvantable, trop sobre, un peu molle, jamais transcendante (le twist est mal amené) et presque destinée à un public profane en matière de films d'horreur (remarque il en faut pour tous les goûts). Un film peut-être trop formaté, qui aurait gagné à sortir un peu des sentiers battus. Une déception d'autant qu'il y avait de bonnes idées et un potentiel horrifique à développer.
On pouvait légitimement s’attendre à un peu mieux concernant ce film d’horreur qui parle d’un croquemitaine qui tente de voler le visage des enfants afin de prendre leur place. Le scénario est plutôt bien conçu (même si on se doute très rapidement de la révélation finale) et Clive Owen nous prouve tout son talent dans le rôle du père de famille qui va tout faire pour protéger son enfant. Par contre, la mise en scène de Juan Carlos Fresnadillo n’est pas toujours à la hauteur de l’attente, car le metteur en scène espagnol arrive qu’à très peu d’occasion à instaurer un vrai climat de terreur. A ce titre, on notera que les apparitions du croquemitaine s’avèrent bien peu flippantes. Sans être mauvais, ce long-métrage se trouve être tout de même une petite déception sachant que son réalisateur est tout de même celui du brillant 28 semaines plus tard.
Le film est pas mal il se laisse regarder même si ça ne fait pas peur, l'ambiance est bonne, les acteurs convaincants et les twist sont plutôt efficaces.
Il y a un bon suspense dans ce film sombre. Pourtant, la fin n'est pas extraordinaire et je n'ai pas très bien saisi toute l'explication du sans-visage.
Intruders ne fonctionne pas...Qu’il reprenne des figures de l orphelina ou des autres avec une touche de mélancolie, mariant ainsi les traditions hispaniques et britanniques, le film peine à s’imposer sur chacun de ses essais. La peur, au centre du récit, en étant même son moteur principal, est aux abonnés absents pour le spectateur...Juan Carlos Fresnadillo s’embourbe dans un scénario bancal, avec des personnages qui manquent de relief .Il peut donc demeurer un sentiment d’agacement dès la mise en place des intrigues parallèles dans la mesure où les scènes d’épouvante ponctuant le récit sont loin de faire peur hormis un ou deux passages ...Parlons tout de même un peu des acteurs. Les enfants interprètes par Izan Corchero et Ella Purnell sont tout de même très bons dans leur interprétations.Trop mou, trop gentil, trop familial, Intruders est une production qui se voit aussi vite qu’elle s’oublie mais qui ravira ceux qui n’aiment pas faire de cauchemars après la vision d’un film d’épouvante. Pour les autres, il ne reste plus qu’à revoir Insidious....
Film franchement pas terrible ne fait pas du tout peur aspect positive le casting la bande son et quelques effets spéciaux a part ca vole pas tres haut ;)