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Votre avis sur Intruders ?
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Le scénario de ce film tiendrait sur un timbre poste.
On s'ennuie donc pendant toute la durée du métrage d'autant plus que ni rythme, ni frisson ni qualité d'interprétation ne viennent vous tirer de votre torpeur.
On s'ennuie donc pendant toute la durée du métrage d'autant plus que ni rythme, ni frisson ni qualité d'interprétation ne viennent vous tirer de votre torpeur.
Intruders est un film qui ne fait pas vraiment peur. L'histoire du film est assez originale et intéressante d'autant que le film arrive par moment à créer une vraie ambiance. Et par moment le film propose de bonnes scènes d'actions. Mais le film n'est pas toujours passionnant et les acteurs ne sont pas toujours très convaincants. En gros Intruders est un film qui a une bonne ambiance.
Intruders est un film EXCELLENT qui sous couvert d'épouvante, en tout cas lors de sa première heure, dévoile avec talent deux histoires semblant avoir un dénominateur commun. Dans cette partie maîtrisée, les effets, l'interprétation des enfants conjugués à la présence du monstre Clive Owen emmènent le spectateur dans un dédale sombre dont l'obscurité s'évanouit, peu à peu, dans une dernière demi-heure aux effluves psychanalytiques du plus bel effet. Intruders ne mérite pas ces critiques sévères tout simplement parce que Fresnadillo tente un pari subtil
spoiler:
noyer son spectateur entre horreur et thriller, entre épouvante et troubles quasi psychiatriques
. Le réalisateur réussit un coup de maître. Un long métrage délicieusement à contre-courant tant dans le fond que dans la forme : spoiler: Sixième Sens, chef d'oeuvre, est un film du genre fantastique dont le retournement final ne fait que confirmer le choix de Shyamalan. De même pour Take Shelter, autre sommet cinématographique, de Jeff Nichols dont la fin amène le film dans la sphère fantastique
. Dommage que le parti pris du film soit peu compris. 4,5/
. Le réalisateur réussit un coup de maître. Un long métrage délicieusement à contre-courant tant dans le fond que dans la forme : spoiler: Sixième Sens, chef d'oeuvre, est un film du genre fantastique dont le retournement final ne fait que confirmer le choix de Shyamalan. De même pour Take Shelter, autre sommet cinématographique, de Jeff Nichols dont la fin amène le film dans la sphère fantastique
. Dommage que le parti pris du film soit peu compris. 4,5/
Une histoire pas très effrayante, malheureusement trop molle, mettant trop de temps a véritablement démarré, pour au final ne pas créer de vraies surprises ...
Mais quel déception, je m'attendais à me faire un coup de frousse, le problème c'est que j'ai plutôt rigoler devant le film. Un début néanmoins pas mauvais et un bon choix musicales
Bof.bof.bof. Malgré un final fort bien troussé et émouvant, Intruders peine à faire peur, la faute à un Croquemitaine graphique mais sans charisme car trop intime aux personnages auxquels le spectateur a du mal à s'attacher. Dommage car Fresnadillo est talentueux ça ne fait aucun doute.
Film d’épouvante familial, avec les raccourcis classiques et la peur distillée très édulcorée qui vont avec. Il doit beaucoup au talent de Fresnadilo ce film. Il sait créer un cadre, une ambiance mystèrieuse et utiliser ses acteurs (jeunes et moins jeunes, mais tous bons), pour procurer une émotion calculée et prévisible, mais d’une classique efficacité. Pas grandiose donc, mais divertissant. Pas évident de faire du neuf avec une histoire pareille sinon utiliser les vieilles ficelles scénaristiques que je ne peux dévoiler sans trahir le secret du film (no spoiler). Mélange de thriller psychologique (un petit peu), et de film fantastique, (un petit peu aussi), au spectateur de choisir son mode de lecture privilégié. Production de classe blockbuster, final hollywoodien et sage, mais c’est un film d’épouvante familial à voir comme tel, avec les enfants à ses côtés ça fonctionnera encore mieux. Vivement son prochain film, pour adultes cette fois.
Un film d'épouvante sur les terreurs nocturnes et les possessions démoniaques par l'auteur de l’excellente suite "28 semaines plus tard" ! Mais là ou "Insidious" distillait un suspense terrifiant et une terreur progressive, le film de Juan Carlos Fresnadillo s'enlise avec un script qui à du mal à démarrer et dont la construction désarçonne le spectateur au lieu de le captiver...une déception !
Aujourd'hui, l'horreur porte un nouveau nom: Hollow Face. Tout simplement le Freddy Krueger de notre époque, terriblement troublant, assez flippant, mais sans l'humour de l'autre. Intruders, c'est un film d'ambiance horrifique et psychotique très bien mené, avec le savoir-faire espagnol et un excellent Clive Owen à l'affiche, à l'histoire prenante jusque son dénouement.
Dik ap Prale
Beaucoup de dysfonctionnements dans cette histoire. Le traitement est relativement sobre face à la renversante histoire de ce petit garçon et de cet enchevêtrement dans le temps qui nous est servi. L'idée originale sur les peurs de l'enfant aurait suffi à elle-même; l'ensemble aurait été moins désordonné. On est exsangue face à la pilule que cette production cherche à nous prescrire; Et cette frustration précipite immanquablement Intruders parmi les films eux même rangés, entassés au fond d'un placard.
Intruders est une production americano-britannico-espagnol avec un casting britannico-germano-neerlando-hispano-neozelandaise. Bref, autant le dire tout de suite : on trouve de tout dans Intruders, sorte de film d'horreur lorgnant parfois du côté de cinéma d'horreur glauque espagnol, du gothique anglais, de la banalité américaine. Intruders est donc un film bâtard - sans attache, mêlant tout et n'importe quoi, mais non pas exempt de qualité même si il faut fouiller quand même un peu. Je suis un grand fan de Clive Owen et de Daniel Brühl. Et j'attendais Intruders avec une certaine influence et même si je l'ai loupé en salles, j'ai put me rabattre sur d'autres moyens qui n'intéressent ni vous, ni moi. Alors, pour en revenir à mon propos, quand on voit un casting de film d'horreur réalisé par un espagnol assez talentueux avec un casting pareil, l'attente est grande, mais au final la déception le fut tout autant. Car il est clair et certain qu'Intruders ne terrifie jamais, ne prends jamais aux tripes, et n'arrive même pas à faire sortir ses personnages de leur banalité psychologique et caractériel - sans profondeur, caricaturaux, des coquilles vides. Passé cela, il est à noter qu'il y a une mise en scène maîtrisée - une connaissance des plans, de la photographie, et une mise en place de l'atmosphère évidente même si le montage finale (totalement foireux) fait perdre un peu de sa consistance au nouveau film de Fresnadillo. Ce type est doué, et même si 28 semaines plus tard était une merde bien camouflée, il y avait là aussi une maîtrise
Et en plus de post-producteurs qui seraient plus utiles dans d'autres corps de métiers, il est à noter que le scénario d'Intruders est des plus classiques, alignant clichés sur clichés - et dès qu'il y a une bonne idée, on l'efface pour une nouvelle série de caricatures qui finissent par faire prévoir en partie la fin - il y a un semi twist pas si con mais pas si utile. Le film de Fresnadillo est donc une évidente déception. On ne flippe jamais, on ne s'attache pas aux personnages, Clive Owen - principale attraction du tout - est absent (il paye comme nous tous des impôts), et le scénario est convenu et se ferait passer parfois pour un film d'horreur pour enfants (absence de gore ou de torture psychologique, ainsi que de suspense, le monstre sous le placard... et au final un film qui est plus fantastico-religieux qu'autre chose). Navet ? Pas loin. Intruders étant au final plus un film marketing d'horreur classique, que ce que je pensais être avant sa sortie un film ambitieux psychologique à influence hispanique. A éviter en tout cas.
Et en plus de post-producteurs qui seraient plus utiles dans d'autres corps de métiers, il est à noter que le scénario d'Intruders est des plus classiques, alignant clichés sur clichés - et dès qu'il y a une bonne idée, on l'efface pour une nouvelle série de caricatures qui finissent par faire prévoir en partie la fin - il y a un semi twist pas si con mais pas si utile. Le film de Fresnadillo est donc une évidente déception. On ne flippe jamais, on ne s'attache pas aux personnages, Clive Owen - principale attraction du tout - est absent (il paye comme nous tous des impôts), et le scénario est convenu et se ferait passer parfois pour un film d'horreur pour enfants (absence de gore ou de torture psychologique, ainsi que de suspense, le monstre sous le placard... et au final un film qui est plus fantastico-religieux qu'autre chose). Navet ? Pas loin. Intruders étant au final plus un film marketing d'horreur classique, que ce que je pensais être avant sa sortie un film ambitieux psychologique à influence hispanique. A éviter en tout cas.
Mon dernier coup de coeur en date ! Une surprise comme on les aime qui débute toujours pas une bande annonce intriguante et qui souvent dans ce cas, révèle un scénario implacable, fort bien écrit et mis en scène d'une manière vraiment inspiré. En effet, contrairement aux apparences, Intruders est vraiment novateur dans la tournure du récit car alterner et jongler entre ces deux histoires parallèles est vraiment ce qui donne tout sons sens à ce film et où acteurs à l'instar de Clive Owen et Carice Van houten semblent plus que concernés par leurs prestations. Enfin du neuf pour 2012 !
"Sans Visage" n'était ni jeune, ni vieux. Il n'était ni laid, ni beau. Il n'avait pas de silhouette. Et il n'avait meme pas de visage !
"Sans Visage" n'était ni jeune, ni vieux. Il n'était ni laid, ni beau. Il n'avait pas de silhouette. Et il n'avait meme pas de visage !
très classique, ce film ne restera pas dans les annales. l'angoisse est au rendez-vous, mais il manque un petit-quelque-chose pour que ce soit vraiment bien. je ne saurai dire quoi, une impression...
Clive Owens se faisant rare en ce moment, on ne va pas bouder son plaisir! surtout qu'il parle même un peu en espagnol, olé!
Clive Owens se faisant rare en ce moment, on ne va pas bouder son plaisir! surtout qu'il parle même un peu en espagnol, olé!
On s'ennuie a mourir devant ce film à dormir debout !! Manque de rebondissement, plat, 1h30 du film à voir 2 gamins dans leur chambre à flipper d'un monstre sans visage !! en gros à éviter !!
Filmosaure
Nos amis espagnols sont décidément assez doués en films d’horreur (je repense, par exemple, à l’Orphelinat qui était excellent, à REC, assez bon dans le genre, et à Malveillance, sorti il y a peu au cinéma et qui vaut également le détour). Juan Carlos Fresnadillo, qui nous avait sorti un 28 semaines plus tard quasiment à la hauteur du premier opus (exercice périlleux lorsque l’on suit les pas du 28 jours plus tard de Danny Boyle), livre un petit film d’épouvante assez réussi, et qui aurait mérité quelques salles supplémentaires.
SYNOPSIS
Juan, petit garçon d’Espagne, et Mia, fillette anglaise de 12 ans, ne semblent avoir en commun que cette vision qui les hante chaque nuit : une sorte de monstre qu’ils surnomment le Sans-Visage, apparemment nourri de leur peur. De son côté, la mère de Juan s’adresse à un prêtre en vue d’un exorcisme, tandis que Mia est emmenée chez une psychologue. La frontière entre imagination et réalité se brise lorsque les parents commencent, eux aussi, à voir le Sans-Visage.
AUX FRONTIÈRES DU RÉEL
Je trouve la presse et la distribution bien dures avec cette production qui dépasse de loin certaines nullités envahissant nos grands écrans (je ne citerai pas de noms, mais The Darkest Hour est assez pourri). Le suspense y est omniprésent, bien mené, et si une partie du dénouement semblera prévisible à certains, le spectateur aura des doutes sur la véracité du monstre jusqu’aux dix dernières minutes (personnellement, j’ai perdu quelques ongles dans le processus ; j’avais deviné un élément de la fin mais n’avais que des hypothèses concernant le reste). Fresnadillo affirme d’ailleurs avoir réalisé un film encourageant le spectateur à réfléchir, à se poser des questions au lieu de simplement “subir” le scénario.
"Fool, no man can kill me"... oh wait, mauvais film.
Petit bémol : les effets sonores parfois pénibles (à coup de je te stresse avec une bande son de plus en plus fort et oh, non en fait rien), mais heureusement, ceux-ci ne sont pas utilisés à outrance, et la BO est parfois même bien effrayante. Tout comme le Sans-Visage, d’ailleurs (Hollow-Face en anglais, rien que le nom est… brrr). Ceux qui souffraient de terreurs nocturnes (le monstre du placard ou planqué sous le lit) n’en seront que plus impressionnés (moi, j’avais peur du noir, ça n’a donc pas aidé). Un film devant lequel je ne mettrai jamais mes enfants : c’est un coup à se faire réveiller à 4h du matin par des “MAMAAAAAAAAN”.
Fresnadillo joue sur l’ambiguïté entre l’imagination et les faits, le cauchemar et la réalité, le fantastique et la psychologie. En outre, les cinéphiles apprécieront la présence de Clive Owen, Daniel Brühl, ou encore la jeune Ella Purnell, repérée dans Never Let Me Go. Abstiens-toi donc d’aller voir un énième blockbuster décevant et dirige-toi plutôt vers ce petit film intéressant avant qu’il ne quitte nos salles.
SYNOPSIS
Juan, petit garçon d’Espagne, et Mia, fillette anglaise de 12 ans, ne semblent avoir en commun que cette vision qui les hante chaque nuit : une sorte de monstre qu’ils surnomment le Sans-Visage, apparemment nourri de leur peur. De son côté, la mère de Juan s’adresse à un prêtre en vue d’un exorcisme, tandis que Mia est emmenée chez une psychologue. La frontière entre imagination et réalité se brise lorsque les parents commencent, eux aussi, à voir le Sans-Visage.
AUX FRONTIÈRES DU RÉEL
Je trouve la presse et la distribution bien dures avec cette production qui dépasse de loin certaines nullités envahissant nos grands écrans (je ne citerai pas de noms, mais The Darkest Hour est assez pourri). Le suspense y est omniprésent, bien mené, et si une partie du dénouement semblera prévisible à certains, le spectateur aura des doutes sur la véracité du monstre jusqu’aux dix dernières minutes (personnellement, j’ai perdu quelques ongles dans le processus ; j’avais deviné un élément de la fin mais n’avais que des hypothèses concernant le reste). Fresnadillo affirme d’ailleurs avoir réalisé un film encourageant le spectateur à réfléchir, à se poser des questions au lieu de simplement “subir” le scénario.
"Fool, no man can kill me"... oh wait, mauvais film.
Petit bémol : les effets sonores parfois pénibles (à coup de je te stresse avec une bande son de plus en plus fort et oh, non en fait rien), mais heureusement, ceux-ci ne sont pas utilisés à outrance, et la BO est parfois même bien effrayante. Tout comme le Sans-Visage, d’ailleurs (Hollow-Face en anglais, rien que le nom est… brrr). Ceux qui souffraient de terreurs nocturnes (le monstre du placard ou planqué sous le lit) n’en seront que plus impressionnés (moi, j’avais peur du noir, ça n’a donc pas aidé). Un film devant lequel je ne mettrai jamais mes enfants : c’est un coup à se faire réveiller à 4h du matin par des “MAMAAAAAAAAN”.
Fresnadillo joue sur l’ambiguïté entre l’imagination et les faits, le cauchemar et la réalité, le fantastique et la psychologie. En outre, les cinéphiles apprécieront la présence de Clive Owen, Daniel Brühl, ou encore la jeune Ella Purnell, repérée dans Never Let Me Go. Abstiens-toi donc d’aller voir un énième blockbuster décevant et dirige-toi plutôt vers ce petit film intéressant avant qu’il ne quitte nos salles.
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