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Ykarpathakis157
4 708 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 21 avril 2020
Parfois un film est commercialisé comme un film d'horreur, mais quand vous le regarder, ce n'est pas le cas. Bien que ce ne soit pas une mauvaise chose, votre attente est à un niveau et vous obtenez quelque chose d'autre. C'est le cas de ce film. Maintenant, cela ne veut pas dire que c'était un film horrible car ce n'était pas le cas. Même si Clive Owen est toujours aussi présent à l'écran, cet aspect ne représente pas vraiment beaucoup. Ce n'est pas un film mal fait, car la réalisation est décente. Ce n'est tout simplement pas un film très engageant et les quelques rebondissements qu'il a ne sont pas assez forts pour compenser le manque de peur ou le rythme général lent. Intruders est vraiment décevant et n'est même pas divertissant...
Intrigant. À mi-chemin entre le film de boogeyman et le thriller psychologique... L'histoire se démarque des films d'angoisse mais l'ambiance peine à inquiéter. Les acteurs sont bons, mais les effets spéciaux numériques plombent le sérieux du sujet. Au final, il s'agit d'un film retors espagnol tourné en Angleterre, soit : toujours le cul entre deux chaises.
Une réalisation, techniquement, véritablement magistrale. Chaque plan, mouvement, lumière, musique sont simultanément brillantissimes, le casting est parfait et l'ambiance relativement flippante mais l'histoire mystérieuse devient confuse et même incompréhensible parfois. C'est dommage et un peu désolant. Mais visuellement, ça vaut le détour. Dommage est le sentiment final.
Très bon film à suspense. Au début, on a du mal à comprendre les 2 histoires mais très vite le rapprochement se fait aisément. Le film est bien tourné et bien scénarisé, on découvre peu à peu les secrets cachés de nos personnages ... cependant le gros défaut du film vient au niveau de la chute, on s'attend à mieux ... , et à plus horrifique.
Un film qui pique quelques éléments de "Freddy" sans vraiment être transcendant. Des scènes longues, un tout petit twist final - spoiler: l'histoire des deux enfants n'a pas lieu finalement à la même époque et le petit garçon se révèle être le protagoniste impliqué quelques dizaines d'années plus tard dans l'autre histoire - un monstre qui ressemble à celui dans le film "Le Village, bref pas mal choses déjà vues ici et là, mais rien de bien neuf à l'horizon... Le tout étant du à une réalisation très mollassonne. Il y a bien mieux sur le marché.
Grosse surprise ! On a du mal à se mettre dedans (surtout quand on s'attend à de grosses frayeurs) mais une fois la déception passée on se prend complètement à l histoire et la fin est tellement inattendue et excellente qu'on ne regrette pas de s être accrochés ! Franchement les espagnols sont très forts dans le genre thriller fantastique !!! Chapeau !!!
Vendu comme un film d'épouvante, Intruders a sûrement déçu bon nombre de spectateurs. Néanmoins, en optant à la fois pour une approche psychanalitique et fantastique de son histoire, sans jamais prendre réellement parti, Juan Carlos Fresnadillo nous livre finalement un film peu banal et captivant, porté par les excellentes prestations de Clive Owen et de Ella Purnell. Un gros bémol hélas sur la révélation finale du lien qui unit les deux enfants poursuivis par Sans-Visage, qui peut être aisément deviné bien avant la fin tant la réalisation n'est pas très subtile pour passer d'une histoire à l'autre.
Pas mal. La première scène nous donne envie de voir la suite. Malheureusement on comprend le lien entre les deux enfants dès la découverte dans l'arbre. Mais on a droit à quelques scènes stressantes. La fin est bonne et arrive à justifier certaines choses mais sans plus. Les acteurs sont...des acteurs, et la musique s'emballe parfois pour rien. Quant aux effets spéciaux, ils sont très moyen. Ce film m'a fait penser à Two Eyes Staring, excellent film néerlandais.
Si il y a bien un conseil à donner avant d'aller voir un film c'est surtout de lire le moins possible les résumés et autres synopsis qui accompagnent chaque article de presse ou reportage télé. Je recommande notamment de se limiter au genre, au titre, à l'affiche et aux acteurs afin de garder tout effet de surprises, tout suspens et ce fameux plaisir cinématographique, celui qu'on ressent quand on découvre au fil des minutes le pourquoi du comment et les clefs de l'intrigue. Petit prologue généraliste pour expliquer la vraie réussite de ce Intruders et de la mise en scène de Juan Carlos Fresnadillo qui alterne avec beaucoup d'habileté, deux histoires dans lesquelles le même intrus / esprit hante les nuits de deux enfants qui aux premiers abords ne vivent ni au même endroit, ni à la même époque. En fait on ne sait pas grand chose, d'un côté on a ce petit garçon qui voit cette ombre terrifiante pénétré chaque nuit dans sa chambre, et de l'autre une jeune fille, passionné de lecture et d'écriture, qui lutte elle aussi contre le même monstre dans des cauchemars de plus en plus fréquent. Le seul point commun de ces deux histoires réside en fait dans le rôle important que joue chaque parent, à la fois protecteur naturelle et détective psychologue qui cherche absolument à savoir qu'est ce qui perturbe autant leur progéniture. La suite c'est dans les salles qu'il faudra aller la découvrir.... Hormis cette réalisation originale, on notera un dénouement vraiment intéressant et la très bonne prestation des jeunes acteurs à commencer par Ella Purnell que j'ai trouvé très convaincante. De même pour Clive Owen qui joue le rôle de son père dans le film (encore vous me direz, pour ceux qui ont vu Trust sortit une semaine après). On aurait cependant aimé ressentir un peu plus d'intensité et d'impact au travers de ces cauchemars réels et visions imaginaires qui deviennent un peu redondant et dépourvus de très grands enjeux finalement. Sans être effrayés et transcendés, on passe quand même un bon petit moment....
J ai bien frisonné retrouvant ainsi mes terreurs d enfance. Un film qui bien que ne renouvelant pas le genre reste bien ficelé et intrigue. Pas de surenchere, tout est dans la suggestion. J ai autant aimé que pan , le pensionnat memento gothila ou shutter island. Friande de fantastique, je ne boude jamais mon plaisir, dussé je regarder sous mon lit avant de m'endormir. EN VO c est encore plus crédible. Et l acteur de goog bye lenin parle tres bien espagnol
Que dire de ce film ? Bon déjà, je ne suis pas d'accord avec le classement dans la catégorie horreur, il n'y a ni sang, ni meutre, mais un Thriller en effet est peut être plus adapté quoique difficile à mettre dans une catégorie précise. Le scenario est relativement interessant mais c'est surtout le fond de l'histoire plutot que la forme qui est trés interessante et on la découvre à la fin du film ce que je ne dénigre pas car c'est l intrigue meme du film et la psychologie du truc est vraiment génial au niveau de l'analyse et je suis convaincu que ça puisse être une réalité. Après le parallèle des histoires des 2 enfants simultanément est pas mal mais c'est vrai qu on voit pas trop pendant une bonne partie du film où on veut en venir. Bref, cela en soit n'est pas génant. Ce qui est les moins de ce film c'est la façon dont il a été tourné ça fait vieillot et c'est trés dommage, je remarque que les réalisateur espagnol ont tous la même façon de faire leur film. franchement je n'aurai pas su le nom du réalisateur rien qu'en voyant l esthétique du film j'aurai pu vous dire que c'était latin sans probleme. En résumé, pour ceux que la psychologie interesse allez y mais pour les autres vous allez être déçu car c'est pas du thriller/horreur comme on peut s'y attendre.
D’entrée, Intruders s’annonce comme étrange, énigmatique. L’histoire met du temps à s’installer (peut-être même trop), et l’exercice de déchiffrage auquel est soumis le spectateur est par moment assez énervant. De plus, les prestations de Clive Owen et Carice Van Houten ne sont pas assez convaincantes et finalement, la lassitude est bien présente. Malgré une fin plutôt correcte et intéressante, cela ne saurait faire oublier la majeure partie du film, trop brouillonne pour être apprécier. Dommage, car l’idée était intéressante, mais le réalisateur Juan Carlos Fresnadillo rate son paris en perdant le spectateur trop rapidement.