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MaxLaMenace89
62 abonnés
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2,0
Publiée le 27 mai 2013
INTRUDERS est une déception, simple histoire de fantôme sortie hors de ses retranchements, paralysant son potentiel horrifique. Mais son twist final ramène alors à la raison comme le réveil d'un cauchemar, justifiant certains choix de mise en scène devant lesquels on reste toutefois définitivement dubitatif. Trop maladroit et tortueux pour réellement convaincre.
Dans le genre horrifique le cinéma espagnol nous a habitués à bien mieux que cette réalisation signée Juan Carlos Fresnadillo ("28 semaines plus tard"). Il y a bien une bonne idée de départ mais ce "Intruders" est décidément bien trop mou et confus pour provoquer le moindre frisson.
Un mauvais film d'horreur très ennuyeux et très ennuyant a voir avec pas mal de longueur.Ce film serait plus a mettre dans la catégorie triller que horreur,quand aux acteurs et actrices je les aient trouvés mauvais. A éviter .
Je ne sais quel note donner à ce film, mais en tout cas il a su me tenir en haleine jusqu'à la fin. L'ambiance générale du film est inquiétante et oppressante. Une ambiance de nuit à en faire crisper plus d'un qui a réveillé nos démons d'enfants. La mise en scène est donc parfaite. Reste le scénario qui a très bien démarré. On ne voyait pas trop le lien entre les 2 gosses (le mérite revient au réalisateur qui a bien réussi à nous faire croire que l'histoire du gamin se déroule à notre époque). Toutefois la fin est baclée à mon avis, on ne comprends pas trop d'où vient l'homme sans visage ni comment il disparait. Enfin toujours un excellent Clive Owen qui mériterait plus de reconnaissance à mon avis pour ses plusieurs excellentes interprétations.
Nouvel avatar du cinéma fantastico-horrifique espagnol,"Intruders" tient plus du conte avec sursauts en option que d'un véritable thriller frissonnant.Juan Carlos Fresnadillo nous a pourtant livré l'imaginatif "Intacto" et le très mouvementé "28 semaines plus tard",mais peut-être intimidé par la hausse de son budget,et la double histoire parallèle,il échoue.Pas lamentablement.Juste dans l'indifférence.1970.Un enfant espagnol imagine un monstre sans visage,à chaque fois qu'il s'endort.de nos jours,le même phénomène arrive à une ado de 12 ans vivant en Angleterre.Comment relier un même évènement de temporalité et lieu différent?Fresnadillo résoud la problématique d'un twist trop facile,préférant insister sur les peurs enfantines,résultant bien souvent des parents et de leur éducation.Le monstre en lui-même,capuchon sur la tête et à moitié obscurci n'a rien d'effrayant.Il y a trop de blabla,pas assez de rebondissements.Clive Owen fait le maximum en père de famille dépassé,mais il est trop talentueux pour un rôle si succinct.La partie espagnole est franchement faiblarde.Lorsque l'on comprend que le but était de mélanger réel et cauchemar sans distinctions,il est trop tard.
Deux histoires que l'on imagine dès le départ croisées, des cauchemars d'enfants et un film qui peine à lancer son sujet véritable (l'enjeu autour de ce croque-mitaine sans visage). Fresnadillo distille habillement la peur, maitrise parfaitement son atmosphère mais sur un air de scénario trop évasif qui a énormément de mal à se dégager de ses références (Le labyrinthe de Pan par exemple). Le cauchemar passe la barrière de la réalité et vient perturber les adultes, lançant la question centrale de l'oeuvre : qui est cet homme sans visage ? N'est-il qu'imagination ? Si le film trouve partiellement son créneau dans les détails (le conte, la recherche de visage, le mutisme, la folie supposée) il laisse aux spectateurs facilement répondre à ses questions, où en tous les cas leur permet de supposer justement les tenants et les aboutissants du scénario. Le fin mot, plus analytique restera peu exploité, la malédiction et le thème de la transmission (par le papier, la famille) pas assez fouillé et on sent bien que, même si elle est justifiée, la double histoire cherche à palier un film qui sans cela n'aurait peut être même pas dépasser une heure^^. Tout reste survolée et le film est avant toutes choses jamais convaincant. La pleine faute au scénario et à son angle d'approche : le réalisateur prouve une nouvelle fois tout ses talents et la composition musicale est intéressante. On peut apprécier cela, mais il manque quand même quelques choses pour que l'on soit vraiment convaincu.
Après "28 semaines plus tard", on attendait bien plus de Juan Carlos Fresnadillo qui signe pour son troisième long-métrage un film d'épouvante académique. Les effets de style sont maitrisés mais le cinéaste donne trop vite corps et forme à son monstre mal exploité et peu effrayant. Le scénario manque d'enjeux pour faire naitre la tension.
« Intruders » est un film fantastique qui m’a finalement laissé assez tiède devant le résultat. On n’accroche véritablement jamais à l’histoire qui, avec ces deux espaces-temps pas vraiment réussis, je veux dire qu’on met du temps à comprendre que ça se passe à deux époques différentes, nous laisse devant une intrigue emberlificotée qui ne crée pas de véritable de tension et qui fait se demander où le film nous amène. Le concept du cauchemar d’enfant qui se fait matière est intéressant, mais il met trop de temps à se révéler pour véritablement donner de la puissance à l’histoire qui s’épuise en séquences répétitives où les enfants sont poursuivis par un croque-mitaine sans visage. Après près d’une heure vingt d’attente le twist explicatif tombe finalement à plat et fait se faire la réflexion : tout ça pour en arriver là ! C’est décevant. Reste une ambiance correcte entre l’Espagne et l’Angleterre, avec un casting européen qui fait le boulot sans vraiment y croire plus que ça. Pour les fans du genre qui voudrait profiter d’une production européenne qui reste aussi balisée que les innombrables moutures américaines du même style. Pas vraiment indispensable au demeurant.
Rien de bien nouveau sous le soleil pour ce film de genre multipliant les clichés et gardant une trame hyper classique sur un thème mille fois abordé avec possession, monstre et parents se battant pour leur enfant. Le plus, le seul intérêt est la qualité des acteurs, de l'interprétation, avec les excellents Clive Owen très impliqué et la sublime et toujours impeccable Carice Van Houten. Mais le bonus vient de la présence et du rôle important de la jeune et incroyable Ella Purnell, actrice fine et subtile au visage d'ange et sans aucun doute future star de la nouvelle génération pouvant aborder tous les genres. A voir essentiellement pour Ella Purnell
Déception ! Je pensais que ce film était un film d'épouvante ou même un film d'horreur et franchement c'est à peine fantastique, plutôt un thriller fantastique pour être exacte ! Du coup ça reste correct dans l'ensemble, mais je ne m'attendais pas vraiment à ce genre de film. Le rythme est un peu lent, on peine à comprendre le sens des apparitions que vivent les enfants, à comprendre aussi l'entrelacement des scènes avec le petit garçon espagnol et la fillette anglaise et quand tout s'explique, bof ça reste assez plat. Dommage, je pense que ce film aurait pu être largement meilleur !
Mettant en scène Clive Owen dans un rôle de père de famille dépassé par les évènements surnaturels qui surviennent dans sa famille, Intruders n'évite en rien les clichés du genre et nous sert un spectacle que l'on semble déjà avoir vu de nombreuses fois. Mixant Les Intrus et Insidious, sans toutefois les atteindre, ce dernier ne parvient jamais à dégager autre chose que de l'ennui. Malgré les présences de Carice Van Houten et de Daniel Bruhl, Juan Carlos Fresnadillo concocte un film dénué d'intérêt, que même le twist final ne parviendra pas à sauver.
Fresnadillo joue habilement de son montage en alternance pour raconter deux histoires finalement très différentes (jusque dans leur langue)! Il revient aux peurs primales... La peur des contes en se posant en critique et en se demandant: "jusqu'ou un conte n'est il jamais qu'un conte?". Sa mise en scène particulièrement habile dans les episodes de nuit ne sombre jamais dans la facilité des films d'horreur "standard" et pourtant peut surprendre! Clive Owen est toujours bon dans l'exercice tandis que Daniel Brühl ne cesse de surprendre par sa maîtrise des langues!
Difficile de suivre ce film , qui apparaît dans le même univers de Trust ou de Dream House. La fin est brouillonne , du genre film d'horreur. Le film part d'un scénario qui marche assez bien pourtant : des personnages qui ne se connaissent pas , et qui sont confrontés au même problème de cauchemars. Mais voilà , dans un film , le film peut virer au cauchemar : Clive Owen continue à accepter les projets les moins convaincants. Car ce film ne prend rien en compte , il n'y a même pas de suspense , le spectateur se sent toujours autant en sécurité. On attend la chute du film , qui arrive enfin vers les 20 dernières minutes , alors que le reste est ennuyeux à en mourir
J'ai été pas été tellement emballé par ce film qui veut miser sur de l'horreur mais qui ne fait même pas frissonner. De plus, l'histoire est impropable et brouillon et le final prévisible mais totalement incohérent. C'est bien dommage car je pense que ça aurait pu être un bon film!
On suit la trame avec passion et appréhension se demandant comment ils vont s'en sortir, la gamine et le gamin sont très bon, le père aussi par contre les 2 mères sont pas terrible et la fin ou l'on sait le pourquoi du comment est tiré par les cheveux et le mal est vaincu de façon pourri et sans trop d'explications, bref c'est décevant et pas rembourser par la sécu.