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Votre avis sur Savages ?
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tony-76
Quel soulagement de retrouver un Oliver Stone cohérent. Savages pêche par une originalité finalement honnête. L'histoire est bien ficelée, mais sans réelle surprise, et on est un peu sur un air de déjà-vu dans la réalisation ... Du côté de Tarantino pour la violence et les dialogues parfois décalés, sources de francs sourires voire plus d'ailleurs parfois, et de celui d'un Michael Mann (de Heat) pour une ou deux scènes d'action assez complexes. Mais toujours en-deçà de ses modèles, tout simplement parce que, sur ces deux plans, le film ne parvient pas à innover, à surprendre, on est juste dans le " bien fait " ici ... Les performances de Benicio del Toro, et puis de celui de Salma Hayek ou encore de John Travolta, sont vraiment très justes. Cependant, les trois acteurs principaux - Taylor Kitsch (John Carter, Battleship), Aaron Johnson ( Saga Kick Ass) et Blake Lively (The Town) sont efficaces, mais ils ne portent pas le film sur leurs épaules. Leurs personnages sont si stéréotypés qu'ils sont plutôt des symboles qui semblent « représenter » des concepts. En ce sens, difficile d'apprécier la nuance dans leur jeu. La scène finale déstabilise le spectateur,
spoiler:
elle nous laisse sans voix ...
Malgré quelques longueurs, Savages est un bon film et on le recommande volontiers.
Malgré quelques longueurs, Savages est un bon film et on le recommande volontiers.
Un thriller lourd et inégal, au casting ronflant mais peu convaincant, qui campe un ensemble de personnages caricaturaux. Au niveau du scénario, peu de surprises, seulement du déjà vu… Un énième film qui combine drogue, amour, violence et argent ! Une réalisation superficielle, dénuée de toute originalité et saveur !
Un Oliver Stone en petite forme. "Savages", c'est un peu l'histoire de "Jules et Jim" mais sous amphètamine, un sujet brûlant qui s'attaque avant tout au trafic de drogue! L'approche de Stone est musclèe et s'apparente à un polar nerveux avec une tension qui ne faiblit pas grâce à son casting sexy (l'ètoile montante Aaron Taylor-Johnson). Malheureusement y a des trous dans le scènario, c'est souvent mal fichu, c'est très syncopè au niveau du filmage et les effets pyrotechniques sont inutiles! Dans les seconds rôles, John Travolta en flic ripoux est plutôt bon mais Salma Hayek en Clèopâtre frangèe est vraiment ridicule! Tout comme le jeu agaçant de Blake Lively (dès lors pourquoi resterait-on de bois devant cette bûche ? ). Sur le mode "on s'en fou un peu de ce qui raconte", "Savages" est un film ènervè et punchy où tous les mèchants sont finalement assez drôles (mention spèciale au jeu jouissif de Benicio Del Toro) avec même au passage des clins d'oeil cinèphiliques à Sergio Leone! Le spectateur doit tout de même abandonner tout esprit critique et se laisser entraîner dans une histoire totalement invraisemblable...
Savages... Un film beaucoup trop long pour ce qu'il a à montrer! Il faut quand même presque 1h tout ça pour nous présenter des vendeurs de cannabis qui se tapent la même fille qui va se faire enlever, wouw, quelle histoire, quels personnages pleins de panache!!! Qui plus est de la brutalité et du sexe inutiles...
D'ailleurs les films qui, dès qu'ils montrent un peu de violence et une ambiance "cool" sont gratifiés du "à la Tarantino" commencent à m'agacer... :/ N'est pas Tarantino qui veut, ici le film est au service de la violence, chez Tarantino la violence (qui garde quand même une certaine élégance je trouve) est au service de l'histoire, ce qui est différent tout de même! :
Enfin bref, film qui m'a prodigieusement agacée et que je ne conseillerais vraiment pas! :/
D'ailleurs les films qui, dès qu'ils montrent un peu de violence et une ambiance "cool" sont gratifiés du "à la Tarantino" commencent à m'agacer... :/ N'est pas Tarantino qui veut, ici le film est au service de la violence, chez Tarantino la violence (qui garde quand même une certaine élégance je trouve) est au service de l'histoire, ce qui est différent tout de même! :
Enfin bref, film qui m'a prodigieusement agacée et que je ne conseillerais vraiment pas! :/
Savages, dernière oeuvre en date d'Oliver Stone, est tachée de multiples défauts:
Tout d'abord, le film présente un florilège de personnages qui, pour la plupart, sont mal interprétés. Parmi les trois acteurs principaux, seule la resplendissante Blake Lively s'en tire avec les honneurs, et est clairement la bonne surprise de Savages: elle est emplie de grâce, et laisse bien transparaître ses émotions. Après Battleship, Taylor Kitsch prouve une fois de plus qu'il n'a aucun talent, n'affichant pas de manière convaincue le moindre sentiment. Aaron Taylor-Johnson est transparent, la faute aussi à son rôle pas assez travaillé en profondeur. Au niveau des personnages secondaires, on retrouve des noms bien connus: John Travolta endosse correctement son rôle, tandis que Benicio Del Toro, répugnant, délivre une fois de plus une excellente interprétation: il a la tête de l'emploi. En revanche, carton rouge à Salma Hayek qui n'a pas le moindre charisme et n'est pas crédible pour un sou. D'une manière générale, on éprouve quelques difficultés à s'attacher aux personnages et à être affecté par ce qui leur arrive.
Le scénario est peu original et sans surprise, mais reste correct néanmoins. Dernière "semi-ombre" au tableau, les musiques: de bonne facture, elles ne sont malheureusement pas toujours en accord avec les scènes auxquelles elles sont attribuées...
Savages n'a heureusement pas que des défauts, loin de là: la photographie est magnifique, les plans somptueux de bout en bout, offrant une explosion de couleurs pures et intenses. Quant à la mise en scène, elle se révèle particulièrement soignée, ce qui n'a rien d'étonnant, Oliver Stone étant aux commandes.
Ce dernier propose avec Savages un film dont au final on ne sait pas trop quoi penser: il est très imparfait, doté de nombreux défauts, mais malgré cela demeure très divertissant, fun, et on passe un agréable moment. Ce n'est donc pas le meilleur métrage de sa colossale filmographie, mais tout de même une oeuvre honnête de bien meilleure qualité que ce qu'a pu proposer le réalisateur ces dernières années.
Tout d'abord, le film présente un florilège de personnages qui, pour la plupart, sont mal interprétés. Parmi les trois acteurs principaux, seule la resplendissante Blake Lively s'en tire avec les honneurs, et est clairement la bonne surprise de Savages: elle est emplie de grâce, et laisse bien transparaître ses émotions. Après Battleship, Taylor Kitsch prouve une fois de plus qu'il n'a aucun talent, n'affichant pas de manière convaincue le moindre sentiment. Aaron Taylor-Johnson est transparent, la faute aussi à son rôle pas assez travaillé en profondeur. Au niveau des personnages secondaires, on retrouve des noms bien connus: John Travolta endosse correctement son rôle, tandis que Benicio Del Toro, répugnant, délivre une fois de plus une excellente interprétation: il a la tête de l'emploi. En revanche, carton rouge à Salma Hayek qui n'a pas le moindre charisme et n'est pas crédible pour un sou. D'une manière générale, on éprouve quelques difficultés à s'attacher aux personnages et à être affecté par ce qui leur arrive.
Le scénario est peu original et sans surprise, mais reste correct néanmoins. Dernière "semi-ombre" au tableau, les musiques: de bonne facture, elles ne sont malheureusement pas toujours en accord avec les scènes auxquelles elles sont attribuées...
Savages n'a heureusement pas que des défauts, loin de là: la photographie est magnifique, les plans somptueux de bout en bout, offrant une explosion de couleurs pures et intenses. Quant à la mise en scène, elle se révèle particulièrement soignée, ce qui n'a rien d'étonnant, Oliver Stone étant aux commandes.
Ce dernier propose avec Savages un film dont au final on ne sait pas trop quoi penser: il est très imparfait, doté de nombreux défauts, mais malgré cela demeure très divertissant, fun, et on passe un agréable moment. Ce n'est donc pas le meilleur métrage de sa colossale filmographie, mais tout de même une oeuvre honnête de bien meilleure qualité que ce qu'a pu proposer le réalisateur ces dernières années.
Caricatural et superficiel, le grand Oliver Stone n’a pas réalisé le brûlot antidrogue attendu avec un tel sujet. Il se contente d’étaler des scènes de violence gore et de sexe avec des personnages tous plus inconsistants les uns que les autres, le tout saupoudré des pires clichés américano-mexicains inhérents à ce type de films. On a hâte que cela se termine !
"Ben, botaniste bohème, Chon, ancien Navy Seal, et la belle O partagent tout" . Tout est dit , il y a la force brute et la force tranquille comme on en voit dans pas mal de film genre "Bad cop and good cop". Sauf que cette fois c'est retranscrit dans l'univers de la drogue . Malgré le faible niveau de Blake Lively , le niveau moyen des deux héros , la Bad Team de Salma Hayek et Benicio Del Toro est excellente ! Le cartel nous entraîne dans des paysages sublimes de Californie jusqu'à la frontière du Mexique . La voix off est parfois crispante mais rien de trop gênant sur les 2h10 de film . En définitif , Oliver Stone ne nous livre pas son meilleur film mais pas non plus son plus mauvais quand on le compare à "World Trade Center";"Wall Street"... Ce film ce classerait toutefois dans son top 5. Bon film , à voir mais pas dans l'urgence.
Encore mieux que le présageais la bande-annonce. Savages vous choppe et ne vous lâche pas pendant près de deux heures avec une multitude de personnages, plein de petites relations qu'entretiennent les uns avec les autres et surtout de la tension ; de la tension dans la quasi-totalité des scènes. Les acteurs sont impeccables (je me suis réconcilié avec Taylor Kitsch), les dialogues poignants, les enjeux importants et la réalisation immersive. Petit bémol sur la lenteur de certains passages et quelques scènes sont téléphonées. Un très bon film !
Mais que c'est mou, j'ai frolé l'endormissement à plusieurs reprises ... ça me rappelle le film Alexandre du même réalisateur (le pire peplum que j'ai jamais vu, tout aussi lent), du blabla tout le long du film. Tout tourne autour de la femme des 2 dealers surdoués. La narration de la femme nous berce tout le long du film, c'est pénible, endormant, soporifique, gonflant. Les acteurs manquent vraiment de dynamisme et ne semblent pas vraiment dans leurs personnages. Quand au style du film, qui semble fleurté par moment vers Quarantino, on en ai quand même très loin, laissant un gout d'inachevé, mi-figue mi-raisin.
un enième film sur la drogue, les cartels, avec la violence, le fric que celà entraîne avec une histoire d'amour et d'amitiés entre les 3 protagonistes principaux.
Je n'ai pas été convaincu
dans le genre rien n'arrive aux chevilles de scarface pour ma part
Je n'ai pas été convaincu
dans le genre rien n'arrive aux chevilles de scarface pour ma part
Après quelques biopics, documentaires et la suite décevante de son Wall Street, Oliver Stone reviens, deux ans plus tard en adaptant le roman de Don Winslow: Savages.
Ben et Chon, deux jeunes hommes à la tête d'un business en plein boom ( en même temps lorsque l'on produit le meilleur cannabis qui soit on a de quoi vivre...) et O, joué par la belle Blake Lively, forment un couple, trio pardon, où la vie est belle. La première demi heure nous place au milieu de ce triangle amoureux et nous fait part de leurs vie quotidienne agrémentée de sexe, et de drogue. Mais leur petite vie tranquille va être bouleversée lorsque Elena ( la sulfureuse Salma Hayek ), directrice d'un cartel mexicain, leur propose de s'associer. La réponse négative de Ben et Chon ne lui plaisant gère, elle décide alors d'enlever O pour les obliger à coopérer. Commence alors une guerre sans merci.
Oliver Stone s'attaque à un genre plus nouveau. Servit d'un casting des plus étonnant ( Del Toro, Johnson, Travolta ou même Uma Thurman, hélas, coupée au montage ) et d'une philosophie pour le moins étrange, Savages marque le retour d'Oliver Stone à son cinéma d'origine. Une bonne découverte de cette triste fin d'année cinématographique qu'était 2012.
Ben et Chon, deux jeunes hommes à la tête d'un business en plein boom ( en même temps lorsque l'on produit le meilleur cannabis qui soit on a de quoi vivre...) et O, joué par la belle Blake Lively, forment un couple, trio pardon, où la vie est belle. La première demi heure nous place au milieu de ce triangle amoureux et nous fait part de leurs vie quotidienne agrémentée de sexe, et de drogue. Mais leur petite vie tranquille va être bouleversée lorsque Elena ( la sulfureuse Salma Hayek ), directrice d'un cartel mexicain, leur propose de s'associer. La réponse négative de Ben et Chon ne lui plaisant gère, elle décide alors d'enlever O pour les obliger à coopérer. Commence alors une guerre sans merci.
Oliver Stone s'attaque à un genre plus nouveau. Servit d'un casting des plus étonnant ( Del Toro, Johnson, Travolta ou même Uma Thurman, hélas, coupée au montage ) et d'une philosophie pour le moins étrange, Savages marque le retour d'Oliver Stone à son cinéma d'origine. Une bonne découverte de cette triste fin d'année cinématographique qu'était 2012.
🎬 RENGER 📼
En adaptant le roman (et accessoirement best-seller) homonyme de Don Winslow, Oliver Stone s’offre un retour aux sources (enfin !), aussi jouissif et viscéral que peuvent l’être Tueurs nés (1994) & U-Turn (1997).
Le film narre l’ascension fulgurante de deux dealers de marijuana sur la côte Ouest des Etats-Unis. Botanistes et négociants hors pair, ils ont réussi à mettre sur le marché l’une des meilleures marijuanas au monde (grâce à un taux très élevé de THC). Rapidement, leur empire va faire des jaloux, notamment au Mexique ou le marché est saturé et où un cartel souhaite s’associer avec les jeunes dealers et ce, sans possibilité de refuser leur offre. A partir de là, tout ne va pas se passer comme ils l’avaient prévu (aussi bien le cartel que le tandem de dealers en herbe).
Si le scénario s’avère assez simpliste (une accession, un rapt, des menaces, une vengeance, des coups bas, etc), ce qui démarque le film, c’est la magnifique distribution (de bras cassés ?) où l’on retrouve du beau monde à savoir Aaron Taylor-Johnson & Taylor Kitsch (les dealers), la sulfureuse Blake Lively, Emile Hirsch (le hacker), John Travolta (le flic ripou), Salma Hayek (en chef de cartel) & l’étonnant Benicio Del Toro (l’homme de main pervers du cartel). Ajoutez à ça, une mise en scène soignée (avec des plans en noir & blanc et des effets clipesques très réussis) et de très beaux plans, oscillant entre la violence (craspec) et quelques scènes hot avec le triangle amoureux (entre les dealers et la petite amie so sexy !). Entre sexes, drogues, violences & manipulations, Oliver Stone signe enfin un retour aux sources très satisfaisant après plusieurs déconvenues (Alexandre - 2004, World Trade Center - 2006, W., l'improbable président - 2008 & Wall Street2 : L'Argent ne dort jamais - 2010), il était temps car on commençait sérieusement à douter de ses capacités à pouvoir revenir à ses premiers succès.
Le film narre l’ascension fulgurante de deux dealers de marijuana sur la côte Ouest des Etats-Unis. Botanistes et négociants hors pair, ils ont réussi à mettre sur le marché l’une des meilleures marijuanas au monde (grâce à un taux très élevé de THC). Rapidement, leur empire va faire des jaloux, notamment au Mexique ou le marché est saturé et où un cartel souhaite s’associer avec les jeunes dealers et ce, sans possibilité de refuser leur offre. A partir de là, tout ne va pas se passer comme ils l’avaient prévu (aussi bien le cartel que le tandem de dealers en herbe).
Si le scénario s’avère assez simpliste (une accession, un rapt, des menaces, une vengeance, des coups bas, etc), ce qui démarque le film, c’est la magnifique distribution (de bras cassés ?) où l’on retrouve du beau monde à savoir Aaron Taylor-Johnson & Taylor Kitsch (les dealers), la sulfureuse Blake Lively, Emile Hirsch (le hacker), John Travolta (le flic ripou), Salma Hayek (en chef de cartel) & l’étonnant Benicio Del Toro (l’homme de main pervers du cartel). Ajoutez à ça, une mise en scène soignée (avec des plans en noir & blanc et des effets clipesques très réussis) et de très beaux plans, oscillant entre la violence (craspec) et quelques scènes hot avec le triangle amoureux (entre les dealers et la petite amie so sexy !). Entre sexes, drogues, violences & manipulations, Oliver Stone signe enfin un retour aux sources très satisfaisant après plusieurs déconvenues (Alexandre - 2004, World Trade Center - 2006, W., l'improbable président - 2008 & Wall Street2 : L'Argent ne dort jamais - 2010), il était temps car on commençait sérieusement à douter de ses capacités à pouvoir revenir à ses premiers succès.
J'ai trouvé ça pas mal, y a de bons acteurs, en plus Aaron Johnson est vraiment très bon. La star du film c'est lui est Benicio Del Toro . Sinon dans l'ensemble c'est bien maîtrisé, on prend vraiment plaisir a suivre ce thriller. C'est violent, c'est nerveux, bref on n'a pas le temps de s'ennuyer ça c'est clair.
Savages est un thriller sulfureux, violent, et sombre rien que par son scénario très original. Oliver Stone nous sors ici un film sur des sujets qui arrive couramment dans les pays de l'ouest de l'Amérique du au trafic de drogue. Étonnant de voir Aaron Taylor dans un rôle aussi sérieux car depuis Kick Ass c'est difficile de l'imaginer sous un autre angle. Malgré qu'il sois assez prévisible, Oliver à su nous surprendre sur des points inattendus : comme la fin en double étapes... Savages est un excellent thriller et les performances d'acteurs sont de très haut niveau.
Pour inaugurer ce compte, je me dois de faire en premier lieu la critique de Savages.
Parce qu'il s'agit d'un excellent film.
Mais parce qu'il représente aussi, dans la glorieuse Histoire des Cinés Cubes, l'ajout de B.B. (pas Brigitte Bardot, le STAPS) à la Team initiale. Ah émotion, émotion, quand tu nous tiens!
Le jeune B.B. ne s'attendait d'ailleurs pas à cuber aussi vite : Savages commence sur les chapeaux de Cube, avec une scène d'ouverture torride entre la très sexy Blake Lively et le militaire de service Taylor Kitsch. Dix minutes plus tard, la jeune délurée remet déjà le couvert, cette fois avec Aaron Taylor-Johnson. Cette véritable corne d'abondance personnifiée n'en finira pas de nous surprendre tout au long du film, à l'instar du réalisateur Oliver Stone (Platoon, Wall Street, L'Enfer du Dimanche...on ne le présente plus) qui a compris comment captiver le spectateur lambda. Sexe, drogue et fusillades sont donc au rendez-vous. Concernant l'alcool, c'est dans les tribunes que ça se passe avec l'Encre de tes Yeux.
On a donc un thriller aux ingrédients classiques, mais qui se révèle convaincant par plusieurs de ses aspects :
- Le casting quatre étoiles, avec un John Travolta de plus en plus bedonnant mais toujours parfait, une Salma Hayek toxique qui excelle en baronne de la drogue, et un Benicio Del Toro une fois encore truculent. Emile Hirsch (The Girl Next Door, Into The Wild) ajoute une touche humoristique bienvenue, tandis que Blake Lively joue tout sur sa plastique, mais elle le fait bien. On attendra son apparition dans un prochain film pour juger réellement de son talent d'actrice...Paranormal Activity 15 ou Resident Evil 22 par exemple. Quant aux deux comiques troupiers qui interprètent les prétendus héros, j'ai nommé Taylor Kitsch et Aaron Taylor-Johnson, je préfère ne pas en parler par contre. Disons que pour résumer ma pensée, le premier a tout à fait sa place dans ce chef d'oeuvre du Septième Art qu'est le film John Carter (c'est ironique là hein! Je précise au cas où...).
- La photogaphie superbe : Laguna Beach et Malibu n'ont jamais été aussi bien magnifiées. Ça donne clairement envie de cuber là-bas.
- Le final haletant et très original spoiler: avec la fusillade qui donne lieu à deux issues possibles, la happy end et la sad end. J'aurais aimé que Stone ait le courage de conclure sur la sad end mais bon...
.
- La reprise de Heres Comes The Sun des Beatles par Yuna au générique de fin qui conclue en beauté. Sauvage tout du long en effet, le film se termine finalement par une touche chaude, tendre et enivrante. Légère comme les moeurs d'Ophélia, qui est finalement la véritable héroïne du film (dans les deux sens du terme ;-) ).
Bref, je me souviendrai longtemps de ce film. Ma vessie aussi, parce qu'elle n'a pas résisté à l'Encre de Tes Yeux. Heureusement que le jeune B.B. (pas Bérénice Béjo, le STAPS) était là pour nous raconter à M.B. et moi le milieu du film manqué pour cause de stage aux toilettes !
Parce qu'il s'agit d'un excellent film.
Mais parce qu'il représente aussi, dans la glorieuse Histoire des Cinés Cubes, l'ajout de B.B. (pas Brigitte Bardot, le STAPS) à la Team initiale. Ah émotion, émotion, quand tu nous tiens!
Le jeune B.B. ne s'attendait d'ailleurs pas à cuber aussi vite : Savages commence sur les chapeaux de Cube, avec une scène d'ouverture torride entre la très sexy Blake Lively et le militaire de service Taylor Kitsch. Dix minutes plus tard, la jeune délurée remet déjà le couvert, cette fois avec Aaron Taylor-Johnson. Cette véritable corne d'abondance personnifiée n'en finira pas de nous surprendre tout au long du film, à l'instar du réalisateur Oliver Stone (Platoon, Wall Street, L'Enfer du Dimanche...on ne le présente plus) qui a compris comment captiver le spectateur lambda. Sexe, drogue et fusillades sont donc au rendez-vous. Concernant l'alcool, c'est dans les tribunes que ça se passe avec l'Encre de tes Yeux.
On a donc un thriller aux ingrédients classiques, mais qui se révèle convaincant par plusieurs de ses aspects :
- Le casting quatre étoiles, avec un John Travolta de plus en plus bedonnant mais toujours parfait, une Salma Hayek toxique qui excelle en baronne de la drogue, et un Benicio Del Toro une fois encore truculent. Emile Hirsch (The Girl Next Door, Into The Wild) ajoute une touche humoristique bienvenue, tandis que Blake Lively joue tout sur sa plastique, mais elle le fait bien. On attendra son apparition dans un prochain film pour juger réellement de son talent d'actrice...Paranormal Activity 15 ou Resident Evil 22 par exemple. Quant aux deux comiques troupiers qui interprètent les prétendus héros, j'ai nommé Taylor Kitsch et Aaron Taylor-Johnson, je préfère ne pas en parler par contre. Disons que pour résumer ma pensée, le premier a tout à fait sa place dans ce chef d'oeuvre du Septième Art qu'est le film John Carter (c'est ironique là hein! Je précise au cas où...).
- La photogaphie superbe : Laguna Beach et Malibu n'ont jamais été aussi bien magnifiées. Ça donne clairement envie de cuber là-bas.
- Le final haletant et très original spoiler: avec la fusillade qui donne lieu à deux issues possibles, la happy end et la sad end. J'aurais aimé que Stone ait le courage de conclure sur la sad end mais bon...
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- La reprise de Heres Comes The Sun des Beatles par Yuna au générique de fin qui conclue en beauté. Sauvage tout du long en effet, le film se termine finalement par une touche chaude, tendre et enivrante. Légère comme les moeurs d'Ophélia, qui est finalement la véritable héroïne du film (dans les deux sens du terme ;-) ).
Bref, je me souviendrai longtemps de ce film. Ma vessie aussi, parce qu'elle n'a pas résisté à l'Encre de Tes Yeux. Heureusement que le jeune B.B. (pas Bérénice Béjo, le STAPS) était là pour nous raconter à M.B. et moi le milieu du film manqué pour cause de stage aux toilettes !
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