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Un thriller nerveux qui tient bien la route, tant du niveau de la mise en scène que du scénario, quasi sans fausses notes, si ce n'est dans son dénouement dont on aurait pu se passer et qui rallonge inutilement le film. Pas original pour un sou mais franchement efficace et plaisant.
Déjà, rien que son titre fait peur. Et couplé à son affiche, il nous indique que "Savages" ne sera pas un film de poêtes. C'est bien ça et effectivement certaines scènes sont glauques. Mais dans l'ensemble voilà une histoire finalement assez classique de luttes de gangs sur fond de commerce de drogue. Classique, oui, mais avec un scénario pas si primaire que ça et qui multiplie de manière assez maligne les rebondissements au fur et à mesure de son avancement. J'ai aussi trouvé assez original qu'Oliver Stone s'entoure d'acteurs pas forcément connus pour incarner le trio principal dans ce qui pourrait être une version spéciale de "Jules et Jim". Autour d'eux, Benicio Del Toro semble s'être fait un joli plaisir en interprétant une sorte de demeuré violent et John Travolta joue son éternel rôle de semi-looser. Moins basique qu'il n'y paraît au premier abord, ce polar musclé sous le soleil des tropiques (ou presque) est finalement une assez bonne came.
Ah, enfin, le grand Oliver Stone revient aux affaires avec un film "punchy" comme il savait si bien les faire. Certes, l'homme s'est un peu assagi dans sa critique de l'Amérique et dans la violence de ses propos, mais il nous offre tout de même un beau reflet de cette nouvelle jeunesse et de leur nouveau rêve américain au travers de ce trio amoureux. L'homme n'a pas perdu non plus son sens de la mise en scène ; ici, elle est extrêmement brillante et pleine d'inventivité. Il s'est aussi offert un somptueux casting, même si les petits jeunes ont dû mal à tenir la dragée hautes à des cadors tels que Del Toro (complètement hallucinant) ou Travolta. J'ai été tout de même bluffé par la performance de Aaron Johnson, qui est métamorphosé comparé à son rôle dans Kick-Ass. L'histoire, elle, n'est pas des plus originale mais tient bien la route ; sur 2h10 de métrage, on a pas le temps de s'ennuyer. En gros, avec ce Savage, Oliver Stone est bel et bien de retour, profitez-en parce qu'il faudrait pas qu'il nous fasse une rechute.
Une apologie du wokisme avant l'heure à travers un trouple malsain, une apologie de l'usage de drogues, des scènes d'action mal montées... Il n'y a pas grand chose pour rattraper ce film. Poubelle.
On retrouve le côté absurde d'Olivier Stone, et toujours un casting allechante.
Des décors paradisiaque, le soleil, les femmes, l'argent d'un côté. Le cartel, la drogue, kidnapping, meurtre de l'autre. Ceci dit la tension n'est pas toujours au rendez-vous, et ce finale qui change finalement pour le pire et le meilleur est un peu ridicule, le scénario est pas plus originale que d'autre film ou série du genre, même si c'est bien monté. La violence est trop douce . On reste sur une interprétation réjouissante de Benicio Del Toro qui s'en donne à cœur. Encore plus quand il est fasse à un Jhon Travolta qui s'amuse aussi. C'est pas le meilleur du cinéaste, mais ça passe bien.
Des décors paradisiaque, le soleil, les femmes, l'argent d'un côté. Le cartel, la drogue, kidnapping, meurtre de l'autre. Ceci dit la tension n'est pas toujours au rendez-vous, et ce finale qui change finalement pour le pire et le meilleur est un peu ridicule, le scénario est pas plus originale que d'autre film ou série du genre, même si c'est bien monté. La violence est trop douce . On reste sur une interprétation réjouissante de Benicio Del Toro qui s'en donne à cœur. Encore plus quand il est fasse à un Jhon Travolta qui s'amuse aussi. C'est pas le meilleur du cinéaste, mais ça passe bien.
Drogue, sexe, violence entre Mexique et Californie... On pourrait croire qu'Oliver Stone cède ici au voyeurisme qui rapporte des spectateurs et de l'argent facilement, mais l'histoire est tout de même particulièrrement bien ficelée et on y croit. En ce sens, le côté sanguinaire n'est pas gratuit, et Benicio del Toro mène le bal en bourreau sadique, tandis que la drogue ou le fric entrainent péripéties et rebondissements. C'est vrai qu'on sent un genre à la Tarantino, mais ce n'est pas pour déplaire tant les dialogues adoptent une tonalité résolument cyniques et teintés d'humour noir. Il y a également un côté western spaghetti à la fin... D'ailleurs Oliver Stone aurait dû se résoudre à la première fin, car la seconde déçoit... et complique davantage un scénario déjà assez difficile à suivre. Après le côté Jules et Jim, ou la nana qui se tape ses deux amants (parfois en même temps), pas sûr que ce soit très romantique ou que ça donne envie de s'attacher aux héros. Mais quoique loin d'être parfait, ce film reste assez divertissant, on ne s'ennuie pas.
Très bon film, à voir. Le seul bémol, je n'ai pas trouvé crédible le rôle de la narco trafiquante du cartel, Salma Hayek-Pinault, sans doute car c'est la première fois que je la vois jouer ce rôle. Le choix des acteurs bien connu comme John Travolta, Emile Hirsch, Taylor Kitsch, Aaron Taylor-Johnson, Blake Lively & Benicio Del Toro qui joue l'un des bras droit de la chef du cartel, son rôle est beaucoup plus crédible, sans doute encore parce que je l'ai vu joué des rôles similaires dans d'autres films. On ne voit pas passer les 2h. C'est rondement bien mené. Les "deux jeunes" ont plus d'un tour dans leur sac. Leur trio est sommes toute une idylle parfaite. Dans les affaires comme sous les draps.
Oubliée la petite Serena de gossip girl, Blake lively n'est plus aussi sage! Depuis "kick ass" Aaron Taylor Johnson démontre ses bons talents d'acteurs! Oliver stone revient avec un bon thriller dans le milieu de la drogue, bon scénario, bons choix d'acteurs et bonne intrigue!
Oliver Stone renoue enfin avec son savoir-faire qu'on lui a connu au début des années 90, à savoir un côté déjanté assumé et des personnages aussi fous qu'attachants, bien que légèrement caricaturaux...
La réalisation est rythmée, et les 2 heures de film passent relativement vite.
En espérant que le papa de Tueurs-nés continue sur cette lancée pour ses prochains bébés...
La réalisation est rythmée, et les 2 heures de film passent relativement vite.
En espérant que le papa de Tueurs-nés continue sur cette lancée pour ses prochains bébés...
Fumer, c'est mal. Même si le concept de récolter l'argent de la vente de cannabis pour aider le tiers-monde et aider à ne plus souffrir les malades est une excellente idée, la trame principale reste relativement habituelle mais avec des acteurs convaincants bien que vieillissants.
Quelques longueurs subsistent mais le final s'avère efficace avec une fin alternative. L'une des 2 est prévisible toutefois le film se regarde tranquillement.
Quelques longueurs subsistent mais le final s'avère efficace avec une fin alternative. L'une des 2 est prévisible toutefois le film se regarde tranquillement.
Grosse déception pour ce film, dont la bande annonce très menteuse donne un mauvais aperçu. On se demande vraiment ce qu'Oliver Stone est venu faire là dedans. Dialogues ridicules, histoire ultra classique...
C'est navrant de voir un film aussi nul de la part d'un grand réalisateur surtout si il se met en dessous d'un certain Tarantino car copiant son style sans jamais l'égalé. Le scénario est nul dés le départ et le reste, c'est un prétexte pour faire de la violence mais qui plus est mal réalisé alors que retenir ? Rien, même pas Del Toro mal inspiré pour le coup.
Malgré certaines longueurs, Oliver Stone nous entraine de manière sauvage dans cet univers à la fois immoral et psychédélique. Tantôt caméra à l'épaule ou par le biais d'un montage au couteaux, Il retranscrit les états d'esprits des personnages principaux. Doté d'un casting de rêve chaque personnage tente de marquer de son empreinte ce film et chacun d'entres eux semblent liés dans leurs faiblesses. De grande classe, ce film est percutant, dynamique, sexy et le trio a un certain charme. C'est peut être moins profond qu'un Soderbergh et ça atteint malgré tout son but. Une bonne surprise de ce second semestre.
L'esprit du film s'apparente assez à une sorte de remake de "Traffic" à la sauce Tony Scott. Dans le style, Oliver Stone rend une sorte d'hommage au frère de Ridley Scott avec un film d'action sur fond de guerre des cartels avec une réalisation et un montage très dynamique et très peu de finesse. C'est plutôt sympa et meilleur que la bande annonce le laissait supposer, même si le tout reste très caricatural. Mais "Savages" a au moins le mérite de permettre à oliver Stone de se refaire la main après plusieurs films décevants.
Un poil trop long, ce mélange détonnant arrive quand même à nous surprendre. Mention spéciale à Benicio Del Toro en grande forme.
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