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Votre avis sur Serena ?
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La caméra est bien maniée, mais il manque quelque chose pour se laisser embarquer par ce film : le fond. En partant sur des personnages peu charismatiques par leurs actes , en se reposant sur un scénario trop léger, il est difficile de donner l'intensité espérée. Pour aimer un film, il faut aimer ses personnages, ici, on n'y arrive pas. Quitte à les rendre diaboliques à souhait, -pour autant qu'on aime ce style cinématographique-, rendons-les diaboliques ! Mais ne restons pas à mi-chemin. Comme Anthony Hopkins sait si bien le faire, ou Yves Montand et Daniel Auteuil à leur façon dans "Manon des Sources", au point de les trouver captivants, disons-le : "attachants", alors qu'ils ont le mauvais rôle, tant l'acteur est exceptionnel, tant sa posture devient réelle alors qu'elle n'est que virtuelle.
Peut-être la trame de "Serena" n'est-elle pas assez tissée au départ pour comprendre la genèse de cette femme qui verse dans la folie, elle se dessine trop tard et ne gagne en véritable intensité qu'en fin de course quand les meurtres s'enchaînent et qu'il faut sauver l'enfant. Seule note positive du scénario.. Plus anecdotique : fallait-il faire mourir le puma ?... En le laissant vivre, notre héros aurait démontré que le crime ne paie pas.... Une thématique possible de ce film. ?
Peut-être la trame de "Serena" n'est-elle pas assez tissée au départ pour comprendre la genèse de cette femme qui verse dans la folie, elle se dessine trop tard et ne gagne en véritable intensité qu'en fin de course quand les meurtres s'enchaînent et qu'il faut sauver l'enfant. Seule note positive du scénario.. Plus anecdotique : fallait-il faire mourir le puma ?... En le laissant vivre, notre héros aurait démontré que le crime ne paie pas.... Une thématique possible de ce film. ?
Publiée le 15 novembre 2014 ( par Michel Crotti )
Ce film a le mérite de nous assurer que Serena Pembertom (Jennifer Lawrence) sait très bien monter à cheval... désolé.... Vous la connaissez bien : vue dans les épisodes "Hunger Games" ou encore "Happiness Therapy" !!! C'est une habituée maintenant de travailler avec Bradley Cooper.. Si je dis tout cela, c'est parce qu'on s'ennuie farouchement dans ce pseudo western... Enfin il ne se passe rien - ah si on coupe beaucoup d'arbres, Serena est jalouse en fait de la femme qui a donné un fils à son homme (même si c'était avant) alors qu'elle dit d'entrée le contraire.... Bref plein d''autres films proposés cette semaine !! **
Ce film a le mérite de nous assurer que Serena Pembertom (Jennifer Lawrence) sait très bien monter à cheval... désolé.... Vous la connaissez bien : vue dans les épisodes "Hunger Games" ou encore "Happiness Therapy" !!! C'est une habituée maintenant de travailler avec Bradley Cooper.. Si je dis tout cela, c'est parce qu'on s'ennuie farouchement dans ce pseudo western... Enfin il ne se passe rien - ah si on coupe beaucoup d'arbres, Serena est jalouse en fait de la femme qui a donné un fils à son homme (même si c'était avant) alors qu'elle dit d'entrée le contraire.... Bref plein d''autres films proposés cette semaine !! **
Une jolie histoire, mais un ratage complet. Et le pompon revient à Jennifer Laurence, qui en fait tue le film avec son inexpressivité.... Eh bien....Il aurait mieux valu mettre "une" Nicole Kidman à sa place, le film aurait été tout autre....Je n'ai jamais compris l'engouement pour Jennifer Laurence, aussi charismatique qu'une huître, et qui a définitivement une seule et unique expression, celle de faire la gueule....
Passion morbide et folie finale. Trop capillotracté (meurtres faciles et impunis), très prévisible avec un montage parfois incohérent (l'adieu au fils et la chasse finale). De plus le visage de poupée plastique de Jennifer Lawrence me met déjà mal a l'aise sans qu'elle ait besoin de surjouer la folie. Loupé.
Le film vaut ses trois points pour la plus grande partie du film mais seulement deux pour son dénouement. En effet, l'histoire nous intéresse et le cadre forestier est un environnement magnifique. Ensuite, l'histoire d'amour est pas mal amenée sans qu'on passe par tous les stades de la conquête amoureuse. Le personnage féminin manque peut-être un peu de crédibilité dans cet environnement de bûcherons, mais on s'y fait. Par contre, le spectateur décroche quand on commence à entrevoir le dénouement dramatique et là, c'est de plus en plus mélodramatique et ridicule. Bref, un film qui finit par décevoir alors qu'il était bien parti.
Pas facile de diriger une sociètè d'exploitation forestière en plein crack boursier même si elle apporte le progrès et l'emploi en amèliorant les conditions de vie! Et quand on craque pour la lumineuse et fondante Jennifer Lawrence, la situation ne fait que se compliquer pour Bradley Cooper! Ce dernier a ramenè sur ses terres une femme mais aussi une associèe qui reste fière et dèvouèe en montant les chevaux et en apprivoisant les aigles malgrè ce que les gens peuvent dire d'elle! Mais la folie n'est jamais loin de l'amour [...] Un couple glamour et tragique qui tient la route, une reconstitution fidèle de la crise èconomique, des paysages magnifiques pour un mèlo hollywoodien sombre au rythme lent qui colle plutôt bien au roman de Rash! En pisteur mystèrieux, Rhys Ifans mèritait mieux, mais bon!
spoiler:
Sur la dernière demie heure, tout de même, on est surpris voire touchè par la tournure des èvènements...
Nul, complètement éclaté. Je prends plus de plaisir en regardant un téléfilm de l'après midi sur la TNT. Rien n'est crédible, tout est prévisible et grossis, c'est lent, plat, les enjeux sont bidons, il n'y aucune ambition de mise en scène, le duo Bradley Cooper/Jennifer Lawrence est insupportable, eux qui sont pourtant des acteurs d'habitude agréable. Bref j'aurais pu encore et encore élargir cette liste de défauts. Il n'y a aucun intérêt dans ce film. Ah si les décors. Mais c'est bon le film est sauvé!!!! Nan sérieusement c'est une perte de temps, même les téléfilm pourris de TF1 sont plus intéressants.
Bah disdonc cooper et lwrence ? Couper du bois et exploiter achéter des forets qui t'appartienne pas, et les animaux ? Pour bouffer ? La vieille histoire relationnel du sexe et des sousous.. le mec au depart bosse a coté et ouf on le voit plus... C'est vrai que le vehicule a apporté bcp... Aller vite pour faire trois kms... D'autant que les changements d'espace vitaux foret champs ville crée les nids a epidemies... On comprend pas il veut chasser une bete lui sauve une possible attaque sur train et c lui ?? Les faceties et les manques cerebraux des riches.... Peut etre du a la consanguinité ? Et le sherif ??? Un cherif frere de mimi mathy et ma grand mere est general des usa aussi ?
Trop naze
Juste de beaux paysages
Heureusement que je n ai pas été le voir au cinéma
Acteurs pas dans le jeu de rôles
Très décevant
Juste de beaux paysages
Heureusement que je n ai pas été le voir au cinéma
Acteurs pas dans le jeu de rôles
Très décevant
Ambiance bien ficelée mais qui manque de profondeur
3 personnes dans un village 😶
Intrigue existante mais non élaborée qui rend les personnages principaux intéressant mais on ne comprend pas d’où ils viennent vraiment à quoi ils aspirent du coup ni leur l’évolution
Dommage car il y avait matière à faire et c’est très bien joué
3 personnes dans un village 😶
Intrigue existante mais non élaborée qui rend les personnages principaux intéressant mais on ne comprend pas d’où ils viennent vraiment à quoi ils aspirent du coup ni leur l’évolution
Dommage car il y avait matière à faire et c’est très bien joué
Bien pour passer 2h en temps de confinement...
Malgre un beau casting, c'est plat, simple et on ne rentre jamais vraiment dans ce film. Tout est prévisible mais on a quand même du mal à y croire tant le jeu d'acteur est mauvais.
Quant à la fin, cest grotesque.
Digne d'un téléfilm.
Malgre un beau casting, c'est plat, simple et on ne rentre jamais vraiment dans ce film. Tout est prévisible mais on a quand même du mal à y croire tant le jeu d'acteur est mauvais.
Quant à la fin, cest grotesque.
Digne d'un téléfilm.
Un échec. Ce film est glauque et vous fera perdre votre temps.
Dommage le jeu des acteurs est bien sur bon, jolie photo, mais problème de scénario.
Dommage le jeu des acteurs est bien sur bon, jolie photo, mais problème de scénario.
Liam Debruel
Les personnes qui ont découvert le cinéma de Bier avec « Bird Box » auront pu constater sa manière de filmer les doutes de protagonistes poussés au bout de leurs retranchements dans une situation qui les dépasse. C’est également le cas sur ce « Serena », romance qui est passée inaperçue suite à plusieurs montages ne donnant apparemment guère satisfaction aux distributeurs. Il faut en effet reconnaître au film un ton lent qui se laisse peu à peu aspirer par son aspect sulfureux, renvoyant à une folie sourde ambiante qui va détruire petit à petit les aspirations de ses protagonistes.
Avec ce ton en tête, il est intéressant de voir comment le charismatique couple Bradley Cooper-Jennifer Lawrence est utilisé. Comme dans « Happiness Therapy », l’imperfection de chacun est ainsi mise en avant en cassant leur imagerie glamour. Mais là où le film de David O. Russell gardait un ton lumineux pour dépeindre comment deux personnes ostracisées se soignent l’une l’autre, c’est ici l’aspect destructeur qui est mis en avant. On pense ainsi à Macbeth dans la manière dont Serena influe sur son mari en plein doute alors qu’ils traversent des difficultés de plus en plus insurmontables. La prestation de Jennifer Lawrence, toute en folie progressivement extériorisée, est à souligner tant elle permet de conférer à son personnage une nature dangereuse à l’opposé de la réaction à l’extériorité d’un « Mother ! », auquel on peut repenser dans la direction de l’actrice.
La caméra de Susanne Bier transforme le drame intime en véritable épopée jouant de sa stabilité géographique pour en rajouter dans son ton pesant. Elle parvient également à transformer le chasseur Galloway en véritable menace, aidée par la prestation remarquable d’un Rhys Ifans à la violence incandescente. La sauvagerie du récit se fait ainsi progressive, avançant discrètement pour mieux désarçonner le spectateur qui ne peut que contempler la déchéance d’un couple soumis aux remords et aux échecs de ses ambitions. On peut même théoriser à souhait sur l’animosité de l’être humain et sa manière de se diriger vers l’autodestruction de façon volontaire, comme pour mieux chercher à risquer tout pour asseoir sa supériorité.
Au final, Serena s’avère un drame brûlant où la romance d’apparence sert de diversion à la chute mentale de personnages poussés à bout aussi bien par la société que par eux-mêmes. De quoi réévaluer une œuvre aux quelques fulgurances visuelles et à la folie intériorisée prête à s’enflammer à tout moment.
Avec ce ton en tête, il est intéressant de voir comment le charismatique couple Bradley Cooper-Jennifer Lawrence est utilisé. Comme dans « Happiness Therapy », l’imperfection de chacun est ainsi mise en avant en cassant leur imagerie glamour. Mais là où le film de David O. Russell gardait un ton lumineux pour dépeindre comment deux personnes ostracisées se soignent l’une l’autre, c’est ici l’aspect destructeur qui est mis en avant. On pense ainsi à Macbeth dans la manière dont Serena influe sur son mari en plein doute alors qu’ils traversent des difficultés de plus en plus insurmontables. La prestation de Jennifer Lawrence, toute en folie progressivement extériorisée, est à souligner tant elle permet de conférer à son personnage une nature dangereuse à l’opposé de la réaction à l’extériorité d’un « Mother ! », auquel on peut repenser dans la direction de l’actrice.
La caméra de Susanne Bier transforme le drame intime en véritable épopée jouant de sa stabilité géographique pour en rajouter dans son ton pesant. Elle parvient également à transformer le chasseur Galloway en véritable menace, aidée par la prestation remarquable d’un Rhys Ifans à la violence incandescente. La sauvagerie du récit se fait ainsi progressive, avançant discrètement pour mieux désarçonner le spectateur qui ne peut que contempler la déchéance d’un couple soumis aux remords et aux échecs de ses ambitions. On peut même théoriser à souhait sur l’animosité de l’être humain et sa manière de se diriger vers l’autodestruction de façon volontaire, comme pour mieux chercher à risquer tout pour asseoir sa supériorité.
Au final, Serena s’avère un drame brûlant où la romance d’apparence sert de diversion à la chute mentale de personnages poussés à bout aussi bien par la société que par eux-mêmes. De quoi réévaluer une œuvre aux quelques fulgurances visuelles et à la folie intériorisée prête à s’enflammer à tout moment.
Très décevant. Il manque une âme et des émotions à ce film alors qu'il y avait une vraie histoire intéressante à mettre en valeur. Les deux têtes d'affiche ne relèvent pas le film.
Confus dans son ensemble, Serena n'aura pas la palme de la meilleure réalisation de l'année. Surjoué. Dommage, il y avait de la place.
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