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Sylvie Marie
1 critique
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0,5
Publiée le 20 novembre 2024
Un massacre ! Un film sur la tuerie animale par des humains cruels et assoiffés de pouvoir.... Attention âme sensible à la protection animale s'abstenir !! Surtout pas un film familial (comme indiqué sur le DVD)... J'en ressors triste et désespérée de la cruauté, la lâcheté humaine envers le monde animal !
Film ennuyant, bien que l'équipe, acteurs et techniciens, aient fait du très bon travail. À destination, sans doute, d'un marché chinois qui ne doit pas être bousculé, Jean-Jacques Annaud livre un récit sans profondeur. La superficialité du propos est matérialisé par des loups presque surnaturels, utilisés afin de remplir un peu le vide. À l'image de la scène des loup-ninjas, qui montent les murs et s'enfuient en empilant dans les cadavres. Conte aseptisé, l'ennui arrive très vite, car le seul point de narration et d'enjeu est la relation entre le loup et son maître.
Tristesse et colère durant tout le film. Âmes sensibles s'abstenir. spoiler: Je n'ai par contre, aucune compassion envers la femme qui pleure pour son fils mordu (il survit,) parcequ 'elle a tuée un louveteau volontairement. Elle tue un louveteau, le loup aurait pu rétablir l'équilibre en tuant sont fils.
Les animaux sauvages sont tués alors que les humains ont le droit de proliférer. :(
dans les plaines de Mongolie, les chinois de la ville veulent changer la chaîne alimentaire et tuer les loups qui sévissent....les anciens mongols connaissent le respect des loups qui tuent pour se nourrir... mais en affamant les loups,ces derniers vont se rapprocher des villages....un chinois va vouloir sauver un louveteau..... très beau film avec de magnifiques paysages. on y découvre la vie des mongols dans les steppes....
Une maitrise des éléments qui donne un cinema époustouflant. Le nombre d’animaux mis en avant est impressionnant (les loups mais aussi les chevaux, les gazelles, les chiens, les oiseaux,…). La patience requise pour avoir les plans idéaux est bluffante. La météo est également au cœur du débat : la neige et le vent sont dirigés d’une main de maître. Le pas du loup est vraiment un film avec de belles images ; au dépend du scénario et de l’acting qui ne sont pas à la hauteur des animaux.
Rien ne va dans ce film ... Très loin des prises de vues de loups sauvages auxquelles je m'attendais, vous verrez des loups assommés, explosés, emmurés, affamés ... À tel point que l'on se demandait quelle surenchère ils allaient nous sortir, des loups brûlés ! Les jeux d'acteurs ne sont pas exceptionnels, les choix des personnages totalement incompréhensibles.
Mouais couci couca... j'avoue que je me suis un peu ennuyé devant ce film car à part les loups qui sont vraiment sublimes, le reste est un peu poussif... les personnages ne sont pas attachants, l'histoire patine un peu et en plus j'ai été choqué par les sacrifices des louveteaux à Tengri & je dois dire que je m'attendais à un film plus porté sur le respect de la nature & des animaux mais non... tant pis !
un très bon film émouvant et digne de l'amour de Mr Annaud pour les animaux. une retranscription fascinante de cette époque sombre toujours d'actualité
Tout système qui ne place pas Notre Terre-Mère en son centre ne peut qu'apporter des déséquilibres est un thème cher à Jean-Jacques Annaud, qui a été engagé pour réaliser cette adaptation du roman semi-autobiographique de Lü Jiamin grâce à son expérience et son savoir-faire dans le domaine de films rendant hommage à la Nature en général, et plus particulièrement en travaillant avec la faune.
Annaud filme la beauté époustouflante des steppes de Mongolie avec un amour qui transparaît dans chacun de ses plans larges.
Le personnage principal est un jeune étudiant de Pékin qui se retrouve envoyé en Mongolie intérieure rurale en 1967, au plus fort de la Révolution culturelle chinoise, pour enseigner dans des zones rurales qui n’ont pas encore accès à l’instruction publique.
Chen Zhen est submergé par la beauté et la sagesse des indigènes, qui vivent en harmonie avec leur environnement. Ils sont confrontés à la mentalité étroite de paysans venus façonner leur environnement au lieu de vivre en harmonie avec lui, oubliant ainsi de respecter l'équilibre naturel qui Nous donne la Vie.
Comme d’habitude, JJ Annaud démontre son savoir faire en matière de prise de vues (photo magnifique), d’ambiance, c’est indéniable. Cette histoire des derniers loups de la steppe mongole que le pouvoir de Mao voulait éradiquer, est également intéressante. Mais le film a des défauts : beaucoup de scènes répétitives, trop long et histoire humaine trop survolée, surtout par rapport au roman éponyme. Dans le genre animalier, j’avais nettement préféré « L’ours » ou encore « Les deux frères ». A voir mais une seule fois.
Je n'aurais pas imaginé qu'un film puisse suivre au pied à la lettre le roman en partie autobiographique de jiang Rong : " Le Totem du loup " Les stratégies des loups pour se nourrir dans le film sont romancées de la même façon que dans le roman de J. Rong. Bravo à J. J. Annaud. Si les images sont terribles elles sont pourtant témoins de la vie passée et de la culture des Mongols. Et comme tout peuple vivant au plus près de la nature, leur sagesse rejoint les principes du maintien des écosystèmes. Voir la vie semi sauvage au plus près de sa réalité peut heurter des âmes sensibles .. Il vaut mieux dans ce cas là s'abstenir de voir ce film. Sinon au delà de la romance, ce film nous renvoie à la beauté et la dureté de la nature.
LE DERNIER LOUP (2015): 1969, Chen-Zen, un jeune étudiant chinois, sera envoyé par le gouvernement dans les campagnes de Mongolie pour enseigner à une tribu de bergers nomades. La passion des études va le mener à s'intéresser aux loups. Un film réalisé à partir d'un best-seller chinois racontant l'histoire authentique du jeune Chen-Zen. Comment ne pas s'attendrir devant cette petite bouille de louveteau, comment ne pas être fasciné par la beauté de tous ces loups. Des images à couper le souffle, une mouvance devinant une grande souplesse, des babines relevées faisant découvrir des mâchoires d'acier aux crocs pointus. Surtout, abstenez-vous de piller leur garde-manger, sinon… leur vengeance sera terrible. Le réalisateur Jean-Jacques Annaud nous fera revivre la dure réalité de cette vie de berger à l'intérieur de ces steppes sans fin. Une époque où les loups de Mongolie faisaient parti intégrante de cette nature sauvage. Des animaux dangereux, ils observent, ils attendent, puis passent à l'attaque comme de vrais bandits. Surement l'un de mes films préféré de ce metteur en scène. Il réussira à me surprendre par cette capacité de filmer la beauté des steppes de Mongolie, à m'émouvoir par toutes ces attitudes animalières, à m'impressionner par des scènes d'actions très intenses, à me passionner à une réalité crée par de simples jeux d'acteurs. Une image d'ouverture avec l'ombre d'un loup à l'intérieur d'un soleil levant, et une image de fin très symbolique sur l'extinction de cette race. Tout cela magnifié par une superbe musique de James Horner. Complètement tourné en extérieur, ce défi ahurissant est hautement relevé, mes respects Monsieur Jean-Jacques Annaud. Un film à voir et à revoir. Une magnifique aventure.
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1,0
Publiée le 6 novembre 2020
Je suis un amoureux de loups et pour cette seule raison je ne pouvais pas supporter de regarder plus de ces louveteaux assassinés. Bien sûr au début la réalisation était très bonne et le jeu des acteurs était au mieux moyen. Je pourrais facilement imaginer l'avidité de l'humanité qui est une donnée plus encore à notre époque mais toujours valable. Regarder les humains voler la nourriture même des loups après avoir travaillé si dur pour l'obtenir pour leurs petits seulement pour voir les humains et leur inhumanité au travail assassiner les petits mêmes si la nourriture volée était censée les nourrir. Vers le début l'un des principaux acteurs lit un livre sur la façon dont il vaut mieux être mort que de manquer de liberté il dit puis il va attraper un loup. Encore une fois je ne pouvais pas supporter de regarder l'inhumanité constante de l'homme envers les autres créatures vivantes. C'est la raison principale pour laquelle j'ai donné ce Le Dernier Loup un score aussi bas...