AlloCiné
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Votre avis sur Tamara Drewe ?
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Peut être pas le meilleur du réal britannique (quoi que...), mais quel bonheur de suivre cette dramédie douce-amer. Peu nombreux sont ceux capable de flirter avec grâce, légèreté et le juste équilibre entre satire sociale et comédie de mœurs, classicisme et culture pop, tendresse et cruauté, mélancolie et frivolité, etc. Bref, peut être pas un chef d'oeuvre mais vraiment un très bon film dont, si l'avant dernière scène est à mon sens superflue, la dernière scène, elle, vous restera en mémoire.
Une comédie britannique particulièrement décevante. L’histoire est molle, inintéressante et niaise, les personnages n’ont aucun charisme, et le plus grave est que l’on ne rit pas un seul instant, l’humour est quasiment inexistant.
gimliamideselfes
Bon ce film je voulais le voir depuis sa sortie et à sa veille de stopation de diffusion (tu as un problème avec mes néologisme ? plains toi à mon avocat).
Alors le film est vraiment sympathique, il y a une fraîcheur derrière ce beau bordel qui est assez revigorante.
Et puis ça fait plaisir de que Gemma Arterton a enfin trouvé un bon film dans lequel jouer (ben ouais c'est pas avec les daubes sans nom (que je ne citerai pas vu qu'elles n'ont pas de nom) qu'elle va se faire un nom). Bref elle prouve qu'elle sait jouer, qu'elle n'a pas que son physique très avantageux pour elle.
Ensuite l'histoire est drôlement sympathique, personne n'est beau, tout le monde a ses fantômes, ses manies, ses caprices, ses moments de méchancetés, de désirs… Des être humains en somme et c'est ces personnages là qui font que le film marche (ça et la mise en scène, très bien, qui colle parfaitement à l'ambiance).
J'en redemande.
Alors le film est vraiment sympathique, il y a une fraîcheur derrière ce beau bordel qui est assez revigorante.
Et puis ça fait plaisir de que Gemma Arterton a enfin trouvé un bon film dans lequel jouer (ben ouais c'est pas avec les daubes sans nom (que je ne citerai pas vu qu'elles n'ont pas de nom) qu'elle va se faire un nom). Bref elle prouve qu'elle sait jouer, qu'elle n'a pas que son physique très avantageux pour elle.
Ensuite l'histoire est drôlement sympathique, personne n'est beau, tout le monde a ses fantômes, ses manies, ses caprices, ses moments de méchancetés, de désirs… Des être humains en somme et c'est ces personnages là qui font que le film marche (ça et la mise en scène, très bien, qui colle parfaitement à l'ambiance).
J'en redemande.
Tamara Drew de Stephen Frears est un petit film très sympathique typiquement british. J'ai apprécié et ne me suis pas ennuyé mais par rapport à tout ce que j'en avais entendu, j'avoue que je m'attendais encore à mieux ! Mais bon, le charme de Gemma Arterton vaut le coup à lui tout seul !
Une étoile c'est sévère, mais il faut dire que j'ai été plutôt déçu. L'idée de départ était pourtant pas mal.
Mais au final, on tourne très vite en rond. Y a pas mal de personnages très caricaturaux, notamment le rockeur, qui vu que c'est un rockeur c'est forcément plus ou moins un bad boy égocentrique qui ne pense qu'à lui... Ah, tiens, c'est original...
Le tout sonne au final très convenu, si y a quelques surprises, ça ne suffit pas à masquer un scénario un peu (même beaucoup) poussif, et dont les principaux ressorts sont des évènements absolument incroyables auxquels on ne croit pas.
A noter que certains destinés à être drôles, comme les deux adolescentes, se révèlent être vite insupportables.
Moyen.
Mais au final, on tourne très vite en rond. Y a pas mal de personnages très caricaturaux, notamment le rockeur, qui vu que c'est un rockeur c'est forcément plus ou moins un bad boy égocentrique qui ne pense qu'à lui... Ah, tiens, c'est original...
Le tout sonne au final très convenu, si y a quelques surprises, ça ne suffit pas à masquer un scénario un peu (même beaucoup) poussif, et dont les principaux ressorts sont des évènements absolument incroyables auxquels on ne croit pas.
A noter que certains destinés à être drôles, comme les deux adolescentes, se révèlent être vite insupportables.
Moyen.
Presque 2 mois à l'affiche, alors on se dit que ce film doit forcément être bon. Au final la déception est là, on assiste à des dialogues précieux sans le moindre humour et on dort.......
Un marivaudage typiquement britannique signé Stephen Frears, qui excelle dans un registre à la fois tragique et léger. Tamara Drewe, personnage de BD matérialisé par Gemma Arterton sur grand écran en journaliste pétillante, sème malgré elle la zizanie dans la campagne anglaise, déchainant dans un improbable concours de circonstances une cascade d'évènements absurdes dans son paisible village natal.
Tamara Drewe : INTRODUCTION : Une comédie dramatique peut commune et avec un ton particulière. Une comédie donc que seul les Anglais on le secret et vraiment, c’est une comédie assez unique mais surtout très amusante. Les Anglais on un humour bien a eu : humour assez loufoque et burlesque mais qui reste dans un ton ironique, sérieux et dramatique. C’est ça l’humour Anglais et vraiment, cette humour fait mouche, surtout dans ce film. Mais je vous préviens, l’humour ne plaira pas a tout le monde, faut accrocher et comme moi, j’ai accroché, j’ai pu bien rigoler. Car c’est un humour assez particulier et fin : entre comme j’ai dis : le dramatique et le délirant. Tout comme l’ambiance et le ton du film qui est sérieux à premier vu : adultère, un gars qui trompe sa femme, commérage dans un village… SCENARIO : Car je vous explique : c’est un village qui a premier vu est tranquille à vivre, quoi que. Car, des que Tamara Drewe qui a vécu quand elle était petit au village revins des années après. Et bien, elle va faire des ravages et des histoires. Car, elle est devenu une vrai bombe avec son min-short en jean et les histoires qu’elle va provoquer ou pas. Car, il y a d’autres fouteur de trouble dans ce village : deux petites ado, deux petites pestes fan d’une chanteur de rock. Il y a aussi ces fameux gags qui trompent sa femme… Enfin, je vous laisse la surprise de ce qui va se passé dans ce village qui est très mouvementé. Et vraiment, les malheureux qui va se passé dans ce film est vraiment réjouissant et amusant pour les spectateurs : ça c’est encore l’humour britannique. Donc voila, histoire cocasse et amusante remplit de gags et d’humour loufoque et délirant mais dans un ton sérieux. CASTING : Sinon, coté acteur, le casting déjà est très bon tout comme les acteurs. Le magnifique Gemma Arterton joue à merveille le rôle de cette femme sexy et fouteuse de trouble (que ça soit de sa faute ou pas ^^). RÉALISATION : Et pour finir, la réalisation et la mise en scène y est soigné et les décors sont très beaux. CONCLUSION : Voila, une comédie dramatique typiquement britannique : on aime ou on n’aime pas. Mais, humour garanti et vraiment, on passe un bon moment à voir ces personnes ce piqué et se faire des coups dans le dos : une comédie réjouissante.
Quand il faut attendre plus d'une heure pour que le film décolle, c'est que n'est pas bon ! L'actrice principale (Gemma Atterton) est bien jolie, mais le réalisateur fait preuve d'une pudibonderie d'un autre âge en nous en cachant l'essentiel. Quant à la morale de l'histoire, c'est de nous expliquer que le libertinage ce n'est pas drôle, que l'adultère encore moins... Ah, oui l'humour : je vous assure qu'il y a quand même un bon gag, mais sur 1 h 40 ça fait pas le compte. !
Après le très réussi "The Queen", Stephen Frears est devenu un des réalisateurs anglais à suivre. J’espérais donc beaucoup de ce "Tamara Drewe" qui nous promettait une intrigue charmante et incisive au milieu de la campagne anglaise. Et, si il y a un seul point sur lequel le film est une réussite, c’est bien l’ambiance bucolique si typique de ces coins reculés qu’on ne retrouve qu’outre-Manche et qui n’est pas sans rappelé les romans de Jane Austen, les costumes d’époque en moins. Pour le reste, "Tamara Drewe" est un plantage total. Pourtant, les ambitions de Frears paraissaient tout à fait nobles puisqu’il entendait traiter de plusieurs sujets pleins de potentiel (la revanche d’une ancienne complexée, la pension pour écrivains et son univers tellement chic, le choc des cultures avec l’arrivée de la rock star au village, l’ennui et les rêves d’évasion des jeunes du village…) mais on se rend compte rapidement qu’il manque un vrai fil conducteur à l’histoire. Car, Tamara (Gemma Arterton, toujours aussi mignonne mais qui manque toujours autant de consistance), qui était censée tenir ce rôle malgré son arrivée tardive dans l’histoire, s’avère rapidement dénuée d’intérêt dramatique (le gimmick sur son nez s’essoufflant très vite) et ne parvient ni à être attachante, ni à être détestable. Pire, elle se rend même ridicule par moments (sa relation avec l’écrivain star ou encore sa crise de larmes), au point qu’on préfère s’intéresser aux personnages secondaires. Mais là encore, le potentiel de ces personnages est entravé par leur évolution qui oscillent entre le prévisible le plus basique (l’écrivain volage joué par Roger Allam qui ne peut pas s’empêcher de tromper sa femme, cette dernière campée par Tamsin Greig qui sait mais qui pardonne, l’aspirant écrivain joué par Bill Camp qui va forcémenent tomber sous le charme de son hôte…) et le poussif la plus primaire (la rock star capricieuse joué par Dominic Cooper qui en fait des caisses, l’ado obsédée campée par Jessica Barden qui devient vite saoulante…). Quant à la prétendue révélation du film, à savoir Luke Evans, son rôle est d’une pauvreté stupéfiante puisqu’il cumule à peu près tous les clichés du genre (beau gosse qui s’ignore, désargenté, en plein mea culpa d’avoir été trop méchant avec Tamara quand ils étaient plus jeune). On arrive même à être surpris que le réalisateur ne nous réserve pas une fin surprenante pour ce personnage et qu’il tombe finalement dans le piège, pourtant énorme, du happy-end idiot et incompréhensible. Quant à l’intrigue, elle navigue à vue, suivant un montage plus ou moins travaillé avec ces différentes sous-intrigues (la revanche très relative de Tamara, la vie au sein de la pension, les conneries des deux gamines…) mais dénuée de toute cohérence… et s’achève par une scène invraisemblable où les morts viennent s’inviter comme un cheveu sur la soupe, venant ainsi flinguer le semblant d’ambiance douce-amère que le réalisateur avait tenté d’imposer jusque-là. D’ailleurs, je n’ai toujours pas compris ce qu’a voulu dire Stephen Frears avec cette histoire… Reste la campagne anglaise et quelques fulgurances trop rares qui arracheront les rares sourires du spectateur.
Tamara Drewe est une comédie douce amère sur le retour d'une jeune femme dans le village perdue dans la campagne anglaise de son enfance, un retour qui ne laissera pas de marbres ses anciennes connaissances masculines et qui mettra à mal les relations entre les individus. Ma présentation n'est pas très enthousiaste car pour ma part malgré l'expérience de Stephen Frears, la sauce ne prend jamais si ce n'est dans les derniers instants où il est temps de récolter tout ce qui a été semé. Mais dans l'ensemble, malgré une galerie de personnages assez intéressants (voir carrément ingénieux comme c'est le cas pour les deux jeunes filles qui se font royalement chi**s), le tout manque cruellement de liant. On ne qualifiera pas le film de soporifique mais l'association entre la comédie et la drame est plutôt ressentie comme une hésitation à choisir un genre plutôt qu'un véritable mélange des deux. Et c'est finalement le fait que Stephen Frears n'en soit pas à son coup d'essai qui sauve le film car dans les mains d'un réalisateur quelconque, sans quelques belles images de la campagne anglaise, une bonne direction d'acteurs et Gemma Aterton, on aurait pu courir à la catastrophe. Pas foncièrement mauvais mais loin de m'avoir véritablement intéressé.
Sylvain P
Looooongue comédie anglaise, pas si drôle. Heureusement, le choeur antique, interprété par deux jeunes écervelées, relève le niveau.
Ca va pas fort, les critiques et moi on se déchire !
Bon sans rire, cette comédie mi douce mi amère, mi drôle, mi drame, mi Woody Allen, mi Ken Loach, mi mi mi mi... ne va nulle part !
Je ne voyais rien à l'écran, du creux, du banal, du pas très fin, du pas très drôle. On est constamment à la recherche d'un quelconque intérêt, on surfe très superficiellement sur quelques sujets.
Une réelle déception !
Bon sans rire, cette comédie mi douce mi amère, mi drôle, mi drame, mi Woody Allen, mi Ken Loach, mi mi mi mi... ne va nulle part !
Je ne voyais rien à l'écran, du creux, du banal, du pas très fin, du pas très drôle. On est constamment à la recherche d'un quelconque intérêt, on surfe très superficiellement sur quelques sujets.
Une réelle déception !
Longuet, et lourdingue. C'est tiré d'une BD ? Eh bien nous pourrions alors parler d'épaisseur du trait, et de manque de finesse. Les gags ne sont pas très drôles. Et puis... des films sur des Anglais moches qui pratiquent l'adultère ou qui ne pensent qu'au sexe, il y a déjà eu beaucoup.
Yannickcinéphile
Etrange film que Tamara Drewe, qui pour moi s’avère être une belle découverte, le film profitant vraiment du savoir-faire de Frears qui nous propose une sorte d’Inspecteur Barnaby, sans enquête policière, mais avec beaucoup plus de non-dits, de haines et de vengeances !
Le casting est excellent, avec des choix d’acteurs judicieux. Luke Evans, parfait dans un rôle moins trouble que ceux qu’il affectionne, face à un Dominic Cooper qui trouve un bon rôle. On s’attardera aussi sur un Roger Allam vraiment idéal dans son rôle d’écrivain à la vie plus que tourmentée, et il ne faudra pas oublier aussi les seconds rôles, même si certains, un peu trop « borderline » semble un poil caricaturaux. Je pense aux deux jeunes filles par exemple qui en font parfois un peu beaucoup quand même. Au milieu de tout cela, Gemma Arterton. Après pas mal de déception dans sa filmo, j’avais entrevu un bel espoir avec Alice Creed et je dois dire que cela m’est confirmé avec Tamara Drewe. Se débrouillant fort bien avec un personnage versatile assez difficile à camper, elle impose charme, sensualité, malice et candeur à la fois, bref, une femme qui vit, et c’est très positif.
Le scénario pourra déplaire à certains car il repose vraiment uniquement sur les relations entre personnages. Rumeurs, tensions, haines, violences, tout cela nous est restitué dans un écheveau plaisant à suivre, bien que manquant parfois d’enjeux véritables. Frears s’amuse visiblement beaucoup, et propose une tonalité sombre et humoristique à la fois surprenante, mais il y a parfois un côté trop démonstratif qui ne permet pas d’être complètement emporté. Reste que le film est culotté, original, et ne laisse pas indifférent. La fin est un peu simple.
Visuellement c’est une ambiance typique de petit village anglais ! Décors de verdure avec des petites maisons style cottage, photographie soignée qui alterne moments lumineux et instants grisâtre, lumière changeante typiquement anglaise là encore, et mise en scène de Frears qui nous gratifie de vrais bons moments. Il faut le dire, il sait mettre en valeur Gemma Arterton, et sous sa caméra et sans esbroufe, son charme explose ! De manière générale Frears est surtout doué pour filmer ses acteurs, et là il ne déroge pas à la règle. Musicalement, compte tenu de la présence d’un musicien comme héros on pouvait attendre un peu plus, mais enfin, c’est acceptable.
Tamara Drewe en tous les cas est un film singulier, que j’ai pris vraiment plaisir à visionner. Pour moi ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais c’est un métrage appréciable, indéniablement, et au propos plus qu’intéressant. 4.
Le casting est excellent, avec des choix d’acteurs judicieux. Luke Evans, parfait dans un rôle moins trouble que ceux qu’il affectionne, face à un Dominic Cooper qui trouve un bon rôle. On s’attardera aussi sur un Roger Allam vraiment idéal dans son rôle d’écrivain à la vie plus que tourmentée, et il ne faudra pas oublier aussi les seconds rôles, même si certains, un peu trop « borderline » semble un poil caricaturaux. Je pense aux deux jeunes filles par exemple qui en font parfois un peu beaucoup quand même. Au milieu de tout cela, Gemma Arterton. Après pas mal de déception dans sa filmo, j’avais entrevu un bel espoir avec Alice Creed et je dois dire que cela m’est confirmé avec Tamara Drewe. Se débrouillant fort bien avec un personnage versatile assez difficile à camper, elle impose charme, sensualité, malice et candeur à la fois, bref, une femme qui vit, et c’est très positif.
Le scénario pourra déplaire à certains car il repose vraiment uniquement sur les relations entre personnages. Rumeurs, tensions, haines, violences, tout cela nous est restitué dans un écheveau plaisant à suivre, bien que manquant parfois d’enjeux véritables. Frears s’amuse visiblement beaucoup, et propose une tonalité sombre et humoristique à la fois surprenante, mais il y a parfois un côté trop démonstratif qui ne permet pas d’être complètement emporté. Reste que le film est culotté, original, et ne laisse pas indifférent. La fin est un peu simple.
Visuellement c’est une ambiance typique de petit village anglais ! Décors de verdure avec des petites maisons style cottage, photographie soignée qui alterne moments lumineux et instants grisâtre, lumière changeante typiquement anglaise là encore, et mise en scène de Frears qui nous gratifie de vrais bons moments. Il faut le dire, il sait mettre en valeur Gemma Arterton, et sous sa caméra et sans esbroufe, son charme explose ! De manière générale Frears est surtout doué pour filmer ses acteurs, et là il ne déroge pas à la règle. Musicalement, compte tenu de la présence d’un musicien comme héros on pouvait attendre un peu plus, mais enfin, c’est acceptable.
Tamara Drewe en tous les cas est un film singulier, que j’ai pris vraiment plaisir à visionner. Pour moi ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais c’est un métrage appréciable, indéniablement, et au propos plus qu’intéressant. 4.
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