un film où, de façon souvent heureuse, la musique et la danse servent d'arrière-plans à des histoires de gangsters, de mafia, d'assassinats, mais aussi d'ambitions, d'amour, de servtitude, d'émancipation, et où l'on suit essentiellement l'histoire, sur une dizaine d'années, cele sd el aprohibition puis de la grande cris de 29, de 2 couples. L'un blanc formé par un musicien, plutôt playboy et d'une jolie femme, tombés tous les deux sous la coupe d'un affreux chef de gang qui les utilise, les manipule, les humilie... l'un et l'autre essayant tant bien que mal de s'extraire de cette tutelle. D'un autre côté, un couple homme noir, femme métis, danseur et chanteuse qui tentent de s'aimer tout en dépassant les préjugés de leurs classe et ceux des blancs.
Comme décor principal, le Cotton Club, un club jazzy de Harlem où les misiciens, danseurs, chanteurs noirs sont là pour distraire une classe de blancs bourgeois alors qu'en tant que spectateurs, ils n'ont pas le droit de rentrer. Ce club est également le point de distraction, négociation, affrontement des chefs de gang de New-York.
Le fiilm est dynamique, agité, ça swingue en permanence. Les personnages sont bien campés, quoiqu'un peu difficles à positionner et identifier lors du premier quart d'heure qui sert à les présenter.
On ne s'ennuie pas une seconde