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Je n'en attendais rien et c'est finalement pas si mal. L'acteur principal est excellent. La réalisation et la photographie aussi.
Après il y a une sorte de mélange qui ne fonctionne pas si bien entre film noir, romance, burlesque, fantastique et horreur.
Le réalisateur a sans doute voulu en faire trop et on se retrouve avec un film un peu bancal, au rythme et dialogues peu maîtrisés.
Un film d'auteur qui se regarde mais qui manque un peu le coche.
Après il y a une sorte de mélange qui ne fonctionne pas si bien entre film noir, romance, burlesque, fantastique et horreur.
Le réalisateur a sans doute voulu en faire trop et on se retrouve avec un film un peu bancal, au rythme et dialogues peu maîtrisés.
Un film d'auteur qui se regarde mais qui manque un peu le coche.
Ce n'est pas le film du siècle, mais pas un navet non plus.
Les acteurs sont bons. L'histoire et les références à Faust sont intéressantes.
Mais ça reste mou, alambiqué et j'ai décroché plusieurs fois. De plus, la fin m'a laissée perplexe...
Les acteurs sont bons. L'histoire et les références à Faust sont intéressantes.
Mais ça reste mou, alambiqué et j'ai décroché plusieurs fois. De plus, la fin m'a laissée perplexe...
Vraiment pas terrible. Le début est pas mal mais ça se barre en live au bou d'une heure. deux twist de fin prévisibles, et les dernières trois quarts heures sans queu n'y tete totalement incompréhensible. Heureusement l'acteur principal est bon.
Le mythe de Faust revu et corrigé. Voilà un film d'horreur qui sort de l'ordinaire et ça fait plaisir de voir qu'il y a encore des réalisateurs qui ne se contentent pas de se baser sur un scénario où une bande d'ados se fait massacrer par un ou des vilains personnages. Bonnes images glauques, bonne interprétation de Jim Sturgess (et de presque tous les autres)
Une bonne histoire, certes tirée par les cheveux, un bon acteur principal, mais un final pas du tout à la hauteur et qui n'explique pas grand chose, ce qui nous laisse avec plusieurs questions. Je voulais y croire jusqu'au bout mais ça n'a pas pris, next.
Heartless est un film avec un concept maladroit raconté d'une manière trop sérieuse et sentimentale avec des rebondissements stupides et des événements absurdes. Avec cette phrase, je peux honnêtement dire que je n'ai pas aimé ce film du tout pour les raisons que j'ai mentionnées. Le concept est intrigant, mais le film se prend trop au sérieux. Les dialogues sont vraiment ringards au mieux, c'est évident lors des scènes de Tia et de Jamie Morgan. Les histoires sentimentales à travers le film n'étaient pas très bonnes non plus. Elles étaient hors propos et n'aidaient en aucun cas l'intrigue. Le film a également d'autres sous-intrigues qui n'ajoutent tout simplement rien à l'histoire. Il y a quelques sous-intrigues qui sont évoquées au début du film et vous devez vous en souvenir à la fin du film, même si elles ne sont pas importantes ou pertinentes pour la majorité du film lui-même. Les effets spéciaux pour le film étaient horribles. Et ce n'est pas que je n'ai pas compris ce que le film essayait de dire car n'était pas du tout difficile a comprendre. Le film est assez clair, malgré tous ces intrigues et sous-intrigues et il est facile de le comprendre. Mais le film ne fonctionne tout simplement pas. Un film incroyablement décevant qui avait un concept très intrigant...
Benito G
Une histoire assez classique mais qui malgré tout, sur son ensemble et dans son genre ou quelques sous-genre. Arrive à légèrement se démarquer. Le mythe de Faust n echappera pas la présence sur l ensemble et qui perepeties qui font partie intégrante du film sans aller dans too much quant il tente de toucher que quelques sous genre a l encontre du public. Meme si on y verra quelques incohérences lambda, que l'on n y prête pas spécialement. Le tout étant plus ou moins bien dosé. Quelques logiques effective par moment, mais en extrême minorité. Un film peu connu je pense, mais qui s apprécie, a partir ou l on le visionne comme un film de début de soirée sans attente bien précise. Une histoire tenue sur un post it mais qui pendant presque 2h tient son rythme et pose la psychologie assez vite. Notamment celle du garçon. On se doute que l on ne cherche pas s faire ou je ne sais et l film n est pas vendu comme tel. Bref, un petit moment sans Surprise de tete. Enfin ou vaut tout de même mieux ne pas faire divers choses à la fois. Pas inoubliable, ni un chef d d'oeuvre. Mais loin des navets que les séries B en DTV savent nous faire régulièrement. Pourquoi pas
Cela ne me dérange pas que les films soient surréalistes ou fantastiques, mais ils doivent me garder concerné et après un certain temps je me suis ennuyé avec celui-ci. Beaucoup de choses se produisaient mais au final cela n'avait pas beaucoup de sens. Certaines parties sont bien tournées, mais moi je veux une vraie bonne histoire pas quelque chose d'inutile. Malgré des acteurs convaincants, c'est un film "stylisé" et c'est à peu près tout. Honnêtement, je n'ai aucune idée de ce que l'intrigue voulait nous dire mais la fin était vraiment ringarde. Un film incroyablement décevant qui avait un concept très intrigant...
La vraie bonne surprise de cette journée passée à Gérardmer…
Un film envoutant et mystérieux, vraiment réussi, qui tient en haleine du début à la fin et fait passer le spectateur par tout un panel d’émotions. Le scénario est brillant, il revisite à merveille le mythe de Faust et de la vente de son âme au Diable, et parvient à l’intégrer à notre époque, le tout dans un décor de banlieue anglaise délabrée et pauvre. On est littéralement happé par cette histoire, on se demande jusqu’au dénouement final comment le héros va pouvoir se sortir de cette impasse ou s’il a juste imaginé ce scénario dans son cerveau schizophrénique. Jim Sturgess est d’ailleurs éblouissant, il porte le film à lui-seul et livre une performance incroyable (qui lui a valu de nombreuses récompenses). Tout d’abord émouvant dans son rôle de paumé solitaire, il devient drôle après avoir rencontré le Diable et surtout lorsqu’il doit remplir sa part du marché, puis inquiétant, attendrissant et charismatique au fil des scènes. En résumé, un excellent film, bénéficiant d’un scénario brillant et d’une interprétation inspirée de son personnage principal. A voir absolument !
Un film envoutant et mystérieux, vraiment réussi, qui tient en haleine du début à la fin et fait passer le spectateur par tout un panel d’émotions. Le scénario est brillant, il revisite à merveille le mythe de Faust et de la vente de son âme au Diable, et parvient à l’intégrer à notre époque, le tout dans un décor de banlieue anglaise délabrée et pauvre. On est littéralement happé par cette histoire, on se demande jusqu’au dénouement final comment le héros va pouvoir se sortir de cette impasse ou s’il a juste imaginé ce scénario dans son cerveau schizophrénique. Jim Sturgess est d’ailleurs éblouissant, il porte le film à lui-seul et livre une performance incroyable (qui lui a valu de nombreuses récompenses). Tout d’abord émouvant dans son rôle de paumé solitaire, il devient drôle après avoir rencontré le Diable et surtout lorsqu’il doit remplir sa part du marché, puis inquiétant, attendrissant et charismatique au fil des scènes. En résumé, un excellent film, bénéficiant d’un scénario brillant et d’une interprétation inspirée de son personnage principal. A voir absolument !
En réaction à l’inhumanité toujours plus effrénée de sa jungle urbaine, à l’immolation de sa mère devant ses yeux par des voyous, et surtout à l’énorme complexe d’être perçu depuis toujours comme un monstre, à cause d’énormes taches de vin de naissance répandues sur son corps, un jeune homme à bout pactise avec le mal pour obtenir la réalisation de son rêve. Mais ceci n’est qu’une entrée en matière.
Au début on pense à un portrait sombre de l’Angleterre décadente et ultra-violente. Ou bien une fresque centrée sur les rapports familiaux. A moins que ce ne soit le thème du monstre solitaire et incompris qui réinvente sa vie. Ensuite on comprend que c’est un film fantastico-gothique style Horns qui repose sur le dilemme faustien de la perdition de son âme, encouragé par les créatures qui hantent les quartiers sordides, la petite ange-démon aux conseils glacés à la sauce Dernière tentation du Christ, et au triomphe d’une corruption sanglante et désespérante. Mais voilà que le film s’organise finalement en thriller noir. Non, non, finalement prévaudra sûrement un drame clairement psychologique dans la lignée d’un Machinist ou d’un Fight Club.
Voici surtout un petit bijou schizophrénique, fondu en œuvre poétique et sombre, cohérente et sauvage, et dans lequel même l’accès à la sérénité reste ouverte.
Au début on pense à un portrait sombre de l’Angleterre décadente et ultra-violente. Ou bien une fresque centrée sur les rapports familiaux. A moins que ce ne soit le thème du monstre solitaire et incompris qui réinvente sa vie. Ensuite on comprend que c’est un film fantastico-gothique style Horns qui repose sur le dilemme faustien de la perdition de son âme, encouragé par les créatures qui hantent les quartiers sordides, la petite ange-démon aux conseils glacés à la sauce Dernière tentation du Christ, et au triomphe d’une corruption sanglante et désespérante. Mais voilà que le film s’organise finalement en thriller noir. Non, non, finalement prévaudra sûrement un drame clairement psychologique dans la lignée d’un Machinist ou d’un Fight Club.
Voici surtout un petit bijou schizophrénique, fondu en œuvre poétique et sombre, cohérente et sauvage, et dans lequel même l’accès à la sérénité reste ouverte.
elriad
Ode à la folie, poétique et sombre, métaphorique et gothique, ce petit bijou à la photo soignée s'enfonce dans le mythe Faustien pour mieux s'en échapper. Décidément, l'histoire de l'homme qui a vendu son âme au diable réussit au genre cinématographique. Mon film préféré de tous les temps reste encore le sublime "Phantom of the paradise" de Brian de Palma, que j'ai bien dû voir une bonne vingtaine de fois. En VO bien sûr.
Ici, l'atmosphère démoniaque anxiogène est à l'intérieur de l'esprit perturbé de ce jeune garçon marqué à la naissance d'une tâche de vin en forme de cœur. Lyrique, barré aussi, mais avant tout maitrisé. Je me précipite dés ce soir sur son "enfant miroir" qui semble dans la bande-annonce tout aussi fascinant. Quel plaisir de découvrir des réalisateurs hors- norme...
Ici, l'atmosphère démoniaque anxiogène est à l'intérieur de l'esprit perturbé de ce jeune garçon marqué à la naissance d'une tâche de vin en forme de cœur. Lyrique, barré aussi, mais avant tout maitrisé. Je me précipite dés ce soir sur son "enfant miroir" qui semble dans la bande-annonce tout aussi fascinant. Quel plaisir de découvrir des réalisateurs hors- norme...
J'ai bien aimé se film, je l'ai vu il y a 4 mois et je m'en souvient encore, le personnage principal est bien travaillé à mon avis et il est attachant. C 'est une histoire triste mais pas trop gore pour les amateurs du genres, il y a quelques scènes mais pas plus, donc même les âmes "un peu" sensibles peuvent voir se film. Les 2 acteurs principaux sont très bon, ma note 4/5
3/5 Oui bof le garçon est bien l'histoire avance à gros coups de sabots symboliques (spécialité de ce cinéaste), sans trop de finesse malgré quelques bons moments.
Un conte de fée d'un nouveau genre, à la croisée de Horns et de Shaun of the dead.
Il a de la suite dans les idées Philip Ridley.
Beaucoup beaucoup d'humour noir, un soupçon de gore et une pincée de romantisme : la recette était risquée. Mais le film s'en sort plutôt bien. Très bien même.
Les chansons de l'acteur Jim Sturgess nous transportent dans des images fantastico-oniriques aux tons de ocre et de rouge (décors de la chambre de Papa B) et symboliques ( spoiler: cœur peint sur le mur où attend la première victime
) de sorte qu'on ne sait plus où commence le rêve et où finit la réalité.
Les 2 nominations aux festivals fantastiques de Gerardmer et de Lyon sont à ce sens fort bien mérités.
Il a de la suite dans les idées Philip Ridley.
Beaucoup beaucoup d'humour noir, un soupçon de gore et une pincée de romantisme : la recette était risquée. Mais le film s'en sort plutôt bien. Très bien même.
Les chansons de l'acteur Jim Sturgess nous transportent dans des images fantastico-oniriques aux tons de ocre et de rouge (décors de la chambre de Papa B) et symboliques ( spoiler: cœur peint sur le mur où attend la première victime
) de sorte qu'on ne sait plus où commence le rêve et où finit la réalité.
Les 2 nominations aux festivals fantastiques de Gerardmer et de Lyon sont à ce sens fort bien mérités.
Un bon petit film fantastique avec de bons acteurs, malheureusement le doublage français est catastrophique (surtout celui de clémence Poésy) et vient tout gacher.
L'histoire quand à elle n'est pas sans rappeler un peu celle de Faust et elle est plutôt bien utilisée en s'appuyant sur le thème de l'acceptation de soi quand on a un handicap marquant.
Un direct to DVD qui aurait largement mérité sa place au cinéma (avec un meilleur doublage)
L'histoire quand à elle n'est pas sans rappeler un peu celle de Faust et elle est plutôt bien utilisée en s'appuyant sur le thème de l'acceptation de soi quand on a un handicap marquant.
Un direct to DVD qui aurait largement mérité sa place au cinéma (avec un meilleur doublage)
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