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    The Ward
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    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2023
    Une jeune femme se fait interner après avoir mis le feu à une maison. La réalisation avec Carpenter est au rendez-vous ainsi que les atmosphères pesantes. Dommage que l'histoire soit si faible.
    paul lopez
    paul lopez

    29 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2023
    le film est pas mal, bonnes actrice mais la fin est vraiment ratée dommage mais bon ça reste un bon film
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2022
    John Carpenter nous fait du Carpenter dans ce film qui est le dernier qu'il a réalisé jusqu'à maintenant. Nous y retrouvons sa mise en scène typique avec ses longs travellings ou ses panoramiques, ici dans un univers d'hôpital psychiatrique (couloirs, chambres, parties communes). Le film fait penser par moment aux scènes dans l'hôpital psychiatrique de L'Antre de la Folie (1994). Si le film ne fait pas forcément peur, car il est plus dans le registre du film de suspense, il contient néanmoins quelques séquences de surprises où le spectateur sursaute. Ce n'est pas un film d'horreur (même si graphiquement il s'y apparente), mais plutôt un film à suspense.
    Sinon le film dans une unité de temps et de lieu permet d'allonger un ensemble de clichés et de choses déjà vu maintes fois ailleurs, mais plutôt bien emballés. John Carpenter est très fort pour filmer les décors et en tirer une atmosphère. En l'occurrence ici c'est cet hôpital psychiatrique avec son pavillon des handicapés mentaux, très cinégénique.
    Le film n'est pas surprenant non plus dans le sens où nous devinons la fin et son retournement.
    Par contre, ce qui manque fortement au film, et cruellement, c'est une musique à la John Carpenter! Ici il n'a pas composé la musique du film et cela se ressent fortement: elle est d'une banalité et remplie de clichés. Il est d'ailleurs curieux (et regrettable) de constater que depuis ce film John Carpenter se contente de faire vivre sa musique à travers des concerts et est devenu un musicien à temps plein et non plus un cinéaste.
    Claire13
    Claire13

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    Un très bon film signé Carpenter, qu'il convient absolument de regarder jusqu'à la fin : le twist final est totalement inattendu et donne toute sa saveur au film. Je pense que les personnes qui ont mal noté ce film ne sont malheureusement pas allés jusqu'au bout, d'où les critiques... On comprend bien à la fin que ce n'est pas un film d'horreur, même s'il est classé comme tel !
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    A la vision de The Ward le fan de Carpenter est saisi d'un sentiment mitigé. Le film loin d'être médiocre ne partage en rien la puissance de ses glorieux prédécesseurs et son pitch suranné ainsi que son cadre ont le grand tort de se mesurer à un certain Shutter Island sans jamais prétendre, il est vrai, à son niveau d'excellence.

    En premier lieu, le film possède de remarquables qualités qu'il convient de mettre en exergue. Carpenter n'a plus rien à prouver dans l'exercice de la mise en scène et force est de constater qu'il maîtrise à la perfection la direction d'acteurs et d'actrices (un film quasi exclusivement féminin, une première pour Big John) ainsi que du bon usage de la topographie. Malgré une succession d'errances dans des couloirs sinistres et parfois un peu trop dépeuplés, on est jamais déboussolé par les errements de sa caméra, le spectateur sait quasiment toujours où il se trouve, y compris à l'extérieur du quartier des grands tarés. Le casting est au diapason même si Jared Harris que je découvre dans ce film est à mon sens un brin sous-employé. Amber Heard outre son physique incarne à la perfection cette jeune femme impétueuse et pugnace, dont on se demande les raisons de son geste au début du métrage.

    Parlons des choses qui peuvent fâcher certains et qui j'en suis sur ont fâché pas mal de monde. Tout d'abord, l'usage excessif de jump scares foireux et d'inserts immodérés, le "spectre" est beaucoup trop présent à l'écran, Carpenter sacrifie le côté suggestif de ses oeuvres antérieures sur l'autel des effets visuels tout en faciès grimaçants et squelettiques. Ainsi, on ne compte plus les entrées dans le champ de la bad girl au détour d'un couloir ou d'un monte charge.
    En cours de métrage, le dépeuplement soudain des couloirs de l'hôpital interpelle le spectateur qui croit en une négligence grossière de la part de Carpenter et de son équipe jusqu'à ce que tout nous soit expliqué en bout de course par un twist un brin convenu, rappelant en gros celui du peu mémorable Identity de James Mangold.

    Doit-on pour autant mépriser le titre jusqu'à se priver du visionnage ? Non.
    Soyons clair, le film a la qualité de ses défauts, et même s'il ne fiche jamais le moindre frisson au spectateur blasé de films de genres, il a le mérite de dérouler une intrigue suffisamment captivante pour nous faire passer une bonne heure et demie avec la dernière oeuvre du maître qui se rattrape quelque peu après son brouillon Ghost of Mars, précédent film qui a déjà plus de dix ans. De là à dire qu'on a retrouvé le Big John de la grande époque, il ne faut pas exagérer non plus. Carpenter est désormais un cinéaste qui comme De Palma n'arrive plus à s'adapter aux canons cinématographiques imposés par notre époque tout en montage épileptique et en déluge numérique. Mais comme l'auteur de Pulsions, il a pour lui d'avoir toujours su conserver une authenticité, une cohérence dans son oeuvre et une intégrité artistique qui le placera toujours comme un auteur indétrônable dans le paysage de plus en plus vaste du cinéma de genre. On ne perd pourtant rien à espérer de sa part un autre authentique chef d'oeuvre qui risque fort de ne jamais arriver.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2020
    Comme je n'étais pas inscrit sur Allociné à l'époque je me permets d'envoyer une critique tardive. Après le très médiocre Ghosts of MarsCarpenter revient avec le film The Ward. Situé en 1966, une jeune femme troublée Kristen (Amber Heard) brûle une ferme abandonnée et est envoyée à l'hôpital psychiatrique de North Bend. Elle y rencontre d'autres patients, Iris (Lyndsy Fonseca), Sarah (Danielle Panabaker), Emily (Mamie Gummer ) et Zoey (Laura Leigh). Kristen est envoyée dans l'ancienne chambre d'une patiente appelée Tammy, qui a été tué par une force invisible une nuit. Son thérapeute, le Dr Stringer (Jared Harris) veut comprendre pourquoi Kristen a agi comme ça, mais Kristen veut s'échapper de l'hôpital et complote son évasion (etc...). Étant un fanatique de films d'horreur, les films d'horreur ne me font plus autant peur qu'avant. Mais ce film réalisé par le grand John Carpenter m'a fait peur. Il y a beaucoup de jumpscares tout au long de ce film qui sont très efficaces. Sans parler de la reconstitution des sixties qui impeccable, donc 5 étoiles sans hésiter...
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2020
    Assez décevant pour du Carpenter. Le jeu d'acteur n'est pas très bon, les dialogues sont nanardesques, et le climax est très convenu. Seule l'ambiance "hôpital psychiatrique" sauve un peu le film.
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Contrairement à Ghost of mars qui est un mauvais film qui ne ressemble pas à du Carpenter, The Ward possède quelques éléments récurrents à Big John surtout dans le rythme.
    Si le film contient beaucoup d'anomalies par rapport à son style (jumpscares, musique, explication complète, ...) je trouve que même si le film ne va pas très loin, il réussit bien ce qu'il entreprend et cela donne à The Ward un certain accomplissement.
    Le film est plutôt beau, intéressant et bien joué et possède une fin surprenante qui je trouve est très bien trouvée bien que je conçoit que c'est difficile à avaler.
    Sinon, il est clair que Carpenter n'est pas à l'aise dans ce paysage horrifique moderne et je dois bien avouer que non seulement à part ces quelques détails, The Ward aurait pu être réalisé par un autre mais aussi qu'au vu de la différence de ton de ces derniers films avec ces anciens, je suis content qu'il ne réalise plus bien que je le redis, The Ward est une bonne petite surprise.
    Juju Rasta
    Juju Rasta

    5 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2020
    Un très bon film... Bonne histoire, ambiance très prenante avec de bons acteurs... On retrouve le style carpenter avec une fin surprenante... 4/5
    Camille C
    Camille C

    3 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    C’est un film tirant plus sur le genre thriller-épouvante qu’un véritable film d’horreur. Le scénario est bien trouvé et recherché, même si c’est du déjà-vu. Le réalisateur nous plonge bien dans l’ambiance avec l’asile, la nuit, les orages… Les acteurs sont très bons dans leurs rôles. Ce n’est pas le meilleur film de John Carpenter et si vous cherchez du grand frisson passer votre chemin, sinon c’est un bon long-métrage.
    Rebiahi Kev
    Rebiahi Kev

    5 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    Ce film dit vrai, s'est un coup monté des hôpitaux et des secrets familiaux par dettes en vendant leurs corps à la science en les poussant au suicides. pour faire croire que s'est la cible, la coupable, trop facile, s'est eux les barges, jalousie et possessifs..
    Stormtrooper62
    Stormtrooper62

    43 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Mais où est-il passé ?Le grand maitre du frisson et du slasher qu'il fut autrefois,a semble-t-il disparu avec ce The Ward timide,mais pas inintéressant.Même si la fin est osée,elle semble inéluctable au fur et à mesure que l'intrigue se dénoue,mais quand on y réfléchit après,on se dit que c'est vraiment tiré par les cheveux.
    Quoi de mieux qu'un hopital psychiatrique isolé pour planter le décor ?Un huis clos s'offre au spectateur,mais de suite les possibilités d'installer une ambiance malsaine et une certaine tension sont limité. Vous ne verrez que quelques pièces,dont un couloir tout au long du film.Les personnages sont risibles,avec des personnalités bien distinctes allant de la garce folle à la complétement barjot.Mais justement,les actrices ne sont pas terribles et là où certaines émotions devraient s'instaurer,elles sont souvent "bloquées" par un jeu trop juste.
    On peut aussi noter l'absence d'une musique marquante,un peu à l'image de son Halloween ,où la musique joue un rôle important dans le tempo de certaines scènes et pour faire monter l'angoisse.
    Bref,un film bien timide,qui aura pour seul mérite celui de vous divertir le temps d'une soirée mais qui sera bien vite mis de coté.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2019
    The Ward contient, de manière proleptique, beaucoup de Split : des miroirs brisés dès le générique de début, une fracture identitaire qui sert de nœud dramatique à l’intrigue, la persécution par une entité démoniaque, le cadre psychiatrique. Sauf que Split témoigne, lui, de la patte – ainsi que du talent – de son metteur en scène. Ce qui n’est pas le cas ici, car il suffirait d’enlever le nom de John Carpenter pour débaptiser une œuvre lisse et assez banale, malgré la présence de quelques qualités qui prouvent que le cinéaste sait encore filmer : de beaux fondus enchaînés rendent les scènes fantomatiques, un goût pour le slasher trépidant avec longs couloirs et fenêtres latérales allumées, l’espace d’un instant, par un éclair extérieur. L’impression demeure pourtant que Carpenter a sous-traité son film : on ressent sa présence çà et là, il hante l’œuvre à la manière du spectre. Mais l’écriture n’est pas sienne : les lieux communs s’accumulent, ne mènent nulle part sinon à un dénouement assez tiré par les cheveux. Mais la musique n’est pas sienne : les brouillards électroniques ont cédé leur place à des orchestrations et vocalisations plus traditionnelles, impropres à l’auteur. Mais le format, enfin, renie le Panavision par défaut budgétaire… Notons que l’entièreté de la filmographie de Carpenter fut tournée en Panavision. Voilà. En dépit de quelques scènes plutôt efficaces et d’un savoir-faire en matière de réalisation – car le film se suit sans difficulté et avec un réel plaisir –, The Ward ne constitue pas la résurrection attendue, attestant ainsi l’engloutissement d’un cinéaste dans une industrie cinématographique où il est de plus en plus difficile de contrôler son projet et, surtout, d’y insuffler une âme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Comme à l’Eurovision, j’accorde le maximum de point à ce film cristal brisant le silence du miroir qui sépare les multiples façades que révèle cette intrigue de ouf. Il semble familier ce réalisateur, un scénario classique dans un asile pour folle alliée, mettant en scène ses poupées actrices, Amber Heard et ses copines. Un défilé de mode top des modèles, ça m’a l’air fun, fini les années 80 exaltation des séries B, on vit dans une époque d’avancée technique. La suite est dramatisante, la Barbie parfaite ne vit pas au pays des merveilles, c’est la féerie de l’horreur, d’abord pyromane en flagrant délit puis puni, expédié dans ce centre psychiatrique qui n’est pas sans rappeler le décor du chef-d’œuvre « Vol au dessus d’un nid de coucou ». Les flashbacks angoissants de douleur s’éloignent vers le surnaturel fantasmatique épouvante, des médocs prescrits non prises sur le fait, les bémols n’entachent en rien la qualité de cette réalisation. L’époque décidée d’être racontée est cohérente, 1966 l’électrochoc sur des patients mentalement irrécupérables, une violation des droits bafoués, la peur qui se lit sur le compteur surchauffe électrique. Les jump-scare utilisés avec les moyens simples du bord sont réunis, l’effet bouh bouh par ci par là surprend. Le suspense garanti à l’ancienne sur le chemin de l’école d’Alfred Hitchcock, la fin rationnelle pendant le cours de « Shutter Island », le girls band et la fantôme sauvage meurtrière qui passait dans le coin du sombre couloir, elles n’étaient tous qu’une seule et même personne traumatisée.
    Incertitudes
    Incertitudes

    204 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2019
    Depuis l'échec cuisant de Jack Burton, John Carpenter se tient en marge des studios. Pire. Depuis les années 2000, il a privilégié la musique, les jeux vidéo et n'a réalisé jusqu'à présent que deux films : Ghosts of Mars, une petite série B avec Jason Statham et Ice Cube et ce The Ward tourné entièrement dans un hôpital psychiatrique. Clairement, Carpenter n'a pas perdu la main. Si certains effets horrifiques sont un peu faciles, la peur, le malaise, le sentiment d'enfermement naissent de ces immenses couloirs d'un blanc immaculé filmés de manière fluide, de ces médecins et de ces infirmières à l'air bien mystérieux, de ces patientes enfermées elles aussi mais autant dans cet asile dans leur folie. Le twist final amène un peu d'originalité à l'ensemble (à ceux qui pensent que le film en manquerait justement) et The Ward divertit sans mal. Il gagnerait à être plus connu.
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