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Un visiteur
4,5
Publiée le 7 janvier 2012
18 / 20 , Une attente dont je ne suis pas dessus . Dès la premiere scène , on ressent les frissons que Carpenter essaye de nous transmettre , on reconnait quelque peu sont style , malgrès les critiques négatives . J'ai frenchement sursauté a plusieurs reprises , ce qui est très rare ! On a là vraiment , le lieu parfait , qui pourrait plaire aux fans du genre . Beaucoup de suspens , une ambiance noire sombre a retenir , et j'ai vraiment très envis qu'il sorte au cinéma , juste pour plus d'effet , pour le son et pour les frissons , je pense que les gens seraient séduits . Les jeunes actrices ne sont pas du tout repoussantes non plus , L'héroïne , Amber heard (une de mes actrices préférés) montre qu'elle est très forte dans le genre , elle donne une présence qu'on ne refuserait pas . Toutes les autres , que je ne connaissaient pas du tout avant , mon plûtot ravis ... Un bon casting remplie de femmes ! Malgrès une histoire banale et surement déjà visitée , on passe un bon moment . La bande son est aussi intéressante ! La fin , ne m'a pas vraiment déçu , mais elle est très spéciale , et sa se peux que quelqu'un ne comprenne pas ' complétement ' . Voila , j'ai donné mon avis , qui est totalement dans le positif ! Une très bonne découverte que je conseille evidemment .
Tiens donc... un hôpital psy ou une annexe de l'agence Elite ? Bref, Carpenter n'a fait que mollement bouger sa caméra, toucher son salaire et enregistrer une série B convenue (avec end-twist attention). Rien d'honteux, rien de glorieux... 33%
The Ward est un film d'horreur sympathoche et assez conventionnel , même si sa fin surprend , malgré tout c'est une petite déception quand on sait ce dont est capable John Carpenter .
Dix ans qu'on l'attendait, qu'on n'y croyait plus. Pourtant le revoici enfin au cinéma : le grand John Carpenter, tentant de se remettre à niveau après son plus que mitigé Ghosts of Mars. Il revient donc avec un nouveau film fantastique cette fois-ci situé dans un asile psychiatrique féminin des années 60 où une jeune héroïne (la starlette montante Amber Heard, ici plutôt convaincante) va lutter à la fois contre des médecins bourrus, un esprit vengeur mais également contre elle-même, notre blondinette ne sachant finalement plus vraiment si elle est folle ou non. Si la comparaison avec le tout récent Sucker Punch est évidente, la tournure plus fantastico-horrifique que prend naturellement Big John éloigne son film des frasques visuelles de Zack Snyder et de son scénario alambiqué. Dans The Ward, Carpenter revient à une sobriété discrète voire même touchante, le metteur en scène ne voulant en aucun cas faire un retour en trombes et préfère se la jouer simple pour un long-métrage de commande dont il n'a ni écrit le scénario (mis en pages par les frères Rasmussen, deux illustres inconnus) ni composé la musique. On reconnait bien évidemment la patte du réalisateur dans ses décors cloitrés en huis-clos, sa façon de filmer avec fluidité et délicatesse une histoire fantastique old school et son climat étouffant, le film se rapprochant de méfaits tels que Fog ou encore Prince des ténèbres. Toutefois, ce 18e long-métrage manque cruellement d'originalité, ce bon vieux John se contentant de tout simplement mettre en boîte un énième slasher fantomatique, banal et sans réelle surprise. Quelque peu répétitif dans sa forme, se calquant parfois sur le Gothika de Kassovitz, le film déballe ses maigres moments de frissons sans panache, faisant sursauter de temps en temps le spectateur jusqu'à un twist-ending assez prévisible. Ainsi, The Ward s'avère très sympathique mais reste bien en deçà des précédentes œuvres de John Carpenter.
Hum hum, le maître du suspense et de l'horreur revient et telle une souris devant un morceau de gruyère j'accours sans méfiance ! Premier problème de taille: la lumière trop éclatante qui donne une photo de mauvaise qualité en désaccord avec le style Carpenter (un peu comme dans sa bouse "le village des damnés"). Les scènes nocturnes passent encore de ce point de vue, mais la qualité d'interprétation de certaines actrices (Zoé est insupportable!) et leur style trop MTV achèvent les derniers bons sentiments du maître capable de gros ratages de temps en temps... En plus chose qu'il évitait particulièrement dans ses meilleurs films (The thing, Fog, Prince of darkness...) , il abuse ici des jeux de montage bas de gamme et trop faciles pour faire sursauter le spectateur au lieu de créer une véritable ambiance d'angoisse comme l'a très bien réussi Scorcese dans son "Shutter island" qui se passe également dans un hôpital psychiatrique. Une déception en somme qui ne dépasse pas vraiment les mauvais films d'horreurs de ces dernières années...
Première scène : une jeune fille, dans une chambre, se fait étrangler par ce que nous percevons comme une ombre gigantesque. 1966 : Kristen court dans la forêt, l'air affolé. Elle arrive devant une maison et la brûle. Arrêtée par la police, elle se retrouve en HP où elle est sujette à des visions terrifiantes. Pendant le premier quart d'heure, le film paraît si crétin (quelques belles nanas enfermées à l'asile semblant pour la plupart assez saines d'esprit) qu'on a envie de se barrer. Puis la trame commence à prendre son étoffe, le mystère à s'installer, et l'horreur à lentement mais sûrement s'immiscer. Carpenter réussit à instaurer une histoire de plus en plus captivante, et, s'il use d'un scénario assez classique, il le manie avec une telle délicatesse qu'on se prend au jeu. Les effets spéciaux sont sobres et efficaces. Un film correct (même si l'idée est recyclée et que le suspens n'est pas à son comble) qui renoue avec les schémas classiques du genre où l'horreur a de la gueule et nous change des déchets à hauts risques épileptiques qui envahissent nos écrans.
Amber Heard époustouflante dans ce petit film (série B?) de Carpenter qui est maitrisé de bout en bout, avec une fin inattendue qui scotche. (pour moi en tout cas) Après le film traîne un peu en longueur, le scénario manque de profondeur, mais ça reste un bon petit film d'horreur.
Un des moins bons Carpenter, une déception tant le sujet traité est déjà vu et rabattu. Un twist final qui ne sauve pas l'ensemble. 10 ans après la bombe Ghosts of Mars ça fait mal ! 2,5/5
Carpenter revient apres 10 ans d'absence mais malheureusement il n'a accès qu'aux petit budget et aux scénario de 2eme catégorie. 9a se voit the Ward est une Ghost story sans surprise à petit budget. La seule chose ou elle se démarque un peu c'est lors de 2-3 séquences ou Big John montre qu'il a encore du talent et qu'il vaut mieux que ça.
Malgré une mise en scène bien ficelée jouant de l'architecture de son hopital (bien qu'il ne soit pas entièrement un huis clos!) le film tourne vite en rond bouffé par un sujet vu et revu et dénoué par une explication plus que débile et vraiment prévisible...Ce n'est pas non plus son casting qui sauvera ce film... Car bien qu'on est des belles filles pendant une heure et demi cela ne change rien si elles sont mauvaises actrices... Bref, vraiment pas le meilleur Carpenter...