Derniers Avis : Captain America : First Avenger - Page 7

Honnêtement, si ce n'était pas Joe Johnston derrière la caméra, jamais je ne me serais intéressé à Captain America. Mais ce type me fait rêver depuis Chérie, j'ai rétréci les gosses et Jumanji alors bon...J'ai tendance à dire qu'Iron Man, Thor, Hulk, c'est un peu redondant au cinoche mais la force de Captain America, c'est que celui qui l'incarne n'a pas vraiment le physique de l'emploi. Maigre comme un clou, timide mais avec un cœur gros comme ça, on n'est tous un peu Captain America. L'aspect propagande est assez marrant. Je sais que certains ont trouvé ça stupide et même justement pro-américain et n'ont pas perçu l'ironie. On n'est pas non plus dans du Verhoeven mais pour du Marvel, j'ai trouvé ça bien. Dommage qu'on ne puisse pas échapper à la looooooooooongue scène d'exposition où les scénaristes se sentent obligés de nous présenter les personnages et les enjeux. Non, parce que 50% sur un film de deux heures soit une heure à attendre la première scène d'action, ça fait un peu long. Par contre, quand c'est parti, c'est parti. La deuxième heure passe très rapidement : cascades, fusillades, baston au corps à corps. Joe Johnston récite ses gammes et après tout, c'est dans l'action qu'il excelle. Comme d'habitude, la fin très ouverte annonce la suite. Un peu comme dans un magazine où on nous fait languir ce qu'il y a aura au menu le mois prochain. Les marketeux de chez Marvel savent y faire. Pour l'instant, je marche.

Captain America: The First Avenger est le dernier film de la phase 1 du MCU à introduire un nouveau héros et comme ses prédécesseurs c'est réussi. Contrairement aux autres films qui se déroulaient à notre époque, CA:TFA nous emmène à l'entrée des Etats-Unis dans la Seconde Guerre Mondiale.

Captain America se veut plus sérieux que les autres films du MCU (excepté L'Incroyable Hulk) de part son contexte historique. En effet, la SGM n'est pas une époque propice au rire. Cependant le film s'accorde tout de même quelques moments de légèreté bien placés et n'est jamais lourd.

Le contexte historique fait la grande force du film. La SGM, probablement la période de l'histoire la plus connue tellement on en bouffe (ce qui peut devenir lassant), est très bien retranscrit dans l'univers Marvel. On peut être à n'importe quel passage du film, on sait qu'on est en pleine guerre contre les nazis. SGM et Etats-Unis obligent, ce film est un véritable film patriotique. Captain devant au départ être le premier d'une super race de soldat se retrouve à faire de la propagande pour enrôler des jeunes combattants dans l'armée. Le personnage ayant été à l'origine créé pour ça, il n'y a aucun mal là dedans. En fait le côté patriotique de ce film ne me dérange pas, étant moi même un peu patriote.
Cependant il y'a surement quelques déformations par rapport à la réalité : je ne pense pas que les américains avaient conscience que les allemands n'étaient pas tous nazis ou encore il me parait peu probable qu'une femme puisse eu avoir un grade aussi élevé et important durant la SGM.

Il n'y a pas grand chose à dire sur le scénario, c'est la guerre : les hommes doivent donc partir sur le front. Cependant la première partie excellente accorde un long développement à son personnage avant de le transformer en super soldat, et encore plus avant de le voir en action sur le front. En effet on prend le temps de nous expliquer pourquoi Steve veut aller combattre, pourquoi c'est lui et pas un autre qui recoit le sérum et sa relation avec Bucky. Cependant la deuxième partie est malheureusement moins bonne. En effet, les scènes d'action sont un peu mollasses et le film manque clairement de spectacle. De plus Schmidt alias Crâne rouge est un très bon méchant mais perd de son charisme lorsqu'il montre son vrai visage. Et, soyons honnête, il ne met que peu Captain en danger malgré le cube cosmique qu'il a en sa possession. Par contre on a vraiment conscience et de la puissance de cette mystérieuse source d'énergie, qui fait le lien avec Thor (ou la mythologie nordique...).

Les relations entre les personnages sont une franche réussite dans ce film, particulièrement celle entre Steve et Bucky. Bucky est le seul ami que Steve ait jamais eu malgré que tout les oppose. Le film retransmet parfaitement cette opposition tout en montrant ce lien qui les unis.
Le film tente également une tentative de romance entre Steve Rogers et l'agent Carter. C'est une franche réussite, le film prend le temps de bien développer le personnage de Peggy, nous montrer un peu qui elle est, et comme par hasard elle ressemble à Steve. Une bonne relation, bien meilleure que Pepper et Tony dans Iron Man 2, qui laisse place à de très belles scènes d'émotions !
Même les personnages secondaires, voir tertiaire, ont un léger développement. En effet, ils ont une leurs propres personnalités et chacun à sa manière aura une histoire avec Captain America, la plus réussie étant celle avec le Dr Erskine.

Cependant un gros point noir du film est le fait que Captain America n'est pas l'air d'un super héros. En effet, on a conscience qu'il est supérieur aux autres, plus forts cependant il n'est pas aussi fort qu'un super héros devrait l'être : on a à peine conscience de ce que sont ses pouvoirs.

Le film bénéficie d'un casting superbe, chaque acteurs est bon. Chris Evans est excellent en Steve/Cap et la transformation physique le faisant passer pour un gringalet par CGI est bluffante au passage. La sublime Hayley Atwell (plus belle femme du MCU) est excellente dans son rôle de femme forte et autoritaire; l'alchimie avec Chris Evans est bien présente. Hugo Weaving est très convaincant sous sa forme humaine mais perd de son charisme sous la forme de Crâne rouge que j'ai trouvé mal fait.

Captain America: The First Avenger est une réussite qui rassemble émotions, actions et humour bien dosé nous ennuyant presque jamais malgré quelques longueurs. Marvel réussi encore une fois à introduire son héros dans son univers.

Cet avènement de Captain America sur fond de seconde guerre mondiale mêle parlote et action avec équité en jonglant entre scènes explicatives et scènes de combats, avec une tendance tout de même plus prononcée pour les premières. Résultat, on a affaire ici à un héros à l'identité plus approfondie que Thor et bien plus attachant aussi, mais aussi à un récit qui ne parvient pas à susciter assez d'émotions pour captiver de bout en bout, ce qui est bien dommage parce que ça plombe les autres qualités du film : Chris Evans porte son rôle comme un gant et les personnages secondaires ne sont pas bâclés non plus, on sent qu'il y a matière à aller plus loin avec les profils qui leur ont été prêtés. Les décors sont de bonne facture, on y croit sans mal, et on se laisse agréablement plonger dans ce contexte de guerre vu par les américains enthousiastes à l'idée de vaincre les nazis. Mais tout ça ne tient en haleine que pendant la première partie du film seulement. Après ça, le rythme s'essouffle et on attend un regain de dynamisme qui ne viendra pas. Pourtant, le méchant tombe le masque et prend place sur le devant de la scène, mais il n'est pas vraiment crédible sous cette apparence spoiler: limite cartoonesque
, comme si Joe Johnston avait choisi de pas trancher entre un public jeune ou adulte et avait opté pour la carte la plus rentable en restant dans l'entre deux. D'ailleurs cette remarque vaut pour le film tout entier, ce qui n'est pas un reproche en soi puisque ce choix est louable et convient bien lorsqu'il s'agit de raconter comment les personnages se sont définis tels qu'on les connait par la suite. Mais si cette tiédeur sied bien à l'image du héros en jeune premier parfait pour émoustiller belle-maman au premier claquement de collant, elle ne colle plus du tout avec le concept d'action et d'engagement qui tâche qu'on attend ensuite d'un film de super-héros. Il y a comme un décalage là... J'espère que la suite saura s'appuyer sur les bonnes bases qui ont été posées ici pour aller plus loin dans son engagement, avec un peu moins de retenue et davantage de gnaque !

Une excellente BD portée à l'écran, rien de plus rien de moins. Le plaisir est sensiblement le même que dans les bonnes BD Marvel, l'imaginaire étant forcement beaucoup plus riche que la vision du réalisateur. C'est surtout une question de confort puisque au cinéma il n'y a même pas à tourner les pages. Chris Evans est vraiment super, il ne perd jamais son charme et garde toujours son coté enfantin du début. C'est lui de loin le meilleur personnage, le méchant est moyen et son vrai visage de ''crane rouge'' fait moins peur que son ''masque''. L'héroïne n'est pas Angelina Jolie et les autres personnages ont du mal à exister en dehors du docteur Zola; celui-ci fait penser à Peter Loore qui aurait joué ce rôle de nazi avec gourmandise. Le meilleur du film tient dans les décors de 1940, les habits de l'époque et le maquillage des femmes. Les effets spéciaux finissent par lasser tant nous en voyons aujourd'hui et les péripéties sont constamment identiques. Je redoute le troisième volet, le numéro deux m'ayant déçu.

Le début du film se présente sous les meilleurs hospices et puis après la transformation de steve rogers, il part en vrille avec des scènes d'actions incohérentes et une fin beaucoup trop prévisibles !!!!

Dans l'univers Marvel, ce "Captain America" fait un peu tache. Sorte de propagande Américaine contre l'envahisseur, le scénario est moyen, les effets spéciaux se limitent à des explosions dans tous les sens .... bref j'ai pas adhéré.Tommy Lee Jones est excellent dans un petit second rôle . Juste au dessus de la moyenne.

"Captain America : First Avenger" reprend la même trame scénaristique que les quatre précédents longs-métrages de l'univers Marvel, à savoir l'affrontement entre un super-héros possédant des qualités physiques hors du commun et un alter ego maléfique présentant des capacités similaires mais plus développées. En dehors de ce scénario basique, il faut admettre que la franchise retrouve un peu de fraîcheur avec le passage aux années 40 : le monde représenté est plutôt original, bien que la photographie soit lisse et aseptisée, et on peut éprouver un certain amusement à voir Captain America se mettre en scène pour promouvoir les idéologies américaines. De plus, voir un super-héros taper du nazi est assez réjouissant puisque les antagonistes évoquent les officiers chasseurs de trésors de la franchise "Indiana Jones" – la qualité est bien sûr moindre. L'autre aspect intéressant du film provient de la relation entre Steve Rogers et Peggy Carter, l'histoire d'amour la plus aboutie à ce jour dans le cycle Marvel. Il y a par exemple à un moment une scène où l'on voit le soldat regarder le portrait de sa belle pendant un combat dans le cadre d'un film promotionnel, et bien qu'il s'agisse évidemment d'un stéréotype, le ridicule ne point pas. En revanche, on regrettera l'insistance de plus en plus écrasante de la promotion du film "Avengers" : à la fin de ce volet, on a presque l'impression de n'avoir assisté qu'à une mise en bouche avant le plat de résistance. Le film devient alors bancal ; malgré sa spécificité temporelle, il cède une part de son identité à la franchise et se voit ainsi inabouti.

Issu de l’univers Marvel, « Captain America » a droit lui aussi à son aventure cinématographique blockbusterisée et personnalisée. Pour incarner Steve Rogers, un gringalet devenu « the First Avenger » suite à une expérimentation scientifique pour le compte de l’armée américaine, les producteurs ont jeté leur dévolu sur Chris Evans. Un choix judicieux car, tout comme Robert Downey Jr avec «Iron Man», il s’est véritablement approprié le personnage et son emblématique costume. Du côté de la mise en scène de Joe Johnston, le résultat est vraiment divertissant, avec un aspect rétro des plus sympathiques, du moins durant la première partie. Bien qu’il soit l’un des super-héros du studio que je connaissais le moins et que le film n’est pas exempté de défauts, j’ai été agréablement surpris et passé un chouette moment.

Un film terriblement décevant, pourtant j'y attendais beaucoup de ce film. Les acteurs ne sont pas très attachants et le scénario pas terrible. La première partie du film est pas mal, on suit un homme appelé Steve Rogers, maigre, mais très malin, mais qui est recalé à chaque postulation pour partir à la guerre, mais finit par être accepté et est le cobaye pour être dans une sorte de bouteille géante qui le fait muscler en un moins de temps, mais des la deuxième partie du film, quand il devient Captain America, ça part en cacahuèteBref, j'ai pas accroché, heureusement que le deuxième est bien mieux.

Captain America: The First Avenger s'avère moins efficace que les 4 précédent Marvel's films. Le film tarde trop sur le début, et on se plonge vraiment dans le film à partir du moment ou Captain rejoint l'armée spoiler: le milieu du film environ
. Au début on présente Steve Rogers et Captain aux publics et c'est assez long et ennuyant. En revanche, les personnages de Steve et Peggy, tout comme leur relation, sont bien traités et ne cesse d'évoluer pendant le film. Red Skull est assez charismatique lui aussi spoiler: même si le combat final contre lui n'est pas très palpitant et très court
. Il faut aussi saluer l'incroyable travail qui a était fait un transformer Chris Evans en un homme petit et faible, tout comme le visage de Red Skull. Tout les personnage secondaire sont bons dans leurs rôles et c'est un plaisir de voir Howard Stark ! Captain America: The First Avenger n'est pas le meilleur des marvel mais il vaut le coup d'être regardé quand même ! 3.5/5

D'un film à l'autre, d'un super-héros à l'autre, Marvel a au moins la décence de ne pas se répéter. Après, il n'y a pas tant de renouvellement que ça, mais dans ce film-ci, si on excepte le fait qu'il constitue surtout u une préparation à Avengers, est une belle introduction pour Captain America qui n'est pas, il faut l'admettre, le plus apprécie des super-héros Marvel. On quitte le temps présent pour aller dans les années 40, en pleine seconde guerre mondiale, lors de l'élan patriotique des USA (dont le film se moque, tiens) et à l'époque où les nazis étaient les plus grands méchants. Dès lors, on suit l'évolution de Steve Rogers, jeune homme chétif qui devient Captain America, un super soldat qui doit défaire Elrond, euh je veux dire le Crâne Rouge, qui forme une secte secrète du clan nazi. Suivi d'une équipe, il se battra avec son meilleur ami tout en sortant avec la fille de ses rêves. Le plus gros défaut du film est le schéma qui reste assez classique, mais tout est bien maîtrisé, que ce soit le scénario, la mise en scène, les personnages et la fin, j'ai plutôt bien apprécie ce film sympathique qui change des autres Marvel. Un bon film qui prépare bien à Avengers.

« Captain America » (le plus ancien des personnages « Marvel ») est un bon film de super héros, ni plus ni moins ! Il y a eu tellement de productions de ce genre au cours de ces dernières années que les nouvelles sorties, même si elles sont de qualité, finissent par être diluées dans la masse. Le scénario tente bien d'innover en nous transportant au cœur de la seconde guerre mondiale mais force est de constater que l'originalité n'est guère au rendez-vous. L'effet de surprise se disperse rapidement et on retrouve vite les codes habituels du genre. Finalement ça n'a guère d'importance, la raison d'être de ce genre de film est de divertir et de ce côté on en a pour notre argent. L'action est bien présente, les combats nombreux et bien filmés et le super méchant plutôt réussi. Ce dernier, sorte de guerrier nazi zombifié, figure même parmi mes personnages favoris. Les effets spéciaux, confiés à 13 compagnies différentes, sont (très) spectaculaires et on passe globalement un bon moment. Alors certes ce « Marvel » ne fera pas surchauffer vos méninges et vous aurez vite fait de l'oublier... Mais pour passer une soirée télé sans prise de tête, ça vaut bien « l'amour est dans le pré » !

Le film adapté des comics de la naissance du Captain à sa chute dans l'eau glacée. Un bon divertissement, quoique assez pauvre en terme d'actions. Le fait qu'il y ait des armes et des vaisseaux high-techs pendant la Seconde Guerre Mondiale montre que les Américains font n'importe quoi pour l'histoire de cette guerre.
Après avoir eu un rôle dans Fantastic Four en jouant la Torche, Chris Evans rempile devant la caméra en étant le Captain "Steve Rogers" America. Une histoire d'amour avec Peggy Cater (la même que dans le 2 mais en plus jeune !) assez médiocre, la présence du Howling Commandos en tant que personnages secondaires, un Crâne Rouge trop "allemand" et une ambiance trop américaine, une musique et un scénario pas top... Voilà comment se caractérise le film.

Bien, 3.5/5

Sans être génial ce nouveau Marvel introduit un Captain America crédible et séduisant, ce qui n'était pas forcément évident étant donné qu'il est conçu comme le parfait patriotique héroïque ce qui le rend moyennement intéressant. L'histoire en elle-même ne se sublime jamais vraiment mais est une introduction de qualité et le fait qu'elle se déroule dans le passé donne une certain originalité au film de super héros.

Elrond en méchant tous rouge est une tres bonne idée captain america 1 est trop bien