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Attigus R. Rosh
194 abonnés
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3,0
Publiée le 20 juin 2024
Bien avant la vague actuelle de remake en prise de vues réelle de ses propres chefs-d’œuvre d'animation, cette adaptation live-action des 101 dalmatiens étaient plutôt plaisante. Porté surtout par une Glenn Glose totalement déjantée dans le rôle de Cruella d'Enfer, elle s'amuse vraiment dans ce rôle exubérant et haut en couleurs et ça se voit à l'écran. C'est l'argument numéro 1 pour regarder ce film. A ses côtés, Jeff Daniels et Joely Richardson campent plutôt bien leurs personnages. Pas de surprise dans l'intrigue : il s'agit de la même que celle du dessin animé. Néanmoins, les chiens à l'écran semblent incroyablement bien dressés car (je n'ai pas l'impression qu'il s'agisse d'images de synthèse) les cascades qu'ils font à l'écran sont franchement bien coordonnées et complexes. C'est divertissant.
On retient évidemment la très belle performance de Glen Close, pour le reste il s'agit d'une comédie familiale qui remplit les cases sans prétention d'une adaptation Disney.
"Les 101 Dalmatiens" (1996), la version en prise de vue réelle, est une adaptation charmante et pleine de vivacité du classique animé de Disney. Réalisé par Stephen Herek, ce film captivant réussit à apporter une nouvelle vie à l'histoire bien-aimée tout en préservant l'esprit ludique et l'aventure qui ont fait le succès de la version animée.
Le cœur du film réside dans la performance pétillante de Glenn Close, qui incarne de manière mémorable la méchante Cruella d'Enfer. Son interprétation excentrique et délicieusement maléfique donne une nouvelle dimension à ce personnage iconique. Les costumes excentriques et le maquillage élaboré ajoutent à l'aspect visuel extravagant de Cruella, en faisant l'une des méchantes les plus mémorables du cinéma.
L'histoire conserve le charme du film d'animation, tout en bénéficiant d'un ajout de détails et de nuances qui approfondissent les personnages. Les propriétaires des dalmatiens, Roger et Anita, sont interprétés avec chaleur et sympathie, contribuant à créer une dynamique familiale attachante.
Les chiots dalmatiens sont les véritables stars du film, avec leurs performances adorables et leur présence à l'écran irrésistible. L'utilisation de vrais animaux ajoute une dimension tangible à l'histoire, renforçant l'émotion et la connexion avec le public.
La réalisation de Stephen Herek offre une esthétique visuelle vivante et colorée, capturant l'esprit ludique de l'histoire. Les décors, les costumes et les séquences de poursuite, fidèles à l'esprit du dessin animé, confèrent une ambiance joyeuse au film.
La musique, incluant des reprises des chansons classiques de la version animée, contribue à maintenir l'énergie entraînante du film. La bande sonore ajoute une dimension nostalgique tout en s'intégrant harmonieusement dans l'ensemble.
"Les 101 Dalmatiens" en live-action est une aventure familiale divertissante qui séduira les amateurs du classique animé tout en offrant une expérience unique. Son mélange d'humour, de méchanceté délicieuse et d'adorables chiots crée une atmosphère charmante qui ravira les spectateurs de tous âges. Un hommage réussi à l'univers magique et intemporel de Disney.
Adapté les 101 Dalmatiens en version "live-action" n'était pas chose évidente. Beaucoup de choses ne vont pas dans le film, notamment dans la 2e partie, mais globalement on passe un très bon moment. Un bon film sans prise de tête. On est loin de la version animation, mais cette adaptation est vraiment correct. Le scénario est légèrement différent mais cela est dû à la patte de John Hughes qui arrive à nous émouvoir quand il s'agit de film sur le thème de la Famille. (Cinéaste sous-côté)
Premier remake live-action de l'histoire Disney, avec l'objectif net de proposer une nouvelle version déjà bien connue, celle-ci fut encore plus paranoïaque avec le jeu diaboliquement efficace et possessif de Glenn Close en Cruella. Un récit très familiale et bon enfant tous du long avec son humour maison, son émotion maison et ses scènes clé maison pour revoir ces chiens parmi les plus célèbres du grand écran. Des scènes légèrement revisitées pour l'année de production, un script identique et des personnages attachants. Un récit très légèrement rallongé de 15/20 min avec pour élément inattendu, pas d'effets pour rendre nos amis poilus parlant et plus cartoonesque mais quelques immersions dans l'univers de la mode, quelques échanges bonus... Visuellement, le seul moment sortant du lot reste le grand final avec la ferme et le refuge des sbires de Cruella qui évidement ne peut pas réellement exister réellement de par son "design". Un humour et une émotion canine très bien gérer et une certitude morale bien plus adulte, ce remake ne serait plus possible aujourd'hui vu la folie meurtrière et l'obsession sadique pour la mort et les fourrures de Cruella. Cela allait donc parfaitement avec l'époque. Un premier live efficace, drôle et émouvant par moment avec donc la sensibilité pour la cause animale mais qui est évidement moins puissante qu'aujourd'hui.
J’ai le souvenir du dessin animé de mon enfance et d’une ambiance sombre avec une Cruella vraiment effrayante. Je ne retrouve pas cette ambiance dans ce film, Emma Stone ne fait pas peur, même si elle se donne beaucoup dans ce rôle. Elle ne parait pas vraiment folle, presque gentille, plutôt dans la vengeance, la Cruella des origines est une psychopathe, je n’ai pas ressenti cela ici. Glenn Glose, par exemple, était supérieure. La réalisation reste sage, jamais choquante, est-ce pour ne pas heurter le jeune public ? Alors il y a des beaux décors, de beaux costumes, cela reste plaisant , mais en tant qu’adulte ayant frémi devant le dessin animé d’origine à mes 6 ans, je reste sur ma faim.
On ne peux pas passer à côté de ce classique du cinéma. La fameuse Cruella mène à nouveau la barque dans cette adpatation live de l’histoire originale. Le pari est tenu, l’histoire est fidèle à elle-même, le scénario est bien écrit et bien agencé, les costumes et les décors sont bien gérés. Le tout avec une bonne réalisation. C’est pas mal du tout !
Adaptation en prise de vues réelles du long-métrage d'animation du studio aux grandes oreilles, Les 101 Dalmatiens en version live-action est une belle réussite. L'histoire reprend les grandes lignes de l’œuvre sortie en 1961 et se révèle donc sans grandes surprises mais le passage de l'animation au monde réel donne une revisite très agréable à suivre pendant un peu plu d'une heure et demi. On se retrouve devant une comédie gentillette, idéale pour toute la famille grâce à son ton très drôle mais également tendre. C'est mignon de bout en bout car les animaux sont mis en avant et pas seulement les canidés. Les personnages sont tous agréables et interprétés par un casting délicieux. Jeff Daniels et Joely Richardson accompagnés de leurs nombreux dalmatiens forment une superbe famille élargie. Du côté des méchants le trio formé par Glenn Close, Hugh Laurie et Mark Williams est très sympathique car ils se font malmenés tout du long et ne sont pas si dangereux que ça. Mais les principales têtes d'affiches ce sont bien les nombreux chiens qui sont tout simplement incroyables et à croquer. Le parallèle fait entre les relations d'Anita et Roger et celle de Perdita et Pongo est adorable, quand les dialogues sont eux amusants. L'ensemble est bien réalisé par Stephen Herek même si c'est assez classique et que les couleurs sont un peu ternes. La b.o. pour sa part est totalement dans le ton, accompagnant parfaitement les situations. Reste une fin attendue mais satisfaisante venant mettre un terme à ce très bon film. Car oui, que vous soyez petit ou grand, Les 101 Dalmatiens ne peuvent que vous toucher tant ces petites boules de poils sont formidables.
Attachant, ce remake du dessin animé du même nom attire l'attention grâce à la prestation déchaînée de Glenn Close. Celle-ci incarne le personnage de Cruella d'Enfer à la perfection. Quant aux dalmatiens, ils sont cruellement bons, beaux et adorables.
Ni dans ses films, ni dans les épisodes des séries qu'il a réalisées, Stephen Herek ne nous a jamais impressionnés. Dans cette comédie pour la famille produite par Disney, l'américain ne fait ni mieux ni pire. Le scénario assez fidèle à l'oeuvre originale, et au dessin animé, se voit plombé par un jeu fort peu subtile des acteurs principaux. En outre, de nombreuses scènes où seuls les animaux agissent, sont beaucoup trop étirées, avec des gags très enfantins. Les enfants de 3 à 12 ans vont peut-être aimer, En tout cas, ado et adultes n'esquisseront que deux ou trois sourires entre 1000 baillements.
Je me souviens avoir vu plus souvent ce film que le Disney original à l’époque. Anita travaille pour Cruella dans la mode et Roger dessine des jeux vidéos. Joely Richardson et Jeff Daniels ont été bien choisi. Bijou, Pinceau, Gratouille, Kifkif et Laflaque font partie des 15 chiots de Perdita et Pongo. L’histoire est exactement la même, elle est juste plus détaillée. Nanny est toujours présente et d’un grand soutien. Cruella est encore plus hystérique et interprétée parfaitement par Glenn Close. Elle n’est toujours pas ma méchante préférée mais son look est beaucoup mieux. Les très talentueux Hugh Laurie (Dr House) et Mark Williams (Arthur Weasley) jouent respectivement Jasper et Horace. J’ai adoré la fin avec tout la famille réuni dans leur nouvelle maison, si on peut appeler ça comme ça, dont la petite fille de Anita et Roger, ainsi que beaucoup beaucoup de dalmatiens. https://onceuponadreamgirl.wordpress.com/2021/10/09/les-dalmatiens-vs-cruella-1961-a-2021/
Un remake qu'on regarde non sans un certains plaisir. Fidèle à son matériau d'origine et bien qu'on connaisse déjà l'histoire, on se laissera surprendre par l'humour bien senti, les modifications apportées, le changement d'univers (on passe quand même des années 40 dans le dessin-animé au années 90). Dans la lignée de "Beethoven" : cette version des 101 Dalmatiens réalisée par Stephen Herek offre une bonne alternative au film animé pour tout les grincheux, et a conserver le ton de nos comédies d'enfance à l'américaine (Mme Doubtfire, Matilda, Stuart Little, Beethoven etc..).
Puis, si il ne fallait plus, regardez ce film pour Glenn Close qui offre la meilleure performance de toute sa carrière. L'actrice américaine qui fait partie des meilleurs de sa génération (avec Meryl Streep, Susan Sarandon Emma Thompson, Julie Andrews, Nathalie Baye, Isabelle Huppert et Olivia Colman) est littéralement grandiose et ensorcelante dans ce rôle de Cruella qui lui va comme un gant.