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Jake Peralta
1 critique
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4,0
Publiée le 23 mai 2024
Je n'ai pas lu le livre mais j'en avais entendu beaucoup de bien donc j'étais curieux de voir son adaptation. Dés l'introduction j'ai été saisi par le jeu de Garance Le Guillermic, incarnant Paloma, qui m'a embarqué de suite dans son univers atypique avec son point de vue très rebel. C'est un plaisir quand débarque Josiane Balasko et son personnage dans tout ceci. Leur duo est vraiment terrible et fonctionne à merveille je trouve. De même que, dans un autre style, le duo que Josiane Balasko forme avec Togo Igawa est très joli lui aussi. Ce trio de personnages et d'actrices nous font plonger dans une histoire très touchante, filmée de façon très humaine. On aura presque l'impression d'être un "quatrième membre" de cet ensemble de relations plus profondes qu'elles n'y paraissent. Un beau film, aux thèmes intéressants, qui doit énormément à son choix fin d'acteurices.
GRAND FILM Attention chef d'oeuvre, aussi touchant que philosophique. Cette histoire tirée d'un livre de Muriel Barbery vous emporte et nous vous quitteras plus. Un film français à voir absolument !
Poétique, philosophique et humain ou comment un hasard improbable réunit une enfant suicidaire, un richissime Japonais et une concierge aux allures quelconques. Même si on reste un peu sur sa faim, avec des idées ou des dialogues trop effleurés sans approfondissements, l'univers à part de ce film emprunté à un roman récent a de quoi agréablement surprendre.
Premier long-métrage de Mona Achache, Le Hérisson est une œuvre délicate et mettant en scène un trio de personnages assez rare au cinéma (une petite fille introvertie et fascinée par le suicide, une gardienne d’immeuble faussement bourrue et solitaire mais se révélant au final très cultivée et un retraité japonais très raffiné). Ainsi, si le film n’est pas toujours extrêmement prenant, il reste assez intéressant par sa sensibilité envers des personnages un peu marginaux, sa qualité d’interprétation (Josiane Balasko prouve une fois de plus qu’elle est véritablement une très grande actrice) et une fin aussi surprenante que brutale. Le Hérisson est donc un œuvre qui pourrait toucher une bonne partie du public.
Magnifique interprétation de Josiane Balasko qui fait évoluer son personnage avec beaucoup de retenue, tout en progression. On prend une leçon de comportement en société à la japonaise par le personnage interprété avec beaucoup d'élégance par Togo Igawa. Quant à la jeune Paloma Jesse, manifestement surdouée, elle dérange par son regard sans concession sur le monde des adultes, et par ses capacités et sa sensibilité hors normes. Les personnages secondaires sont bons aussi, dans leurs névroses, leur mépris des petites gens. Une belle leçon de vie, à travers les réponses découvertes par le personnage principal.
Poétique, superbement joué, un vrai petit trésor ! Ce film est l'histoire d'un combat : la sapiophilie contre l'hypocrisie bourgeoise. L'élégance du cœur contre la superficialité. Pour public doué d'une belle sensibilité.
La seul chose que j'ai retenu de ce film , c'est qu'il se déroule dans Immeuble Les Chardons 9, rue Claude-Chahu et 2, rue Eugène-Manuel - Paris 16e que j'ai découvert et qui est une merveille de l'Art Nouveau en architecture à qui on peut donner 5 étoile !
J'ai regardé Le Hérisson, je suis touchée par ce film. Ce film raconte que les gens qui vivent dans cet appartement haut de gamme sont tous des gens de la classe supérieure. Ils ont une apparence lumineuse et un statut social proéminent, mais ils vivent une vie hypocrite et absurde. Mais le vrai monde spirituel de la vilaine portière Mme Michele et la fille géniale de onze ans Baroma sont très richees. Elles se cachent chacune dans le coin de leur monde et profitent secrètement de leur élégante vie spirituelle. C'est M. Ozu qui a emménagé récemment. Avec son raffinement et ses connaissances, il a découvert le style de vie et l'attitude de vie uniques que les deux ont délibérément cachés. Les gens de la haute société méprisent Mme Michele, mais Baroma a découvert que cette dame a une âme élégante et qu'elle aime lire et penser. elles deviennent de bon amies. J'aime vraiment une ligne dans ce film. 《Ce qui importe, ce n'est pas de mourrir, mais ce qu'on fait au moment où on meurt. 》. Quand M. Ozu a dit 《Vous étiez prête d'aimer. 》, j'ai pleuré. En effet, la vie humaine est trop courte, et la vie est pleine d'accidents, et la seule chose que nous pouvons faire est de chérir ce que nous avons et de faire de notre mieux pour aimer. J'aime beaucoup ce film, il a déclenché ma réflexion sur la vie et l'argent, le statut ne détermine pas si une personne a une belle âme.Nous sommes tous des hérissons, mais il y a très peu de hérissons qui a un âme élégante.
Film très sensible et touchant où excellent Josiane Balasko et Garance Le Guillermic qui dévoilent chacune à leur façon leur monde secret et leurs difficultés à exister. Sans oublier Togo Igawa qui avec beaucoup d'élégance et de pudeur magnifie ce film avec en prime, l'esthétique japonaise. Un petit chef d'œuvre à voir
J’ai économisé tout mon argent de poche pendant six semaines (j’ai même fait des ménages supplémentaires), pour acheter ces billets pour que ma petite sœur DOIL et moi puissions aller au cinéma pour regarder ce film pour son anniversaire. Ce film, ne l’a pas du tout impressionnée. Quel dommage ! Mais moi, ayant quelques années de plus et donc etant plus mûre, je l’ai apprécié beaucoup. Je pense que les deux personnages principaux étaient bien joué par Le Guillermic et Balasko, respectivement. Même s’il y a dix ans que le film est sorti, je pense que Paloma est encore un symbole de la rébellion des jeunes, et la souffrance de Renée, bien que ce soit une expérience unique, est encore émouvante et serve comme une critique effective de la société très cloisonnée de France.
Une intrigue captivante qui explore les pensées complexes de Renée, une vieille concierge dans un appartement des riches, et Paloma, une jeune excentrique qui essaye de trouver le sens dans la vie bourgeoise. L’amitié qui forme entre les deux est une relation profonde qui développe tout au long du film et qui nous fait penser à l’importance de connexion dans une société stratifiée. Le Hérisson est un film, qui comme le roman L'élégance du Hérisson, permet au public de voir un lien d'amitié incroyable à former entre deux personnages qui souffrent parce qu'elles n'appartiennent pas dans la société. La réalisation du film est encore améliorée par les choix excellents de la distribution. L’interprétation des personnages de Paloma, Renée et Ozu par Garance Le Guillermic, Josiane Balasko et Togo Igawa donne une profondeur authentique au film. Leur jeu remarquable laisse les spectateurs s’immerger dans la problématique complexe de la classe sociale et la manière dont on voit le monde autour de nous.La cinématographie était bien construite, ce qui s'est montré envers des bandes dessinées mignonnes mais aussi profondes. Le dénouement on laisse sentir choqué mais surtout on force à réfléchir sur la société française et les questions de l'existentialisme.
M3RDe!!!! Quel catastrophe. Je suis allée au cinéma pour célèbrer mon onzieme anniversaire et ca m'a vraiment deçue. En tant que fille du même âge que Paloma je crois qu'elle n'a pas du tout bien representé la souffrance de notre génération. Un caméscope?! De nos jours ca n'existe même pas. Le film n'est pas convaincant, et je SAIS que personne n'appellerait leur chat Constitution (Le mien s'appelle A'ymee-DeTyrone). Et Renee: c'est quoi ton affaire??!!!!??