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Un visiteur
1,5
Publiée le 23 octobre 2017
Vous voulez un film touchant, avec des thèmes profonds et complexes? Vous voulez une histoire astucieuse et nouvelle? Chercher ailleurs. Il y a tous les ingrédients d’un film merveilleux, mais l’adaptation prive le film de tous les éléments poignants. Et le résultat? Ca retombe comme un soufflé. Nous ne voyons rien de l’histoire de Renée, jouée par l'impressionnante J. Balasko, qui n’a aucune opportunité de montrer son talent. Ce roman a un potentiel incroyable. Pourtant, il est réduit a une histoire d’une petite fille gâtée et une romance surfait et unidimensional. C’est vraiment dommage! Tous qu’on peut dire est que la mise-en-scène était beau, et la musique même bien choisi. Mais au bout de compte, les chats ont fait un tabac.
Le hérisson, adaptation du livre éponyme est une étrange réalisation mélangeant drame, comédie et mélancolie. Souvent triste dans ces propos et son image, le ton est contrebalancé par une musique joyeuse, entêtante et répétitive ! Le casting est réussi surtout pour le couple principal avec une Josiane Balasko surprenante et juste et un acteur nippon qui nous démontre sa classe tout en retenu. Au final, même si la fin est brutale et laisse sur sa faim, celle ci paraissait prévisible et l'on se concentre finalement plus sur cette concierge que cette jeune fille. Le hérisson est donc une histoire à lire ou à visionner qui marquera mais à qui il manque tout de même un petit plus pour en faire un grand film.
Pour un premier film de réalisatrice, Mona Achache dont le talent est allé jusqu'à prétendre s'occuper du scénario (au diable la modestie), nous a réalisé un navet qui aurait mérité le premier prix pharmaceutique 2009 du soporifique se substitution ! C'est en effet mou, lent, sans intérêt, et cette gamine qui devrait se mettre sa caméra comme insert, s'avère aussi agaçante que mignonne ! Pour lutter contre cet engouement stupide de la planète en faveur du hérisson, ce bête animal est le seul à ne pas avoir compris encore en 2017 qu'une route automobile pouvait lui être fatale ! Ensuite, il est truffé de puces ! Ne l'approchez surtout pas ! Résistez aussi à l'envie de lui donner du lait : les chats du voisinage l'auront bu bien avant lui ! Bon une qualité, il dévore les limaces. Le seul point commun entre ce film consternant et la bestiole au final : la stupidité ! Pourquoi France 3 a-t-elle programmé cette histoire sans queue ni tête ? willycopresto
J'aime ce Film! C'est un film extraordinaire! J'aime le début parce que la petite fille joue admirablement bien! La fille, est très intelligente et elle est incroyable. C'est un beau film. C'est intéressant, mais la fin du film est très tragique et dramatique! C'est très triste! Mais, j'adore le film quand même. Bravo! C'est bien joué!
Bonne histoire, sauf la fin. Le hérisson était un super film. J'aime la personne Japonaise, Kakuro Ozu, parce qu'il est poli et gentil. Tous les personnages et le scénario sont bien filmés sauf la fin. La fin du film semble un peu fausse et trop tragique. Aussi, la fin est inattendue. Je voudrais décrire la fin, mais, ce serait un SPOILER pour vous!
Une fin bof dans une bonne histoire La fin est inattendue dans le film et gâche l'histoire.Tout dans l'histoire est très bien,les acteurs notamment mais la fin ça ne ma pas plu.
Un film surprenant, avec une Josiane Balasko extraordinaire, une petite fille et un japonais tour à tour attachants, tristes, mais toujours justes. la vie de cette concierge est d'une tristesse, et l'on finit par s'y attacher et à espérer pour elle. Un bon film.
Nan mais franchement, ceux qui s'ennuient dans ce film, qu'ils apprennent à regarder. À regarder mieux ! À savoir apprécier la pudeur et la dignité qui émanent de tout le film et surtout de Josiane Balasko, bluffante. À apprécier l'insolite et le cynisme d'une petite fille si tôt blasée du monde, incroyable Garance le Guillermic qui nous offre même des répliques en japonais ! À savourer la richesse de chaque plan, les jeux d'ombre et de lumière, les dessins animés qui surviennent au juste moment. Les haters diront "longueurs", les vrais diront "contemplation" ! Car c'est la prouesse de ce film d'insuffler un climat tout en retenue mais cela pour mieux nous surprendre ensuite et nous émouvoir. Cet équilibre, cette retenue, sont parfaites transcrip-tions de l'esthétique japonaise dont tout le film est un hommage, incarné par un attendrissant Togo Igawa dont la prestation en français dépote plus que ses apparitions dans le Dernier Samouraï ou autres blockbusters japonisants...Alors ouvrez les yeux !
Cela commencer pourtant si bien, avec une jeune et formidable Garance Le Guillermic. Mais il faut dire que le film respire cet esprit bourgeois, il y a de bons moments, mais ça va jamais plus loin que la simple idée. Les dialogues sont parfois géniaux parfois insupportables. Et c'est d'une facilité, on devine ce qui va se passer. Oui respire l'esprit bourgeois, parce qu'on nous montre pas des bourgeois, mais des personnages atypiques comme une étude de sociologie pour les bourgeois. Mais à coté de ses nombreux défauts, il ne faut pas oublier que ce film dispose de nombreux moments de tendresses.
J'avais beaucoup d'espérances sur ce film et il ne m'a pas déçu une seconde! Une Josiane Balasko, comme d'hab formidable, m'a ému par sa manière de faire passer son malaise, son comportement un peu sauvage envers les bourgeois locataires méprisants de l'immeuble dont elle est la concierge et une Garance Le Guillermic tout aussi géniale m'a beaucoup touché par sa façon de voir les gens et la vie en générale qu'elle décrit parfaitement (un peu trop peut être pour une fillette de son âge...) Voir renaître Josiane Balasko grâce à l'unique locataire qui n'est pas indifférent à son égard est très émouvant et laisse entrevoir un rayon de lumière dans la vie bien sombre de cette concierge. Ce qui donnera encore plus d'impact à ce dénouement spoiler: tragique qui m'a fait lâché ma larme! Beau film.
Un des film les plus émouvant et triste que j'ai vu. Un film sur la solitude, sur les liens sociaux indispensables à la vie. Une Josiane Balasko méconnaissable, qui tient le rôle a merveille.
Je me suis ennuyé pendant ce film. Trop de longueur, Josiane Balasko joue un personnage presque sans vie. Elle est fait pour des rôles moins tristes comme dans "Gazon maudit" ou "le père noël est une ordure".
Pour un premier film, il est réussi. L'adaptation prend des libertés avec le si beau roman de Muriel Barbery, mais "ses libertés", comme la caméra de Paloma, habillent très joliment le film. Sinon pourquoi avoir, à ce point, "caricaturé" la concierge en rendant Balasko laide et repoussante à l'extrême: c'est dommage, vraiment.
Un très joli film qui sait bien rebondir sur le succès et la qualité du très bon roman de Muriel Barbery. L'interprétation est excellente en commençant bien sûr par Balasko , remarquable , superbe actrice dramatique aussi . La petite fille joue tout à fait juste, le Japonais est très charmeur. Ensuite une bonne adaptation du roman, ce qui est toujours un exercice difficile, un scénario solide , bien tenu. Le film garde le charme subtil du roman mélangeant le tragique et la futilité, comme une "insouciance légéreté de l' être". Une jeune réalisatrice qui fait un très beau travail, dans la maitrise des acteurs et le ton qui est donné.
Paloma, 11 ans, filme son quotidien avec ses parents, sa soeur, dans son appartement, dans son immeuble. Renée Michel, concierge, va croiser sa route. Ils vont se lier d'amitié et grâce à Renée, elle va découvrir une autre vision de la vie. Mention spéciale à Josiane Balasko, extraordinaire en concierge.